Powered By Blogger

Rechercher sur ce blogue

Aucun message portant le libellé journal. Afficher tous les messages
Aucun message portant le libellé journal. Afficher tous les messages

dimanche 11 février 2024

ILS VOUS CACHENT DES CHOSES: Les cancres de la transparence

 

ILS VOUS CACHENT DES CHOSES: Les cancres de la transparence

Le Journal de Quebec

10 Feb 2024,par: Jean-Louis Fortin,Journal de Mtl.

Qu’ont à cacher nos gou­ver­ne­ments ? Ils n’ont jamais dépensé autant de votre argent, que ce soit en salaires, en contrats publics ou en sub­ven­tions de toutes sortes. Et pour­tant, ils semblent être de moins en moins trans­pa­rents.


Le Jour­nal, vous le savez, se porte constam­ment à la défense de l’inté­rêt public. Nos jour­na­listes mul­ti­plient les demandes d’accès à l’infor­ma­tion pour vous per­mettre d’être des citoyens et des contri­buables plus éclai­rés.


Dans le cadre du dos­sier que nous vous pré­sen­tons aujourd’hui, nous avons demandé à ces pro­fes­sion­nels de l’infor­ma­tion de témoi­gner des pires his­toires d’hor­reur qu’ils ont vécues en lien avec l’accès à l’infor­ma­tion.


DES CAS TROUBLANTS


Je dirige des enquêtes jour­na­lis­tiques depuis plus d’une décen­nie, et je croyais avoir tout vu en matière de manque de trans­pa­rence. Pour­tant, j’ai été sidéré à la lec­ture des cas four­nis par les col­lègues.


■ À Ottawa, l’accès à l’infor­ma­tion est une farce. Par­lez-en à ma col­lègue Sarah-Maude Lefebvre, jour­na­liste au Bureau d’enquête. Elle a eu le temps d’avoir deux enfants, dont l’aînée a main­te­nant six ans, avant de rece­voir une réponse à une demande faite en 2017 à la GRC.


■ Le gou­ver­ne­ment du Qué­bec ne fait guère mieux. Impos­sible d’avoir une entre­vue au sujet de l’accès à l’infor­ma­tion avec Jean-François Roberge. C’est tel­le­ment sérieux pour la CAQ, la trans­pa­rence, que le gou­ver­ne­ment en est à son qua­trième ministre res­pon­sable de ce dos­sier depuis son arri­vée au pou­voir il y a à peine plus de cinq ans.


■ Le gou­ver­ne­ment du Qué­bec ne fait guère mieux. Impos­sible d’avoir une entre­vue au sujet de l’accès à l’infor­ma­tion avec Jean-François Roberge. C’est tel­le­ment sérieux pour la CAQ, la trans­pa­rence, que le gou­ver­ne­ment en est à son qua­trième ministre res­pon­sable de ce dos­sier depuis son arri­vée au pou­voir il y a à peine plus de cinq ans.


■ Dans les deux plus gros postes bud­gé­taires qui relèvent de l’Assem­blée natio­nale, soit la santé et l’édu­ca­tion, le fouillis est com­plet. Plus du tiers des 72 centres de ser­vices sco­laires n’ont tout sim­ple­ment pas répondu à notre jour­na­liste Daph­née Dion­Viens, qui vou­lait des chiffres sur les ensei­gnants qui démis­sionnent.


■ Au muni­ci­pal, l’accès à l’infor­ma­tion relève sou­vent de l’impro­vi­sa­tion. Faut-il se sur­prendre que le direc­teur géné­ral d’un vil­lage refuse d’être trans­pa­rent lorsqu’il doit répondre sur ses propres dépenses ?


■ Au muni­ci­pal, l’accès à l’infor­ma­tion relève sou­vent de l’impro­vi­sa­tion. Faut-il se sur­prendre que le direc­teur géné­ral d’un vil­lage refuse d’être trans­pa­rent lorsqu’il doit répondre sur ses propres dépenses ?


■ Sans par­ler des corps poli­ciers, qui agissent « sou­vent comme si la loi d’accès à l’infor­ma­tion n’exis­tait pas », selon un pro­fes­seur de cri­mi­no­lo­gie qui s’est confié à nous.


PROMESSES VIDES


Pour­tant, les grands enga­ge­ments en matière de trans­pa­rence n’ont pas man­qué.


Du gou­ver­ne­ment libé­ral de Phi­lippe Couillard, qui avait pro­mis en 2014 d’être « le plus trans­pa­rent de l’his­toire », jusqu’à François Legault, qui a clamé haut et fort pen­dant la pan­dé­mie qu’« il n’y a abso­lu­ment rien de caché » et que « tout est trans­pa­rent »...


Au Qué­bec, la loi est pour­tant très claire. « Toute per­sonne qui en fait la demande a droit d’accès aux docu­ments d’un orga­nisme public ».


Et cela ne s’applique pas seule­ment aux médias. « On a ten­dance à pen­ser que la loi d’accès à l’infor­ma­tion, c’est une bébelle de jour­na­listes, mais ce n’est pas vrai. La grande majo­rité des demandes sont faites par des citoyens ou des orga­nismes », insiste Éric-Pierre Cham­pagne, le pré­sident de la Fédé­ra­tion pro­fes­sion­nelle des jour­na­listes du Qué­bec (FPJQ).


Et cela ne s’applique pas seule­ment aux médias. « On a ten­dance à pen­ser que la loi d’accès à l’infor­ma­tion, c’est une bébelle de jour­na­listes, mais ce n’est pas vrai. La grande majo­rité des demandes sont faites par des citoyens ou des orga­nismes », insiste Éric-Pierre Cham­pagne, le pré­sident de la Fédé­ra­tion pro­fes­sion­nelle des jour­na­listes du Qué­bec (FPJQ).


Et cela ne s’applique pas seule­ment aux médias. « On a ten­dance à pen­ser que la loi d’accès à l’infor­ma­tion, c’est une bébelle de jour­na­listes, mais ce n’est pas vrai. La grande majo­rité des demandes sont faites par des citoyens ou des orga­nismes », insiste Éric-Pierre Cham­pagne, le pré­sident de la Fédé­ra­tion pro­fes­sion­nelle des jour­na­listes du Qué­bec (FPJQ).


Et cela ne s’applique pas seule­ment aux médias. « On a ten­dance à pen­ser que la loi d’accès à l’infor­ma­tion, c’est une bébelle de jour­na­listes, mais ce n’est pas vrai. La grande majo­rité des demandes sont faites par des citoyens ou des orga­nismes », insiste Éric-Pierre Cham­pagne, le pré­sident de la Fédé­ra­tion pro­fes­sion­nelle des jour­na­listes du Qué­bec (FPJQ).


Il existe bien des excep­tions valables pour refu­ser l’accès à des infor­ma­tions. Par exemple, un secret qui com­pro­met­trait la sécu­rité d’un déla­teur de police. Ou encore une stra­té­gie de négo­cia­tion du gou­ver­ne­ment pour ses conven­tions col­lec­tives. Ou encore des ren­sei­gne­ments qui relèvent de la sphère pri­vée.


Mais trop sou­vent, les orga­nismes publics uti­lisent pares­seu­se­ment un de ces pré­textes pour jus­ti­fier une fin de non-rece­voir totale, plu­tôt que de trans­mettre un docu­ment en ayant pris soin de cacher uni­que­ment ce qui méri­tait de l’être.


ON DOIT EXIGER MIEUX


Sans les demandes d’accès à l’infor­ma­tion, per­sonne n’aurait su, en novembre der­nier, l’ampleur des dépenses dou­teuses à l’Office de consul­ta­tion publique de Mont­réal. Nos enquêtes jour­na­lis­tiques ont fait chan­ger la loi à l’Assem­blée natio­nale pour assu­jet­tir ce genre d’orga­nismes à plus de contrôle. La Ville de Mont­réal a aussi revu sa poli­tique de dépenses, même si son direc­teur géné­ral assure avoir com­mencé à tra­vailler sur cette réforme avant nos révé­la­tions.


Il n’y a aucun doute : en matière de trans­pa­rence, les Qué­bé­cois peuvent et doivent exi­ger mieux de leurs gou­ver­ne­ments.


Comp­tez sur Le Jour­nal pour mener cette bataille.


GRANDE PRÉCISION


Grâce à leur design élé­gant et leurs façades plates, la laveuse et la sécheuse à char­ge­ment fron­tal avec cadran intel­li­gent AI Smart Dial de Sam­sung se glissent en beauté dans l’espace. Dotés de tech­no­lo­gies avan­cées, ces appa­reils ont tout pour rendre la cor­vée plus agréable. Les carac­té­ris­tiques qui retiennent le plus notre atten­tion? La fonc­tion Super Speed wash 2.0, qui per­met de laver une grosse bras­sée en seule­ment 28 minutes; la tech­no­lo­gie VRT Plus, qui réduit le bruit et la vibra­tion pen­dant la les­sive; le cadran intel­li­gent de la sécheuse, qui sélec­tionne le meilleur pro­gramme de séchage selon le lavage effec­tué préa­la­ble­ment, et ses cap­teurs d’humi­dité, qui évitent de gas­piller l’éner­gie et d’abî­mer les vête­ments en conti­nuant de les sécher alors qu’ils sont secs. sam­sung.com

REF.: pressreader.com

dimanche 15 septembre 2019

Il y avait eut piratage de données chez Canoe en 2017

Il y avait eut piratage de données chez Canoe en 2017.

Avis de piratage de données chez Canoë.ca




Hackers, canoe, vol identité, journal
 
 
 
MONTRÉAL, le 12 sept. 2017 /CNW Telbec/ - Canoë.ca, un portail gratuit d'information et de divertissement opéré par MédiaQMI inc. et qui était la propriété de Corporation Sun Média  filiale de Quebecor,jusqu'en 2015, tient à informer ses utilisateurs qu'un pirate informatique a réussi à accéder à certaines de ses banques de données d'archives couvrant la période de 1996 à 2008.

 Informée de cet incident le 2 septembre dernier, Canoë.ca a immédiatement lancé une enquête approfondie qui a conclu que les banques de données ciblées ne contenaient aucune information de nature financière comme des numéros de cartes de crédit ni de numéros d'assurance sociale.


L'analyse a toutefois révélé que les banques de données piratées contenaient des renseignements personnels pouvant toucher près d'un million d'usagers anglophones et francophones de cette époque, tels que des noms, des adresses courriel et postales ainsi que des numéros de téléphone. Ces données avaient été fournies par ces usagers en lien avec certaines activités des sites Canoë, soit des concours, des forums de discussion, des pages de commentaires ou encore l'hébergement de pages personnelles sur le site.

 Aucune donnée recueillie depuis 2008 n'a toutefois été compromise.
Canoë.ca prend très au sérieux la protection des données. Elle assure avoir pris tous les moyens nécessaires, avec l'aide de firmes de sécurité informatique reconnues, afin de remédier à l'intrusion de ses banques de données. Canoë.ca a également informé la GRC, le Commissariat à la protection de la vie privée et les commissaires provinciaux de protection de la vie privée de cet acte de piratage.
Canoë.ca tient à exprimer ses plus sincères excuses envers ses usagers et assure que tous les efforts sont présentement déployés afin de retracer et de communiquer avec les personnes concernées par cet accès illégal de données recueillies au cours de la période 1996-2008.
Toute personne ayant des questions additionnelles au sujet de cet avis est invitée à appeler au 1-833-370-2898.
SOURCE.:  MédiaQMI inc.

mercredi 20 juin 2018

La loi québécoise sur les sources journalistiques adoptée in extremis



Grâce à une collaboration de dernière minute, les partis à l’Assemblée nationale ont adopté vendredi, dernier jour de la législature, la Loi sur la protection de la confidentialité des sources journalistiques.
La pièce législative, complémentaire à celle adoptée par Ottawa en octobre dernier, donne notamment la possibilité à un journaliste de s’opposer devant le tribunal à la divulgation d’informations qui pourraient identifier ses sources.
Dorénavant, il reviendra à la personne qui veut obtenir un renseignement provenant d’une source de démonter qu’il ne peut être obtenu par un autre moyen raisonnable et que sa communication est dans l’intérêt du public.
Défi
Jeudi, le leader parlementaire du Parti québécois, Pascal Bérubé, avait mis le gouvernement Couillard au défi d’appeler le projet de loi, une requête qui, de toute évidence, a été entendue.


REF.:

lundi 9 avril 2012

Le Journal utilisera un drone pour certains de ses reportages



Une petite révolution technologique permettra au Journal de Montréal d’offrir aux lecteurs un nouveau regard sur l’actualité québécoise.
C’est un engin peu commun en forme de croix, capable de s’élever dans les airs grâce à ses hélices et ses quatre moteurs.

gabriel dicaire
Concepteur du drone
À son bord, une caméra haute définition captera des photos et des vidéos de paysages vus du ciel.
Le drone se pilote comme un hélicoptère téléguidé, c’est-à-dire du sol, à l’aide d’une télécommande. Il aura une autonomie d’environ une dizaine de minutes pour survoler l’endroit ciblé par les journalistes.
« C’est facilement déployable, simple à utiliser et ça se déplace très rapidement », explique Gabriel Dicaire, le concepteur de l’appareil.
Endroits inaccessibles
Avec ce drone, il sera entre autres possible d’atteindre certains endroits considérés auparavant comme inaccessibles.
« Il vole à plus basse altitude qu’un hélicoptère, il est plus proche du sol, donc
il peut capter d’autres images, explique M. Dicaire. De plus, un appareil comme celui-ci décolle de n’importe où, il n’a pas besoin de beaucoup de place. »
Le Journal utilisera ce drone dans le cadre de certains de ses reportages.
Il pourrait notamment être employé lors de catastrophes naturelles comme les inondations survenues à Saint-Jean- sur-Richelieu l’année passée.


REF.:

mardi 17 mai 2011

YouTube Une chaîne pour rendre hommage aux journalistes morts en mission


YouTube - Une chaîne pour rendre hommage aux journalistes morts en mission
 
© AFP / Samantha Sin

SAN FRANCISCO - Le site internet YouTube a lancé lundi une chaîne visant à rendre hommage aux journalistes morts en mission, en collaboration avec le musée de l'information Newseum de Washington.
«Les risques et les sacrifices que beaucoup ont subis pour nous fournir de l'information équilibrée sont remarquables», a souligné un responsable de YouTube, Steve Grove, sur le blog de la société.
«Leurs histoires sont incroyables: plonger au milieu d'une bataille de rue sans autre arme qu'un appareil photo, parler de politique à la radio avant de se faire battre à mort à coups de barre de fer par un groupe de voyous sur le chemin du bureau», a-t-il ajouté.
La page internet youtube.com/journalistsmemorial, de fait une sorte de chaîne de collection de vidéos, se veut une version numérique du mémorial annuel que le Newseum consacre aux journalistes morts dans l'année.

REF.:

mardi 22 juillet 2008

Pourquoi ,lit t'ont le Journal De Montréal ?

A cause,des mots croisés,de la pitoune,des photos choquantes; des nouvelles exclusives et du journalisme d'enquête ,comme ils l'ont fait pour les Raéliens (infiltration de taupes dans la secte)et pour la sécurité de l'Aéroport de Dorval, ou encore le racisme dans Montréal.

Du journalisme Québécois qui vole, la richesse des nobles et la donne aux pauvres.Le spectre de Pierre Péladeau est encore la !
Si un organisme gouvernementale ou paragouvernementale est corrompu,vous le saurez !
Sur du papier ,en attendant d'être aussi sur internet a 100%,par l'entremise du site canoe.ca
Des articles..............c'est pas ça qui manque.


http://teodulle.blogspot.com/2008/07/la-stm-donne-100000anne-certains.html

10reAdersFeEdiSgood

lundi 5 mai 2008

Le journal du metro est en ligne

Du MÉTRO à l'Internet
Le journal Métro fait un arrêt à une nouvelle station: Internet. Le quotidien livré gratuitement dans le métro de Montréal est dorénavant aussi accessible en ligne.
En ayant une adresse sur la Toile, le journal Métro Montréal s'ouvre à une nouvelle clientèle, qui n'utilisait pas le métro, seul endroit où il était disponible.
Dans le numéro en ligne, les textes sont plus longs. D'ailleurs, plusieurs des articles du journal renvoient au site Internet pour y trouver les versions complètes.
Dans les prochains mois, le quotidien en ligne permettra aux lecteurs de commenter la nouvelle, de partager des photos ou encore de voter sur les articles.
Le Métro de Montréal est aussi disponible en version mobile pour les cellulaires.
Les petites annonces,c'est super!
Ref.

Oups ! dans le métro de mtl,il y a aussi celui-ci http://www.montreal.24heures.ca/ , et qui est sur le web aussi.