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samedi 21 septembre 2013

IOS 7 d'Apple arrive: Voici comment l'obtenir

 Apple iOS 7 mise à jour est en ligne.
Le logiciel va sortir aux utilisateurs comme une mise à jour gratuite, ce matin, un peu plus d'une semaine après les développeurs obtenu une version finalisée, et près de trois mois après Apple a montré au large en Juin.
La mise à jour est une refonte visuelle complète pour iOS, qui regardait la même chose dans ses six premières itérations. Il apporte également de nouvelles fonctionnalités, y compris:
  • Une façon de régler rapidement les paramètres de l'intérieur n'importe quelle application
  • iTunes Radio - Le service de musique en streaming d'Apple
  • Une version remaniée de Siri, le logiciel d'assistant vocal d'Apple
  • Une vue multitâche retravaillé qui montre des aperçus de ce qui se passe au sein de chaque application
  • Le partage de fichiers AirDrop (pour plus récents appareils iOS d'Apple)
Les utilisateurs peuvent trouver la mise à jour en iOS app réglages ( Réglages> Général> Mise à jour logicielle ), ou en branchant leur appareil dans iTunes. Apple va également expédition à la fois sur l' iPhone 5C et 5S vendredi.
Comme avec les versions précédentes, iOS 7 ne peut être installé sur tous les appareils. Pour cette série, c'est l'iPhone 4 et plus récent, la cinquième génération iPod Touch, et ​​iPad 2 et plus récents (y compris le Mini iPad ). Certaines fonctionnalités sont également disponibles uniquement sur ​​les derniers modèles d'Apple, comme le nouvel outil AirDrop, qui ne fonctionne que sur l'iPhone 5 (et plus récent), iPad de quatrième génération et iPad Mini, et la cinquième génération d'iPod Touch. Vous pouvez trouver plus de détails à ce sujet ici .
Pour beaucoup, la mise à jour est susceptible de justifier la connexion à un réseau Wi-Fi gratuite. Dans le cas des utilisateurs d'iPhone 4 sous iOS 6.1.3, la mise à jour iOS 7 pèse une lourde 665 MB. Et pour l'iPad 2, c'est autour de 649 MB. Certains utilisateurs signalent également que iOS est demandé pour près de 3 Go d'espace libre pour installer.


TEST: iPhone 5S,gain de performances des éléments 3D lourds ou des rendus dans des résolutions plus larges.

Les nouveaux iPhone sont arrivés, aujourd’hui, dans les magasins. L’iPhone 5c reprend en couleur les bases de l’iPhone 5, avec un boîtier un peu plus lourd en plastique de bonne qualité et de la 4G. Malgré un prix plutôt élevé nu, il est positionné par Apple comme un modèle de milieu de gamme. L’iPhone 5s, lui, occupe le haut de gamme et promet un vrai gain de puissance par rapport à son prédécesseur, même si extérieurement peu de choses changent.
Quoi qu’il en soit, en attendant de vous soumettre notre test détaillé en tout début de semaine prochaine, voici la première batterie de tests que nous avons effectués sur l’iPhone 5, l’iPhone 5c et l’iPhone 5s. Le premier fonctionne sous iOS 7.0, les deux suivants qui nous ont été prêtés par Apple bénéficient déjà de la première mise à jour dont nous vous parlions hier. C’est donc sous iOS 7.0.1 qu’on les voit s’animer.

Faites vos jeux…

Puisque Apple annonçait des performances globales (CPU et GPU) multipliées par deux, nous avons insisté sur les tests qui sollicitent le processeur en terme de puissance de calcul brut et aussi la partie graphique, même si les outils les plus récents dont nous disposons ne tirent pas encore parti de la compatibilité Open GL/ES 3.0 du dernier né des iPhone.
Il n’en reste pas moins que AnTuTu 3DRating, GFXBench (anciennement GLBenchmark 2.7), GLBenchmark 2.5 ou encore Pawamark mettent clairement en avant les forces et faiblesses des uns et des autres et montrent surtout la montée en puissance de la puce Apple A7, qui, comme son aînée, est cadencée à 1,3 GHz. La nouvelle venue fait la démonstration d’un beau gain de performances, notamment quand il lui est demandé de calculer des éléments 3D lourds ou d’afficher des rendus dans des résolutions plus larges.
Ce qui laisse augurer de belles heures passées devant des jeux de plus en plus impressionnants graphiquement parlant, Infinity Blade 3 étant un des premiers, mais certainement pas le dernier.
Comparatifs des performances de l'iPhone 5, 5c et 5s.
agrandir la photo

Puissance brute

Pour la puissance de calcul brute, l’A7 multiplie par près de 1,5 les performances de l’Apple A6 avec Linpack. Et l’iPhone 5s se distingue également par une mémoire plus performante - peut-être un effet du passage au 64 bits. Ainsi, Geekbench 2, qui dresse un portrait plus complet de la configuration, lui attribue 2584 points contre 1490 pour l’iPhone 5 et 1872 pour l’iPhone 5c.
L’occasion de noter que l’iPhone 5 et 5c – qui partagent la même configuration à quelques détails près - marchent main dans la main, les différences n’étant pas significatives, sauf une aberration, étonnante, obtenue avec Pawamark.

Nous nous empressons de tester l’autonomie de ces deux nouveaux appareils pour finaliser notre prise en main et vous fournir un test complet au plus vite. Car, si le gain de puissance semble bien au rendez-vous, la question de l’autonomie reste un point d’interrogation d’importance.


REF.:

Hackers: Symantec révèle l’existence d’un groupe de mercenaires… chinois ?

Symantec révèle l’existence d’un groupe de hackers mercenaires… chinois ?

Les Hidden Lynx, c’est le nom donné à un groupe de hackers nouvellement dévoilé par le géant de la sécurité informatique Symantec. Ce groupe serait impliqué dans quelques unes des plus grosses attaques informatiques des dernières années.

Hidden Lynx. C’est le nom d’un groupe de hackers, constitués d’entre 50 et 100 experts en informatique, dont l’éditeur de solution de sécurité, Symantec, vient de dévoiler l’existence.

Deux équipes

© Symantec
Détails des agissements des Hidden Lynx.
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Symantec les suit avec attention depuis 2011 et a trouvé ses traces dans au moins six campagnes menées à travers le monde. D’après l’éditeur, ce « groupe est plus motivé et dynamique que les autres groupes bien connus tels que APT1/Comment Crew », qui avait été mis en avant dans le rapport Mandiant publié en février 2013.
Le groupe Hidden Lynx est, semble-t-il constitué de deux sous-groupes. Le premier, surnommé Moudoor, du nom du cheval de Troie qu’il utilise, agit « sans se soucier de sa découverte par les spécialistes de la sécurité ». Le second, baptisé Naid, toujours du nom d’un cheval de Troie qu’il a adopté, agit davantage comme une « unité d’opérations spéciales, composée de membres d’élite qui infiltrent les cibles les plus précieuses ou les plus robustes ». Naid est, selon le communiqué de Symantec, utilisé avec parcimonie et prudence, comme une « arme secrète utilisée uniquement lorsque l’échec n’est pas envisageable ».

Force de frappe

Hidden Lynx est en tout cas capable de mener de nombreuses attaques, de front, contre des centaines d’entreprises à travers le monde. L’éditeur précise que ces hackers ont été les premiers à utiliser la technique du trou d’eau, qui demande patience, savoir-faire et une grande quantité d’information. Pour arriver à leurs fins, ces pirates informatiques « accèdent rapidement aux failles zero-day » et sont capables de compromettre « la chaîne logistique afin d’atteindre [leur] cible ».
Selon Symantec, les Hidden Lynx seraient derrière la fameuse attaque VOHO découverte en juin 2012. Elle leur avait permis de viser les fournisseurs de l’armée américaine, dont les systèmes étaient sécurisés par une solution de Bit9. Les hackers ont alors compromis le cœur du système de sécurité en s’attaquant directement à Bit9 et se sont introduits dans l’infrastructure de signature de fichiers sur laquelle repose ce système.

Les origines ?

D’où provient ce groupe de hackers ? La communication française de Symantec ne le précise pas. En revanche, Reuters laisse entendre que ce groupe pourrait bien être d’origine chinoise, comme APT1. L’éditeur s’est en tout cas bien gardé d’indiquer que le gouvernement chinois pouvait être lié à Hidden Lynx. En revanche, Symantec précise dans son rapport que les Hidden Lynx pourraient avoir été impliqués dans l’opération Aurora de 2009, qui avait mis à mal la sécurité de nombreuses entreprises américaines…


REF.:

mardi 17 septembre 2013

Licenciée pour ses propos sur Facebook: elle gagne son procès !

Une employée d'une banque danoise, licenciée après avoir insulté ses clients sur son compte Facebook, a gagné son procès contre son ancien employeur, a annoncé mardi son syndicat.
Submergée par les demandes de dernière minute le 28 décembre, dernier jour ouvrable de l'année au Danemark, la salariée était allée s'épancher sur le réseau social.Licenciée
«En vacances! Allez en enfer, vous qui vous souvenez de placer votre argent sur les comptes d'épargnes des enfants et les comptes retraites le dernier jour ouvrable de l'année! Il y a 364 p...s d'autres jours dans l'année où vous pouvez appeler pour ça» avait-elle écrit sur son compte.
Un collègue avait pris une capture d'écran de son statut et l'avait montré à leur employeur le 3 janvier. La râleuse avait alors été immédiatement licenciée.
Un tribunal d'arbitrage a conclu qu'un avertissement aurait suffi, et a condamné la banque à lui verser presque huit mois de salaire.
Le collègue a plus tard refusé de témoigner, ce qui a sans doute plaidé en faveur de la personne licenciée, a indiqué son syndicat, la Fédération des services financiers, dans un communiqué qui ne nomme pas la banque.
La femme s'est rendu compte qu'elle avait commis une faute mais a estimé que la sanction était disproportionnée.
Elle a reconnu mettre rarement à jour ses statuts sur Facebook depuis la perte de son emploi.
«Si on peut seulement écrire que c'est une agréable journée ou que ses enfants sont beaux, alors ça n'a pas de sens», a-t-elle dit, citée par le syndicat.
«Cette affaire m'a appris qu'on a beau essayer de rendre son profil le plus privé possible, on ne peut pas se protéger contre ceux qui le mettent dans le domaine public», a-t-elle ajouté.
«J'avais clairement laissé quelqu'un qui n'aurait pas dû être là», a-t-elle conclu.


La PS4 : 8 coeurs Jaguar et une Radeon "next gen"

Sony a comme prévu dévoilé sa future console de salon, la Playstation 4 ou PS4. Attendue pour la fin de l'année, celle-ci signe le retour du constructeur à des fondamentaux plus proches du PC que ne l'étaient ceux de la PS3.

Sony a partiellement levé le voile mercredi sur sa prochaine console de salon. Le constructeur japonais s'est bien gardé de révéler le design finale de cette future Playstation 4 ou PS4, mais il a en revanche livré quelques détails sur la configuration qui l'animera... et ceux-ci ne manquent pas d'intérêt : Sony abandonne en effet ici le coûteux processeur Cell, source de bien des maux chez les développeurs ayant travaillé sur la PS3, pour revenir à une architecture similaire à celle que l'on connait dans l'univers PC.

D'après les documents communiqués par Sony à l'issue de sa conférence de presse, la Playstation 4 sera donc animée par un processeur spécialement conçu pour Sony par AMD, lequel disposera de 8 coeurs d'exécution Jaguar et d'une partie graphique présentée comme une Radeon « nouvelle génération ». Le tout est accompagné de 8 Go de mémoire GDDR5, une quantité particulièrement élevée au regard de ce qui équipe les consoles de salon actuelles.

PS4 - Architecture de la console

Dévoilée à l'été 2012, Jaguar est la nouvelle architecture sur laquelle planche AMD dans l'univers de la mobilité. Succédant sur ce terrain à Bobcat, Jaguar adopte une exécution de type out-of-order, ce qui signifie que le processeur est en mesure de programmer l'ordre de traitement des instructions de façon à optimiser ce dernier (le Cell de la PS3 était lui de type in-order, avec une exécution linéaire).

Si les performances exactes sont encore inconnues, deux éléments sont particulièrement notables : le premier est que Jaguar est avant tout adressé au marché des PC portables et des tablettes, où sont attendues d'après les précédentes déclarations d'AMD des puces à deux ou quatre coeurs. L'architecture employée n'est donc pas la plus véloce qui soit, mais Sony profitera d'une implémentation favorisant les traitements parallèles avec les huit coeurs évoqués. S'agit-il d'ailleurs de huit vrais coeurs distincts, de deux quadricoeurs assemblés ou d'une construction de type modules à deux coeurs et mémoire partagée comme le fait déjà AMD sur d'autres segments ? La question reste pour l'instant ouverte.

Le second, c'est bien entendu le choix d'une architecture héritée de l'univers PC, qui implique donc le jeu d'instructions x86. Une nouvelle qui devrait tout particulièrement ravir les développeurs de jeu, et favoriser les portages entre PS4 et PC.

PS4 - Personnalisation

Pour ce qui est de la partie graphique, Sony se montre assez peu disert, se contentant d'indiquer que ce Radeon next gen sera capable de délivrer 1,84 TFLOPS, sans qu'on sache pour l'instant de quelle famille de GPU AMD il sera hérité. Si l'on compare cette puissance de calcul brute, livrée sans autre détail, au catalogue d'AMD, l'équivalent le plus proche dans les gammes actuelles se révèle être la Radeon HD 7850 et ses 1,76 TFLOPS. Le choix apparaît donc moins ambitieux que ne l'était celui du NV47 (décliné du GeForce 7800 GTX) à la sortie de la PS3, tout en ouvrant quand même des possibilités prometteuses.

Qu'attendre désormais en termes de qualité graphique pour les jeux à venir ? Les nombreuses annonces formulées par Sony et les éditeurs tiers laissent pour l'instant l'amateur de polygones sur sa faim, avec beaucoup de cinématiques léchées mais assez peu de « vraies » séquences de rendu temps réel. David Cage (Heavy Rain, Beyond) est tout de même venu faire l'article avec quelques exemples de modélisation avancée.

JEUX: QU'EST-CE QUI CHANGE

La première évolution visuelle des jeux PS4 est attribuable à l'arrivée du 1080p, les jeux destinés aux consoles PS3 et Xbox 360 étant plutôt en 720p.
Avec deux fois plus de pixels à l'écran sur PS4, les graphismes en 1080p sont bien plus fins et précis. Cela se ressent surtout au niveau des contours, où les couleurs ne donnent plus l'impression de «baver». La fluidité des animations est également plus naturelle.
Heureusement, quelques titres vont vraiment faire la différence. Chez Sony, on peut penser à Killzone , un jeu disponible au lancement, qui s'annonce comme une véritable démonstration technique. La PS4 étant dix fois plus puissante qu'une PS3, il paraît légitime de s'attendre à des jeux d'une beauté et d'un raffinement jamais atteints jusqu'à maintenant.

UNE MANETTE REPOSANTE

La forme de la Dualshock, une manette apparue en 1997, est demeurée inchangée pendant trois générations de PlayStation. À l'occasion du lancement de la PS4, Sony a revu juste ce qu'il faut pour enfin offrir une manette réellement ergonomique.
Il faut dire que le contrôleur de la Xbox 360 a une excellente prise en main, et celui de la Xbox One prend le même chemin.
Face à cette compétition, Sony a donc amélioré l'ergonomie de sa manette Dualshock en étirant les poignées, afin que les sticks analogiques tombent naturellement sous les pouces, comme le reste des touches.
La surface tactile en façade risque d'offrir des possibilités intéressantes, en permettant au joueur d'y effectuer certains gestes. Par contre, cette fonction est malheureusement sous-exploitée sur la console portable PS Vita, espérons que ce ne sera pas le cas sur PS4.
Les améliorations apportées à la manette sont vraiment bénéfiques. L'utilisation des boutons comme les sticks analogiques est devenue instinctive. Les gâchettes sont à peu près les mêmes que celles de la Dualshock 3 (PS3). Elles auraient toutefois mérité un peu plus d'amplitude.
Pour le reste, la PS4 affiche un équipement similaire à celui d'un PC récent, avec un disque dur intégré (capacité non précisée), un lecteur Blu-ray (6x), une connectique USB 3.0, Ethernet Gigabit, WiFi 802.11n et Bluetooth 2.1. Le lien avec l'écran de télévision se fera via HDMI, sans que Sony précise pour l'instant quelle sera la version de la norme retenue (1.4 ou 2.0 ?). Le constructeur japonais n'a d'ailleurs fait aucune allusion mercredi aux éventuelles capacités de sa future console en matière de 4K / Ultra HD.

Au delà des performances pures, Sony a par ailleurs dévoilé plusieurs fonctionnalités très « connectées » héritées du rachat de Gaikai, comme la possibilité de profiter de ses jeux PS4 sur l'écran d'une PS Vita, le lancement d'un jeu pendant que son téléchargement est en cours ou la capacité à jouer, en streaming, à des jeux de génération PS3 et antérieures. Pour le détail de ces fonctions, les nombreux jeux annoncés, l'arrivée de Diablo 3 sur console (sic) etc., nous vous renvoyons vers la couverture exhaustive de l'évènement réalisée par nos voisins de Jeuxvideo.fr.En tout cas, Sony a déjà gagné la guerre du prix, avec une console à seulement 400$ face aux 500$ de la Xbox One de Microsoft.
Ce tarif risque fortement de lui assurer un excellent départ dès son lancement le 15 novembre (au Canada), surtout quelques semaines avant la période des Fêtes.

REF.:

Achat en ligne: Payer en 2 étapes,avec un mot de passe et un code

Paiement en ligne : trois banques françaises lancent Paylib

Business : La Banque postale, BNP Paribas et la Société générale s'associent pour une solution de paiement en ligne. Paylib, concurrent de Paypal, vise d'abord leurs 23 millions de clients, et sera accepté chez huit des principaux sites français d'e-commerce.

Payer avec un mot de passe et un code en fin de transaction son billet de train ou son hôtel sur Voyages-SNCF.com, ou un outil de bricolage chez Leroy-Merlin, c'est ce que proposent BNP Paribas, la Banque postale et la Société générale: les trois banques annoncent ce mardi le lancement de Paylib, "nouveau service de paiement en ligne simple et sécurisé, sur ordinateur, smartphone ou tablette".
Elles le présentent comme un moyen de paiement sur sites d'e-commerce sans avoir à saisir ses coordonnées bancaires, juste avec son e-mail et un mot de passe, plus un code secret pour valider le paiement à la fin de l'achat – soit un concurrent de Paypal, l'entreprise de paiement en ligne appartenant à eBay.
Lancement le 24 septembre 
Leur solution, qui s'adresse aux 23 millions de clients des trois banques, est gratuite pour les particuliers. Elle sera lancée le 24 septembre par chacune des trois entreprises, "via une application mobile dédiée ou intégrée dans l'application banque en ligne selon la banque".
Leur communiqué annonce que "8 des plus gros e-commerçants* en France ont accepté d'intégrer la solution sur leurs sites", ce qui selon les cas aura lieu de début octobre à la fin du premier trimestre 2014.
Paylib a vocation à s'ouvrir à d'autres banques, indiquent ses fondateurs: c'est "une solution multi-bancaire, ouverte et conçue pour être adoptée par d'autres établissements bancaires".
Conçu pour le smartphone "dès l'origine" 
Le système a pour lui l'avantage de la simplicité par rapport à l'achat en ligne standard – pas besoin de saisir les 16 chiffres de sa carte bancaire, la date d'expiration et les trois chiffres du cryptogramme au revers, ce qui est fastidieux, surtout en déplacement, sur son téléphone par exemple. Des services complémentaires sont annoncés.
Pour ses initiateurs, le système est "conçu pour le paiement par smartphone dès l'origine". Ils citent un sondage commandé à Ifop et réalisé en août 2013 (en ligne, auprès de 1.006 personnes): 85% des sondés déclarent procéder à des paiements sur Internet depuis leur ordinateur personnel souvent ou de temps en temps, mais seulement 24% depuis leur tablette et 14% depuis leur smartphone.
Côté sécurité, Paylib "c'est la seule solution garantissant que les données ne sortent pas de la banque", relève un de ses promoteurs cité par Le Monde. En attendant son ouverture le 24 septembre, Paylib a déjà sa publicité vidéo:


Avec Paylib, réglez vos achats sur Internet en... par LaBanquePostale
* Dont six précisés: Showroomprivé.com, Voyages-SNCF.com, Vente-Privée.com, La Poste, Price Minister-Rakuten et Leroy Merlin.