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vendredi 4 novembre 2011

Un Cell Android défectueux coûterait à l'opérateur coûte en moyenne 125 $livres en frais

Aux opérateurs - Le système Android coûterait des milliards
 
©Reuters

Installer d'anciennes versions d'Android, le système d'exploitation de Google, sur des téléphones bon marché pourrait coûter jusqu'à deux milliards de dollars en frais de réparations aux opérateurs télécoms, montre une étude de WDS, un spécialiste des produits et services sans fil. Les pannes de matériel onéreuses sont plus fréquentes sur les combinés équipés d'Android que sur les iPhone d'Apple et les BlackBerry de Research In Motion, qui exercent un strict contrôle sur les composants de leurs téléphones, explique l'étude.
Les combinés équipés d'Android, moins chers à fabriquer, ont permis au logiciel de Google de devenir la première plate-forme pour les smartphones, attirant des dizaines de fabricants allant de Samsung Electronics aux vendeurs asiatiques spécialisés dans les « marques blanches ».
« Alors que ce prix paraît très attractif, lorsque vous regardez ce que coûte, au total, la possession de l'appareil, c'est une autre histoire », a expliqué Tim Deluca-Smith, vice-président du marketing chez WDS, qui propose notamment des services de centres d'appels aux opérateurs.
La part d'Android sur le marché des smartphones a atteint 57 % au troisième trimestre contre 25 % à la même période en 2010 et 3 % il y a deux ans, selon le cabinet de recherche Canalys qui souligne le succès des modèles de Samsung, HTC et Sony Ericsson.
Deluca-Smith estime que si Android a contribué à démocratiser les smartphones, son ascension a un coût, notamment quand les opérateurs télécoms proposent des appareils bon marché de marques peu connues.
Il estime que renvoyer un appareil défectueux à l'opérateur coûte en moyenne à ce dernier 125 $livres de services, de taxes de transports ou de remplacement.
L'étude s'appuie sur 600 000 appels passés aux centres WDS d'assistance technique en Europe, en Amérique du Nord, en Afrique du Sud et en Australie.

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iPhone: Garage Band: un studio huit pistes dans la poche

iOS - Garage Band: un studio huit pistes dans la poche
 
©Apple

Apple a sorti la nouvelle version de GarageBand, son application de musique, transformant ainsi iPhone et iPod en mini studios d'enregistrement. GarageBand était déjà disponible sur l'iPad, mais avec cette nouvelle version (1.1), l'application devient compatible avec l'iPod et l'iPhone. Elle s'étoffe de nouvelles fonctionnalités, notamment d'instruments intelligents capables de créer des accords personnalisés.
Il est possible de brancher un instrument (ou un micro) à l'iPad, l'iPhone ou l'iPod touch et d'enregistrer directement dans l'application, ou d'utiliser les instruments tactiles intégrés (claviers, guitares, batteries, basses).
Les musiciens iOS feraient bien de jeter un oeil à l'appli KORG iMS-20, qui émule le célèbre synthétiseur sur l'iPad, à l'instrument Reactable mobile ou encore à la boîte à rythmes iMaschine.
GarageBand 1.1 est disponible au prix de $4,99 sur l'App Store.

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L'Univers de Wilby: Un réseau social sécuritaire pour les enfants

Québécois - Un réseau social sécuritaire pour les enfants
Les cofondateurs de L'Univers de Wilby, David Banford (à gauche), Jimmy Bouchard et Réjean Gauthier. 
© Courtoisie

Trois québécois ont lancé jeudi L’Univers de Wilby, un réseau social destiné aux enfants entre 5 et 12 ans.
Les cofondateurs, David Banford, Jimmy Bouchard et Réjean Gauthier, sont tous trois pères de jeunes entre 5 et 10 ans. Concernés par l’aspect strictement récréatif de certains sites pour les enfants, ils ont décidé de développer un réseau social à la hauteur de leurs attentes de papas.
«On a pensé le portail en se mettant dans la peau des parents» a précisé l’un des fondateurs, David Banford lors d’un entretien téléphonique.
Les jeux éducatifs sont à l’honneur dans ce réseau social actuellement en version bêta. Les jeunes peuvent jouer en réseau avec leurs amis, gagner des points et des trophées. De plus, on demande le nom de leur école à l’inscription pour permettre des les jumeler avec d’autres enfants du même établissement scolaire.
L’Univers de Wilby se veut un espace où l’instruction et la pédagogie sont valorisées, dans une aire virtuelle où les jeunes peuvent s’amuser en apprenant, avec le souhait d’influencer positivement l’estime de soi des utilisateurs.
«Wilby permet de faire les premiers pas [sur internet] de la bonne façon», a mentionné David Banford qui n’hésite pas à affirmer que son réseau social pourrait s’apparenter à un Facebook québécois pour les moins de 13 ans, mais sans publicité.
Les trois québécois ont également fait de l’encadrement des jeunes sur Internet l’une de leurs priorités. Aucun adulte autre que le parent ne peut entrer en contact avec l’enfant dans L’Univers de Wilby et les parents reçoivent toutes les informations des actions posées par le jeune à l’intérieur du réseau social.
«Plusieurs supporteurs peuvent venir se greffer à la fiche de l’enfant, mais c’est toujours le parent qui contrôle», a ajouté M. Banford.
En parallèle du réseau social, une web série a aussi été lancée. On y retrouve Wilby, mais aussi le serpent Slicky, son confident. Une section du réseau social, ressemblant à un journal intime, permet à l’enfant de se confier à Slicky. C’est alors le parent qui reçoit les écrits et il est possible d’y répondre, sous l’identité du personnage.
«Cet outil favorise énormément la communication entre le parent et l’enfant», a expliqué avec fierté David Banford.

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jeudi 3 novembre 2011

Variante de Stuxnet: Le nouveau virus Duqu détecté dans huit pays

Symantec - Le nouveau virus Duqu détecté dans huit pays
 
© Agence QMI / Archives

PARIS - Le nouveau virus informatique «Duqu», que les spécialistes comparent à Stuxnet, auteur notamment d'attaques contre le programme nucléaire iranien, a été détecté dans huit pays dont la France, a indiqué jeudi la société de sécurité informatique Symantec.
«La menace Duqu prend de l’ampleur» et Symantec indique dans un communiqué avoir repéré le virus au sein d'entreprises ou d'administrations présentes «dans huit pays»: France, Pays-Bas, Suisse, Ukraine, Inde, Iran, Soudan et Vietnam.
«Duqu» -ainsi baptisé par le laboratoire de recherche qui l'a découvert en octobre car il génère des fichiers comportant le préfixe «DQ»- partage une bonne partie de son code source avec Stuxnet. Il représente une menace «quasiment similaire» mais a un but «complètement différent».
Étant un outil d'accès à distance qui ne s'auto-réplique pas, son but n'est pas de saboter directement un système de contrôle industriel mais plutôt de collecter des données auprès d'entités telles que des fabricants de systèmes de contrôle dans l'industrie, afin de lancer des attaques plus facilement contre des tierces parties, explique Symantec.
Outre sa présence constatée dans huit pays, Symantec fait état de «rapports non confirmés» sur une possible contamination par Duqu dans quatre autres pays, le Royaume-Uni, l'Autriche, la Hongrie et l'Indonésie.
«Duqu» peut profiter d'une faille de sécurité de Windows pour s'introduire dans un ordinateur en se cachant dans un document Word, le traitement de texte du géant américain des logiciels Microsoft, qui a indiqué jeudi qu'il travaillait sur un correctif.
Détecté en 2010, le virus Stuxnet avait infecté un logiciel Siemens de contrôle des automates industriels très utilisé dans les secteurs de l'eau, des plateformes pétrolières et des centrales électriques.


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Socialbots, les nouveaux ennemis de votre vie privée sur Facebook


Facebook a vraiment été largement critiqué depuis son lancement et après sa popularité en raison de problèmes pourraient survenir à l'égard de notre vie privée. Plusieurs bogues et failles de sécurité prises dans le passé que la sonnette d'alarme à ce sujet, et même aujourd'hui il ya des nombreuses options de configuration, il ya encore beaucoup de gens qui découvrent que leurs données sont exposées sur le réseau qui est le plus grand le temps social.
Le problème aujourd'hui n'est pas Facebook , ou du moins pas entièrement. Laissez-moi vous expliquer. Facebook nous fournit les options nécessaires et est suffisamment souple pour configurer un réseau dans lequel nous choisissons ce que de partager avec qui et comment nous le faisons, mais souvent beaucoup de gens sont perdus dans la mer de choix, et ce vraiment pourrait être plus intuitive du réseau social. Bien, si nous avons le compte configuré correctement ou non, il ya un nouveau danger qui a commencé à devenir populaires concernent: Le soi-disant Socialbots .
Ces applications sont conçues pour créer de faux profils ou de profils existants fait et puis essayez à imiter que sont les gens. L'objectif est clair: obtenir des données auprès des gens qu'ils ajoutent ou qui ont déjà été ajoutées. Le contrôle est pratiquement identique à celui d'une personne, d'où la difficulté de les détecter: poster des messages, faire des demandes d'amis et, finalement, d'interagir en tant que membre du réseau social. Ce qui est vraiment inquiétant, c'est que traite de plus en plus Socialbots par les créateurs et les distributeurs essaient de vendre à des entreprises, bien évidemment, afin que ces fins de recueillir des données personnelles très proche de spams .
Un groupe de chercheurs de l'Université de Columbia a mené une étude qui a été critiqué par ses propres Facebook et rejeté comme irréaliste dans cette base de 102 socialbots ont eu accès aux données de 3055 personnes sur un total de 8570 demandes de l'amitié.
Le pourcentage est impressionnant, comme vous pouvez le voir, et dans la plupart des cas, ces robots ont un accès complet aux données pour au moins les premières minutes, assez pour extraire toutes les informations et les données personnelles de la même. Et non seulement cela, mais à travers le réseau des contacts ont été pris avec un total de 46 500 et 14 500 adresses e-mail.
Alors vous savez, à deux reprises avant d'ajouter pensároslo à un inconnu sur Facebook, surtout depuis qu'il ya derrière le bot ne peut pas être aussi bon que les fins de cette étude.

dimanche 30 octobre 2011

un livre intitulé: De colère et d’espoir.

MONTRÉAL - Françoise David, présidente de Québec solidaire, a quitté la vie publique durant six mois en laissant les clés du parti à Amir Khadir. Au terme de cette pause politique, elle a lancé jeudi un livre intitulé De colère et d’espoir.
Dans ce journal de bord politique qui paraît aux Éditions Écosociété, elle décrit une société de plus en plus inégalitaire et fait part de son plan d’action. Entrevue avec une grande «indignée».
-Vous publiez ce carnet à un moment particulier où beaucoup de gens partagent votre indignation.
-J’ai commencé à écrire au mois d’avril alors que le printemps arabe faisait les manchettes. Ça m’a impressionné de voir des gens qui sont prêts à se battre jusqu’à la mort pour la liberté, la dignité et la justice. Puis il y a eu les manifestations monstres en Grèce et en Espagne et Occupy Wall Street, qui a fait boule de neige jusqu’à Montréal au square Victoria. Il y a un feu qui couve.
-Comment expliquez-vous que ce soit François Legault qui bénéficie en grande partie de ce désir de changement?
-Il bénéficie depuis un an d’une popularité certaine. Les Québécois sont inquiets. La crise économique n’est pas terminée et le Québec peut en subir les contrecoups à tout moment. Est-ce que plusieurs Québécois demandent à être rassurés? Est-ce que M. Legault rassure? C’est possible.
-Serait-ce parce que la droite incarne le changement et que la gauche a la réputation de défendre des acquis?
-La droite offre des solutions simples à des problèmes complexes. Le système de santé connaît des ratés? Il faut le privatiser. Mais est-ce vraiment le moyen de résoudre le problème? Bien sûr que non. On vient d’apprendre que le transfert des ingénieurs du ministère des Transports vers le privé est une des causes de la corruption dans le domaine de la construction. Mais on nous sert encore et encore cette vieille recette avec toujours plus de privé. Reprenons l’exemple de la santé. Tout ce qu’ajoute le privé, c’est un meilleur accès à certains pendant que d’autres attendent.
II n’y a pas de recette magique, mais une série de solutions. Les gens tombent malades parce qu’ils sont pauvres et que leur environnement est pourri. Si on agit là, ça va coûter moins cher. Il faut aussi déléguer aux infirmières beaucoup d’actes médicaux que seuls les médecins peuvent faire en ce moment.

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