Powered By Blogger

Rechercher sur ce blogue

Aucun message portant le libellé achat en ligne. Afficher tous les messages
Aucun message portant le libellé achat en ligne. Afficher tous les messages

mercredi 10 février 2021

Poste Canada,Toujours des délais de livraison ? Toujours dernier .....

 

 Poste Canada,Toujours des délais de livraison ? Toujours dernier .....

L'histoire se répète !!!

Peut importe le vendeurs : BestBuy,Bureau en Gros, etc... Toujours le même résultat !

Le tracking et les communications par SMS ,en retard !

Un exemple parmis tant d'autres ;-)







 



Le vendeur ne peut que nous retourner au site de tracking lol ;-(

REF.:

jeudi 22 juin 2017

Google piste vos achats hors ligne avec les cartes bleues



Google a développé un système et noué des partenariats afin de savoir si la publicité en ligne provoque un achat en magasin. Pour cela, l'entreprise américaine exploite certaines données de cartes bancaires. Un dispositif qui soulève des interrogations.
Ce n’est un mystère pour personne, Google vit quasi-exclusivement de la publicité. Le reste de la structure du chiffre d’affaires (à peine 12 %) de sa maison-mère, Alphabet, provient des revenus liés à Google Play, à Android, à certains smartphones ainsi qu’à quelques paris qui essaient de transformer des investissements en projets rentables, qu’il s’agisse de Calico, Verily, Nest ou encore Waymo.
Et grâce à la publicité, Google va très bien. « Nos excellents résultats représentent un incroyable départ pour 2017, avec un chiffre d’affaires en hausse de 22 % par rapport au premier trimestre de 2016 et 24 % en devises constantes », commentait le groupe ce printemps, avec un revenu ayant atteint 24,75 milliards de dollars rien que pour le premier trimestre.
Il faut dire que Google a trouvé un modèle économique très lucratif : le marchandage des données personnelles. Ses services sont gratuits sur Internet parce qu’il se rémunère (il n’est pas le seul) via les informations que les visiteurs laissent sans y prendre garde — les conditions générales d’utilisation lors de l’inscription annoncent pourtant la couleur, mais personne ne les lit vraiment.
Le groupe américain, qui engrange déjà des dizaines de milliards de dollars avec son dispositif tentaculaire, entend aller encore plus loin aujourd’hui. Dans un article publié sur Inside AdWords, la firme de Mountain View détaille son idée : il s’agit de savoir dans quelle mesure une publicité affichée sur le net auprès d’un internaute se traduit par un acte d’achat dans une boutique ayant pignon sur rue.
Lier la publicité en ligne avec les achats dans les magasins
On le devine, le dispositif de Google mêle tout à la fois la publicité affichée en ligne, les données personnelles des internautes, leur pistage sur le web ainsi que certaines informations auxquelles des tiers ont accès lorsque des achats par carte bancaire sont effectués. Tout ceci est croisé dans un mécanisme opaque mais dont la compagnie assure qu’elle respecte la vie privée des usagers.
Selon le Washington Post, « les cadres de Google disent qu’ils emploient des formules mathématiques complexes et en cours de brevetage pour protéger la vie privée des utilisateurs lorsqu’ils trouvent une correspondance entre un utilisateur Google et un consommateur qui vient de faire un achat dans une boutique physique ».

« Les formules mathématiques convertissent les noms des particuliers et d’autres données d’achat, incluant l’horodatage, la géolocalisation et le montant de l’achat, en des chaînes de nombres anonymes », continue le journal. « Les formules empêchent Google de savoir l’identité des clients et pour les commerçants qu’ils font face à des utilisateurs Google », est-il encore indiqué.
Le quotidien indique que ce dispositif est un processus de chiffrement en double aveugle.  Google ne sait pas quels sont les produits qui ont été achetés, mais simplement que des correspondances ont pu être faites. Les partenaires tiers de Google peuvent suivre près de 70 % des transactions par carte bancaire aux USA. En clair, il y a plus de deux chances sur trois d’être repéré.
Grâce à ce dispositif, Google peut obtenir des informations autrement plus précises que la simple géolocalisation d’un utilisateur entrant dans une boutique. En effet, cette donnée ne permet pas de dire si un achat a été fait ou non — on peut très bien entrer à l’intérieur d’un magasin sans rien dépenser –, alors qu’une information sur une transaction bancaire est autrement plus précieuse.

Vendre plus de publicités, mais à quel prix ?

Avec cette indication, Google est susceptible de vendre davantage de publicités, à des prix éventuellement différents. Pour les commerçants, savoir le rapport entre une campagne de pub et l’acte d’achat est aussi très intéressant, car elle permet de définir une politique d’annonce : faut-il acheter davantage d’espaces publicitaires ? À quel moment ? Pour quel public ? Combien de temps ?
Reste la question de la sécurité et de la confidentialité de ce nouveau dispositif, qui a de quoi légitimement inquiéter.
Si Google dit avoir pris des tas de mesures pour rendre anonyme la correspondance entre un client et un usager Google, un processus dont l’irréversibilité reste à prouver, il s’avère qu’il peut être assez facile de retrouver l’identité d’une personne à partir de données de carte bancaire, selon des travaux effectués au MIT. Et l’on ne parle évidemment pas du risque, incertain mais dont il faut tenir compte, du risque de piratage.

REF.:

mercredi 13 août 2014

10 choses a ne pas faire en achetant en ligne

10 commandements pour ne pas se faire avoir en achetant en ligne


Quand vient le temps d’entrer votre numéro de carte de crédit sur Internet, vous avez des sueurs froides, vous hésitez ou vous ne le faites carrément pas?
Pourtant, ce mode d’achat est super sécuritaire… à condition de bien connaître les 10 conseils pour ne pas se faire avoir en ligne.
Beaucoup de gens se posent des questions sur le commerce en ligne… voici 10 réponses que je vous présente sous forme de 10 commandements de François pour magasiner sur le Web de façon sécuritaire et intelligente!

L'ultime conseil

Avant les 10 commandements... LE conseil ultime! Ne faites jamais de transaction via un ordinateur qui pourrait être infecté d'un virus, ou un ordinateur public.
Vous pourriez avoir attrapé un mouchard, un capteur de touche ou autre merde qui retransmet à vous-ne-savez-qui ce que vous tapez sur votre clavier.
Une bonne suite de protection et d'antivirus est la seule clé pour vous protéger.
Pensez-y deux fois aussi avant de faire une transaction dans un ordinateur de café Internet ou public. Vous ne savez pas s'il est bien entretenu ou pire, si quelqu'un y a introduit un logiciel d'enregistrement de ce que vous écrivez.
Lire la chronique sur nos choix de protection antivirus

#10: HTTPS

Pour faire une transaction sur le Web, il faut la faire sur un site offrant une connexion sécurisée (en https et non en http). Le «S» est hyper important, c'est un signal de sécurité.
Assurez vous d'avoir un navigateur sécurisé à chiffrement 128 bits. Pour parler en français, visitez les sites de votre navigateur (Explorer, Mozilla, Chrome) pour valider qu'il soit de version récente, si ce n'est pas le cas... allez-y d'une mise à jour, c'est gratuit.
Il est normal qu'en entrant sur un site sécurisé que l'adresse soit HTTP. Ce n'est qu'après avoir entré votre mot de passe ou dans l'écran où vous devez entrer vos informations personnelles (carte de crédit, etc.) que l'adresse doit afficher le fameux HTTPS.

#9: Retours et reboursements

Attardez-vous à la politique de retour et de remboursement du site. Si l'article est défectueux ou brisé à son arrivée, pourrez-vous l'échanger? Comment vous faire rembourser un achat? Devez-vous réexpédier le colis à vos frais?
Parfois, il faut obligatoirement se rendre en magasin pour remettre la marchandise au commerçant sans frais et recevoir un remboursement.
C'est toujours bon de savoir ces «détails» à l'avance!

#8: Lisez!

Sortez vos lunettes et lisez les petits caractères!
Vous ne les lisez jamais, sur un contrat régulier... et encore moins sur le Web. Vous cherchez le bouton «next» et ne lisez pas une seule ligne du texte légal de la transaction.
N'allez pas penser que vous pourrez pleurer devant le juge en disant «je ne le savais pas», car ce sera de votre faute!
Lisez les conditions d'échange et de remboursement avant d'acheter. Vous vous éviterez des mauvaises surprises s'il y a un pépin avec votre article.

#7: Vive le papier!

Imprimez vos transactions ou créez un fichier de chaque transaction. Vous aurez le numéro de l'achat, l'heure et la date. Cela pourrait vous aider dans le cas d'une confrontation avec une compagnie, même non frauduleuse, car on pourra remonter dans le système pour la retrouver.
Et devant un juge, le papier a encore beaucoup plus de valeur qu'un «je vous le jure votre honneur».

#6: Les frais de livraison

Lisez bien pour savoir combien on vous facturera pour la livraison et gardez en tête que si c'est aux États-Unis, c'est en dollars américains et si ce n'est pas loin de chez vous, vous pourriez passer chercher votre colis pour éviter les frais.
Les bons sites vous offrent différents forfaits (rapide = plus cher et délai plus long = moins cher). Que ce soit acheté ici ou ailleurs dans une autre ville, province ou pays, il faut bien lire sur les frais de livraison.
Les quelques dollars de rabais sur le site Web pourraient bien s'envoler en frais de livraison. Conseil: LISEZ!

#5: La douane

C'est bien beau payer moins cher un produit acheté ailleurs, mais en plus de bien devoir valider le taux de change de notre monnaie, il faut regarder du coté des frais de douane.
Pour un produit acheté chez l'oncle Sam, si le produit est manufacturé aux États-Unis, vous ne paierez que la TPS et la TVQ. Pour le autres pays, il faut se renseigner sur le taux de douane en communiquant avec le 1-800-959-2036. Cela semble tellement complexe que je leur ai demandé si on avait une grille de coûts sur le Web et on m'a répondu que non... c'est trop compliqué, c'est cas par cas, par produit et par pays!
Donc, avant d'acheter, renseignez-vous!

#4: Encore la douane...

Douane peut égaler frais de dédouanement. En plus de jeter un coup d'œil sur les frais de douane et les frais de livraison, il faut savoir comment le dédouanement d'un bien fonctionne.
Plusieurs grandes entreprises de livraison offrent gratuitement la paperasse pour faire passer votre bien à la frontière canadienne. Attention... cela va en fonction du type de livraison (forfait de base ou forfait de luxe!). Dans un cas c'est gratuit et dans l'autre... payer pour avoir voulu économiser!
Ces frais peuvent représenter quelques dizaines de dollars... selon la valeur du bien importé.

#3: Achetez local!

En plus d'économiser en frais de douane et de livraison (c'est moins loin donc moins cher), vous pourrez débarquer chez le commerçant si jamais un problème arrivait.
Pas évident d'aller chialer dans le bureau de la compagnie qui vous a berné au Texas, mais beaucoup plus facile de chialer dans le bureau à quelques kilomètres de chez vous!

#2: Lisez encore

Lisez les politiques de confidentialité du site sur lequel vous donnez des infos personnelles lors d'une transaction.
Plusieurs sites vont vendre vos infos, les partager avec des partenaires et vous recevrez alors des tonnes de courriels non désirés. Remarquez que le meilleur moyen de prévenir est de regarder sur le site s'il est reconnu par les grandes agences de sécurité Web. Ces sites doivent garantir le respect des infos personnelles de leurs clients.

#1: Votre carte de crédit

Demander à votre compagnie une carte de crédit avec une toute petite limite que vous utiliserez seulement pour vos achats en ligne.
En cas de fraude, elle sera réduite et cela simplifiera tout avec votre compagnie de carte.
Remarquez que les règlements sont du côté du consommateur et à moins d'avoir fait preuve de grande négligence, vous ne devriez pas sortir trop perdant en cas de mésaventure.
La meilleure chose à faire est de demander à votre institution financière quelle est leur politique sur les achats Internet et de magasiner une autre carte si cela ne vous convient pas.
Aussi, certains sites vont proposer d'enregistrer votre numéro de carte de crédit pour vous faire économiser du temps lors de votre prochain achat. Il est préférable de ne pas utiliser cette fonction: si votre profil ou le site est victime de piratage, vos informations bancaires ne seront pas touchées.


Source.:

jeudi 7 août 2014

E-commerce et monétisation : Un avis en ligne sur deux est manipulé et il est dur de lutter



La moitié des avis en ligne sont, au mieux, biaisés et dans le pire des cas, créés de toutes pièces. Autre problème : la norme et les techniques pour endiguer ce phénomène « qui explose » sont peu efficaces.


Avis en ligne
Lorsqu'ils achètent en ligne, deux internautes sur trois font confiance aux avis des consommateurs laissés sur la fiche produit, rapportait Nielsen l'an dernier. Or, une enquête de la Répression des fraudes (DGCCRF) conduite en France auprès de 139 établissements depuis 2010 a rapporté que près de la moitié des avis (44,4%) sont biaisés. Un chiffre en constante inflation.

« Ce phénomène explose de façon exponentielle alors, devant l'étendue des dégâts, nous avons voulu faire un état des lieux », nous explique la DGCCRF, qui a formé une équipe de cyber-enquêteurs à plein temps sur ce sujet voilà quatre ans. Leur objectif est de débusquer les contrevenants au code de la consommation. En quatre ans, 17 avertissements et 23 procès-verbaux ont été dressés. Explications sur cette pratique.

Les méthodes de triche


  • La modération biaisée

Il existe plusieurs manières de faire reluire son e-reputation et celle de ses produits. Une pratique répandue identifiée par la DGCCRF est « la suppression de tout ou partie des avis de consommateurs négatifs au profit des avis positifs ». C'est ainsi que la société eKomi propose aux e-commerçants une « protection contre la diffusion d'évaluations négatives ou injustifiées » car « il est important de jouir d'une bonne réputation ».


Ekomi


Au-delà des produits et de leurs commentaires, les boutiques en ligne elles-mêmes sont évaluées par les internautes. Il existe plusieurs services de ce genre, comme FIA-NET. Il suffit de se rendre sur ce site pour vite constater que tous les services référencés brillent par un « indice de satisfaction » compris entre 9 et 10/10... Présent sur un site de vente, cet indice peut rassurer le consommateur. « En fait, lorsque des sites marchands contactent FIA-NET, on leur garantit une note supérieure à 9/10 », explique un observateur. A cela, l'intéressé répond tout simplement rompre le contrat lorsque une note descend sous un certain palier.

  • Le traitement différencié

Les avis négatifs peuvent être publiés, mais en suivant un processus qui finira par diminuer leur visibilité. La DGCCRF note que « des gestionnaires traitent les avis avec des délais différents selon qu'ils sont positifs ou négatifs : publication rapide des premiers ; publication différée des seconds. Cette pratique aboutit à une présentation trompeuse puisqu'elle fait apparaître une majorité d'avis positifs parmi les avis récents ».

Ces intermédiaires ont pour habitude de traiter chaque avis négatif comme un litige entre le consommateur et le marchand et, de ce fait, de leur réserver une médiation. Et lorsqu'elle aboutit, le message négatif n'est pas publié... Mais l'internaute ne saura jamais que certaines transactions ont donné lieu à des médiations.

D'après une étude menée par Orange Labs et Médiamétrie à la fin 2013, les avis négatifs dissuaderaient jusqu'à 93% des internautes d'acheter un bien ou un service. Si ce chiffre à lui-seul permet de comprendre pourquoi certains e-marchands censurent la mauvaise critique, Tom Brami, fondateur d'Avis-Vérifiés, estime au contraire que « publier les avis négatifs est la meilleure stratégie, car être transparent, c'est rassurant ».

  • Les faux avis

C'est la forme la plus extrême de manipulation de son e-réputation. Ces messages peuvent être rédigés par exemple par les équipes du service clients de l'e-marchand, ou confiés à des prestataires spécialisés, souvent installés à Madagascar ou à l'Île Maurice, ce qui est le cas de Rosemees. Melissa Bac, coordinatrice du développement des affaires dans cette société au millier de salariés, nous explique être capable de « mettre à disposition rapidement une équipe pouvant assurer une moyenne d'au moins 10 000 mots par jour ».

Au cours actuel, ce volume reviendra à 210 euros. Pour ce prix, l'e-marchand bénéficiera de « la correction, l'adaptation, la modération, le contrôle linguistique ainsi que tous les droits d'auteurs des textes ». Quand on demande à Rosemees si ses rédacteurs peuvent produire des fautes d'orthographe volontaires, car tous les consommateurs ne sont pas des disciples de Bernard Pivot, la société répond « éventuellement oui ».


Rosemees


Pour rédiger ces messages bidons, Rosemees explique qu'ils sont « basés sur une logique, une recherche et sur les expériences d'utilisateurs ». « L'idée même de la création d'avis est d'inviter des vrais utilisateurs et internautes à participer aux débats », poursuit la société, proposant aussi la rédaction de faux reportages.

Peut-on éviter la manipulation ?


  • La norme NF Service - Avis en ligne

Depuis un an, les e-commerçants ont la possibilité de faire certifier leur site par la norme NF Service - Avis en ligne. Adressé également aux « tiers de confiance », comme Trusted Shops ou Trustpilot, ce label ne peut être délivré que par Afnor Certification, un organisme lui-même validé par le Comité français d'accréditation. Cette norme permet entre autres d'encadrer les règles de collecte, de modération et de publication des avis en ligne et garantit la transparence, le sérieux et la fiabilité des méthodes employées par le site marchand.

Pour prétendre à son obtention, l'e-commerçant doit déposer un dossier de candidature qui déclenchera un audit de son site Internet mais aussi de ses locaux. « Une fois le label obtenu, il ne l'est pas une fois pour toutes. Le contrôle est à renouveler tous les ans et coûte de 3 000 à 5 000 euros », nous explique Benoît Phuez, chef de produit chez Afnor Certification. Avantage : il s'agit d'un standard, évitant que chacun ait sa propre recette. D'ici trois ans, cette norme devrait rejoindre l'Organisation internationale de normalisation.

  • Contraignante, elle est peu suivie...

A ce jour, seulement dix entreprises ont réalisé la démarche pour obtenir le logo NF Service - Avis en ligne. Citons GDF Suez ou LDLC côté vendeur, et Bazaarvoice ou Avis-Vérifiés côté société de gestion de la réputation. Malgré un regain d'intérêt depuis la publication du rapport de la DGCCRF fin juillet et « des discussions avec de gros acteurs », Benoît Phuez concède que le succès « n'est pas au rendez-vous ».

« Se mettre en conformité est une phase qui peut prendre du temps pour les grands sites marchands », explique-t-il pour justifier le manque d'engouement envers cette norme. Doit-on lire entre les lignes que ces sites de vente ont une politique d'avis clients actuellement désastreuse ? Benoît Phuez répond « qu'on ne peut pas dire ça, mais il y a possiblement des avis biaisés ». Mais pour être certifié, il existe une autre voie.


Afnor


Au lieu de subir un audit d'Afnor, les e-commerçants peuvent s'auto-déclarer en conformité. Moyennant 63,20 euros, n'importe qui peut télécharger le document PDF de 30 pages de la norme NF Z74-501, contenant les bonnes pratiques, et affirmer les respecter. Dans l'enquête de la Répression des fraudes, plusieurs cas abusifs ont déjà été identifiés... Il s'agit là d'une pratique commerciale trompeuse selon l'article L121-1 du Code de la consommation. Encore faut-il que le contrevenant soit démasqué par un client ou la DGCCRF.

Celle-ci reconnaît d'ailleurs que la norme NF Service « est hyper contraignante pour les e-marchands », si bien qu'ils « sont dissuadés de l'afficher » car « si ils ne la respectent pas, on leur tombe dessus... ». La Répression des fraudes conçoit cependant que cette certification est encore jeune, le recul pas suffisant.

  • Des solutions techniques imparfaites

La première solution pourrait être, curieusement, de laisser faire. Selon une étude menée conjointement par Orange Labs et Médiamétrie en novembre 2013, 90% des internautes déclaraient avoir déjà vu de faux avis en ligne, mais sans pour autant que cela remette en question la crédibilité du site marchand ou des produits. Malgré cela, autant d'internautes disent consulter les avis avant d'acheter en ligne, car ils les jugent utiles.

Mais au nom de l'honnêteté intellectuelle, il serait peut-être plus sage de les éradiquer. Brahim Ben Helal, chargé des ventes pour la France chez Trustpilot passe en revue les différentes techniques mises en place par sa société pour « vérifier la véracité » des avis : « Validations de commande, vérifications via le support technique, outils de contrôle pour détecter des adresses IP similaires et les faux comptes Facebook, etc. »

Andreas Munzel, maître de conférences en marketing à l'IAE de Toulouse et spécialiste des avis d'internautes explique sur le site du CNRS que les travaux des linguistes autour du mensonge ont conduit à des méthodes pour identifier certaines caractéristiques propres aux faux avis. « A l'aide d'indicateurs comme le style ou le niveau de langage, la longueur du texte ou l'emploi de certains mots, les chercheurs disent pouvoir distinguer les faux avis des vrais avec 90 % de certitude » - ce qu'ils invitent à tester sur le site Web Review Skeptic.

Mais ces prouesses « restent à évaluer », tempère Andreas Munzel, conscient que les agences spécialisées dans les faux avis « savent adapter leur style de rédaction aux plus récentes avancées des systèmes de détection ». Pour lui, le développement d'un filtre de détection devient « extrêmement difficile et fragile ».

La dernière piste serait d'imposer aux internautes de s'identifier avec leur identité avant de pouvoir poster. En attendant, le jeu du chat et de la souris se poursuit et les clients ne peuvent s'en remettre qu'à leur flair.

Source.:

jeudi 17 juillet 2014

A quand le service client 3,0 ?

si la comparaison avec le web 3,0 est:


Le Web sémantique, ou toile sémantique1, est un mouvement collaboratif mené par le World Wide Web Consortium (W3C)2 qui favorise des méthodes communes pour échanger des données.
Le Web sémantique vise à aider l'émergence de nouvelles connaissances en s'appuyant sur les connaissances déjà présentes sur Internet. Pour y parvenir, le Web sémantique met en œuvre le Web des données qui consiste à lier et structurer l'information sur Internet pour accéder simplement à la connaissance qu'elle contient déjà3.
Selon le W3C, « le Web sémantique fournit un Modèle qui permet aux données d'être partagées et réutilisées entre plusieurs applications, entreprises et groupes d'utilisateurs »3.
REF.:



 Le Web 3.0 est à ce jour considéré comme « l’Internet des objets » ou « l’internet des choses ». Ce concept émerge depuis 2008.  Ce sont les objets au service des personnes qui communiquent avec des serveurs par l’intermédiaire de capteurs au travers de l’internet. Il y a donc relation entre l’univers physique et l’univers numérique. Par exemple, un réfrigérateur pourrait savoir qu’il manque de certains aliments, et avec l’autorisation de son propriétaire se connecter sur un site marchand, faire ses courses, commander, payer et organiser la réception des marchandises.

 Les caractéristiques du web 3.0 (selon wikipédia)La définition précise d’une application Web 3.0 est encore très débattue et à préciser. Toutefois une application Web 3.0 doit présenter certaines caractéristiques :Techniquement, c’est une solution web qui comprend des pages html connectées à une base de données relationnelle  (SQLServer, Oracle, MySQL… )Elle doit être indépendante de tout type de support,  de tout système d’exploitation, et de tout matériel (fabricant, marque, logiciel, ou de plugin)Elle doit être accessible, strictement en conformité avec le W3C, ce qui permet de rendre d’autres logiciels accessibles à l’aide de Microformat et ouverts aux bases de données diverses.

Les caractéristiques du web 3.0 (selon wikipédia)

La définition précise d’une application Web 3.0 est encore très débattue et à préciser. Toutefois une application Web 3.0 doit présenter certaines caractéristiques :
  • Techniquement, c’est une solution web qui comprend des pages html connectées à une base de données relationnelle  (SQLServer, Oracle, MySQL… )
  • Elle doit être indépendante de tout type de support,  de tout système d’exploitation, et de tout matériel (fabricant, marque, logiciel, ou de plugin)
  • Elle doit être accessible, strictement en conformité avec le W3C, ce qui permet de rendre d’autres logiciels accessibles à l’aide de Microformat et ouverts aux bases de données diverses.
- See more at: http://www.zeblogsante.com/web-3-0-definition/#sthash.DDYhUvbO.dpuf

 Pour paraphraser une citation connue :  « le web 3.0 en santé sera éthique ou ne sera pas ! ». Ceci nécessite une nécessaire mutation du web 2.0 au web 3.0.
REF.:


Donc,un service clientèle s'appuyant  sur un protecteur du citoyen , un organisme de protection du consommateur, un gouvernement neutre,ou un organisme neutre genre .org , open source, ou un wikipedia se basant sur ses membres scientifiques , le tout en ligne 24/7 ! Aussi,le client en service clientèle 3.0 devrait contacter les fournisseurs ou directement les fabriquants de notre produit, et non les vendeurs ! Car un vendeur = un menteur ! C'est pour ça que les nouveaux produits seront propre et de qualité , pour assurer une longévité et fiabilité du produit,sans détruire l'Homme.

Mais selon la philosophie d'Apple ,vaut mieux rembourser 1,00$ un mp3 défectueux ou acheté par erreur , que de faire une vague de 1 Million $ qui entachera votre réputation !
Et rien de sert a cacher ou occulter ou désinformer le client, vous serez toujours perdant !


Le Web 3.0 est à ce jour considéré comme « l’Internet des objets » ou « l’internet des choses ». Ce concept émerge depuis 2008.  Ce sont les objets au service des personnes qui communiquent avec des serveurs par l’intermédiaire de capteurs au travers de l’internet. Il y a donc relation entre l’univers physique et l’univers numérique. Par exemple, un réfrigérateur pourrait savoir qu’il manque de certains aliments, et avec l’autorisation de son propriétaire se connecter sur un site marchand, faire ses courses, commander, payer et organiser la réception des marchandises - See more at: http://www.zeblogsante.com/web-3-0-definition/#sthash.DDYhUvbO.dpuf
Le Web 3.0 est à ce jour considéré comme « l’Internet des objets » ou « l’internet des choses ». Ce concept émerge depuis 2008.  Ce sont les objets au service des personnes qui communiquent avec des serveurs par l’intermédiaire de capteurs au travers de l’internet. Il y a donc relation entre l’univers physique et l’univers numérique. Par exemple, un réfrigérateur pourrait savoir qu’il manque de certains aliments, et avec l’autorisation de son propriétaire se connecter sur un site marchand, faire ses courses, commander, payer et organiser la réception des marchandises - See more at: http://www.zeblogsante.com/web-3-0-definition/#sthash.DDYhUvbO.dpuf
Le Web 3.0 est à ce jour considéré comme « l’Internet des objets » ou « l’internet des choses ». Ce concept émerge depuis 2008.  Ce sont les objets au service des personnes qui communiquent avec des serveurs par l’intermédiaire de capteurs au travers de l’internet. Il y a donc relation entre l’univers physique et l’univers numérique. Par exemple, un réfrigérateur pourrait savoir qu’il manque de certains aliments, et avec l’autorisation de son propriétaire se connecter sur un site marchand, faire ses courses, commander, payer et organiser la réception des marchandises - See more at: http://www.zeblogsante.com/web-3-0-definition/#sthash.DDYhUvbO.dpuf

mardi 17 septembre 2013

Achat en ligne: Payer en 2 étapes,avec un mot de passe et un code

Paiement en ligne : trois banques françaises lancent Paylib

Business : La Banque postale, BNP Paribas et la Société générale s'associent pour une solution de paiement en ligne. Paylib, concurrent de Paypal, vise d'abord leurs 23 millions de clients, et sera accepté chez huit des principaux sites français d'e-commerce.

Payer avec un mot de passe et un code en fin de transaction son billet de train ou son hôtel sur Voyages-SNCF.com, ou un outil de bricolage chez Leroy-Merlin, c'est ce que proposent BNP Paribas, la Banque postale et la Société générale: les trois banques annoncent ce mardi le lancement de Paylib, "nouveau service de paiement en ligne simple et sécurisé, sur ordinateur, smartphone ou tablette".
Elles le présentent comme un moyen de paiement sur sites d'e-commerce sans avoir à saisir ses coordonnées bancaires, juste avec son e-mail et un mot de passe, plus un code secret pour valider le paiement à la fin de l'achat – soit un concurrent de Paypal, l'entreprise de paiement en ligne appartenant à eBay.
Lancement le 24 septembre 
Leur solution, qui s'adresse aux 23 millions de clients des trois banques, est gratuite pour les particuliers. Elle sera lancée le 24 septembre par chacune des trois entreprises, "via une application mobile dédiée ou intégrée dans l'application banque en ligne selon la banque".
Leur communiqué annonce que "8 des plus gros e-commerçants* en France ont accepté d'intégrer la solution sur leurs sites", ce qui selon les cas aura lieu de début octobre à la fin du premier trimestre 2014.
Paylib a vocation à s'ouvrir à d'autres banques, indiquent ses fondateurs: c'est "une solution multi-bancaire, ouverte et conçue pour être adoptée par d'autres établissements bancaires".
Conçu pour le smartphone "dès l'origine" 
Le système a pour lui l'avantage de la simplicité par rapport à l'achat en ligne standard – pas besoin de saisir les 16 chiffres de sa carte bancaire, la date d'expiration et les trois chiffres du cryptogramme au revers, ce qui est fastidieux, surtout en déplacement, sur son téléphone par exemple. Des services complémentaires sont annoncés.
Pour ses initiateurs, le système est "conçu pour le paiement par smartphone dès l'origine". Ils citent un sondage commandé à Ifop et réalisé en août 2013 (en ligne, auprès de 1.006 personnes): 85% des sondés déclarent procéder à des paiements sur Internet depuis leur ordinateur personnel souvent ou de temps en temps, mais seulement 24% depuis leur tablette et 14% depuis leur smartphone.
Côté sécurité, Paylib "c'est la seule solution garantissant que les données ne sortent pas de la banque", relève un de ses promoteurs cité par Le Monde. En attendant son ouverture le 24 septembre, Paylib a déjà sa publicité vidéo:


Avec Paylib, réglez vos achats sur Internet en... par LaBanquePostale
* Dont six précisés: Showroomprivé.com, Voyages-SNCF.com, Vente-Privée.com, La Poste, Price Minister-Rakuten et Leroy Merlin.


vendredi 9 novembre 2012

Enfin Archambault lance son site mobile


Numérique - Archambault lance son site mobile
Tous les produits du catalogue d'Archambault peuvent être magasinés directement sur les téléphones intelligents. 
Photo Archives / Agence QMI

MONTRÉAL - Poursuivant le déploiement de sa stratégie numérique, Archambault propose un nouveau site mobile pour les téléphones intelligents.
La plateforme adaptée pour les téléphones intelligents peut être visitée dès maintenant à l'adresse m.archambault.ca.
«Nos clients comptent de plus en plus sur leur téléphone mobile pour obtenir l'information dont ils ont besoin, a dit Donald Lizotte, président, secteur détail du Groupe Archambault. Il était donc normal pour nous de répondre à leurs attentes en permettant aux mordus de culture québécoise de vivre une expérience de magasinage personnalisée, qui s'inscrit dans le virage numérique qu'Archambault a entrepris.»
Tous les produits du catalogue d'Archambault peuvent donc être magasinés directement sur les téléphones intelligents, où les gens peuvent aussi écouter des extraits sonores de produits musicaux, y consulter les nouveautés et promotions.
Le site mobile d'Archambault est le plus récent outil s'inscrivant dans le virage technologique de l'entreprise, qui a lancé la plateforme de musique en continu Zik.ca et l'application mobile Mes livres, en plus de proposer pour téléchargement trois millions de MP3 - en français et en anglais - sur archambault.ca.


REF.:

lundi 26 mars 2012

NFC: Le paiement par mobile est-il sécuritaire?

Technologie NFC - Le paiement par mobile est-il sécuritaire?
 
© Shutterstock

Considéré sous l'angle pratique, le fait de pouvoir regrouper différentes cartes servant à effectuer des paiements sur une seule puce dans un téléphone est intéressant. Mais que se passe-t-il en cas de vol du téléphone, et comment être sûr que nos données ne se feront pas voler à distance?

CONSULTEZ NOTRE DOSSIER:
Êtes-vous prêts pour les modes de paiement de demain?
L'élément de sécurité permettant de garantir la confidentialité des paiements repose sur le constat que la puce n'émet pas de signaux.
De plus, «les informations ne passent pas dans le réseau, mais dans la transaction avec la banque. Les seuls qui vont posséder des informations personnelles et qui sauront ce que vous achetez sont les commerçants», explique Bruno Crispin, chef partenariats et solution d'affaires évoluées chez Rogers.
D'autres failles peuvent exister, mais dans les services qui ne sont pas proposés par les banques. Par exemple, celles qui ont affecté Google Wallet, le service de paiement de Google. En cas de vol, on pouvait effectuer des achats en remettant le téléphone à zéro («reset»). Il a été également possible d'obtenir le code de confirmation sur un téléphone débridé.
En cas de vol?
Si celui qui se retrouve en possession de votre téléphone, à la suite d'une perte ou d'un vol, connait vos codes d'accès, il pourra effectuer des paiements avant que le téléphone ne soit bloqué.
Est-elle sûre?
Avant la NFC, les cartes bancaires ont été sécuritaires jusqu'à ce qu'elles puissent être clonées.
La sécurité est-elle optimisée avec la NFC? Les clients seront-ils remboursés en cas fraude? Un responsable de la sécurité d'une institution financière qui a voulu garder l'anonymat explique: «Si les banques lancent cette technologie, c'est que les risques ont été évalués en amont. Quand une carte bancaire est clonée, les banques remboursent, car elles restent gagnantes», à la condition que le montant des pertes demeure inférieur à celui des gains apportés par les cartes de crédit.
«Il vaut mieux rembourser le montant de la fraude au client et conserver un business rentable, plutôt que de ne rien lui garantir et faire couler ce mode de paiement. Il existe un risque de piratage, et c'est normal vu qu'aucune technologie n'est 100% sécuritaire. Nous avons mis tellement de protection qu'il est extrêmement difficile, voire impossible, en ce moment de pirater le moyen de paiement du client».
Et si le chiffrage de données, c'est à dire la protection cryptée qui empêche de lire les informations transmises lors d'une transaction, pouvait être décodé dans le futur par des ordinateurs plus puissants? «Si de tels ordinateurs apparaissent, nous envisagerons alors un cryptage en 4096 bits avec une clé (mot de passe) qui changerait chaque minute.»
«Ceci signifie que pour casser ce type de cryptage sophistiqué, il faudrait découvrir la suite exacte composée de 4096 chiffres - composés 0 et 1 -, ce qui est actuellement impossible. Même si c'est faisable un jour, un pirate qui réussi ne pourra toujours pas faire de transaction, puisque la clé de cryptage changera la minute suivante», poursuit le responsable de la sécurité d'une institution financière.
Nous avons aussi contacté un pirate appartenant à la catégorie des «white hat», dont l'objectif est de trouver des failles de sécurité dans le but de les corriger. Il a indiqué que «pirater la NFC pour accéder aux informations stockées sur la puce (carte SIM) sur laquelle la technologie est intégrée est faisable, mais ça exige un niveau de compétence extrêmement élevé. Or, le piratage ne se fait pas en attaquant la puce directement, mais plutôt en exploitant les failles du téléphone, ce qui exige de connaitre plusieurs informations comme le modèle précis du téléphone ciblé».
Quant à savoir si la NFC représente une menace pour les consommateurs, il rejoint les propos de notre expert en sécurité en précisant que «Monsieur tout le monde a peu de chance de se faire pirater son téléphone, car ça exige beaucoup trop de moyens. Par contre, ceux qui peuvent craindre le NFC sont les personnes importantes comme les politiques, les grands dirigeants d'entreprises, ou même des personnalités qui pourront être des cibles de choix».


REF.:

mardi 13 mars 2012

Une tirelire virtuelle pour gérer l'argent de poche des jeunes

Virtual Piggy - Une tirelire virtuelle pour gérer l'argent de poche des jeunes
Virtual Piggy, une tirelire numérique. 
© Courtoisie Virtual Piggy / Facebook

SAN FRANCISCO - La jeune société américaine Virtual Piggy a présenté vendredi sa tirelire virtuelle, nouvelle façon pour les parents de donner de l'argent de poche permettant aux enfants de s'acheter des biens numériques ou des accessoires pour leurs appareils électroniques.
«Cette génération d'enfants veut être en ligne, à jouer entre amis, et à faire tout ce que font les gamins, ils veulent acheter des trucs», a expliqué à l'AFP la directrice générale de Virtual Piggy, Jo Webber, lors d'une conférence de développeurs de jeux qui s'achevait vendredi à San Francisco.
«Les parents ne peuvent pas leur donner d'argent liquide pour leurs achats en ligne», explique Mme Webber, alors «soit ils leur donnent une carte de crédit et c'est la catastrophe, ou ils leurs disent qu'ils ne peuvent pas avoir tout ce qu'ils veulent».
D'après elle, Virtual Piggy résout ce problème: c'est le premier système de paiement permettant aux enfants de 13 ans ou moins de réaliser des transactions en ligne légales, et permettant aux parents de fixer les limites.
«Nous avons un système où en fait les parents peuvent donner leur argent de poche mensuel aux enfants», qui peuvent y accéder par mot de passe, a-t-elle ajouté.
Virtual Piggy fonctionne déjà sur le site Knex.com, qui vent des jeux de construction très populaires.

REF.: 

dimanche 12 juin 2011

Pour vos achats,visiter ..........

Infoprix




InfoPrix.ca vous permet de trouver rapidement de l'information concernant les prix de produits informatiques et électroniques. En effet, avec la grande quantité de boutiques et de marques, il est important de comparer les différentes offres du marché afin de trouver le meilleur prix possible. C'est exactement la raison d'être d'InfoPrix. Regroupant plus de 8000 produits populaires et spécialisés, ainsi que 30 boutiques actives, ce comparateur de prix vous permet de cibler facilement vos besoins ainsi que les boutiques pour les commander.


REF.:

mardi 1 mars 2011

Au Canada les fraudes par cartes de débit se chiffrent à 95 millions de dollars

Vol d’identité

Un véritable fléau au Canada


Vol d’identité - Un véritable fléau au Canada


MONTRÉAL – L’usurpation d’identité, l’hameçonnage sur internet, le vol de cartes de crédit et autres fraudes en tout genre sont devenus un véritable fléau qui coûte des milliards de dollars aux Canadiens chaque année. À l’occasion du Mois de la prévention de la fraude, plusieurs acteurs du monde économique et les forces de l’ordre s’unissent pour lutter contre les criminels.

«D’après nos plus récentes études, 97% des Québécois sont conscients des risques liés au vol d’identité et 80% d’entre eux sont inquiets du rôle considérable d’internet. Malgré tout, ils doivent s’informer davantage puisque le pays vit un problème sérieux», a affirmé Sylvain Patry, expert en vol d'identité et premier vice-président de ProtegeMonIdentite.ca.

Il s’agirait d’un phénomène global de grande ampleur en constante augmentation. C’est d’ailleurs le crime en plus forte croissance au pays. Une personne sur six serait touchée.

«Trop souvent, les Canadiens participent à leur insu aux manœuvres frauduleuses qui les dépouillent de sommes importantes […] Le vol d’identité est probablement le pire de tous ces problèmes, car il est pernicieux. Souvent, les gens ne s’en doutent pas et les dommages peuvent être multiples», a dit M. Patry.

La fraude englobe une panoplie d'activités criminelles: la fraude hypothécaire, les arnaques par courriel, les fausses offres d'emploi ou encore les médicaments sur ordonnance illicites.

Cette année, plus de 500 millions de dollars de pertes proviennent de la fraude au crédit dans la Belle Province, selon Sylvain Patry.

En 2006, près de 6000 dossiers de fraude par cartes ou guichets ont été signalés, selon des données de la Sûreté du Québec. Les statistiques du Service de police de la Ville de Montréal (SPVM) font état de plus de 40 millions de dollars retirés frauduleusement des guichets automatiques chaque année, dans la grande région métropolitaine.

Dans l’ensemble du Canada, il y aurait plus de 55 millions de cartes de crédit en circulation et les pertes suite à une fraude par cartes de débit se chiffrent à 95 millions de dollars selon les Travaux publics et Services gouvernementaux du Canada.

Pour lutter contre cette gangrène économique, le Bureau de la concurrence Canada s'associe à la Banque du Canada, à la Gendarmerie royale du Canada, à la Sûreté du Québec et au SPVM pour mener une campagne visant à sensibiliser la population aux risques des fraudes et aux moyens de les éviter.

Cette année les Bibliothèques publiques du Québec et le Réseau Biblio du Québec, qui regroupent plus de 900 bibliothèques municipales, participeront à cette campagne de prévention.

Plusieurs conférences sur le sujet seront également proposées durant tout le mois de mars.

Pour obtenir plus d’information, on peut consulter le site www.protegemonidentite.ca



vendredi 28 janvier 2011

Le commerce en ligne

Les opérations commerciales en ligne (commerce électronique) entre entreprises et particuliers sont classées sous l'appellation "Bussines tu Customer" ou BtoC, ou encore B2C. Le client appelé "consommateur" achète directement sur Internet des biens et des services en consultant le catalogue électronique du cybermarchand.

Le commerce électronique ou vente en ligne, désigne l'échange de biens et de services entre deux entités sur les réseaux informatiques, notamment Internet. Les professionnels du secteur sont rassemblés au sein de la fédération du commerce électronique et de la vente à distance.

Le commerce électronique ne se limite pas au seul réseau Internet. Dans le cadre du commerce inter-entreprises, on utilise depuis de nombreuses années des réseaux de type (E.D.I). Des transactions électroniques se réalisent également sur les réseaux téléphoniques mobiles. On parle de m-commerce (mobile commerce). Plus spécifiquement, en France, depuis les années 1980, leminitel a permis le développement de transactions électroniques prémisses des services offerts à ce jour sur internet.

http://www.ncix.com/

http://www.tigerdirect.ca/indexca.asp?

http://montreal.kijiji.ca/f-acheter-et-vendre-W0QQCatIdZ10

http://www.lespac.com/


REF.:

jeudi 18 novembre 2010

Les 12 arnaques du web ,pour le temps des Fêtes

Selon McAfee - Les 12 arnaques de Noël
Il faut se méfier des affaires en or à l'approche des fêtes, sur certains sites internet.
© AFP / Kathy Burns-Millyard

La société de sécurité informatique McAfee a publié le 15 novembre sa liste des «12 arnaques de Noël» pour prévenir les consommateurs d'arnaques sur les achats d'iPad ou la recrudescence de techniques dites de «smishing».

1. Offres d'iPad

Les iPad d'Apple devraient avoir la cote dans les listes de cadeaux de Noël cette année, mais selon McAfee, une arnaque courante consiste à demander aux consommateurs d'envoyer leurs numéros de carte bleue pour recevoir un iPad gratuit, qui n'arrive jamais.

2. «Au secours! On m'a tout volé»

Des SMS d'amis ou de membres de sa famille prétendant être en danger et demandant de l'argent peuvent être bouleversants, mais s'ils proviennent d'un numéro de téléphone inconnu, il est fort probable qu'ils soient faux.

3. Les fausses cartes-cadeaux

Les médias sociaux sont souvent utilisés pour promouvoir de faux chèques-cadeaux en vue de voler les codes bancaires des clients. Les acheteurs devraient éviter tous les sites qui posent trop de questions personnelles.

4. Jobs de vacances

Si on vous propose un travail très bien payé pour très peu d'heures sur une courte période, méfiez-vous, certains sites utilisent les numéros de sécurité sociale et les adresses e-mail sous couvert de fausses offres d'emploi.

5. «Smishing»

Le «SMiShing» fait référence à l'envoi de messages «phishing» («hameçonnage») par SMS. Ces messages semblent provenir de votre banque, et vous demandent de rentrer les coordonnées de son compte bancaire, mais ce procédé est souvent utilisé par les cyber-criminels.

6. Locations

Attention aux offres de location trop belles pour être vraies pour lesquelles ils faut verser des arrhes sur une voiture ou une location d'appartement par carte de crédit ou par virement.

7. Arnaques en temps de crise

Les labos McAfee notent une recrudescence de spams («pourriels») offrant des cartes de crédit ou des prêts à taux préférentiels.

8. Arnaque à la carte de voeux

Les cartes virtuelles peuvent être utilisées en période de vacances de fin d'année pour souhaiter ses voeux à sa famille ou à des amis éloignés, mais les cyber-criminels envoient aussi des cartes de voeux contenant des virus et des logiciels malveillants. Lorsqu'on reçoit ce genre de cartes, toujours vérifier que l'on connaît son expéditeur.

9. Prix très bas

Les sites internet qui offrent des biens à des prix défiant toute concurrence sont souvent des sites-écrans pour voler les coordonnées des utilisateurs.

10. Arnaques aux œuvres caritatives

On reçoit souvent des pourriels en cette fin d'année demandant de contribuer aux bonnes oeuvres. Plutôt que de répondre à ces pourriels, adressez-vous directement au site internet de l'oeuvre caritative concernée.

11. Téléchargements dangereux

Les utilisateurs d'internet devraient faire attention lorsqu'ils téléchargent des économiseurs d'écran, car ils peuvent être utilisés pour la propagation de virus.

12. Wifi non-sécurisé

Les utilisateurs d'internet devraient se méfier lorsqu'ils utilisent des connections internet non sécurisées dans les aéroports car elles sont souvent la cible d'attaques de cyber-criminels


REF.:

lundi 11 octobre 2010

Distributeurs en ligne: Faire de bonnes affaires en Asie sans sortir de son salon

Distributeurs en ligne - Faire de bonnes affaires en Asie sans sortir de son salon
Taobao est au nombre des distributeurs en ligne qui prennent les commandes en provenance de l'étranger.

Les enseignes de distribution sur Internet à travers le monde sont en train d'abolir les frontières, pour aider les consommateurs à faire les meilleures affaires possibles.

Une étude menée par Forrester Research Inc., publiée le 28 septembre, montre que les distributeurs en ligne basés aux États-Unis vont chercher les bonnes affaires au delà des frontières pour attirer l'attention des consommateurs étrangers. Près de 73 pour cent des distributeurs basés aux États-Unis qui ont été interrogés ont déjà envoyé vers l'étranger des produits en provenance d'entrepôts situés dans leur pays, et 17% d'entre eux ont installé des centres de distributions à l'étranger.

Cependant, les distributeurs basés aux États-Unis ne sont pas les seuls à chercher à s'implanter dans les marchés étrangers, même si les filiales, comme la filiale d'amazon.com au Japon, amazon.co.jp, sont implantées depuis longtemps à l'étranger. Un nombre croissant de sites asiatiques regarde vers l'international.

Pour les consommateurs qui veulent profiter des petits prix et des taux de changes favorables, le site japonais Rakuten vend toutes sorties de produits, depuis les vêtements jusqu'aux auto-cuiseurs, en passant par le saké et les maillots de bain de grossesse, et il envoie ses produits vers l'Australie, les États-Unis, l'Australie, le Canada, le Royaume-Uni et Singapour. Akinaiblog.com fait aussi de l'export de produits, des faux ongles aux produits électroniques, depuis le Japon vers les quatre coins de la planète.

Les produits électroniques et l'équipement ménager du site TaoBao (uniquement en chinois) peuvent être achetés directement sur le site pour les sinophones, et pour ceux qui ne parlent pas chinois, il est possible de passer par une agence intermédiaire:

YesAsia exporte également une grande diversité de produits vers l'Océanie.

Il est utile de rappeler que les consommateurs à la recherche d'une bonne affaire doivent vérifier le montant des prix d'envoi et des taxes d'importation avant de confirmer leurs commandes.REF.: