Une
nouvelle solution d'intelligence artificielle permet de détecter des
visages et d'identifier des individus à partir d'images de basse
résolution et sans grande puissance de calcul.
Devant nous, la photo d’un délinquant responsable
d’une série de vols à la tire. L’image, extraite de la vidéosurveillance
du métro de Toulouse, présente une mauvaise définition de seulement 30 x
30 pixels. Pourtant, les services de police ne vont mettre que quelques
secondes à reconstituer tout le parcours de l'individu dans les
transports à partir de différentes caméras. Et aussi peu de temps à
l'identifier dans leur base de données. Grâce au logiciel de la société
BrainChip qui vient de remporter un prix de l’innovation lors du salon
Milipol la semaine dernière à Paris.
Jusqu’à maintenant, la reconnaissance faciale reposait principalement
sur une antique technique consistant à mesurer la distance entre des
séries de points constitués par les yeux, le nez ou encore la bouche. Ce
qui nécessitait non seulement de recourir à des images HD, mais aussi
de disposer d’une certaine puissance de calcul. BrainChip est en passe
de s’affranchir de ces contraintes.
A l'origine, une technologie française
Cette société née en Australie, a ouvert des bureaux en Californie et
racheté l'année dernière la start-up d'intelligence artificielle
toulousaine Spikenet, une spin-off du CNRS dont elle reste proche. Son
logiciel est donc issu à l'origine d'une technologie française. « Contrairement à un réseau neuronal convolutif qui doit être
entraîné préalablement à reconnaître des critères sur des quantités
phénoménales de data, nous pouvons exercer notre réseau à partir d’une
seule image », nous explique Bob Beachler, Senior Vice Président Marketing et Business de la société.
C’est ce que l’on appelle de l’apprentissage non
supervisé, c’est-à-dire que la méthode consiste à distinguer des motifs
récurrents et à regrouper les données par similarité. L’avantage est de
pouvoir soumettre de façon spontanée n’importe quelle image avec un
minimum de 24 X 24 pixels et d’obtenir un résultat quasiment en temps
réel.
Le processus est toujours le même : l'utilisateur crée un modèle à
partir d'un visage tiré d'une vidéo ou d'une photo. Si l'image est
floue, l'opérateur peut extraire de la même manière un tatouage, un
dessin sur un t-shirt ou un accessoire distinctif (voir la capture
d'écran ci-dessous). La machine la compare ensuite aux images d'une
caméra en temps réel ou à des enregistrements. Elle sort alors un panel
de 20 à 30 captures se rapprochant le plus du modèle. A charge pour
l'homme de vérifier en bout de course la pertinence du résultat. La
puissance du logiciel est telle qu'il est capable d'identifier des
personnes même si elles portent une capuche, des lunettes ou qu'elles
affichent 20 ans de plus que sur l'image de départ .
Un réseau neuronal inspiré de l'homme
Une performance possible grâce à la particularité du réseau neuronal de BrainChip. « Nous
nous sommes inspirés du fonctionnement du cerveau humain et de ses
synapses qui émettent des décharges électriques pour actionner les
neurones », ajoute encore Bob Beachler. L’idée a donc été de copier
le système visuel de l’homme dont le traitement d’image repose sur la
propagation d’une vague d’impulsions à travers plusieurs couches de
neurones. On appelle cela un réseau de neurones impulsionnels (spiking
neural network). Et c’est la première société à lancer une suite
logicielle basée sur cette méthode dans le domaine de la surveillance
civile. Le programme est commercialisé depuis le mois de juillet dernier
et testé en France par la police nationale de Toulouse, la DGSE ainsi
que la préfecture de police de Paris. Le but n'est pas seulement de s'en
servir pour retrouver la trace de suspects mais aussi de potentiels
témoins ou victimes.
BrainChip propose en sus depuis octobre dernier, une version hardware
: BrainChip Accelerator. Ce sont des circuits intégrés reprogrammables
en silicium. Leur intérêt est d'être facilement intégrable à des
serveurs ou des caméras et de multiplier par 6 la vitesse et la
précision du logiciel. Intel et IBM s'activeraient actuellement pour
sortir des solutions similaires et concurrentes.
Que se soit un rabais de nouveau client , un rabais de service jumelé,un rabais de renouvellement de contrat, un droit acquis, un service gratuit etc...............tout est écrit en petit caractère donc inacessible pour les personnes âgées et si vous ne le demander pas , par exemple pour une fin de contrat ou un renouvellement a prix spéciaux vous aurez rien ! Des exemples,..........les cellulaires, l' internet haute-vitesse(avec les quota de data),l'assurance ,les frais de carte de crédit déguisé en frais d'identité et de protection ,........................ etc ...........c'est dla marde de capitaliste , le service ça existe plus, au 21 ième siècle !
Un simple exemple de renouvellement d'assurance auto , jumelé avec l'habitation.Ce rabais offert lors de votre première année , sera omis la deuxième année, a votre insus; Et si jamais ça perdure, vous perderez votre rétroactif cumulé !
Donc,ci-dessous lors de la correction du rabais omis, l'assureur a corrigé pour 11 mois,car l'appel a été fait en début de contrat au premier mois, et donc applicable le 2 ième mois , ce qui fait que le client perd un mois de rabais, on le voit dans la facturation d ajustement ! Il n' y a pas de meilleur cie,tous ont les mêmes barèmes, la différence c'est vous qui devez la vérifier a chaque année ,pour vos droits de rabais ,concernant vos renouvellements de contrats.SSQ, Bélair , etc ..... c'est dans l'cul !
Et les montants que vous perdez par année,bien ,....................sur 3 ans ,ça équivaut a un an d'assurance auto , que se soit pour une vieille auto ou neuve, c'est le même montant ! Lisez ceci !
Selon les spécialistes , ce sont les placements a faible taux d'intérêt fixe,genre 1% garantie sur 5 ans qui sont plus rentable que ceux a risque qui vous donneront beaucoup plus ,mais a perte !
Vous perderez plus de 63% de vos profits en frais de tout genre avec la cote de vos traders qui se paye grassement a même vos profits !
Voici ce qu'ont dit les spéçialistes a l'émission Frontline ! ICI !
Exemple: un fond de pension ,placer en investissement a risque, perd de l'argent de ces temps-ci ,alors changer moi tout ça et écoutez pas votre banquier ! On menace de tout retirer ,allez-up !
Nota: Avec les futures crises économiques a venir,déja programmé comme la prochaine bulle immobilière,.....la création de la Bourse shanghai,la décroissance des pays émergeants, les banques sont en mode récupération des argents perdus dans la dernier crash boursier,les pertes avec les vols d'identités, le Bitcoin (de qui personne ne connaît les créateurs),les argents perdus dans les paradis fiscaux, etc................. sont nos indicateurs ! Le monde(demon)veut sa part du gâteau de feu !$!
Mais il n'est pas en Chocolat,il est en Marde ; c'est la même couleur LoL, le sentez-vous !
Conclusion: Pourquoi ? Parce que la mort annoncé de l'argent est proche !
Tout est virtuel et invisible ,sauf l'argent ;-)
John Pierpont Morgan, dit J. P. Morgan, (né le à Hartford dans le Connecticut - mort le à Rome en Italie) est un financier et un banquieraméricain.
Tout d'abord centré sur les banques, l'empire de Morgan s'est
progressivement étendu à de nombreux autres domaines comme
l'électricité, l'acier, le chemin de fer et la navigation. Dans ce
dernier domaine, il est le fondateur de l’International Mercantile Marine Company, compagnie maritime regroupant nombre de compagnies américaines mais également britanniques (notamment la White Star Line). À ce titre, Morgan est de fait le propriétaire du Titanic qui sombre un an avant sa mort.
Gérant un capital colossal, il a souvent été décrit comme un magnat
des finances à l'influence redoutable. Il se montre également un grand
collectionneur d'œuvres d'art, de livres et de montres. Ses collections
sont notamment visibles au Metropolitan Museum of Art et à la Pierpont Morgan Library de New York.
Son nom est à l'origine de celui de la banque JPMorgan Chase issue de la fusion de la J.P. Morgan & Co. et de la Chase Manhattan Bank.
Il est le fils du financier Junius Spencer Morgan(en) et de Juliet Pierpont. Son père travaille notamment avec George Peabody, influent banquier dont il prend la succession[1]. Désireux de voir son fils recevoir une bonne éducation, il envoie celui-ci faire des études en Europe dans un pensionnat suisse puis à l'université de Göttingen en Allemagne[2]. JP apprend le français et l'allemand, qu'il parle couramment, et devient féru d'art et de culture européenne[3]. Il quitte l'université avec un diplôme d'histoire de l'art et effectue un voyage à Londres[4].
Carrière
Débuts
John Pierpont Morgan dans sa jeunesse
Morgan est admis grâce à son père dans la firme new-yorkaise Duncan, Sherman, & Company en 1857.
Par la suite, il avoue avoir utilisé l'argent de la banque pour
s'enrichir personnellement en spéculant sur le commerce de grains de café[5]. Il rejoint la firme de son père en 1861 en travaillant à New York dans la J. Pierpont Morgan Company[2].
En octobre 1861, il épouse Memy alors que celle-ci est déjà atteinte de
tuberculose. La mort de cette dernière en février 1862 le marque
profondément et fait de lui un homme d'affaires avec plus de scrupules
que les autres « titans » de l'industrie du Gilded Age (littéralement « âge doré ») que sont Rockefeller, Astor, Vanderbilt ou Carnegie[6],[7].
En 1864 et jusqu'en 1872, il devient membre de la Dabney, Morgan & Company. En 1871, il forme avec Anthony J. Drexel, de Philadelphie, la Drexel, Morgan & Company de New York.
Bourreau de travail, il invente la finance moderne en rachetant de
petites entreprises, en les réorganisant et en les revendant plus cher[8].
Durant la Guerre de Sécession,
Morgan s'investit dans la vente d'armes, achetant des fusils obsolètes à
l'armée avant de les faire remettre en état, puis de les revendre à
l'armée beaucoup plus cher. Cependant, de telles armes sont défectueuses
et un scandale éclate. Le gouvernement refuse de payer Morgan, qui doit
le poursuivre à deux reprises[9]. Comme beaucoup de gens riches de l'époque, Morgan échappe à l'engagement militaire en payant 300 dollars de compensation[10].
À la mort de son père en 1890, puis de son associé Anthony J. Drexel en 1893, Morgan prend le contrôle de la J.P. Morgan & Co.
(renommée en 1910 Morgan, Grenfell & Company). Cette firme est
reconnue dans le monde entier comme l'une des plus puissantes de
l'époque[11]. De plus, Morgan se tourne vers de nouveaux marchés. Dès 1885, il participe à la formation d'un trust entre deux compagnies ferroviaires en difficulté qui, débarrassées du problème de la concurrence, font de grands profits[2]. En 1905,
Morgan possède 5 000 miles de chemin de fer. Il investit également dans
le domaine de l'électricité, et finance les travaux de Thomas Edison et Nikola Tesla dans les années 1870 et 1880. Il fonde également l'Edison Electric Company.
L'industrie ferroviaire demandant beaucoup d'acier, il se tourne
aussi vers la sidérurgie : il entreprend en 1900 des négociations avec
Charles M. Schwab et Andrew Carnegie
en vue de racheter leurs parts dans Carnegie & Co. et de créer, par
regroupement avec d'autres forges et usines sidérurgiques, un géant
américain de l'acier, United States Steel Corporation[12]. Carnegie accepte l'offre de Morgan de quelque 487 millions de $[12] ;
cette transaction est conclue sans avocats ni même aucune trace écrite.
La nouvelle de cette concentration ne parviendra aux journaux qu'à la
mi-janvier 1901. U.S. Steel ne voit le jour que plus tard dans l'année ;
c'est alors la première compagnie au monde dont le capital atteint le
milliard de dollars, avec une capitalisation autorisée de 1,4 milliards de $[13],[11].
Une autre filière dans laquelle il investit par la suite est le
transport maritime. Soucieux de créer une grande compagnie maritime
américaine, il rassemble plusieurs compagnies des États-Unis au sein de l'International Navigation Company (IMM). En 1902, il réalise un coup de maître en s'emparant de la Leyland Line, une importante compagnie des cargos britanniques, et surtout de la White Star Line,
compagnie de même nationalité. Il signe également des partenariats avec
les grandes compagnies allemandes et son trust, renommé International Mercantile Marine Company, ne semble plus connaître d'opposition, à l'exception de la Cunard Line,
à laquelle le gouvernement britannique verse même des subsides pour
contrer cette nouvelle concurrence. Pour autant, l'IMM Co. n'était pas
aussi rentable que prévu et subira plusieurs coups durs, notamment le naufrage du Titanic et les torpillages allemands de la Première Guerre mondiale.
Conscient qu'il était défiguré par la couperose, Morgan détestait être pris en photo.
Son monument funéraire à Hartford, Connecticut, sa ville natale
Cependant, les affaires de Morgan sont florissantes et celui-ci se
permet même de prêter de grosses sommes d'argent lors des crises de 1895
et 1907, au grand dam des ennemis des trusts.À cette époque, il n'existait pas de banque centrale américaine pour réinjecter des liquidités sur le marché.Le processus allait aboutir le 22 décembre 1913 à la création de la Réserve fédérale des États-Unis(FED).J.P. Morgan tomba gravement malade, et s'éteignit le , neuf mois avant que sa banque ne soit remplacée officiellement comme instance de dernier recours par la réserve fédérale.Les associés de Morgan siégeaient dans les conseils d'administration de
112 grosses entreprises avec un capital de 22,5 milliards USD (le volume
des capitaux sur la bourse de New York s'élevait environ alors à 26,5
milliards USD).
Il utilise également sa
fortune pour agrémenter ses collections[3] et fait de nombreux dons philanthropiques à des écoles, des hôpitaux et autres œuvres de charité.
Morgan est le fondateur du Metropolitan Club de New York qu'il
préside de 1891 à 1900. Il a pris cette initiative à la suite de l'exclusion
d'un de ses amis, Frank King, de l'Union Club de New York pour avoir
exercé un travail manuel dans sa jeunesse. Morgan fait don au
Metropolitan des terrains de la 5e Avenue et de la 60e
rue (montant estimé à l'époque à 125 000 $) et charge Stanford White de
construire l'hôtel particulier qui abritera les membres, sans se
soucier du montant des travaux[14].
Indirectement propriétaire du Titanic, il voulait participer à son voyage inaugural. Il préfère au dernier moment annuler sa traversée[15] et rester à Aix-les-Bains pour fêter son anniversaire avec sa maîtresse[16],
échappant ainsi au naufrage. Un journaliste l’aurait vu dans la station
thermale quelques jours après la tragédie en compagnie de sa maîtresse
et apparemment insouciant ; cette attitude a, toutefois, été
complètement oubliée face au comportement de Joseph Bruce Ismay.
Morgan meurt dans son sommeil le 31 mars 1913 au Grand Hôtel de Rome alors qu'il voyage en Europe. On met en berne les drapeaux dans Wall Street ; la bourse de New York suspend son activité pendant deux heures à l'occasion du passage de son convoi funèbre[17].
À sa mort, il ne détenait en capital que 19 % de sa fortune, un
patrimoine d'une valeur de 68,3 millions de $ de l'époque (soit
1,39 milliards de dollars actuels selon CPI, ou 25,2 milliards d'après relative share of GDP),
dont 30 millions environ en actions dans les banques de New York et
Philadelphie. La valeur de ses collections était estimée à 50 millions
de $[18].
Il est inhumé dans le cimetière de Cedar Hill de sa ville natale, Hartford (Connecticut). Son fils, J. P. Morgan Jr, hérite de son empire bancaire[19].
Divers
Après la guerre franco-prussienne de 1870, son père aida la France en lançant « l'emprunt Morgan » qui activa la libération du territoire.
On peut noter quelques financements qui lui sont attribués (par l'intermédiaire de ses sociétés) :
dans le transport, une grande partie de la réorganisation ferroviaire des États-Unis, et la construction du Titanic par l'intermédiaire de la White Star Line détenue par l'International Mercantile Marine Co., dont il était propriétaire ;
dans la recherche, une partie des travaux de Nikola Tesla ;
en politique, en 1895,
il fut un temps créancier du gouvernement des États-Unis, pour un prêt
de 62 millions de dollars qui rapporta 100 millions de dollars de
bénéfice.
Son portrait figura longtemps sur les billets du Monopoly. Il a souvent été caricaturé de façon à rappeler un rapace[21].
Morgan considérait, au début du vingtième siècle, qu'un président de
grande société ne devait pas gagner plus de vingt fois la moyenne de
ses employés.
Il s'est illustré en volant une bouteille de cognac « Fine Napoléon » rarissime dans les caves de La Tour d'Argent
à Paris. Le restaurant, qui n'en possédait que deux, a accepté la
lettre d'excuses du milliardaire et lui a retourné le chèque en blanc
qu'il leur avait adressé en guise de dédommagement[23].
Et si c’était le plus grand braquage de tous
les temps ? D’après l’éditeur Kaspersky, un gang international de
pirates informatiques a pillé des dizaines banques grâce à des
techniques particulièrement évoluées.
Les chiffres donnent le tournis.
D’après une étude menée par Kaspersky avec le concours d’Europol et
d’Interpol, une équipe internationale de pirates informatiques non
identifiés aurait dérobé au moins 300 millions de dollars à une centaine
de banques et d’institutions financières dans une trentaine de pays du
monde. « Au moins », car selon Kaspersky, ce chiffre pourrait être trois
fois plus important et les sommes volées atteindre presque un milliard
de dollars !
On ne sait quelle banques ont été
touchées accords de confidentialité obligent- mais il y en a partout
dans le monde, aussi bien en Russie qu’au Japon, en Suisse qu’aux
Etats-Unis. La France n’est pas épargnée, avec au moins un établissement
piraté. Les sommes volées varient selon les banques, mais certaines ont
perdu jusqu’à 10 millions de dollars.
Pour commettre leur forfait, les pirates
ont usé de techniques particulièrement avancées, et ont pris leur
temps. Leur opération a débuté à la fin de l’année 2013 et chaque vol a
nécessité entre deux et quatre mois de travail.
Le gang –baptisé Carbanak par Kaspersky,
du nom du malware qu’ils ont utilisé- a d’abord attaqué de façon
classique, par le biais d’une campagne de Spear Phishing (de l’hameçonnage personnalisé), à
destination d’employés de banques bien précis. Une fois leur logiciel
malveillant implanté, ils ont réussi à pénétrer le réseau interne de
l’établissement et à accéder aux ordinateurs des administrateurs,
utilisés notamment pour la vidéosurveillance. Dès lors, ils ont observé
la routine quotidienne de l’entreprise et ont imité les tâches de ses
employés pour effectuer leurs opérations, ni vu ni connu.
Ils se sont ensuite amusés à virer des
fonds vers des comptes qu’ils avaient créé pour l’occasion, notamment
dans d’autres banques chinoises ou américaines. Dans certains cas, ils
sont parvenus carrément à modifier des valeurs de comptes à la volée :
ils ajoutaient par exemple des fonds à un compte, avant de virer le
surplus sur le leur. La banque comme son client n’y voyait que du feu.
Encore plus fort : pour retirer du cash,
ils ont réussi à prendre le contrôle de distributeurs automatiques, en
le reprogrammant pour qu’il sorte des billets automatiquement à un
moment précis. Un des leurs n’avait qu’à se rendre sur place à l’heure
exacte pour que la machine lui donne de l’argent !
Le
nombre d’attaques contre les grandes entreprises a bondi de 40 % sur un
an. Plus question de lancer des attaques de manière hasardeuse : selon
une étude annuelle de Symantec, les cyberpirates sont de plus en plus
précis et organisés – la dernière offensive contre TV5 Monde l’a encore
montré. Désormais, ils s’infiltrent dans les réseaux des entreprises en
les poussant à […]
Sept
gros hébergeurs français (OVH, Gandi, Ikoula, IDS, Online, Lomaco et
AFHADS) préviennent qu’ils devront déménager si le projet de loi
Renseignement préparé par le Gouvernement contraint leurs clients à ne
plus héberger leurs données et services en France, où la confidentialité
sera menacée par les « boîtes noires » imposées aux opérateurs. Si
l’argument de l’atteinte aux […]
Un détenu anglais est parvenu à se faire libérer après avoir falsifié
l’en-tête d’un e-mail. Pour s’évader de prison en 2015, plus besoin d’un
hélicoptère, d’explosif ou d’une lime pour venir à bout de ses barreaux
: un e-mail peut suffire. En Grande-Bretagne, Neil Moore, un escroc
notoire, est parvenu à se faire libérer […]
Un nouveau malware de terminaux de cartes bancaires a été repéré par
les chercheurs en sécurité de Cisco’s Talos Security Intelligence, le
groupe de recherche de Cisco a annoncé qu’il est plus sophistiqué
qu’auparavant en comparaison des malwares déjà connus de terminaux de
CB. Le malware, surnommé « Poseidon », est conçu de façon qu’il ait […]
Un
rapport du régulateur américain réalisé en 2012 rendu public par
erreur, concluait que Google crée « un réel préjudice aux consommateurs
et à l’innovation » en abusant de sa position dominante. Oops. Alors
qu’il devait rester secret, la Commission Fédérale du Commerce (FTC) des
Etats-Unis a commis une bourde en transmettant par erreur au Wall
Street […]
Et si
c’était le plus grand braquage de tous les temps ? D’après l’éditeur
Kaspersky, un gang international de pirates informatiques a pillé des
dizaines banques grâce à des techniques particulièrement évoluées.
Les chiffres donnent le tournis. D’après une étude menée par Kaspersky
avec le concours d’Europol et d’Interpol, une équipe internationale de
pirates informatiques non identifiés aurait dérobé au moins 300 millions
de dollars à une centaine de banques et d’institutions financières dans
une trentaine de pays du monde. « Au moins », car selon Kaspersky, ce
chiffre pourrait être trois fois plus important et les sommes volées
atteindre presque un milliard de dollars !
On ne sait quelle banques ont été
touchées –accords de confidentialité obligent- mais il y en a partout
dans le monde, aussi bien en Russie qu’au Japon, en Suisse qu’aux
Etats-Unis. La France n’est pas épargnée, avec au moins un établissement
piraté. Les sommes volées varient selon les banques, mais certaines ont
perdu jusqu’à 10 millions de dollars.
Pour commettre leur forfait, les pirates
ont usé de techniques particulièrement avancées, et ont pris leur
temps. Leur opération a débuté à la fin de l’année 2013 et chaque vol a
nécessité entre deux et quatre mois de travail.
Le gang –baptisé
Carbanak par Kaspersky, du nom du malware qu’ils ont utilisé- a d’abord
attaqué de façon classique, par le biais d’une campagne de Spear Phishing (de l’hameçonnage personnalisé), à
destination d’employés de banques bien précis. Une fois leur logiciel
malveillant implanté, ils ont réussi à pénétrer le réseau interne de
l’établissement et à accéder aux ordinateurs des administrateurs,
utilisés notamment pour la vidéosurveillance. Dès lors, ils ont observé
la routine quotidienne de l’entreprise et ont imité les tâches de ses
employés pour effectuer leurs opérations, ni vu ni connu.
Ils se sont ensuite amusés à virer des
fonds vers des comptes qu’ils avaient créé pour l’occasion, notamment
dans d’autres banques chinoises ou américaines. Dans certains cas, ils
sont parvenus carrément à modifier des valeurs de comptes à la volée :
ils ajoutaient par exemple des fonds à un compte, avant de virer le
surplus sur le leur. La banque comme son client n’y voyait que du feu.
Encore plus fort : pour retirer du cash,
ils ont réussi à prendre le contrôle de distributeurs automatiques, en
le reprogrammant pour qu’il sorte des billets automatiquement à un
moment précis. Un des leurs n’avait qu’à se rendre sur place à l’heure
exacte pour que la machine lui donne de l’argent !
Un milliard de dollars volés dans plus d’une centaine de banques dans le monde... Détecté par Kaspersky,
le cyberbraquage mené par cette équipe internationale de pirates non
identifiés était un vrai travail de professionnel, remarquablement
organisé et techniquement sophistiqué. Mais concrètement, comment
ont-ils procédé ?
Pour s’introduire dans les réseaux
informatiques des banques, les pirates ont utilisé un moyen
ultraclassique : des emails piégés forgés sur mesure et envoyés à des
employés. Le corps du message faisait référence à une invitation, à une
réglementation financière, à une demande client, etc. En pièce jointe
figurait un fichier Word 97-2003 ou des fichiers systèmes (.CPL) cachés
dans une archive RAR. Il suffisait de cliquer et hop, l’ordinateur était
infecté par une porte dérobée baptisée Carbanak. Ce dernier, pour
rester discret, disposait même d’une signature valide. A noter que les
vulnérabilités exploitées pour compromettre les postes de travail sont
connues depuis quelques années et qu’il existe des patchs. Les systèmes
des victimes n’étaient donc pas à jour (ce qui est fréquent, hélas).
Grâce à la porte
dérobée Carnabak, les pirates ont pu espionner à loisir le réseau et les
processus de travail de la banque infectée. Ils récupèrent les mots de
passe système de l’utilisateur, naviguent à travers ses fichiers et ses
emails, analysent les applications métier intallées, sondent le réseau
et les contacts pour trouver des administrateurs systèmes à infecter,
installent des logiciels d’administration à distance, etc. Des captures
d’écran sont prises toutes les 20 secondes pour connaître précisément le
travail de la victime. Si une webcam est disponible, elle sera même
filmée. Toutes ces informations seront renvoyées sous forme compressée à
des serveurs de commande et contrôle situés à l’étranger, puis stockées
de manière systématique dans des bases de données.
Cette phase de
reconnaissance dure entre deux et quatre mois. Une fois qu’ils sont
parfaitement renseignés, les pirates passent à l’action. Ils créent de
fausses transactions internationales (SWIFT) pour alimenter leurs
comptes bancaires et insèrent de faux ordres de paiements en ligne.
Parfois, pour rester discrets, ils augmentent artificiellement le solde
d’un compte bancaire puis transfèrent la différence sur un compte dont
ils ont le contrôle. Ce qui permet de rester sous le radar des contrôles
comptables.
Plus impressionnant : les pirates ont
parfois pu accéder au réseau informatique qui reliait les distributeurs
de billets. Si ces derniers pouvaient être administrés à distance - ce
qui n’est pas toujours le cas - il leur suffisait d’envoyer quelques
lignes de commandes pour leur faire cracher le pactole. Pour réaliser
toutes ces opérations, pas la peine d’exploiter une quelconque
vulnérabilité : les pirates utilisaient les identifiants et mots de
passe de leurs victimes, tout simplement.
La livraison de poudre et autre dérivés hallucinogène se fait depuis loingtemps par taxi.
La protection des chauffeurs de taxi se fait par des fier-à-bras ,qui font de l'intimidation social.
La collusion avec l'industrie des pièces auto ,le vol d'auto,le vol de catalyseur , se fait par eux.
Ils en mène de plus en plus large.
Qui peut contracter la nuit dans un service 24/7 , les mains sales ? .............Les Taxis , et ont saient qui est assis derrière le volant, une communauté qui ne vient pas de la Nouvelle France , et non !
Vous ne faîtes que crétiquer le service et personnes du département des plaîtes vous écoute,ils n'ont même pas un ombudsman du citoyen .
Les contrôleurs du Métro n'ont même pas pattes blanche a la STM,......syndiqué endurci,droit acquis,personnes intouchables,toutes ces réponses sont bonnes.
Le réseau de la STM incluant le Métro de Mtl et des cie de Taxi a contrat avec la STM est pourri de l'intérieur !
La collusion avec le milieux policier se fait depuis longtemps.
Personne ne fait rien !
Personne ne se plaint,autant de rumeur que de mauvaise humeur,les histoires d'horreur sont la!
Des photos circule sur le web ,concernant certains fautif,ont attend celui des policier ,maintenant !