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dimanche 6 octobre 2024

Déja en 2009, on disaient que L'ONU allait enquêter sur le Climagate:

Déja en 2009, on disaient que L'ONU allait enquêter sur le Climagate:

LONDRES | (AFP) Enquête de l'ONU, débat au Congrès américain, mise en garde de l'Arabie saoudite: l'affaire des courriels piratés de scientifiques au Royaume-Uni, soupçonnés de manipuler les données sur le climat, prend de l'ampleur à quelques jours du sommet de Copenhague.

Au coeur de ce « Climategate », la publication sur internet le mois dernier de milliers de courriers électroniques de chercheurs du Centre de recherches sur le climat (CRU) de l'université britannique d'East Anglia, victime d'un piratage informatique ou de fuites.

Plusieurs messages, dont certains provenant du directeur du CRU, Phil Jones, indiqueraient que plusieurs scientifiques manipulent les données sur le climat pour étayer la these d'un réchauftement du aux activités de L'homme:

Face à la gravité de ces allégations, le président du Groupe intergouvernemental d'experts sur le climat (CIEC), mandate par l’ONU a promis hier de faire toute la Iumiere.


« Nous allons certainement regarder tout ça et ensuite nous adopterons une position », a déclaré à la BBC Rajendra Pachauri. « C'est une question sérieuse et nous allons l'étudier en détail », a ajouté l'économiste indien, prix Nobel de la Paix 2007 avec l'ancien vice-président américain Al Gore.

La veille, l'université d'East Anglia avait annoncé l'ouverture d'une enquête indépendante sur le contenu des courriels piratés.

Phil Jones a abandonné son poste le temps de l'enquête. Selon lui, ses messages ont été sortis de leur contexte.

Tandis que des parlementaires américains et britanniques exhortent leur gouvernement à en tenir compte à Copenhague, l'un des responsables saoudien chargés des négociations sur le réchauffement climatique, Mohammed Al Sabban, même prédit sur la BBC que cette affaire aurait un « énorme impact » sur les débats.


REF.: Nathalie Elgrably-Levy,

La religion verte ou la cabale climatique: Nathalie Elgrably-Levy



La religion verte ou la cabale climatique:  Nathalie Elgrably-Levy


Voilà deux semaines qu'un séisme de forte magnitude a secoué la science du climat.


Récapitulons les faits: plus de 1000 courriels, ainsi que des documents et des modèles informatiques du Climate Research Unit (CRU) ont été rendus publics.

On a d'abord pensé que l'information probable quate misse de fuites intentionelles de la part d'un membre du CRU. Ces courriels, dont l'authenticité a été confir-mee par leurs auteurs, ont revele que les données qui ont permis la redaction de rapports alarmistes étaient faussées de manière à cacher l'absence de réchauffement climatique depuis bientôt 15 ans.

Le réchauffement anthropogénique ne serait donc qu'une vile supercherie!


Non seulement l'Homme ne serait-il pas coupable, mais il n'y aurait même pas de réchauffement!

La nouvelle aurait été insignifiante s'il s'agissait d'affirmations sans fondements de quelques ecosceptiques vindicatits. Mais ce n'est pas le cas. Il s'agit plutôt d'aveux signés de la main des grands prêtres ré-chauffistes parmi lesquels figurent Phil Jones, directeur du CRU, et Michael Mann, auteur de la courbe en « bâton de hockey », deux chercheurs extrêmement influents auprès du GIEC. Ainsi, les rapports a saveur apocalyptique du GIEC seraient basés sur des données savamment corrompues, et sur une obsession du CO2 nonfondée. Or, c'est en fonction de ces mêmes rapports que de nombreux gouvernements ont ratifié le protocole de Kyoto, adopté une multitude de programmes coûteux, accru la réglemen-tation, subventionné la production d'éthanol, introduit des écotaxes, mis sur pied des bourses du carbone, construit des parcs d'éoliennes, etc. Partout dans le monde, des centaines de milliards de dollars ont été dépensées parce qu'on a fait confiance aux scientifiques du CRU.

Si Bernard Madoff a écopé de 150 ans de prison, quelle peine les instigateurs de la cabale climatique méritent-ils?



COPENHAGUE

 

Mais ressasser le passé est stérile.

Tournons-nous vers l'avenir. Cent soixante-dix chefs d'État s'envoleront bientôt vers Copenhague afin de ratifier un traité sur le climat. Or, nos élus sont peu bavards sur le contenu du document de 181 pages dont les enjeux sont pourtant majeurs et sans précédent. Lord Christopher Monckton, ancien conseiller du gouvernement de Margaret Tatcher, prétend qu'on y discutera de la constitution d'un gouvernement «transnational» non élu qui serait irrévocablement investi de pouvoirs extraordinaires en matière fiscale, financière, économique et environnementale. Espérons qu'il se trompe, car s'il dit vrai, nous devrons sacrifier des libertés, renoncer à la démocratie pour laquelle nos ancêtres se sont battus et accepter le mode de vie que la nouvelle gouvernance mondiale imposera. 



Or, le traité de Copenhague est influence par les recommandations des scientifiques visés par le scandale. Les bases de l'édifice climato-catastrophique s'effondrent et on s'apprête à bouleverser nos vies au nom d'un réchauffement fictif. N'est-ce pas invraisemblable, voire carrément demen-tiel? Ces chefs d'Etat se fichent-ils complètement de savoir que le réchauffement

est une arnaque? N'y en a-t-il pas un seul avec suffisamment de leadership

IIn y

aurait même pas de réchauf-fement!

pour réclamer que la lumière soit faite sur le Climategate avant d'aller à Copenhague?

CHOIX•

Évidemment, l'idéologie peut détrôner la science et on peut choisir de croire avec ferveur au réchauffement anthropo-génique. Après tout,

chacun est libre de croire en ce qu'il veut!

Mais si la science est évincée, pourquoi les discours des gourous réchauffistes seraient-ils plus crédibles que les prophéties du mouvement raëlien ou des scientologues?

Les gouvernements n'ont jamais signé de traité en fonction des élucubrations d'une secte quelconque. Alors, pourquoi la politique accorde-t-elle tant d'importance à l'évangile de l'éco-Armageddon ?



REF.: Nathalie Elgrably-Levy, 

elgrably_commentaire@journalmtl.com

Climagate: L'aveuglement volontaire a un prix(Le 10-12-2009)

 Climagate: L'aveuglement volontaire a un prix(Le 10-12-2009)


C’est fait! Le sommet de Copenhague est en cours depuis lundi. Le monde entier retient son souffle dans l'espoir que les chefs d'État ratifient un traité devant sauver la planète. Il faut agir vite, nous dit-on, car si nous ne réduisons pas immédiatement et radicalement nos émissions de CO2, il sera trop tard pour éviter la catastrophe.

Ainsi, pour faire la guerre au CO2, on déplace une centaine de chefs d'État, 15000 délégués, 10000 activistes et lobbyistes et 5000 journalistes. On retient les services de 1200 limousines et on compte plus de 140 jets privés! En douze jours, la conférence de Copenhague aura généré 41000 tonnes de COz, autant que ce qu'émet un pays comme le Maroc pendant toute une année. Pour un sommet sur l'environnement, est-ce vraiment écolo?

Mais l'ampleur de l'Évènement importe

peu. Le plus singulier, c'est le fait qu'on discute sérieusement du réchauffement climatique en faisant fi du «climategate», soit le scandale entourant des courriels que s'échangeaient les scientifiques du Climate Research Unit (CRU) de l'UniverSité d'East Anglia. Pourtant, on peut y lire explicitement que des chercheurs sont incapables d'expliquer l'absence de réchauffement climatique, qu'ils détruisent délibérément leurs données pour que personne ne puisse vérifier leurs affirmations, et qu'ils manipulent les programmes informatiques pour obtenir les résultats recherchés. Ceci aurait dû être suffisant pour mettre en doute les propos alarmistes dont on nous accable, et pour, tout au moins, reporter la rencontre jusqu'à ce qu'on soit fixé sur l'intégrité des chercheurs visés.


Mais non. On fait comme si le « climatgate» n'existait pas. Certains affirment qu'il n'y a pas la matière à scandale, car il s'agirait de cas isolés.


D'autres prétendent qu'il s'agit d'une vaguelette sans importance, car les courriels divulgués ne viseraient qu'un «petit groupe de scien-tifiques», que les coupables ne représentent qu'«une toute petite minorité». Si cela s'avère, les délits en question seraient alors effectivement insuffisants pour remettre en question le « consensus» sur les causes anthropiques du réchauffement climatique.

Il convient donc de définir ce qu'on entend par «minorité». Est-ce 2% des scientifiques? 5 %? 10 % ? 15 %? 

Le Diagnostic pour Copenhague est un dossier préparé par 26 éminents chercheurs, la plupart auteurs principaux ou collaborateurs ayant travaillé à produire les rapports du GIEC. Ce document, qui doit alimenter les discussions entre chefs d'État lors de la conférence, présente les plus récentes observations et connais- xxxxsances scientifiques sur l'évolution du climat et se veut une mise à jour du dernier rapport du GIEC. N'est-il donc pas raisonnable d'affirmer que ces chercheurs sont parmi les plus influents de la planète?


Or, parmi ces 26 scientifiques, combien sont impliqués dans le scandale des courriels compromettants? La réponse est horrifiante: ils sont 12, ce qui représente 46% des auteurs du Diagnostic pour Copenhague ! En d'autres termes, on a

toutes les raisons de douter de l'honnêteté intellectuelle de près de la moitié des scientifiques les plus écoutés au monde.

Ce n'est pas tout. Il faut ajouter ceux qui n'ont pas participé à la rédaction du Diagnostic pour Copenhague, mais qui ont néanmoins collaboré aux rapports du GIEC, comme Phil Jones, Kevin Trenberth et Ben Santer, et qui figurent parmi les principaux protagonistes du scandale. Et on nous dit qu'il ne s'agit que de cas isolés? 


Voyons donc! Certes, on peut bouder les preuves du «climategate» et persister à croire sans réserve en une apocalypse climatique imminente. Mais l'aveuglement volontaire a un prix: un traité coûteux et contraignant. Sommes-nous prêts à en assumer le Fardeau ?



RÉF.:  Journal de Mtl, Nathaly Elgrably

elgrably_commentaire@journalmtl.com

jeudi 27 mars 2008

Les Gaz a effets de serre(GES),ne sont pas le vrai problême

C'est ce que révèle une étude dirigée par le Pr John Christy, du Centre des sciences de la Terre à l'Université d'Alabama, aux États-Unis, faite à partir des mesures des satellites de la National Oceanic and Atmospheric Administration de ce pays. Les compilations du centre de recherche indiquent que le climat planétaire s'est réchauffé de 0,35 degré Celsius depuis 27 ans. Pendant ce temps, les températures de l'Arctique ont augmenté de 1,16 degré Celsius alors que les températures des deux tiers de la planète n'augmentaient pour leur part que de 0,16 degré Celsius.D’après l’ONU, 250 millions d’humains vont être concernés par la montée des eaux dans les prochaines années au environ de 2050 !


Les causes du réchauffement planétaire ne sont généralement pas sujettes à controverses. Ce qui est plus discuté est la contribution relative de chacune des causes possibles. Parmi celles-ci, on peut citer : la rétention de la chaleur par l'atmosphère, amplifiée par les gaz à effet de serre ; les fluctuations de l'activité solaire ; la réflectivité de la surface terrestre qui est modifiée par la déforestation ; la généralisation de l'automobile à l'échelle planétaire ;etc... L'effet de serre est un phénomène naturel. On estime que sans cet effet, la température de surface serait en moyenne de -15°C, plus froide que la température moyenne actuelle qui est de 15°C. Mais les GES qui est un phénomène naturel a été renforcé car la quantité de gaz à effet de serre a augmenté ces dernières années, ce qui a pour conséquence de déséquilibrer le bilan radiatif de la Terre. Si bien que nombre de scientifiques pensent que l'effet de serre est la cause principale du réchauffement planétaire actuel.

C'est dû aux déplacement des continents et comme conséquence le gulf stream pourrait ralentir sinon arrêter de circulé. Prenons l'exemple de l'Antarctique, avant la dislocation du super-continent Gondwana, le climat antarctique était chaud et humide, dès que l'Australie, l'Afrique et l'Amérique du Sud ont migré vers le nord, les divers détroits se sont ouverts et un courant océanique circulaire (appelé courant circumpolaire) commença. En quelque temps, le climat se détériora pour atteindre celui actuel et la calotte glaciaire put se mettre en place. http://fr.wikipedia.org/wiki/Variation_climatique Un réchauffement climatique, même léger, peu connu et pourtant lourd de conséquence pour l’Europe occidentale : l’affaiblissement, voire l’arrêt du Gulf- Stream.Ainsi le courant marin du Gulf Stream apporte-t-il la chaleur Cubaine vers l'Europe. Oui,car Il est un fait que sous les tropiques le soleil donne plus d’énergie qu’à celles de plus hautes latitudes. Ensuite, par chance, les courants marins transportent avec eux cette chaleur vers les pôles et latitudes plus froides (les courants atmosphériques ont eux plutôt tendance à se déplacer simplement en Est- Ouest). Ces courants océaniques d'un cycle de 650 ans sont entretenus par les différences de salinité ,comme la fonte des glaciers salins entraine cette saumure froide vers le fond marin,pour entrainer les courants plus chaud en surface,et par le fait même de la température des eaux polaires. Ils transportent puis redistribuent a travers le globe, pour moitié, la chaleur accumulée sous les tropiques vers les régions plus froides telles que la nôtre. Ils brassent d’énormes quantités d’eau chaude et salée, en provenance de la surface des principaux océans et mers des tropiques, vers le nord de l’Atlantique. Arrivées dans les mers Arctiques, ces eaux se refroidissent sous l’effet des vents et blizzards hivernaux, cédant leur chaleur à l’air environnant. Phénomène de plongée océanique : L’eau de mer arrivant face au froid polaire, l'eau douce qu'elle contient gèle plus vite et s'agglomère en cristaux de glace, rejette son sel, et augmente la salinité de l’eau restée liquide. Devenue froide et salée, cette eau restante devient plus dense que l’eau qui les pousse et plonge alors au fond de l’Atlantique. Dans les fonds marins, ce courant froid repart vers le sud à la vitesse de 2 m/h pour se réchauffer, lentement, puis remonter à la surface de l’océan Indien ou Pacifique et repartir vers l’océan Arctique, ensemençant sur son passage sa chaleur bienfaitrice. Malheureusement, à cause du probable réchauffement climatique dû à l’effet de serre, le moteur même de ces courants marins semble menacé. Effectivement, on a vu précédemment que les courants marins étaient basés sur la plongée des eaux froides et salées, plus denses, dans les profondeurs de l’océan Arctique. Or, l'effet de serre entraînant une augmentation de la température, qui accroît l’évaporation dans les régions chaudes et les précipitations aux hautes latitudes. L’Atlantique se réchauffe, recevant plus de pluies, ce qui engendre fatalement une fonte partielle de la calotte glaciaire. Conséquence directe : de l’eau douce en quantité diminuant d’autant plus la salinité marine. Ainsi s’il y a baisse de la salinité, il y a baisse de la densité des eaux de surface, empêchant leur plongée dans les abysses océaniques, coupant le Gulf-Stream, annulant les échanges thermiques entre équateur et zones tempérées. Conséquence Les conséquences en seraient catastrophiques et paradoxales. Il est réellement paradoxal de constater que ce phénomène, pourtant dû au réchauffement climatique, puisse engendrer par son inégale distribution de la chaleur une ère glaciaire en Europe et dans les régions à hautes latitudes, tandis que l’équateur accumulera une chaleur harassante. L’Europe qui, ne l’oublions pas, se situe à la même latitude que le Québec. La seule différence réside dans le fait que nous profitons de la bénédiction du Gulf-Stream. Selon ce modèle, cette perturbation pourrait engendrer des températures hivernale de - 30°C à Paris, – 20° à Bordeaux car bénéficiant de la «douceur» de la mer... les mêmes hivers qu’au Québec. Conclusion Lorsque l'on parle d'effet de serre et de réchauffement climatique, il ne faut pas oublier que ce sont des perturbations dont on ne connaît pas encore l'ampleur ou le relativisme des effets. Ainsi, ce «réchauffement climatique» pourrait bien transformer l'Europe en désert blanc.


En d'autres mots:
Mais ne vous en faîtes pas tout se régénère;ça prit 4,5 milliards d'années pour transformer un simple caillou en un être humain.

L'un des gaz a effet de serre le plus toxique,"le dioxyde de carbonne" qui se répand dans l'air et acidifie notre eau,le 1/4 de tout ce dioxyde de carbonne produit par l'homme est absorbé par les jungles de notre planète Terre.

Une jungle se régénère en quelques milliers d'années.

La fonte de notre pergélisol du grand nord,produirait plus de GES que les GES produit par l'activité de l'homme sur la Terre.

Si l'homme brûle tous les combustibles fossiles de la Terre,ce sera une question de temps pour la Terre a s'en tirer ! En fin de compte c'est pas la Terre qu'il faut sauver,mais c'est l'HOMME ,lui-même qu'il faut sauver ,........................dans les deux sens du mot !

Références Science & Vie, n° 990, page 76 à 80
Science de la Vie et de la Terre, 2°, Hatier, pages 51 et 54
Emission de la cinquième : La Terre se réchauffe