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samedi 24 février 2018

L'immortalité physique du corps et le Divin


Être éternel implique la fin de la vie inéluctablement:

Selon le neuropsychiatre,Boris Cyrulnik;L'homme augmenté est révolutionnaire,mais pas éternel.
Si notre génome devenait immortel,ou bien on serait une espèce vieille,parce qu'on serait complètement usé.
Ou alors,si on arrivait a contrôler l'extrémité des télomères des chromosomes ou si on arrivait a contrôler l'apopthose(mort cellulaire).On serait toujours jeune et immortel.
Ce qui ne nous empêcherait pas de mourir.Parce que si génotypement ,on était immortel,le hasard n'existerait plus.Et inévitablement un jour ou l'autre,on rencontrerait l'incendie,le tremblement de terre,etc qui nous tuerait.
c.a.d. que si on arrivait a contrôler les causes internes de la mort,le hasard n'existerait plus ,un jour ou l'autre on mourrait de cause externe.

Perdre un être cher:
Chez l'homme de Néandertal ,il avait 30 phonèmes l'incitant a la parole,il était canibale ,car il mangait le cerveau de ses proches lorsqu'ils mourraient ,et ça avait une fonction sacrée,qui le reliait a un esprit Divin.
Parce que manger quelqu'un qu'on aime c'était pour eux, le faire vivre en soi.
Alors que nous,on le garde dans notre mémoire.Pour eux,ce serait plus morale d'incorporer le corps que de le jetter.

Les croyances:
Il y aurait 500 millions d'athés sur la terre ,contre 7 milliards qui pense a Dieu ,ou le ressente.
L'Homme a inventé Dieu,et non Dieu qui a inventé l'Homme.
Il y a deux manières de rencontrer Dieu :
En partagent une représentation avec les gens qu'on aime.c.a.d. que l'enfant apprend a aimer le Dieu qu'aime
ses parents.On ne peut apprendre a aimer Dieu que lorsqu'on s'attache.

Ou bien : De passer de l'angoisse a l'extase.
C'est un élantion,c'est s'élancer en avant avec l' énergie.
Dans notre cerveau,on peut ressentir un sentiment que l'on appel Dieu(comme l'homme néandertal)qu'on a apprit pour partager le même monde que les gens qu'on aime(l'attachement).Donc,dans notre cerveau ,il y a une bandelette inférieure ,qui stimulée ,ça déclanche des sensations d'euphorie,sans objet.On a aucune raison d'être euphorique ,et quand on stimule trop ,il y a un faisceau latérale(dans notre cerveau) qui nous équilibre en déclanchant une angoisse.
Et l'inverse ,quand on stimule trop le faisceau latérale ,les gens on des angoisses terrifiantes,des tortures physiques.
Et tout d'un coup,................ils passent en extase ,c'est parce que le bonheur et le malheur, ne sont pas opposés, ils sont accouplés.

La religion en société:
On n'a pas forcément besoin de religion ,quand on se trouve dans une société qui est dépourvue de stress,qui est dépourvue de tout problême économique . Le Danemark,serait un modèle,ou l'on voit la christianisation et la religisiosité descendre .L'athéisme monté,,le bien-être croître . L'impact culturel participe beaucoup a la manière de croire en Dieu.Sinon,l'autre manière serait l'organisation sociale et culturel.Pour la radicalisation de la religion ,c'est que les croyants modifient leur système lymbique des émotions.
Ils n'y a pas d'ondes cérébrales de Dieu !Une expérience a été faites ou on a demander a des non croyants de se mettre en prière. Leurs système lymbique s,en fout éperduement ,aucune réaction.

Et les croyants, de se mettre en prière , le système lymbique consomme de l'énergie et au bout il y a les amygdales en amandes , qui est le socle neurologique des émotions intenses ,des colères,des angoisses intenses.Dès que le croyant se met en prière ,l'amande rhinencéphalique (de l'amygdale)s'éteint .
c.a.d. c'est une représentation ,qui modifie la manière dont notre cerveau ,dans notre corps change.
C'est pas le cerveau qui produit dieu,c'est la croyance en Dieu qui modifie le fonctionnement cérébrale.

Développement des neurones du cerveau:
Le cerveau dépend de la structure du milieux dans lequel on vit,elle est d'abbord affective,verbale et culrurel.
C'est tout ce que l'on a besoin pour le développement des neurones du cerveau.
      
REF.: Boris Cyrulnik

jeudi 28 avril 2016

Incroyable succès d’une thérapie génique contre le vieillissement



Et si le vieillissement n'était pas une fatalité mais une maladie qu'il faut soigner ? C'est exactement ce qu'il faut en conclure après qu'une femme américaine ait rajeuni biologiquement de 20 ans après avoir subi une thérapie génique. 
En septembre 2015, Elizabeth Parrish, 44 ans et directrice de la société Bioviva a reçu deux thérapies géniques expérimentales développées par sa société : une pour se protéger contre la perte de la masse musculaire avec l’âge ; et une autre pour combattre l’appauvrissement des cellules souches responsables de diverses maladies et infirmités liées à l’âge.
Le traitement devait démontrer au départ l’innocuité des dernières générations de ces thérapies. Et si les données récoltées aujourd’hui sont correctes, c’est aussi le premier succès mondial de rallongement des télomères via une thérapie génique sur un humain. La thérapie génique a déjà été utilisée pour rallonger des télomères dans des cellules cultivées et sur des souris. Mais ce n’était jamais arrivé sur un humain.
Les télomères sont de petits bouts d’ADN qui se trouvent au bout de chaque chromosome. Ils font office de tampons pour protéger le chromosome de l’usure. Pour traduire, les télomères ont la même fonction que le petit bout de scotch au bout des lacets. A chaque division cellulaire, les télomères raccourcissent. Et au bout d’un moment, ils sont trop courts pour protéger le chromosome. Ce qui a pour effet de créer des dysfonctionnements cellulaires et le corps vieillit.
En septembre 2015, les télomères des globules blancs de Elizabeth Parrish ont été mesurés juste avant l’administration des thérapies géniques. Ces mesures ont été réalisées par SpectralCell, un laboratoire de test clinique spécialisé qui se trouve à Houston, Texas. Ils ont montré que les télomères de Parrish étaient anormalement courts pour son âge, ce qui la rend vulnérable aux maladies associées à la vieillesse.
En mars 2016, les mêmes tests réalisés par SpectralCell ont montré que ses télomères s’étaient rallongés d’une vingtaines d’années, de 6.71kb à 7.33kb. Ceci implique donc que les globules blancs de Parrish, (ses leucocytes), soient devenus plus jeunes. Cette découverte a été vérifiée indépendamment par HEALES, un organisme à but non lucratif qui se trouve à Bruxelles, et la Fondation de recherche biogérontologique, un organisme de bienfaisance qui se trouve au Royaume-Uni et qui oeuvre pour combattre les maladies liées au vieillissement.
Bien sûr, Parrish est hyper heureuse : « les thérapies actuelles n’offrent que des bénéfices marginaux pour les personnes souffrant des maladies liées au vieillissement. En plus, les modifications de nos styles de vie ont un impact limité pour traiter ces maladies. Les avancées en biotechnologie sont la meilleure solution, et si les résultats sont correctes, nous venons d’entrer dans l’histoire. »
BioViva va continuer de surveiller le sang de Parrish pendant plusieurs mois et années. Pendant ce temps, BioViva va tester de nouvelles thérapies géniques. Il faut encore vérifier su le succès pour les leucocytes peut s’appliquer à d’autres organes ou tissus, et si ça fonctionne sur tous les patients. Pour l’instant, toutes les réponses reposent dans les cellules d’Elizabeth Parrish, le « patient zéro » de la thérapie génique réparatrice.



Sources :BioViva