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mercredi 18 avril 2018

IBM dévoile le plus petit ordinateur du monde, pas plus gros qu’un grain de sel !




La marque IBM réussit l’impossible : développer l’ordinateur le plus petit de la planète. De la taille d’un grain de sel !
IBM dévoile le plus petit ordinateur du monde, pas plus gros qu'un grain de sel !
La taille de cet ordinateur d’IBM est exceptionnelle
Lors de la conférence Think 2018 à Las Vegas, l’entreprise américaine IBM a présenté un appareil tout à fait étonnant. La marque, qui a révolutionné l’univers informatique, frappe fort une nouvelle fois en dévoilant l’ordinateur le plus petit du monde. De la taille d’un grain de sel ! L’unité en question ne mesure que 1mm par 1mm. Elle intègre le processeur x86, utilisé par les premiers ordinateurs de bureau IBM dans les années 90.

IBM crée une unité complète minuscule pour limiter le vol et les contrefaçons

Ce « crypto-anchor » microscopique (ou ancre cryptographique) est un système complet avec processeur, mémoire, module de stockage et de communication. En fait, il s’avère être un dispositif anti-fraude. En effet, IBM souhaite proposer une nouvelle solution de lutte contre la fraude dans le monde du transport et de la logistique. Ainsi, ces mini-ordinateurs permettraient de vérifier l’authenticité d’un produit.
En prime, il est peu cher puisque sa production coûterait moins de 10 cents. Cet ordinateur pourrait donc être intégré dans n’importe quel objet, comme les étiquettes de prix ou l’emballage des produits. Avec ce petit grain de selIBM améliorerait ainsi la sécurité de la chaîne d’approvisionnement. « Il pourra surveiller, analyser, communiquer et même agir sur les données. « Il peut aider à vérifier qu’un produit a été manipulé correctement tout au long de son long voyage.« , a déclaré la société.
Encore au stade de prototypes, les unités serviront également à authentifier les produits achetés en ligne comme les aliments, les produits pharmaceutiques et les produits de luxe pour s’assurer qu’ils n’ont pas été altérés.  Utilisés en association avec une blockchain, ces petits ordinateurs assureront l’authenticité d’un objet depuis son point d’origine jusqu’à son arrivée entre les mains d’un client. En somme, IBM espère faire de son minuscule ordinateur le digne remplaçant des puces RFID.


REF.:

dimanche 2 novembre 2014

Les flux de données Twitter vers le nuage d'IBM

Partenariat entre Twitter et IBM autour de l’analyse de données,il ne manque que Big Bro. qui sniffe le tout ;-)

Business : Twitter et IBM s’associent en vue d’offrir aux entreprises de nouveaux outils analytiques pour aider à la prise de décision. Les flux de données Twitter seront notamment intégrés à la version cloud de Watson.


Twitter et IBM ont annoncé hier un partenariat stratégique qui verra Big Blue exploiter la masse de données générées par le site de microblogging dans ses applications analytiques. Le but est d’offrir aux entreprises des outils décisionnels en leur fournissant des indications sur les tendances de consommation et la perception des marques et des produits. Pour ce faire, les données Twitter seront intégrées aux plateformes cloud Watson et Bluemix.
L’accord prévoit également qu’IBM et Twitter développeront ensemble des services de consulting destinés aux secteurs de la banque, de la grande consommation, de la distribution et du tourisme. « Twitter a créé quelque chose d'extraordinaire. Lorsqu'on le combine à d'autres types d'informations et qu'on exploite les innovations d'IBM dans l'analyse, Watson et le 'cloud', le processus de prise de décision ne sera jamais plus le même », a déclaré Ginni Rometty la directrice générale d’IBM. (Eureka Presse)

mercredi 19 juin 2013

Puce a Lumière «Silicon nanophotonics» d'IBM

5 technologies qui vont tout changer - Puce à lumière
Vue en coupe d'une puce «Silicon nanophotonics» d'IBM combinant circuits optiques et électriques.
Photos IBM

Le plus grand problème des ordinateurs et des infrastructures comme les serveurs vient de la transmission des informations dans les composants.
Elle est y échangée de manière électrique, ce qui dégage énormément de chaleur et limite ainsi les débits. Ainsi, les équipements électroniques fonctionnent moins vite qu'ils ne le devraient.
Heureusement, le problème vient enfin d'être résolu par IBM grâce au «Silicon Nanophotonics». Dans ces puces (photo du bas), l'information est transmise par la lumière. Résultat: elle circule sans aucune contrainte physique, et à une vitesse bien plus élevée que celle du courant électrique.

IBM est déjà capable de produire ces puces. La compagnie vise leur arrivée d'ici deux ans dans les équipements réseau. Les débits seraient alors des dizaines de fois supérieurs à ceux de maintenant, de l'ordre de plusieurs dizaines de Go/s, alors qu'elles ne sont que d'environ 100Mb/s au mieux.
De quoi télécharger un film en HD en quelques secondes, mais surtout, d'entrer dans une nouvelle ère de très haut débit qui ouvrira la porte aux émissions de télévision en 8K et à la 3D sans lunettes.



REF.:

samedi 11 mai 2013

La Chine ou le Japon pour atteindre l'exaflop dès 2020 ?

 Exaflop - Le Japon se lance dans la course aux super-ordinateurs
 
Photo Justin Sullivan / Getty Images / AFP


TOKYO - Le Japon, qui ne veut pas être exclu de la compétition des super-ordinateurs, a décidé mercredi de développer à partir de 2014 un nouvel engin 100 fois plus puissant que son actuel champion «K», qui soit capable d'atteindre vers 2020 une puissance de calcul de l'ordre de l'exaflop (1 milliard de milliards d'opérations par seconde).

Un budget de l'ordre de 100 milliards de yens (environ 1 milliard de dollars) devrait être consacré à la conception d'un tel calculateur destiné notamment à des simulations médicales ou terrestres, utiles par exemple dans le développement de médicaments ou les prévisions de dégâts de catastrophes naturelles, justifie le ministère de la Science.

Cette décision s'inscrit dans la volonté du Japon de continuer d'être en pointe dans les domaines techniques et scientifiques, alors que les États-Unis, l'Europe et désormais la Chine ont déjà défini des programmes pour atteindre l'exaflop dès 2020.

«Il y a une grande différence entre les technologies qui visent la première place et celles qui se contentent de la deuxième. Il est important pour la science de viser le premier rang», a insisté le président d'une commission d'experts mandatés par le ministère de la Science.

Le Japon a déjà plusieurs fois fait la course en tête avec divers super-ordinateurs.
Le modèle nippon «K» avait ainsi pris la première place dans le 37e classement mondial TOP500 révélé en juin 2011 et l'avait conservée dans le hit-parade établi en novembre suivant.

Il a cependant été dépassé mi-2012 par l'exemplaire américain Sequoia, conçu par le géant de l'informatique IBM et installé au laboratoire Lawrence Livermore du département de l'Énergie des États-Unis.

Sequoia (20,13 petaflop/s) a ensuite été relégué en 2e position en novembre par un autre américain, Titan, d'un autre laboratoire du département de l'Énergie aussi, qui a atteint une puissance de calcul de 27,11 pétaflop/s, laissant loin derrière «K» avec ses 11,28 petaflop/s.

«K», entièrement fabriqué au Japon, avait cependant remotivé les industriels japonais.
Il avait marqué les esprits et renforcé la fierté nipponne.

C'était en effet la première fois depuis juin 2004 qu'un supercalculateur japonais était premier.
Il avait battu un rival chinois (Tianhe-1A) et un américain (Jaguar).

L'émulation qui naît de la volonté de reconquête de la première place pousse les Japonais à mettre les bouchées doubles sur les futures générations.


REF.:

jeudi 20 décembre 2012

IBM prévoit des ordis avec 5 sens,capable d'apprentissage, d'adaptation et de perception


(Québec) Des ordinateurs qui apprennent selon les mêmes sens que les humains, c'est ce que prévoit IBM comme développement technologique par des innovations capables de bouleverser la vie et les façons de travailler dans les cinq prochaines années.





Selon IBM, le monde est à l'aube de l'ère ou des ordinateurs vont posséder à leur manière la vue, l'odorat, le toucher, le goût et l'ouïe grâce à l'optimisation de divers capteurs.
Ces idées proviennent de milliers d'employés de la firme. Ce sont des biologistes, des ingénieurs, des mathématiciens et des médecins des différents laboratoires de recherche un peu partout dans le monde. D'ailleurs, IBM n'est pas à ses premiers pas dans les innovations, puisqu'elle a conçu le superordinateur Watson, capable de gagner contre les humains dans le jeu téléviséJeopardy.
IBM affirme que la nouvelle génération de machines sera dotée de facultés d'apprentissage, d'adaptation et de perception et commencera à appréhender le monde tel qu'il est. Toutefois, l'humain sera toujours au centre des décisions, soutient-on, car «ces aptitudes sensorielles vont nous aider à mieux comprendre les choses, à être productifs et à réfléchir, mais elles ne vont pas réfléchir à notre place».
Pour Bernie Meyerson, actionnaire d'IBM et vice-président en matière d'innovation, «l'assistance des systèmes informatiques cognitifs nous aidera notamment à mieux décoder les questions complexes; d'être au courant des dernières nouvelles; de prendre des décisions plus éclairées; de jouir d'une meilleure santé, d'une vie plus confortable et plus riche, et de franchir toutes sortes de barrières, dont celles des langues, de la distance, des coûts ou de l'inaccessibilité».
Chez IBM, on estime donc que les ordinateurs sont capables d'imiter le cerveau humain au moyen d'interactions multisensorielles. Voici donc les prévisions selon les cinq sens qui viendraient modifier notre relation avec le monde.
? Le toucher : des écrans à sensations tactiles.
«Les scientifiques d'IBM bonifient l'expérience des achats en ligne en ajoutant la sensation tactile aux téléphones portables, grâce des logiciels commerciaux qui utilisent des technologies tactiles et infrarouges. Les consommateurs pourront "sentir" la texture d'un tissu ou d'un produit en effleurant du doigt l'écran de leur appareil.»
? La vue : des pixels qui valent mille mots.
«Des systèmes seront en mesure de regarder et de reconnaître des données visuelles comme des photos en ligne, des images de diagnostic médical et des vidéos de caméras de circulation, pour trouver un sens à partir des pixels et commencer à les appréhender d'une manière semblable à celle dont les humains regardent et interprètent une photo.»
? L'ouïe : des ordinateurs qui entendent ce qui compte.
«La pression et les fréquences sonores de toutes les amplitudes, de même que les vibrations vont être reconnues et utilisées pour prédire la chute d'un arbre ou l'imminence d'un glissement de terrain. Des machines vont traduire les balbutiements d'un bébé pour permettre aux parents de comprendre si l'agitation de leur nourrisson signifie la faim, la fatigue ou la douleur.»
? Le goût : des papilles gustatives numériques pour une assiette plus intelligente.
«Délicieux et santé feront bon ménage grâce à un nouveau type de système informatique conçu pour la créativité. Une machine qui perçoit les saveurs va déterminer la structure chimique précise des aliments et la raison de nos penchants naturels vers certains goûts. Cela va dans un premier temps, rendre les aliments santé plus savoureux, et dans un deuxième temps créer un effet de surprise en suggérant des mariages d'aliments inédits et réellement conçus pour optimiser notre expérience des goûts et des saveurs.»
? L'odorat : des ordinateurs qui ont du flair.
«Le téléphone portable va détecter avant vous si vous êtes en train de contracter un rhume ou une autre maladie en analysant les millions de molécules dans votre haleine. Les ordinateurs vont "sentir" les produits chimiques dans les environnements urbains pour surveiller les niveaux de pollution, ou bien analyser la condition des sols des plantations des agriculteurs. Des systèmes de capteurs simples prendront des mesures à la molécule près.»
Ce cinq sur cinq annuel s'appuie sur les tendances du marché et de la société, ainsi que sur les technologies émergentes des centres de recherche d'IBM.


jeudi 5 janvier 2012

Le future selon IBM: Production personnelle d'énergie, suppression des mots de passe, télépathie,disparition de la fracture numérique,disparition du spam

Crédit Photo: D.R
Crédit Photo: D.R

IBM prédit 5 innovations dans les 5 prochaines années

IBM a présenté 5 innovations qui devraient arriver dans les 5 prochaines années. Production personnelle d'énergie, suppression des mots de passe, télépathie sont au menu de ce rapport.
Il est toujours difficile d'être une pythonisse dans le monde des technologies. Pourtant, IBM a sauté le pas en présentant son rapport « Five in Five », soit 5 innovations dans les 5 prochaines années. La première concerne la production personnelle d'énergie. Big Blue pense à la marche, au jogging, au cyclisme, à la chaleur produite par les ordinateurs et même au mouvement de l'eau dans les canalisations. Les notions de smart grid et de smart planet sont bien sûr mises en avant pour aboutir à ce résultat. Autre tendance soulignée par IBM, la suppression des mots de passe. La gestion des identités et leur authentification se feront depuis les caractéristiques biologiques comme la reconnaissance vocale, rétinienne ou d'autres données biométriques.

Télépathie et disparition de la fracture numérique et du spam


Plus audacieux est l'arrivée de la télépathie. IBM estime que le contrôle des terminaux n'est plus réservé à la science-fiction. Des avancées dans la bio-informatique permettront le développement de tels usages. Plus pragmatique, Big Blue penche pour la disparition d'ici 5 ans de la fracture numérique. Pour la firme, 80% de la population mondiale disposera d'un terminal mobile. Enfin, dernière tendance, la notion de spam s'effacera au profit de courriers prioritaires. Les solutions analytiques permettront d'intégrer en temps réel l'ensemble des données disponibles sur une personne afin de lui proposer des informations utiles et pertinentes.


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mercredi 2 mars 2011

A l'intérieur du PC IBM Jr.

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Voici
l'IBM PC Jr. tous entrouverte.

Le Jr. PC occupe une place spéciale dans mon cœur que mon PC IBM à based'abord. Bien que je me suis rapidement à sa croissance, cette version de l'ordinateur personnel IBM m'a bien servi que dernier semestre de l'école de commerce j'ai euà produire plusieurs documents terme. Il n'y a rien comme d'être en mesure de tirerune nuit blanche dans le confort de votre propre salle de séjour plutôt que le laboratoire informatique de l'école.


vendredi 8 octobre 2010

Après les 3 mises en veille du processeur Power7 d'IBM, un quatrième mode nommé "Winkle" arrivera bientôt

C’est une des révélations de la conférence Hot Chips de fin août dernier :IBM travaille sur une technologie de mise en veille profonde. La gamme de processeurs POWER7 possède déjà 3 modes de mise en veille différent possédant les doux noms de « sieste », « veille » et « veille profonde » (implémentés notamment en fonction de la charge de travail du processeur et de la tolérance de l’application envers la latence nécessaire au processeur pour revenir en mode normal).

Logiquement, plus on économise d’énergie, plus le processeur met du temps à repartir : le mode « sieste » épargne quelques 15% de la consommation totale du processeur et revient en mode normal quasiment instantanément. A l’extrême, le mode « veille profonde » quant à lui réduit de 85% la consommation pour un temps de reprise d’activité d’environ 2 ms.

Dans la même lignée, le nouveau mode de veille, baptisé « winkle » (probablement suite aux pérégrinations de Rip Van Winkle qui aurait dormi d’une traite pendante 20 ans) rendrait la consommation du processeur quasi proche de 0, pour un temps de retour à l’état actif compris entre 10 et 20 ms. Tout est affaire de compromis… Et d’intégration. Comme le souligne Olivier dans son article vers un développement informatique plus vert, ce n’est pas parce que ces technologies existent qu’on les utilise, qui plus est à bon escient.

D’un point de vue développement (dans notre cas, bas niveau), si ces objectifs de consommation/d’utilisation des modes « veille » des processeurs ne sont pas intégrées très tôt dans le projet, il devient très difficile et donc coûteux de le faire à posteriori. Par exemple, la gestion de la consommation sur les processeurs IBM est pilotée par un microcontrôleur (extérieur au processeur) qui rassemble en temps réel les données nécessaires au calcul du couple tension/vitesse d’horloge optimal. Il est difficile d’imaginer une solution de gestion implémentée à posteriori qui soit réellement efficace.

Le souci de cette course à la réduction à la consommation en veille est qu’elle est parfois devenue un cheval de bataille marketing pour les fondeurs, qui peuvent « faire passer » une augmentation ou une stabilité des consommations en mode normal avec une réduction de la consommation en mode veille. Par ailleurs, les « réductions » de consommation en mode normal sont bien souvent des consommations identiques (voire supérieures), mais à puissance de calcul supérieure. C’est déjà bien me direz-vous, et je suis d’accord.

On perçoit cependant un vrai fossé technologique, également lié aux bonnes pratiques de développement (de l’assembleur au langage haut niveau) qui nous empêche encore de faire mieux avec moins. Ceci dit, une harmonisation verticale (matériel/logiciel/utilisation, telle que le propose par exemple la société meta-it) est pour moi une des clés de cette véritable décroissance de la consommation électrique.REF.: