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jeudi 3 juin 2010

Arnaque : baptisée «scareware»

Inculpés pour fraude informatique de 100M$



Logiciels frauduleux - Inculpés pour fraude informatique de 100M$
Trois hommes sont accusés d'une escroquerie informatique de type «scareware», qui a coûté quelque 60 millions à ses victimes.

Trois hommes ont été inculpés aux États-Unis pour leur rôle dans une escroquerie qui a coûté à ses victimes quelque 100 millions de dollars en leur faisant croire que leurs ordinateurs étaient victimes d'un virus, a annoncé jeudi le ministère américain de la Justice.

Des internautes d'une soixantaine de pays ont acheté plus d'un million de logiciels frauduleux auprès des trois accusés, deux Américains et un Suédois, selon le communiqué du ministère.
Bjorn Daniel Sundin, 31 ans, un Suédois apparemment domicilié en Suède, et Shaileshkumar Jain, 40 ans, un Américain résidant en Ukraine, doivent répondre chacun de plus d'une vingtaine de chefs d'inculpation, dont fraude en réseau et complot en vue de commettre une fraude sur internet. Chaque chef d'inculpation est passible de 20 ans de prison maximum.
James Reno, 26 ans, habitant dans l'Ohio (nord des États-Unis), a également été inculpé de fraude en réseau et complot pour commettre une fraude informatique, et devrait comparaître devant un tribunal de Chicago.
Sundin et Jain étaient les propriétaires et gérants d'une entreprise basée à Kiev, qui proposait à la vente des antivirus et des logiciels de réparation d'ordinateurs.
Ils sont accusés d'avoir placé des publicités mensongères sur des sites internet légitimes, faisant croire aux internautes que leurs ordinateurs étaient infectés par des virus ou fonctionnaient mal. Les utilisateurs d'Internet étaient ensuite incités à acheter des logiciels baptisés «ErrorSafe» ou «DriveCleaner» pour résoudre ces problèmes, en payant en ligne par carte de crédit. L'argent atterrissait sur des comptes en banque en Europe appartenant aux trois accusés.
Ce type de fraude, baptisée «scareware», connaît une croissance rapide sur Internet, où elle est une des escroqueries les plus courantes.


REF.:

Mass Effect sera adapté au cinéma





Le jeu vidéo Mass Effect, développé conjointement par les studios Electronic Arts et Bioware, fera l'objet d'une adaptation au cinéma. Legendary Pictures produira le film, qui signe le retour au cinéma du space opera.

Le blogue américainHeatvision.comrévèle que la version cinématographique du jeu Mass Effectsera produite par des anciens des studios Marvel, Avi et Ari Arad, en collaboration avec Thomas Thull et Jon Jashni pour Legendary Pictures. Warner Bros. se chargera de la distribution internationale.

Le scénariste Mark Protosevich (Je suis une légende, Thor) planche déjà sur le scénario de ce qui devrait être une fresque épique de science-fiction.

Sorti en 2008, Mass Effect relate les aventures du capitaine du vaisseau SSV Normandy et de son équipage qui parcourent la galaxie afin de percer le mystère d'une race extraterrestre éteinte. Le jeu frappe par la richesse de son scénario et de sa galerie de personnages. Si bien que les sites spécialisés vont jusqu'à comparer le jeu à des space operas comme Dune de Frank Herbert ou Hyperionde Dan Simmons.

Un 2ème épisode de Mass Effect est sorti au mois de janvier 2010 et un 3ème est en préparation.

Heatvision.com explique que jusqu'à présent les films de science-fiction devaient se passer sur Terre avec des personnages humains, ce qui est plus facile à tourner et surtout plus simple à comprendre pour un public non initié. Mass Effect, le film, profite du succès d'Avatar de James Cameron, qui a prouvé aux producteurs que les spectateurs pouvaient s'identifier à des personnages non humains.



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Canada: Dépôt du projet de loi sur les droits d'auteur



Ottawa - Dépôt du projet de loi sur les droits d'auteur
Le ministre de l'Industrie, Tony Clement, et le ministre du Patrimoine canadien et des Langues officielles, James Moore, tiennent un point de presse après l'introduction d'un projet de loi visant à moderniser la Loi sur le droit d'auteur.
© QMI

OTTAWA - Ottawa a déposé un nouveau projet de loi mercredi qui favorise les titulaires de droits d’auteur.

D’une part, une nouvelle réglementation vise à prévenir l’accès illégal à des œuvres protégées par des serrures numériques et d’autre part, elle interdit la vente, la fabrication et l’importation de dispositifs à cette fin.

Ceux qui feront illégalement des copies de musique pour leur usage personnel pourraient écoper d’amendes variant entre 100 $ et 5000 $.

Selon les mesures proposées, les consommateurs pourront toujours enregistrer leurs émissions préférées de télé, de radio ou celles diffusées sur le Web sans égard à l’appareil ou au support utilisé. Sauf pour les émissions sur demande, ils pourront, à des fins personnelles, copier toute œuvre musicale, cinématographique ou autre sur l’appareil de leur choix pourvu que ces œuvres ne soient pas protégées par une serrure numérique. Donc, aucune interdiction pour les baladeurs numériques MP3.

Selon le ministre de l’Industrie, Tony Clement, ces nouvelles mesures législatives sont conformes aux dispositions des traités Internet de l’Organisation mondiale de la propriété intellectuelle.

Le nouveau projet de loi permettra de protéger la propriété intellectuelle des créateurs et des commerces tout en protégeant des milliers d’emplois existants et en attirant des investissements étrangers.

«La place du Canada dans l’économie numérique est en jeu», a déclaré M. Clement.

Les consommateurs pourront toujours enregistrer leurs émissions préférées de télé, de radio ou celles diffusées sur le Web sans égard à l’appareil ou au support utilisé. Sauf pour les émissions sur demande, ils pourront, à des fins personnelles, copier toute œuvre musicale, cinématographique ou autre sur l’appareil de leur choix pourvu que ces œuvres ne soient pas protégées par une serrure numérique. Donc, aucune interdiction pour les baladeurs numériques MP3.

Les gens pourront produire des mixages en intégrant des œuvres protégées par le droit d’auteur à la création de nouvelles œuvres, on pense ici aux vidéos diffusées sur YouTube, pourvu que ce soit à des fins non commerciales, que les œuvres aient été légitimement acquises et que les nouvelles œuvres ne soient pas un substitut aux œuvres originales ou qu’elles aient des répercussions négatives sur la valeur marchande des œuvres originales.

Autre nouveauté : ce projet de loi prévoit de nouvelles mesures pour « enrichir les activités pédagogiques » en salle de classe à condition bien sûr, que l’usage des œuvres protégées ne porte pas atteinte aux intérêts des titulaires de droits d’auteur.

Ainsi, les enseignants et les élèves pourront utiliser des œuvres protégées dans le cadre de leçons diffusées sur Internet pourvu qu’ils respectent certaines conditions.

Enfin, le projet de loi oblige les fournisseurs de services Internet à faire suivre les avis de violation de droits d’auteur aux abonnés et de conserver un dossier de tous les renseignements pertinents, l’identité de l’abonné, par exemple, faute de quoi, ils s’exposent à des poursuites en dommages-intérêts.

À première vue, les nouvelles mesures plaisent à la Canadian Film and Television Production Association.

Au Bloc québécois, favoriser la diffusion d’œuvres sur toutes les tribunes possibles, mais veut s’assurer que les créateurs soient bien indemnisés, a soutenu la députée bloquiste Carole Lavallée.

Elle souhaite que tout geste de piratage soit puni et qu’un abonné soit «débranché» totalement ou en partie à la suite de deux avis d’infraction.

Selon l’expert en droit d’auteur, Michael Geist, les dispositions sur les serrures numériques sont problématiques, car cela «éclipse les droits existants», a-t-il indiqué.

Selon lui, les mesures proposées encourageront d’autres secteurs à poser des serrures numériques sur leurs produits.



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Un module caméra 3D HD pour appareils mobiles


Sharp - Un module caméra 3D HD pour appareils mobiles
Le module de caméra 3D HD pour appareils mobiles conçu par Sharp comprend les fonctions de synchronisation spatiale, temporelle, colorimétrique et lumineuse requises pour que l'image en trois dimensions puisse être reconstituée de façon cohérente.

Le groupe d'électronique japonais Sharp a annoncé la réalisation d'un module caméra, pour téléphones portables et autres appareils nomades, capable de saisir des images vidéo en trois dimensions (3D) et haute définition, une nouveauté qui s'inscrit dans la vague 3D actuelle.

Selon Sharp, ce composant est le premier de ce type (3D, haute définition) destiné aux appareils de poche.

Le module en question est une barre de quelques centimètres aux extrémités de laquelle se trouvent deux capteurs optiques.

Les images sont saisies par le module et traitées pour créer la sensation de relief à la restitution.

Ce module comprend les fonctions de synchronisation spatiale, temporelle, colorimétrique et lumineuse requises pour que l'image en trois dimensions puisse être reconstituée de façon cohérente.

Sharp va proposer les premiers exemplaires de ce module aux industriels du secteur de l'électronique à partir du mois de juillet. Il sera produit en masse dans l'année, mais à une date encore non divulguée.

Il existe par ailleurs déjà au Japon un appareil photo numérique à prise de vue (vidéo et photo) en trois dimensions commercialisé par Fujitsu.

Le monde de l'image s'agite actuellement autour des technologies d'affichage en trois dimensions, du fait de la sortie de films exploitant cet effet ainsi que de la commercialisation récente de téléviseurs capables de restituer les images en relief, à condition de les regarder à travers des lunettes spéciales.

Des consoles de jeux vidéo portables et téléphones mobiles munis d'écran à restitution tridimensionnelle seront proposés dans les prochains mois. Ils ne nécessiteront quant à eux pas de lunettes.

Sharp estime que tous les téléphones mobiles sont voués à être un jour équipés de ce type d'écran 3D, tout comme ils sont passés à la couleur.



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