C'est ce que révèle une étude dirigée par le Pr John Christy, du Centre des sciences de la Terre à l'Université d'Alabama, aux États-Unis, faite à partir des mesures des satellites de la National Oceanic and Atmospheric Administration de ce pays. Les compilations du centre de recherche indiquent que le climat planétaire s'est réchauffé de 0,35 degré Celsius depuis 27 ans. Pendant ce temps, les températures de l'Arctique ont augmenté de 1,16 degré Celsius alors que les températures des deux tiers de la planète n'augmentaient pour leur part que de 0,16 degré Celsius.D’après l’ONU, 250 millions d’humains vont être concernés par la montée des eaux dans les prochaines années au environ de 2050 !
Les causes du réchauffement planétaire ne sont généralement pas sujettes à controverses. Ce qui est plus discuté est la contribution relative de chacune des causes possibles. Parmi celles-ci, on peut citer : la rétention de la chaleur par l'atmosphère, amplifiée par les gaz à effet de serre ; les fluctuations de l'activité solaire ; la réflectivité de la surface terrestre qui est modifiée par la déforestation ; la généralisation de l'automobile à l'échelle planétaire ;etc... L'effet de serre est un phénomène naturel. On estime que sans cet effet, la température de surface serait en moyenne de -15°C, plus froide que la température moyenne actuelle qui est de 15°C. Mais les GES qui est un phénomène naturel a été renforcé car la quantité de gaz à effet de serre a augmenté ces dernières années, ce qui a pour conséquence de déséquilibrer le bilan radiatif de la Terre. Si bien que nombre de scientifiques pensent que l'effet de serre est la cause principale du réchauffement planétaire actuel.
C'est dû aux déplacement des continents et comme conséquence le gulf stream pourrait ralentir sinon arrêter de circulé. Prenons l'exemple de l'Antarctique, avant la dislocation du super-continent Gondwana, le climat antarctique était chaud et humide, dès que l'Australie, l'Afrique et l'Amérique du Sud ont migré vers le nord, les divers détroits se sont ouverts et un courant océanique circulaire (appelé courant circumpolaire) commença. En quelque temps, le climat se détériora pour atteindre celui actuel et la calotte glaciaire put se mettre en place. http://fr.wikipedia.org/wiki/Variation_climatique Un réchauffement climatique, même léger, peu connu et pourtant lourd de conséquence pour l’Europe occidentale : l’affaiblissement, voire l’arrêt du Gulf- Stream.Ainsi le courant marin du Gulf Stream apporte-t-il la chaleur Cubaine vers l'Europe. Oui,car Il est un fait que sous les tropiques le soleil donne plus d’énergie qu’à celles de plus hautes latitudes. Ensuite, par chance, les courants marins transportent avec eux cette chaleur vers les pôles et latitudes plus froides (les courants atmosphériques ont eux plutôt tendance à se déplacer simplement en Est- Ouest). Ces courants océaniques d'un cycle de 650 ans sont entretenus par les différences de salinité ,comme la fonte des glaciers salins entraine cette saumure froide vers le fond marin,pour entrainer les courants plus chaud en surface,et par le fait même de la température des eaux polaires. Ils transportent puis redistribuent a travers le globe, pour moitié, la chaleur accumulée sous les tropiques vers les régions plus froides telles que la nôtre. Ils brassent d’énormes quantités d’eau chaude et salée, en provenance de la surface des principaux océans et mers des tropiques, vers le nord de l’Atlantique. Arrivées dans les mers Arctiques, ces eaux se refroidissent sous l’effet des vents et blizzards hivernaux, cédant leur chaleur à l’air environnant. Phénomène de plongée océanique : L’eau de mer arrivant face au froid polaire, l'eau douce qu'elle contient gèle plus vite et s'agglomère en cristaux de glace, rejette son sel, et augmente la salinité de l’eau restée liquide. Devenue froide et salée, cette eau restante devient plus dense que l’eau qui les pousse et plonge alors au fond de l’Atlantique. Dans les fonds marins, ce courant froid repart vers le sud à la vitesse de 2 m/h pour se réchauffer, lentement, puis remonter à la surface de l’océan Indien ou Pacifique et repartir vers l’océan Arctique, ensemençant sur son passage sa chaleur bienfaitrice. Malheureusement, à cause du probable réchauffement climatique dû à l’effet de serre, le moteur même de ces courants marins semble menacé. Effectivement, on a vu précédemment que les courants marins étaient basés sur la plongée des eaux froides et salées, plus denses, dans les profondeurs de l’océan Arctique. Or, l'effet de serre entraînant une augmentation de la température, qui accroît l’évaporation dans les régions chaudes et les précipitations aux hautes latitudes. L’Atlantique se réchauffe, recevant plus de pluies, ce qui engendre fatalement une fonte partielle de la calotte glaciaire. Conséquence directe : de l’eau douce en quantité diminuant d’autant plus la salinité marine. Ainsi s’il y a baisse de la salinité, il y a baisse de la densité des eaux de surface, empêchant leur plongée dans les abysses océaniques, coupant le Gulf-Stream, annulant les échanges thermiques entre équateur et zones tempérées. Conséquence Les conséquences en seraient catastrophiques et paradoxales. Il est réellement paradoxal de constater que ce phénomène, pourtant dû au réchauffement climatique, puisse engendrer par son inégale distribution de la chaleur une ère glaciaire en Europe et dans les régions à hautes latitudes, tandis que l’équateur accumulera une chaleur harassante. L’Europe qui, ne l’oublions pas, se situe à la même latitude que le Québec. La seule différence réside dans le fait que nous profitons de la bénédiction du Gulf-Stream. Selon ce modèle, cette perturbation pourrait engendrer des températures hivernale de - 30°C à Paris, – 20° à Bordeaux car bénéficiant de la «douceur» de la mer... les mêmes hivers qu’au Québec. Conclusion Lorsque l'on parle d'effet de serre et de réchauffement climatique, il ne faut pas oublier que ce sont des perturbations dont on ne connaît pas encore l'ampleur ou le relativisme des effets. Ainsi, ce «réchauffement climatique» pourrait bien transformer l'Europe en désert blanc.
Références Science & Vie, n° 990, page 76 à 80
Science de la Vie et de la Terre, 2°, Hatier, pages 51 et 54
Emission de la cinquième : La Terre se réchauffe
Les causes du réchauffement planétaire ne sont généralement pas sujettes à controverses. Ce qui est plus discuté est la contribution relative de chacune des causes possibles. Parmi celles-ci, on peut citer : la rétention de la chaleur par l'atmosphère, amplifiée par les gaz à effet de serre ; les fluctuations de l'activité solaire ; la réflectivité de la surface terrestre qui est modifiée par la déforestation ; la généralisation de l'automobile à l'échelle planétaire ;etc... L'effet de serre est un phénomène naturel. On estime que sans cet effet, la température de surface serait en moyenne de -15°C, plus froide que la température moyenne actuelle qui est de 15°C. Mais les GES qui est un phénomène naturel a été renforcé car la quantité de gaz à effet de serre a augmenté ces dernières années, ce qui a pour conséquence de déséquilibrer le bilan radiatif de la Terre. Si bien que nombre de scientifiques pensent que l'effet de serre est la cause principale du réchauffement planétaire actuel.
C'est dû aux déplacement des continents et comme conséquence le gulf stream pourrait ralentir sinon arrêter de circulé. Prenons l'exemple de l'Antarctique, avant la dislocation du super-continent Gondwana, le climat antarctique était chaud et humide, dès que l'Australie, l'Afrique et l'Amérique du Sud ont migré vers le nord, les divers détroits se sont ouverts et un courant océanique circulaire (appelé courant circumpolaire) commença. En quelque temps, le climat se détériora pour atteindre celui actuel et la calotte glaciaire put se mettre en place. http://fr.wikipedia.org/wiki/Variation_climatique Un réchauffement climatique, même léger, peu connu et pourtant lourd de conséquence pour l’Europe occidentale : l’affaiblissement, voire l’arrêt du Gulf- Stream.Ainsi le courant marin du Gulf Stream apporte-t-il la chaleur Cubaine vers l'Europe. Oui,car Il est un fait que sous les tropiques le soleil donne plus d’énergie qu’à celles de plus hautes latitudes. Ensuite, par chance, les courants marins transportent avec eux cette chaleur vers les pôles et latitudes plus froides (les courants atmosphériques ont eux plutôt tendance à se déplacer simplement en Est- Ouest). Ces courants océaniques d'un cycle de 650 ans sont entretenus par les différences de salinité ,comme la fonte des glaciers salins entraine cette saumure froide vers le fond marin,pour entrainer les courants plus chaud en surface,et par le fait même de la température des eaux polaires. Ils transportent puis redistribuent a travers le globe, pour moitié, la chaleur accumulée sous les tropiques vers les régions plus froides telles que la nôtre. Ils brassent d’énormes quantités d’eau chaude et salée, en provenance de la surface des principaux océans et mers des tropiques, vers le nord de l’Atlantique. Arrivées dans les mers Arctiques, ces eaux se refroidissent sous l’effet des vents et blizzards hivernaux, cédant leur chaleur à l’air environnant. Phénomène de plongée océanique : L’eau de mer arrivant face au froid polaire, l'eau douce qu'elle contient gèle plus vite et s'agglomère en cristaux de glace, rejette son sel, et augmente la salinité de l’eau restée liquide. Devenue froide et salée, cette eau restante devient plus dense que l’eau qui les pousse et plonge alors au fond de l’Atlantique. Dans les fonds marins, ce courant froid repart vers le sud à la vitesse de 2 m/h pour se réchauffer, lentement, puis remonter à la surface de l’océan Indien ou Pacifique et repartir vers l’océan Arctique, ensemençant sur son passage sa chaleur bienfaitrice. Malheureusement, à cause du probable réchauffement climatique dû à l’effet de serre, le moteur même de ces courants marins semble menacé. Effectivement, on a vu précédemment que les courants marins étaient basés sur la plongée des eaux froides et salées, plus denses, dans les profondeurs de l’océan Arctique. Or, l'effet de serre entraînant une augmentation de la température, qui accroît l’évaporation dans les régions chaudes et les précipitations aux hautes latitudes. L’Atlantique se réchauffe, recevant plus de pluies, ce qui engendre fatalement une fonte partielle de la calotte glaciaire. Conséquence directe : de l’eau douce en quantité diminuant d’autant plus la salinité marine. Ainsi s’il y a baisse de la salinité, il y a baisse de la densité des eaux de surface, empêchant leur plongée dans les abysses océaniques, coupant le Gulf-Stream, annulant les échanges thermiques entre équateur et zones tempérées. Conséquence Les conséquences en seraient catastrophiques et paradoxales. Il est réellement paradoxal de constater que ce phénomène, pourtant dû au réchauffement climatique, puisse engendrer par son inégale distribution de la chaleur une ère glaciaire en Europe et dans les régions à hautes latitudes, tandis que l’équateur accumulera une chaleur harassante. L’Europe qui, ne l’oublions pas, se situe à la même latitude que le Québec. La seule différence réside dans le fait que nous profitons de la bénédiction du Gulf-Stream. Selon ce modèle, cette perturbation pourrait engendrer des températures hivernale de - 30°C à Paris, – 20° à Bordeaux car bénéficiant de la «douceur» de la mer... les mêmes hivers qu’au Québec. Conclusion Lorsque l'on parle d'effet de serre et de réchauffement climatique, il ne faut pas oublier que ce sont des perturbations dont on ne connaît pas encore l'ampleur ou le relativisme des effets. Ainsi, ce «réchauffement climatique» pourrait bien transformer l'Europe en désert blanc.
En d'autres mots:
Mais ne vous en faîtes pas tout se régénère;ça prit 4,5 milliards d'années pour transformer un simple caillou en un être humain.
L'un des gaz a effet de serre le plus toxique,"le dioxyde de carbonne" qui se répand dans l'air et acidifie notre eau,le 1/4 de tout ce dioxyde de carbonne produit par l'homme est absorbé par les jungles de notre planète Terre.
Une jungle se régénère en quelques milliers d'années.
La fonte de notre pergélisol du grand nord,produirait plus de GES que les GES produit par l'activité de l'homme sur la Terre.
Si l'homme brûle tous les combustibles fossiles de la Terre,ce sera une question de temps pour la Terre a s'en tirer ! En fin de compte c'est pas la Terre qu'il faut sauver,mais c'est l'HOMME ,lui-même qu'il faut sauver ,........................dans les deux sens du mot !
Références Science & Vie, n° 990, page 76 à 80
Science de la Vie et de la Terre, 2°, Hatier, pages 51 et 54
Emission de la cinquième : La Terre se réchauffe
Aucun commentaire:
Publier un commentaire