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mercredi 3 septembre 2014

Ordinateur Quantique : Google va construire son propre ordinateur quantique


Afin de ne plus avoir à partager, Google va concevoir son propre ordinateur quantique qui devrait être mis aux services des différents projets touchant les recherches en intelligence artificielle au sein du groupe.




Google va réaliser un saut quantique en matière d’ordinateurs… quantiques. Associé jusqu’à présent avec la NASA et l’USRA au sein du Quantum Artificial Intelligence Lab, le géant américain partageait son accès à un ordinateur quantique.

La firme de Mountain View a décidé de ne plus partager et va donc concevoir et construire un nouvel ordinateur grâce au professeur John Martinis, de l’université de Californie Santa Barbara, et à ses équipes. Le chercheur, qui restera lié à l’université pionnière dans le domaine, dirigera l’équipe Quantum Artificial Intelligence au sein de Google. Elle sera chargée de développer de nouveaux processeurs quantiques reposant sur des supraconducteurs de haute qualité.
© Erick Lucero
« Avec un groupe intégré chargé du matériel, l’équipe de Quantum IA sera maintenant capable d’implémenter et de tester de nouveaux designs pour l’optimisation quantique. Elle pourra également concevoir les processeurs en prenant en compte les derniers progrès théoriques, ainsi que ce que nous avons appris du D-Wave », un ordinateur quantique sur lequel Google a misé avant même de savoir s’il servirait à quelque chose ou fonctionnerait même.

Depuis quelque temps, Google accélère ses investissements dans le domaine de l’intelligence artificielle. Un secteur qui se trouve au cœur de nombreux projets, qu’il s’agisse de la recherche Web traditionnelle pour laquelle Larry Page estime qu’il y a encore beaucoup à faire ou de soutenir des moon shots, comme les Google Cars ou les robots. Ce nouvel effort fait également écho au rachat en janvier dernier de la société DeepMind, spécialisée dans l’intelligence artificielle. Aucune somme sur l’investissement concédé pour cette opération n’est pour l’instant communiquée.
 
 
Source.:

Cerveau de Google : la révolution de la recherche est en route


Avec ses expérimentations de réseaux neuronaux informatiques, Google bouleverse le potentiel de la recherche contextuelle et ouvre la porte à de nouveaux usages appliqués à des projets en cours, Google Cars et Glass en tête.




Google Now ou Field Trip sont les premiers pas, plus ou moins maladroits, de Google dans le monde de la connexion permanente, où l’information n’est plus recherchée mais fournie avant même qu’elle soit demandée par l’utilisateur. Ainsi Field Trip, quand il se sera enrichi, proposera avec précision les informations sur tout votre environnement en fonction de votre géolocalisation et de l’heure, par exemple.

Auto-apprentissage

En juin dernier, Google annonçait avoir créé son premier cerveau. En fait, un logiciel d’auto apprentissage, bénéficiant de la puissance d’un ensemble de 16 000 processeurs, ce que Google appelle une structure d’apprentissage à grande échelle sans supervision. Un cerveau qui à l’issu de tests poussés avait été capable d’apprendre seul à reconnaître un chat. En soi une performance digne de HAL et de Skynet.
Dans un article de la revue technologique du MIT, on apprend que Google ne s’est pas arrêté en si bon chemin et que son cerveau continue à apprendre, selon ses propres préférences : « les réseaux neuronaux choisissent par eux mêmes à quel ensemble de données ils vont prêter attention, et quels schémas importent, sans qu’une intervention humaine décide, par exemple, de la couleur ou d’une forme particulièrement intéressante pour le logiciel qui essaie d’identifier des objets ».

Reconnaissance vocale

Ainsi, selon la revue du MIT, Google utilise ses réseaux neuronaux pour  améliorer ses technologies de reconnaissance vocale. Un effort qui n’a pas été vain, puisque Vincent Vanhoucke, responsable de la reconnaissance vocale chez Google, reconnaissait que « nous avons améliorer (ses performances) de 20 à 25% en termes de (détection de) mots erronés. (…) Ce qui veut dire que plus de personnes bénéficieront d’une expérience parfaite, sans erreur ». Une progression limitée pour l’instant à l’anglais américain, mais qui pourrait être appliquée à toutes les langues, une fois la technologie utilisée avec ces autres dialectes et idiomes.
Pour donner un exemple des capacités de reconnaissance vocale, si le système pense avoir entendu quelqu’un dire : « je vais manger des lychees », mais n’est pas sûr d’avoir bien saisi « lychee », il vérifiera dans son ensemble de connaissances que le lychee est un fruit, qu’on l’utilise aussi dans le même contexte que « pomme » ou « orange » et qu’il est donc fort probable qu’on puisse « manger des lychees ».

Applications infinies

Par ailleurs, Jeff Dean, un des responsables de ce projet, détaille l’application de ce système à la reconnaissance simultanée de texte et d’une image. Ainsi, si on montre une image de lapin, le logiciel affichera le mot « lapin ». Là où la surprise se teinte de science fiction, c’est que la prochaine étape pourrait être d’utiliser le même modèle pour apprendre le son des mots. Ainsi, le « cerveau » de Google serait capable de reconnaître un mot prononcé et l’image qui le représente, y compris dans une vidéo ou dans la réalité. Une utilisation qui pourrait avoir des utilisations aussi bien dans le cadre de téléviseurs connectés que dans le cadre des Google Cars, ces voitures sans conducteur, qui doivent être capables de réagir à leur environnement sans intervention d’un humain, ou encore en utilisant un smartphone.

Un cerveau qui se ne lasse jamais

Les réseaux neuronaux informatiques de Google fonctionnent de manière très proche des cortex visuels des mammifères, qui découvrent par eux mêmes de nouveaux objets, par exemple. Pour l’instant, ce « cerveau » n’est pas capable d’égaler le nôtre, pour autant, indique Jeff Dean, pour certaines tâches, il est plus performant. C’est notamment le cas quand on lui demande, dans Street View, de repérer le numéro d’une maison. « C’est probablement que ce n’est pas très stimulant et qu’un ordinateur ne se lasse jamais. », conclut-il.
Tous ces usages dessinent le contour d’un monde où les recherches n’existeront plus ou seront fondamentalement différentes. Les périphériques connectés en permanence pourront voir ce que vous verrez (Google Glass), entendre ce que vous entendrez (smartphone) ou même lire ce que vous lirez. A partir de toutes ces données, ils seront à même de vous offrir en temps réel toutes les informations complémentaires que vous souhaiterez et répondre à toutes vos questions « contextuelles ». A l’exception d’une, peut-être. Qu’en sera-t-il de votre vie privée et de l’utilisation des données collectées ?
 
 
Source.:

mardi 2 septembre 2014

Faille de sécurité: iCloud, Dropbox ... comment protéger vos données

Faille de sécurité d'iCloud, Dropbox et cie, comment protéger vos données
Les services de stockage en ligne comme iCloud, Dropbox, Google Drive et cie ont la cote et sont bien pratiques, mais les données qu'on enregistre dans ces nuages sont-elles vraiment en sécurité?
La faille de sécurité qui a touché le service iCloud et permis à des pirates d'accéder à des photos personnelles de vedettes hollywoodiennes n'est pas sans rappeler qu'il existe un certain risque à utiliser ces services...
En fait, ils ne sont pas mauvais ou non sécuritaires, mais il vaut mieux faire preuve de vigilance et prendre quelques précautions pour éviter d'éventuels ennuis!

Choisissez bien votre mot de passe!

On ne le répètera jamais assez: si vous avez à sélectionner un mot de passe, il est essentiel que vous vous appliquiez à en choisir un qui soit sécuritaire. Ce conseil est valable pour l'ensemble de vos comptes et tout particulièrement pour ceux qui abritent des données sensibles et très personnelles comme c'est souvent le cas pour les fichiers stockés en ligne.
Il faut comprendre que les pirates utilisent généralement des logiciels qui essaient des millions de mots de passe en quelques secondes pour trouver celui qui permet de déverrouiller un compte.
Les mots inscrits dans les dictionnaires sont les premiers à être utilisés, alors n'utilisez pas un mot qui y figure, peu importe la langue.
Les combinaisons de lettres et de chiffres sont plus sécuritaires, mais ce n'est pas ce qu'il y a de mieux.
La meilleure option est de choisir un mot de passe contenant des lettres, des chiffres, des caractères spéciaux et des majuscules.
De cette manière, le mot de passe «service» devient «s3rv!cE» et requière des milliers de millions de tentatives pour être décrypté!
Comme on a tous des dizaines de mots de passe à retenir, tournez-vous vers un logiciel qui les regroupe tous si vous craignez de les oublier au lieu de choisir des codes d'accès qui sont trop faciles à décoder.
D'autres conseils sur le choix d'un bon mot de passe
Logiciel d'archivage de mot de passe

N'enregistrez pas vos données sensibles

Certains types de fichiers ne devraient pas se retrouver dans un service de stockage en ligne.
Les nuages sont appropriés pour enregistrer des documents, de la musique, des films, etc. Bref, tout ce qui n'est pas trop sensible comme fichiers.
Les photos qui pourraient compromettre votre réputation ou même votre carrière ne devraient donc pas s'y retrouver.
Si jamais une faille de sécurité survenait, dites-vous que tout ce que vous avez enregistré dans votre compte pourrait devenir public!
Pour ce type de matériel, utilisez plutôt une solution de stockage personnelle comme un disque dur externe, c'est beaucoup plus sécuritaire.
Disque dur externe protégé par mot de passe
Disque dur externe résistant aux chocs et intempéries
Disque dur externe avec connectivité sans fil

Un mot sur le cybersexe...

Le cybersexe englobe toutes les activités liées à la sexualité qui se déroulent sur le Web. Que ce soit le téléchargement de vidéos ou d'images à caractère pornographique, l'abonnement à des revues pour adultes en ligne, le clavardage érotique et, bien sûr, les webcams en direct.
On ne fera pas l'autruche; des milliers d'internautes utilisent leur webcam pour des rencontres virtuelles à caractère sexuel. Après tout, c'est le «safe sex» par excellence!
Sauf que, plusieurs ont vécu la mésaventure de voir des photos ou des vidéos d'eux dans un moment pour le moins intime publiées sur le Web!
Si le matériel compromettant n'est pas publié, on menace de les montrer aux collègues de travail pour les adultes ou à la famille et aux amis pour les plus jeunes qui s'adonnent également à ce genre de passe-temps.
Car oui, c'est une méthode couramment utilisée par les fraudeurs et gens mal intentionnés pour obtenir de l'argent ou encore, simplement pour nuire à la réputation d'autrui.
Alors si vous activez votre webcam pour vous exhiber, n'oubliez pas que les images captées peuvent être enregistrées et distribuées par la personne à l'autre bout. Soyez prudents et évitez de montrer votre visage ou tous signes distinctifs qui pourraient permettre de vous reconnaître; bijoux, tatouages et perçages inclus!
Le chantage pornographique sur le Web


REF.:

lundi 1 septembre 2014

Apple annonce un rappel pour les iPhone 5, le vôtre est-il éligible?

Apple lance deux programmes de rappel d'iPhone 5: l'un touchant le dysfonctionnement de la pile et l'autre celui du bouton Marche/Veille du téléphone.
Pour savoir s'ils ont un appareil éligible, les utilisateurs d'iPhone 5 n'ont qu'à entrer le numéro de série de leur téléphone dans l'outil mis en place sur le site d'Apple.
Ceux qui possèdent un appareil admissible au programme ont alors différentes options pour faire remplacer gratuitement la pile ou le bouton Marche/Arrêt de leur iPhone.
Ça ne coûte rien de vérifier!

Vérifier l'éligibilité d'un iPhone 5

Notez que ces 2 programmes de rappel ne concernent que l'iPhone 5, et non l'iPhone 5S ou 5C.
On précise que le programme de remplacement de la pile ne touche que les iPhone 5 vendus entre septembre 2012 et janvier 2013. Le programme de remplacement du bouton Marche/Arrêt concerne quant à lui les appareils vendus jusqu'en mars 2013.
Comme ce n'est pas évident de se fier uniquement à ces dates pour déterminer si un iPhone est admissible, vaut mieux utiliser l'outil pour vérifier.
D'abord, il faut mettre la main sur le numéro de série de l'appareil à partir de la section Réglages > Général > Informations.
iPhone 5 numéro de série
Ensuite, le numéro de série doit être saisi dans l'outil de vérification disponible sur la page de chaque programme.
Rappel iPhone 5 éligible
Si l'iPhone 5 est éligible, un message invitant l'utilisateur à choisir une option de remplacement s'affichera.

REF.: Apple.com