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vendredi 13 juin 2014

Métro de la STM sera toujours en panne ?

L’endroit où il ne fallait pas être en mars 2012, vers 16 h : sur la ligne verte du métro de Montréal. Tel est le portrait type de la panne, dressé à partir de données exclusives obtenues par La Presse.
En analysant finement 5555 arrêts de service de plus de 5 minutes entre 2008 et 2013, on a pu faire quelques découvertes inédites, que les méthodes habituelles d’étalonnage ne permettent pas de faire. C’est à 5 h du matin que les pannes sont les plus longues, de 20,6 minutes en moyenne.
C’est cependant à l’heure de pointe qu’elles sont les plus fréquentes : une panne sur cinq survient entre 16 h et 18 h. Les mois les plus problématiques : mars et octobre. Le plus gros « problème » de la STM : sa propre clientèle, responsable d’un arrêt de service sur deux.
La ligne bleue est plus touchée par les pannes de matériel roulant que les autres, mais c’est sur la ligne verte que les « méfaits volontaires » sont surreprésentés. Et, non, le nombre de pannes n’est pas en hausse constante année après année, même si les Montréalais sont encore échaudés par les nombreuses pannes en 2012 et début 2013.
« DANGEREUX », MAIS INSTRUCTIF
À la STM, on a accepté de se prêter au jeu et de commenter ces découvertes, même si La Presse a utilisé une méthode peu orthodoxe pour les obtenir. Les grandes sociétés de transport utilisent surtout le nombre d’arrêts par million de kilomètres pour se comparer. La moyenne mondiale est de 25 arrêts par million de kilomètres. Montréal fait très bonne figure, avec 11,3 arrêts.
Quant aux statistiques obtenues par La Presse, ce sont des chiffres absolus, sans lien avec le nombre de kilomètres parcourus. « Ça montre l’impact réel sur nos clients, ça permet de comprendre ce qui se passe, mais c’est dangereux, prévient Dominique Lemay, directeur exécutif à la STM. Si je vous dis qu’une voiture a zéro panne par année et qu’une autre en a trois, vous allez me demander, avec justesse : combien de kilomètres ont-elles parcourus ? »
La règle est généralement simple : plus il y a d’usagers et de trains, plus les pannes sont nombreuses. À cet égard, les quatre premiers mois de l’année 2014 « sont les meilleurs depuis que nous compilons ces statistiques », constate avec satisfaction le directeur. Mais il reconnaît que les pannes, qui surviennent de façon presque mathématique quand l’achalandage est à son maximum, font mal à l’image de la STM. « Quand une panne survient à 23 h, elle touche 400 personnes. Quand elle arrive à 16 h, elle en affecte 15 000. Tous les systèmes vont avoir plus tendance à flancher quand ils seront utilisés au maximum. »
Sans promettre de miracles, et tout en rappelant qu’une période d’adaptation sera nécessaire, il s’attend à ce que les 468 nouvelles voitures de métro aient un effet positif sur le bilan de pannes de la STM. D’abord par leur fiabilité, mais également parce qu’on a peaufiné les détails pour minimiser la durée des incidents. « Un exemple : elles seront équipées de trois portes au lieu de quatre, dit M. Lemay. C’est 25 % de moins de pannes dues à des problèmes de fermeture de portes. Quand un usager va tirer un frein de secours, l’opérateur pourra le voir sur caméra et lui parler, puis réamorcer le système de son habitacle. »

Note: Le Métro de la STM sera toujours en panne,le service est nul,..............parce que ses employés n'ont pas pattes blanches,le service clientèle et les agents dans les comptoirs sont douteux et mal engueullés, le réseau électrique du Métro personne veut n'en parler,car c'est des million$ en réparations et conception malgré l'arrivé d'Azur , il y a toute une cote a monter !


— Avec la collaboration de Serge Laplante et de Sylvain Gilbert


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lundi 5 décembre 2011

SOSgarde, un portail qui fait le lien entre les familles et l'aide à domicile

Famille - Une courtière en gardiennes
Paulina Podgorska, fondatrice de SOSgarde. 
© Le Journal / ISABELLE MAHER

Tous les parents le savent, une bonne gardienne vaut de l'or. Décembre serait le pire moment pour la recherche de la perle rare. Pour eux, il existe maintenant SOSgarde, un portail qui fait le lien entre les familles et l'aide à domicile.
Trouver une gardienne un 31 décembre, mission impossible?
«Pas si vous vous y prenez à l'avance et si vous acceptez de payer un peu plus cher», croit Pauline Podgorska, fondatrice de SOSgarde, un site de rencontres pour parents qui cherchent désespérément une gardienne fiable pour leurs enfants.
Cette «courtière en gardiennes» connaît bien le casse-tête que peut représenter la recherche d'une gardienne. Mère monoparentale d'un fils de 5 ans, Paulina s'est ellemême souvent retrouvée dans la situation de ces parents prêts à tout pour dénicher la bonne personne sans vouloir pour autant confier son enfant à n'importe qui.
«On demande à la famille et aux amis, personne n'est disponible. Je me disais, il doit bien y avoir une meilleure solution», explique-t-elle.
De l'aide pour les aînés
Avec sa formation en marketing et en internet, la jeune mère a décidé de quitter son emploi dans une agence de communication pour fonder, il y a deux ans, SOSgarde, un site internet payant qui donne accès à une banque de personnes qui offrent leur service à domicile.
«Ceux qui cherchent de l'aide pour les aînés ou pour simplement prendre soin d'un animal de compagnie peuvent également trouver sur notre site», ajoute-t-elle.
Chaque année, les demandes des familles affluent à l'approche du temps des fêtes, observe la fondatrice de SOSgarde.
«Les gens ont des partys, des courses, des réunions. Depuis deux ans, la période des fêtes est chargée pour les parents et l'affluence sur notre site augmente», constate-telle.
Candidatures fiables
Chaque candidat inscrit dans la banque de gardiens et gardiennes de SOSgarde doit avoir 18 ans et de l'expérience avec les enfants. Son profil est soigneusement vérifié par l'équipe. Un service payant de vérification des antécédents judiciaires est également disponible sur le site. «Nos membres peuvent choisir parmi les candidats qui se trouvent près de leur domicile», précise-t-elle.
Le lien entre les familles et l'aide à domicile comble un besoin énorme, fait part Mme Podgorska. «Récemment une infirmière qui s'est retrouvée subitement sur un horaire de nuit a trouvé sur notre site une gardienne qui acceptait de travailler la nuit. C'est rare, mais possible si on ne s'y prend pas à la dernière minute», insiste-t-elle.


REF.: