Un bug étrange d'origine inconnue a frappé les ordinateurs Windows 7 cette semaine, selon plusieurs articles en ligne.
Les utilisateurs de Windows 7 ont signalé qu'ils recevaient un
message contextuel indiquant "Vous n'êtes pas autorisé à arrêter cet
ordinateur" chaque fois qu'ils tentent d'arrêter ou de redémarrer leur
système.
La cause du bug reste inconnue au moment de la rédaction.
Au cours des deux derniers jours, les utilisateurs se sont
débrouillés pour trouver des solutions au problème. La bonne nouvelle
est qu'ils ont trouvé au moins une solution de contournement temporaire
et un correctif non officiel pour résoudre le problème.
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Solution temporaire
Une solution simple a été trouvée par un utilisateur sur Reddit.
Celle-ci ne nécessite aucun script ou piratage du système
d'exploitation et peut être exécutée par n'importe quel utilisateur de
Windows 7.
L'inconvénient est de devoir suivre ces étapes chaque fois que l’on souhaite arrêter ou redémarrer un PC.
Étape 1: Créez un autre compte administrateur.
Étape 2: Connectez-vous à ce compte (ou à un autre compte administrateur qui était déjà sur le système).
Étape 3: Reconnectez-vous au compte administrateur par défaut.
Étape 4: Arrêtez ou redémarrez normalement.
"Ce n'est pas une solution définitive", a averti l'utilisateur sur Reddit.
La solution officieuse
Un moyen plus permanent de contourner ce bug a été proposé par plusieurs utilisateurs sur Reddit et par la société de support informatique Quick Heal.
Plusieurs utilisateurs ont confirmé le fonctionnement de cette méthode. Celle-ci se présente comme suit:
Étape 1: Appuyez sur Windows + R pour ouvrir la fenêtre Exécuter.
Étape 2: Tapez gpedit.msc et appuyez sur Entrée.
Étape
3: Dans la fenêtre de l'Éditeur de stratégie de groupe, accédez à:
Configuration ordinateur> Paramètres Windows> Paramètres de
sécurité> Stratégies locales> Options de sécurité.
Étape
4: Dans le panneau droit de l'option Options de sécurité, recherchez et
double-cliquez sur «Contrôle de compte d'utilisateur: exécuter tous les
administrateurs en mode d'approbation administrateur».
Étape 5: Dans la nouvelle fenêtre, sélectionnez Activer.
Étape
6: Rouvrez la fenêtre Exécuter, mais cette fois tapez "gpupdate /force"
et appuyez sur Entrée. Cela mettra à jour toutes les stratégies de
groupe.
Étape 7: redémarrez ou arrêtez votre système normalement.
Windows 7 a atteint la fin de support le 14 janvier 2020 et ne devrait pas recevoir de nouveaux correctifs.
Le mois dernier, Microsoft a fait une exception à cette règle en fournissant un correctif pour un bug qui cassait l'affichage du fond d'écran pour les utilisateurs de Windows 7.
Étant donné que le redémarrage ou l'arrêt de votre ordinateur est
une fonctionnalité du système d'exploitation plus importante que la
prise en charge d’un fond d’écran, Microsoft devra très probablement
faire une autre exception et fournir une deuxième mise à jour post-fin
de vie très bientôt. Source. : ZDNet.com
Un message vous indique que Windows 7 arrive en fin de support. En effet à partir du 14 janvier 2020, Windows 7 expire.
Cet
article répond à toutes les questions : Doit-on changer de PC ? Peut-on
rester sur Windows 7 ? Jusqu’à quand pouvez-vous encore utiliser
Windows 7. Bref que faire après l’arrêt et fin des mises à jour de Windows 7.
Après
avoir lu cet article, vous devriez être en mesure de mieux comprendre
les conséquence et les options qui s’offrent à vous après la fin de support de Windows 7.
Vous demandez jusqu’à quand vous pouvez utiliser Windows 7 ? Théoriquement, il n’y a pas de fin d’utilisation.
En effet, Microsoft a programmé la fin de support de Windows 7 à partir du 14 Janvier 2020. A partir de cette date Windows 7 expire. Vous aurez alors le message « Votre PC Windows 7 ne bénéficie plus du support » sur fond bleu s’affiche alors.
L’article suivant donne le calendrier détaillé de la fin de support de Windows 7.
Après la fin de support de Windows 7
A partir de cette date, l’éditeur ne proposera plus de mise à jour pour cette version de Windows. Ainsi à partir de cette date, plus aucune mise à jour mensuelle ne sera publié. Cela implique :
Plus aucune mise à jour de sécurité sera publié
De même plus aucune mise à jour correctrice de bugs autres.
A retenir, la fin de support est synonyme de fin de mise à jour
mensuelles donc de sécurité. Enfin petit à petit les éditeurs de
logiciels vont abandonner Windows 7.
Vous pourrez bien entendu continuer à utiliser votre ordinateur normalement. Simplement que cela pose des problèmes sur le long terme comme :
Des problèmes de sécurité puisque Windows 7 ne bénéficiera plus de correctifs critiques
Les éditeurs de logiciels suivent aussi le calendrier et les futures logiciels ne supporteront plus cette version Windows. Certains peuvent encore publier des applications 2 ans après.
C’est
donc surtout sur le très long terme que cela pose problème puisque vous
aurez des difficultés pour trouver des logiciels pour Windows 7. Par exemple, un an ou deux ans, il devient difficile de trouver des antivirus compatibles Windows 7.
L’article suivant détaille les implications de la fin de support de Windows 7.
Que faire après la fin de support de Windows 7 ?
Trois choix s’offrent à vous avant ou après la date de fin de support de Windows 7.
Rester sur Windows 7 et attendre que votre ordinateur tire sa révérence avant d’en changer.
Tenter la mise à niveau vers Windows 10.
Enfin passer votre ordinateur en Linux.
Rester sur Windows 7
C’est probablement ce que la plupart des utilisateurs vont faire. Attendre que leur ordinateur tombe en panne avant d’en changer. Rester sur Windows 7, un an ou deux après la fin de support de Windows 7 n’est pas non plus dramatique. L’important est de bien avoir un antivirus fonctionnel. Mais aussi s’informer des risques. Par exemple la publication d’une faille à distance.
Certains logiciels resteront compatibles pendant 2 ans environ. Au delà, cela va être compliqué surtout si vous devez réinstaller Windows 7.
Une
fois que votre ordinateur tombe en panne, vous pouvez alors en acquérir
un autre qui sera probablement vendu avec Windows 10. L’avantage ici est que vous n’avez à vous préoccuper de rien.
La mise à jour gratuite vers Windows 10 fonctionne toujours, vous pouvez donc continuer d’en profiter.
Mais sachez aussi que l’on trouve des licences pour Windows 10 à 10 euros.
La
seconde difficulté est le support du matériel puisque certains
constructeurs ne proposent pas des pilotes à jour pour Windows 10. Ainsi certains composants peuvent ne pas être supportés correctement. Là
aussi, lors de la mise à jour, le matériel est testé et on vous indique
si des problèmes sont connus mais parfois cela n’est pas suffisant.
Enfin, les très vieux ordinateurs qui ont moins de 4 Go de RAM risque d’être très lent sur Windows 10. Au minimum, nous vous recommandons d’avoir 4 Go de RAM. L’article suivant donne tous les détails : Combien faut-il de RAM pour Windows 10
Enfin la procédure mise à jour vers Windows 10 est décrite sur la page suivante.
Passer à Linux
Enfin la dernière solution consiste à remplacer Windows par Linux. Ce dernier est gratuit, aucun problème de licence. L’autre avantage de cette solution est qu’elle supporte n’importe quel ordinateur : du moins puissant au plus puissant. Ainsi pour les ordinateurs qui n’ont que 2 Go de RAM, c’est probablement la meilleur solution. Pour ces derniers d’ailleurs un article existe sur le site.
Le seul bémol est que la mise en place n’est pas forcément simple et peut s’avérer complexe pour les débutants.
Enfin il existe les tutoriels du site pour installer Linux :
Voici les questions fréquentes sur la fin de support de Windows 7.
Puis-je continuer à utiliser Windows 7 ?
Oui vous pouvez continuer à utiliser Windows 7. Seulement vous n’aurez plus de mise à jour mensuelle et de sécurité.
Est-ce que je dois changer d’ordinateur ?
Si votre PC est trop vieux, vous pouvez envisager de changer de PC. L’avantage est que vous aurez Windows 10 inclus dedans. Pour des questions d’économies et si le PC n’est trop lent, vous pouvez continuer de l’utiliser.
Qu’est-ce qui se passe si je reste sur Windows 7 ?
Vous n’aurez plus de mises à jour de sécurité. Cela peut sur le long terme poser des problèmes contre les malwares. Mais surtout, petit à petit, les éditeurs de logiciels vont délaisser Windows 7. Vous ne pourrez pas installer les dernières versions de ces logiciels.
Que faire après la fin du support de Windows 7 le 14 janvier 2020 ?
Le plus simple est de passer à Windows 10 gratuitement. Rien ne vous empêche de le faire après cette date.
Alors, attention ! Gros disclaimer : Je ne suis pas fan du fait de désactiver les mises à jour de Windows.
Je ne vous recommande pas de faire ça et si je parle de cet utilitaire
aujourd’hui c’est parce que ça peut servir dans certains cas. En tout
cas, si vous bloquez les mises à jour sur votre OS, vérifiez bien que
cela reste temporaire et pensez bien à les réactiver ensuite. Windows Update Blocker est donc un utilitaire pour
Windows qui permet de désactiver et réactiver les mises à jour de
Windows, ce qui dans certains cas est bien pratique.
En effet, Windows 10 ne permet pas cela nativement, ce qui est quand
même dommage quand on veut maitriser totalement sa machine, choisir le
moment où on veut mettre à jour et ne pas se retrouver avec un patch qui
viendrait mettre en l’air une config un peu particulière.
Évidemment, on peut le faire manuellement en désactivant le service
associé, mais c’est plus sympa en 1 clic avec Windows Update Blocker.
Mieux Windows Update Blocker permet aussi de rajouter dans une liste
n’importe quel autre service Windows que vous aimeriez bloquer.
Technologie : A la fin du
support de Windows 7 en janvier 2020, Microsoft proposera une
prolongation jusqu’en 2023 à ses clients qui le souhaitent, à condition
de payer pour les correctifs de sécurité.
L’horloge tourne et la fin de support de Windows 7 programmée pour le
14 janvier 2020 se rapproche. Microsoft annonce cependant qu’il
offrira, moyennant des frais, des mises à jour de sécurité continues
pour le produit jusqu’en janvier 2023.
Ce n’est pas la
première fois que Microsoft fait ceci pour une version de Windows, mais
il se peut que ce soit la première fois qu’il communique si ouvertement
sur ses projets dans ce domaine. Windows 7 détient toujours une part importante du marché
Windows, en particulier chez les clients professionnels. Le retrait des
anciennes versions de Windows est un processus lent, même avec une
planification préalable, pour les entreprises disposant de plusieurs
milliers de postes de travail Windows.
Des correctifs plus limités aux seuls gros clients
Les mises à jour de sécurité étendues payantes
(Windows 7 Extended Security Updates ou ESUs) de Windows 7 seront
vendues par terminal, avec une majoration chaque année. Ces ESU seront
disponibles pour tous les utilisateurs de Windows 7 Prol et Enterprise
avec des accords de licence en volume.
Quant aux clients
bénéficiant de la Software Assurance Windows et/ou d’abonnements Windows
10 Enterprise ou Education, ils bénéficieront d'une remise. Office 365
ProPlus continuera par ailleurs de fonctionner jusqu’en janvier 2023 sur
les terminaux recevant ces correctifs payants pour Windows 7.
Cette
politique traduit des évolutions par rapport à la stratégie adoptée
jusqu’à présent par Microsoft à l’égard des éditions de Windows en fin
de support. Auparavant, l’éditeur utilisait ce programme dans le cadre
de ses activités de conseil. Cela avait pour conséquence de limiter la
disponibilité de ces correctifs uniquement aux clients les plus
importants, aux poches profondes, et disposant de contrats d'assistance
avancés (au moins pour Windows XP).
Les clients devaient par
ailleurs présenter à Microsoft leurs projets de migration de la version
Windows en fin de support. Ils étaient ainsi tenus de communiquer des
jalons de déploiement trimestriels et une date d'achèvement du projet,
en plus donc de payer plusieurs millions de dollars pour une couverture
étendue des correctifs.
Avec Windows 7, le programme ESU est
cette fois mené via l'unité de licences en volume de Microsoft et Core
Windows Engineering, qui « produisent ces mises à jour comme un produit.
» « Nous voulons encourager les utilisateurs à sortir de Windows 7,
mais nous voulons que ce soit plus que quelque chose de punitif »
explique l’éditeur.
Windows 10 ou Windows 7 possèdent beaucoup d’outils de vérifications
pour le bon fonctionne de ce dernier ou pour détecter les erreurs
matérielles. Ces problèmes peuvent aller de message d’erreur à des
fonctions de Windows endommagées en passant par des périphériques
matériels non utilisables. Parfois tout cela s’accompagnent de lenteurs générales de Windows.
Dans cet article, nous vous proposons de résumer tous les outils à utiliser lors de dysfonctionnements.
Windows possède plusieurs outils qui enregistrent les erreurs systèmes ou matérielles. Voici les plus utiles afin de vérifier si des anomalies ou problèmes ont été découverts par Windows.
Observateur d’évènements de Windows
L’observateur d’évènements de Windows est le journal de bord de Windows.
Les applications ou même Windows peuvent y enregistrer des évènements,
cela peut aller de la simple notifications à des erreurs systèmes. C’est donc le premier élément à vérifier lorsque vous rencontrez des dysfonctionnements de Windows.
Sur Windows 10, l’observateur d’évènements est accessible par un clic droit sur le menu Démarrer puis observateur d’évènements. Plus d’explications sur son utilisation : Comment utiliser l’observateur d’événements de Windows Un autre article annexe qui peut aussi vous aider si vous rencontrez des lenteurs de Windows : Windows Performance Diagnostic : vérifier ce qui ralentit Windows
Moniteur de fiabilité de Windows
Cet autre outil utilise les évènements enregistrés par Windows pour les afficher sur une phrase chronologique.
Cela permet donc de comparer les modifications systèmes comme
l’installation d’un nouveau pilote avec les plantages enregistrés par
Windows. Ainsi, vous pouvez déterminer si des modifications systèmes ont pu causer des instabilités de Windows.
Un article dédié à cette fonction de Windows qu’est le moniteur de fiabilité existe : Moniteur de fiabilité de Windows
Analyseur de performances de Windows
L’analyseur de performances de Windows possède des fonctions pour vérifier l’intégrité du système. Cela peut permettre de détecter des anomalies ou erreurs de Windows. Plus d’informations sur ces fonctions de diagnostics à la page : Analyseur de performances Windows : diagnostic système et performances
Vérification et réparation systèmes de Windows
SFC et DISM
Ces deux utilitaires de vérifications et réparations de Windows sont probablement les plus connus. SFC permet de vérifier l’intégrité des fichiers systèmes et s’assurer qu’aucun n’est corrompu. Quant à DISM, il vérifie les images Windows et là aussi permet de les réparer en cas d’anomalies.
Les deux utilitaires sont présents sur les pages suivantes :
chkdsk ou checkdisk est un utilitaire de Windows important, car il permet de s’assurer que le système de fichiers ne possèdent pas d’erreurs. Des erreurs sur ce dernier peut entraîner de graves dysfonctionnements sur Windows et les applications mais aussi des lenteurs. Plus d’infos sur cet utilitaire : A quoi sert chkdsk sur Windows 7, 8.1, 10
Pour lancer un chkdsk sur votre disque, suivre la page : chkdsk : Erreur et réparation disque
Outil de diagnostic DirectX
DirectX est un composant important pour les applications graphiques et sonores comme les jeux par exemple.
Des défailles de pilotes, systèmes ou matérielles peuvent causer des
chutes de FPS ou des plantages comme un redémarrage intempestives de
Windows.
Vous pouvez lancer l’outil de diagnostic de DirectX de cette manière :
Sur votre clavier appuyez sur la touche Windows + R
Sur la page exécutez, saisissez dxdiag puis OK.
L’utilitaire se lance alors avec le message ci-dessous lors de sa première exécution.
puis
la fenêtre de l’outil de Diagnostic de DirectX s’ouvre avec des onglets
pour l’affichage, le son et les entrées comme le clavier ou un
joystick. Les informations matérielles et versions de pilotes sont aussi indiquées dans cet utilitaire.
En bas pour chaque onglet, on vous indique si des problèmes ont été détectés.
Vérification de les ressources systèmes
Gestionnaire de tâches de Windows
Le
gestionnaire de tâches permet de lister tous les processus en cours de
fonctionnement ainsi que l’utilisation des ressources en temps réel.
Parmi les informations des ressources systèmes, on trouve l’utilisation
processeur (CPU) et processeur carte graphique (GPU), mémoire, disque
et réseau. C’est donc le premier outil à utiliser pour vérifier si
un programme n’a pas tendance à buguer et accaparer toutes les
ressources ce qui peut conduire à de grave ralentissements.
Speecy et HWiNFO : surveillance et diagnostic matériel de votre PC
Speecy et HWiNFO sont deux applications qui permettent de vérifier les composants matérielles de votre ordinateur dont les températures de votre ordinateur et la santé des disques dur.
Ces dernières sont donc très importantes pour surveiller son PC et
prévenir de problèmes matérielles comme des surchauffes ou des erreurs
de disques.
Windows Performance Diagnostic enregistre l’activité de Windows et reporte des événements dans l’observateur d’événements. Cela peut-être une source d’information pour repérer ce qui peut ralentir Windows.
Mais cet outil permet aussi de récapituler toutes les informations
systèmes, des processus qui peuvent ralentir Windows aux erreurs
systèmes.
L’article suivant détails ces évènements Windows Performance Diagnostic : Windows Performance Diagnostic : vérifier ce qui ralentit Windows
Vous avez créé une clé USB pour installer Windows 7 et Windows 10 mais vous n’arrivez pas à faire démarrer votre PC dessus. Impossible donc de booter ou démarrer sur la clé USB de Windows 7 et 10 pour lancer l’installation.
Cet
article vous donne les grandes lignes des problèmes qui peuvent parfois
faire que la clé USB n’est pas détectée ou il ne se passe rien lorsque
vous tentez de démarrer dessus. Impossible de booter ou démarrer sur une clé USB Windows 7, 10.
Impossible de booter ou démarrer sur une clé USB Windows 7, 10
Les outils pour créer une clé USB bootable
Pour
commencer, quelques mises au point concernant les outils pour créer une
clé USB, il en existe beaucoup et l’article suivant en énumère les
principaux : Comment créer une clé USB bootable En général, pour créer une clé d’installation de Windows, vous utilisez deux outils :
MediaCreation Tool,
c’est l’outil qui est proposé depuis le site de Microsoft. Il a
l’avantage de télécharger l’ISO d’installation de Windows 8 ou 10 et
créer la clé USB. Aucun paramètre technique n’est demandé.
Rufus
qui s’est vite imposé comme un outil populaire. La création de la clé
USB est plus complexe car des informations techniques sont demandés.
Rufus on en parle sur la page suivante : Comment créer une clé USB d’installation de Windows
Potentiellement,
c’est avec ce dernier où il peut y avoir des problèmes car les réglages
donnés ne correspondent pas à ceux attendu par l’ordinateur. Ainsi,
nous vous recommandons dans un premier temps de créer la clé USB avec
MediaCreation Tool qui est plus simple d’utilisation.
Les bon réglages du BIOS
Nous allons évoquer les réglages du BIOS, en effet, sur les forums, il y a souvent des confusions.
Malheureusement en suivant des tutoriels s’y et là, qui font changer
des paramètres sur le BIOS, vous faites souvent empirer les choses. Pour faire démarrer votre clé USB sur un ordinateur, vous n’avez normalement pas à changer les paramètres du BIOS.
Sur un ordinateur récent, la clé USB peut-être formatée en FAT32 et le format en GPT.
Sur les ordinateurs plus anciens, disons plus de 4 ans, la clé USB peut-être formatée en NTFS mais FAT32 fonctionnera aussi.
Un rappel rapide des options du BIOS que vous avez tendance à toucher :
CSM permet à l’ordinateur de démarrer sur une clé USB non-UEFI. Cela n’a donc aucun intérêt à être activé sur un ordinateur récent.
Legacy BIOS permet d’émulé les BIOS hérité sur un ordinateur UEFI.
Secure boot : vérifie la signature numérique du chargeur de démarrage. Dans le cas de Windows, il l’est donc aucun intérêt à être désactivé.
Donc
ce qu’il faut donc bien comprendre, c’est que si la clé USB est bien
faites, vous n’avez normalement pas à changer quoique ce soit dans les
paramètres du BIOS. Typiquement pour un ordinateur récent, cette
option de Support Legacy n’est pas à activer et vous n’avez pas besoin
de désactiver le Secure Boot. Si vous avez une option CSM, elle ne doit pas non plus être activée.
Pour démarrer votre PC sur une clé USB, vous n’avez pas besoin de modifier l’ordre de démarrage dans le BIOS. En effet, il existe un boot menu ou menu d’amorçage qui permet de faire démarrer l’ordinateur sur un périphérique spécifique.
Voici un exemple de gestionnaire d’amorçage ou menu des options
d’amorçage qui vous permet d’indiquer temporairement sur quel
périphérique accéder. Parfois,
l’accès à ce menu pose problème (ou même pour accéder au BIOS), en
effet les touches ne sont pas les mêmes selon la marque et le modèle
d’ordinateur. Pour vous aider à vous y retrouver, nous avons un article avec la liste des touches raccourcis : Liste des touches accès au BIOS ou Boot menu par constructeur (Acer, ASUS, Lenovo, etc)
Pour
les netbook et certains type d’ordinateur portable, le fast boot peut
empêcher l’accès au boot menu. Il vous faudra alors désactiver le Fast
boot dans le BIOS. Dans ce cas là, autant faire démarrer directement sur la clé USB depuis le BIOS de l’ordinateur.
Rien ne se passe ou erreur de sécurité
Autres problèmes qui peut arriver lorsque vous tenter de booter et démarrer sur la clé USB.
Après
avoir sélectionnée celle-ci sur le boot menu, l’ordinateur tente de
démarrer dessus et revient sur le BIOS ou rien ne se passe. En général, cela provient d’un problème de sécurité et de violation du Secure Boot. Sur certains ordinateurs, vous pouvez aussi avoir un message :
Recréer la clé USB d’installation de Windows en la formatant en FAT32.
Autres recommandations
Si les problèmes pour booter sur la clé USB persistent, tentez ceci :
Tester la clé USB sur tous les ports notamment façade et à l’arrière
Pour
les ordinateurs récents, tenter en la formatant en NTFS, en effet, dans
certains cas le fichier install.wim ou install.esd peut dépasser les 4
Go ce qui dépasse la limitation FAT32.
Ci-dessous,
Rufus qui formate la clé en FAT32, on peut voir une différence dans la
taille du fichier install.wim source de l’ISO et celui de la clé USB. Cela ne va pas causer des problèmes pour booter sur la clé USB mais plutôt des erreurs durant l’installation de Windows 10.
Cela provient de la limite des 4 Go sur la taille de fichiers sur FAT32
ainsi, il est plutôt recommandé de formater la clé en NTFS.
Il se peut que Windows 7 ou 10 bug, plante et affiche des messages
d’erreur lors du lancement d’une application ou de mises à jour de Windows Update. Pire encore, Windows peut planter durant le démarrage et passer en réparation automatique en boucle. Dans ces deux cas l’invite de commandes de Windows est disponible pour tenter de réparer ce dernier.
Cet article récapitule toutes les commandes utiles afin de pouvoir réparer Windows 10.
Réparer Windows 7, 10 depuis l’invite de commandes
Dans cet article, deux cas seront distincts :
Premier
cas, Windows démarre entièrement et vous avez la main sur le bureau de
Windows et donc vous pouvez facilement ouvrir l’invite de commandes pour
effectuer des vérifications et réparation.
Le second cas où Windows plante durant le chargement.
Windows 10 doit vous donner assez facilement assez aux options de récupération où depuis ces dernières l’invite de commandes est disponible. La syntaxe des commandes à utiliser peut alors être différente.
Sur
Windows 7, il faut tapoter sur F8 avant le chargement de Windows afin
d’ouvrir les options pour réparer son ordinateur où s’y l’invite de
commandes. Plus d’informations : Les options de récupération de Windows 7.
Les outils qui sont proposés d’utiliser dans cet article pour vérifier et réparer Windows 7, 10 :
SFC : vérifie les fichiers systèmes et tente de les corriger si ces derniers sont corrompus.
DISM : vérifie l’image des packages de Windows pour détecter des anomalies pour les corriger.
Cas 1 : Windows démarre
Vous avez donc assez au bureau, c’est déjà cela. Pour tenter de réparer Windows 10 depuis l’invite de commandes, dans un premier temps, ouvrez celle-ci en administrateur. La page suivante donne toutes les méthodes : 5 méthodes pour ouvrir l’invite de commandes sur Windows 10
Le plus simple est de faire une recherche Cortana puis un clic droit exécuter en tant qu’administrateur l’invite de commandes.
chkdsk
Dans un premier temps, lancer un checkdisk de votre disque C avec la commande suivante :
chkdsk c: /R /F
Cela doit vous indiquer qu’il faut effectuer une vérification au redémarrage de Windows. Il faut alors accepter en appuyant sur la touche o puis entrée. Redémarrez l’ordinateur et laissez le scan se faire, il peut très facilement durer plusieurs heures.
En
cas de plantages réguliers de Windows, il est fortement recommandé de
vérifier la santé de son disque dur avec un utilitaire du type
CrystalDiskInfo, plus d’infos : Vérifier la santé de son disque dur.
SFC et DISM
Une fois le checkdisk terminé, enchaîne avec la commande SFC toujours depuis l’invite de commandes en administrateur. Le but est de vérifier que les fichiers systèmes de Windows sont sains et non corrompus.
SFC /scannow
Si des fichiers sont corrompus, sfc tente de les réparer, s’il n’y parvient pas les choses se corsent. Demandez alors de l’aide sur le forum en décrivant tous les problèmes rencontrés.
Sinon enchaînez avec la commande DISM en utilisant la syntaxe suivante et en laissant l’analyse se faire à chaque fois.
La commande DISM est réservée à Windows 10, cela ne fonctionnera pas sur Windows 7. Pour effectuer une vérification DISM sur Windows 7, suivre ce lien : DISM : réparation de fichiers systèmes Windows
Là aussi, si
aucune anomalie n’est détectée, cela est bon signe. Par contre, si DISM
s’interrompt durant l’analyse avec des codes erreurs 0x, cela n’est pas
bon signe sur l’état du système. Vous pouvez là aussi demander de l’aide gratuitement sur le forum.
Cas 2 : Windows plante durant le démarrage
L’invite de commandes est accessible depuis les options de récupération de Windows comme mentionné dans l’introduction. Il est aussi possible d’utiliser ces dernières depuis le Live CD Malekal.
Dans
ce scénario, nous partons du principe que le volume où Windows est
installé depuis les options de récupération porte la lettre C. Si ce n’est pas le cas, il faudra modifier la lettre dans chaque commune.
La
commande checkdisk reste inchangé, la seule différence est qu’il n’est
pas nécessaire de faire redémarrer l’ordinateur puisque vous n’avez pas
démarré l’ordinateur depuis la partition de Windows.
chkdsk c: /R /F
Du
côté de SFC et DISM, les syntaxtes commandes diffèrent comme vous ne
démarrez pas depuis Windows mais le principe de l’analyse reste la même. Ainsi la commande SFC devient la suivante :
Vous souhaitez vendre votre ordinateur en Windows 10. Toutefois, vous ne voulez pas que le nouveau propriétaire puisse avoir accès à vos données.
Cet article donne la démarche pour nettoyer et supprimer les données
afin de pouvoir ensuite vendre votre ordinateur en Windows 10.
Le but est donc de vider le contenu et remettre à zéro Windows 10 avant la vente du PC.
Ne
vous inquiétez pas, sur Windows 10 le nettoyage complet de l’ordinateur
avant la vente a été grandement facilité par rapport à Windows 7. Dans cet article, vous trouverez les étapes suivantes à effectuer avant la vente de votre ordinateur en Windows 10.
Sauvegarder les documents importants
Réinitialiser pour remettre à zéro Windows 10
Enfin, quelques informations sur les licences de Windows 10 vous sont aussi communiquées.
Effacer ou nettoyer les données PC avant vente Windows 10
Sauvegarder les documents importants
Vous devez dans un premier temps sauvegarder vos documents, en effet, vous allez devoir les transférer sur le nouvel ordinateur. Pour cela, vous pouvez les copier sur un disque dur externe ou utiliser la sauvegarde de Windows 10 : Windows 10 : Comment sauvegarder ses données personnelles
Une fois la sauvegarde faites, vous devrez restaurer ou recopier les fichiers sur le nouvelle ordinateur.
Rendez-vous dans les paramètres de Windows 10 > Mise à jour et sécurité > Rétrograder à gauche. Cliquez en haut sur Commencer dans la partie Récupération.
Choisissez l’option Supprimer Tout pour ne pas conserver les données, ainsi Windows 10 sera complètement remis à zéro.
Ensuite, pour des raisons de sécurité, il vaut mieux de choisir la seconde option « Supprimer les fichiers et nettoyer le lecteur« . En effet, le nouveau propriétaire pourrait à partir d’outils de récupération de fichiers retrouver vos fichiers ce qui peut poser des problèmes de confidentialités. Cette option rendra la récupération plus difficile voire impossible.
Enfin tout est prêt pour réinitialiser le PC, cliquez sur sur le bouton Réinitialiser. L’opération va s’effectuer et l’ordinateur peut avoir besoin de redémarrer plusieurs fois.
Une fois la réinitialisation de Windows 10 terminée, on arrive sur une page de paramétrage.
Vous pouvez éteindre l’ordinateur sur cette partie afin que le nouveau
propriétaire puisse effectuer ses paramètres et indiquer le compte
utilisateur.
Informations sur les licences lors d’une remise à zéro
Les licences de Windows 10 sont des licences attachées à l’ordinateur. Ainsi, si vous réinitialisez Windows 10, la licence n’est pas perdue et Windows 10 sera automatiquement activé. De ce côté là, vous n’avez donc aucune opération spécifique à effectuer.
Plus d’informations sur les licences Windows 10.
Cet article vous explique comment accélérer Windows 7. En règle générale, les ralentissements proviennent de lenteurs dues à l’accumulation de programmes et mauvaises habitudes. Vous trouverez toutes les étapes pour nettoyer Windows afin de le rendre plus rapide.
Comment Optimiser et Accélérer Windows 7.
A forcer d’installer des applications, ces derniers restent présentes et vous les avez oubliées. La plupart se lancent au démarrage de l’ordinateur et peuvent ralentir ce dernier. Pour désinstaller les applications sur Windows :
Ouvrez le Panneau de configuration
puis programmes et fonctionnalités.
La liste des applications installées s’ouvrent alors, vous pouvez lancer une désinstaller en double-cliquant dessus.
Nettoyer les programmes installés et au démarrage de Windows 10
Vous avez supprimé les programmes inutiles mais il reste encore des programmes installés que vous utilisez. Ces derniers se lancent au démarrage de l’ordinateur et peuvent donc le ralentir.
Il
faut donc limiter le nombre de programmes au démarrage de Windows. En
effet, plus vous avez d’applications en cours d’exécution, plus cela
tire sur les ressources systèmes.
Sur Windows 7 pour supprimer un programme du démarrage, il faut utiliser l’utilitaire msconfig.
Vous pouvez lancer ce dernier par la combinaison de touche : Touche Windows + R
Dans la fenêtre exécuter, saisissez : msconfig puis OK
Clique sur l’onglet Démarrage
Décochez les programmes potentiellement inutiles qui se placent au démarrage de Windows.
La page suivante vous donne les étapes pour désactiver les programmes au démarrage de Windows : Supprimer les programmes au démarrage de Windows
Utorrent
est un cas à part, car si vous désactiver ce dernier depuis Windows, au
prochain lancement, il va se remettre au démarrage de Windows. Or Utorrent a tendance à bouffer la bande passante et effectue beaucoup d’accès disque. Pour supprimer Utorrent du démarrage, se reporter à la page : Comment supprimer Utorrent du démarrage de Windows
Accélérer le démarrage de Windows 7
Vous pouvez tenter ensuite d’accélérer le démarrage de Windows 7 en suivant une astuce. Cette astuce se base sur la configuration du système et l’utilitaire msconfig.
Utilisez la combinaison de touche : Touche Windows + R
Dans la fenêtre exécuter, saisissez : msconfig puis OK
Clique sur l’onglet Démarrer
puis en dessous à gauche du tableau, cliquez sur Options avancées
En haut, il faut définir le nombre de processeur et Mémoire maximale avec le maximum possible. Le nombre de processeur étant le nombre de core que votre processeur possède. Et la mémoire maximale étant la mémoire RAM maximale. Vous pouvez utiliser l’utilitaire d’informations système si vous ne savez pas combien de mémoire votre ordinateur possède : Comment identifier le matériel de son ordinateur Le prochaine démarrage de Windows 7 devrait être un peu plus rapide.
D’autres astuces pour accélérer le démarrage de Windows sont disponibles sur la page : Comment accélérer le démarrage de Windows
Optimiser les navigateurs internet
Les navigateurs internet sont devenus des applications centrales. De bonnes habitudes sont aussi à prendre avec Chrome ou Firefox afin de ne pas rendre ces derniers lents.
Les pages suivantes vous donnent de bons conseils pour accélérer Chrome ou Firefox :
Le antivirus gratuits ont de plus en pus tendance à proposer l’installation de programmes additionnels comme nouvelle source de revenu. Cette accumulation de programmes inutiles peuvent ralentir Windows. Désinstaller tous ces programmes inutiles, pour cela, suivre l’article : Antivirus gratuits : désinstaller les composants inutiles
Dans le lien précédent, il est aussi expliqué dans le cas d’Avast! comment passer ce dernier en mode d’installation minimale.
Pour les ordinateurs à petites configurations, 2 Go voire 4 Go pour les
portables anciens, il peut être conseillé de limiter le nombre de
modules installés par Avast!.
Nettoyer Windows 7
Si Windows 10 est installé depuis un moment, vous pouvez ensuite opérer un nettoyage complet de Windows 10. Cela ne fera pas de mal. Là aussi, un tutoriel sur le site existe : Comment nettoyer Windows
Les liens autour de l’optimisation de Windows
Tous les liens autour des lenteur de Windows avec les conseils et résolutions.