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jeudi 5 mai 2016

Web 3,0(Web social) : L'Internet des objets IdO ou IoT pour Internet of Things


Résultats de recherche d'images pour « Internet of Things »

Internet des objets

L'Internet des objets (IdO ou IoT pour Internet of Things en anglais) représente l'extension d'Internet à des choses et à des lieux du monde physique. Alors qu'Internet ne se prolonge habituellement pas au-delà du monde électronique, l'internet des objets connectés représente les échanges d'informations et de données provenant de dispositifs présents dans le monde réel vers le réseau Internet. L'internet des objets est considéré comme la troisième évolution de l'Internet, baptisée Web 3.0 (parfois perçu comme la généralisation du Web des objets mais aussi comme celle du Web sémantique) qui fait suite à l'ère du Web social. L'internet des objets revêt un caractère universel pour désigner des objets connectés aux usages variés, dans le domaine de la e-santé, de la domotique ou du Quantified Self. L'internet des objets est en partie responsable d'un accroissement exponentiel du volume de données générées sur le réseau, à l'origine du Big Data.
Selon une équipe de l'ETH de Zurich avec les smartphones puis un nombre croissant d'objets connectés, en dix ans (2015-2025) 150 milliards d'objets devraient se connecter entre eux, avec l'internet et avec plusieurs milliards de personnes1. Selon une récente étude menée par IDC Canada pour TELUS, d’ici à 2018, le nombre d’« objets connectés » quadruplera au pays, passant de 28 millions d’unités (2013) à 114 millions.

L'information issue de ce big data devra de plus en plus être filtrée par des algorithmes complexes, ce qui fait craindre une moindre protection des données personnelles, une information des personnes et de la société de moins en moins autodéterminée notamment en cas d'appropriation exclusive de filtres numériques par des entités (gouvernementales ou privées) qui pourraient alors manipuler les décisions. L'ETH plaide donc pour des systèmes d'information ouverts et transparents, fiables et contrôlés par l'utilisateur1.


L'Internet des objets est apparu dans le cadre d'une tendance2 lourde, issue de la mécanisation et standardisation, appliquée à l'automatisation du traitement du document et de l’information sur support matériel puis numérique (dont au service de la production et recherche documentaire). Apparu aux États-Unis, il s'est rapidement diffusé avec la mondialisation, aboutissant à connecter des machines à des serveurs capables de les superviser (ces machines étant notamment des ordinateurs mis en réseau dans ce que certains ont nommé l'« internet des machines »)3. Peu à peu des objets ont été modifiés (avec des puces RFID par exemple) ou conçus pour « parler le protocole IP », devenant des « objets connectés », reliés à des serveurs centralisés et/ou capables de communiquer entre eux et/ou avec des réseaux de serveurs et divers acteurs, d'une manière de moins en moins centralisée.
Ses enjeux diffèrent selon les pays ou régions du monde, et selon les acteurs « et de leurs intérêts parfois divergents »4. Ce mouvement s'est accompagné d'une croissance et complexification des systèmes de sécurité (pare-feux, mots de passe, etc.).
Il est parfois suggéré que l'objet deviendra un acteur autonome de l'Internet, capable de percevoir, analyser et agir de lui-même selon les contextes ou processus dans lesquels il sera engagé5. Dans ce cas de figure, l'avènement de l'Internet des objets s'associe à celui des technologies ou méthodes de conception logicielle liées à l'Intelligence artificielle et des sciences de la Complexité. Le couple « objet physique » / « intelligence virtuelle associée », qu'elle soit embarquée, distribuée ou hébergée dans le Cloud (cloud computing) y est alors mentionné sous l’appellation « cyberobjet »6. Les cyberobjets sont des acteurs potentiels des chaînes de valeurs qui agissent sous le contrôle des opérationnels ou en partenariat avec eux. En accédant ainsi au statut d’assistants, de conseillers, de décideurs ou encore d’organisateurs (selon les cas), ils deviennent de véritables agents économiques7 et contribuent à la mutation des modèles économiques ou de gestion existants.
Deux enjeux récurrents sont la protection de la vie privée (« privacy ») et de la régulation8 et la gouvernance de cet internet de plus en plus ubiquitaire et multiforme, quand il n'y a plus d'interface unique9,10. En France, à partir de 2015, le forum international IoT Planet se déroule chaque mois de novembre à Grenoble afin de faire le point sur l'évolution technologique des objets connectés11,12.
 L'internet des objets est « un réseau de réseaux qui permet, via des systèmes d’identification électronique normalisés et sans fil, d’identifier et de communiquer numériquement avec des objets physiques afin de pouvoir mesurer et échanger des données entre les mondes physiques et virtuels. »13.
 L'explosion du nombre de smartphones et de connexions a créé un marché nouveau aux opportunités quasi-infinies : dans les années 2010, de nombreux rapports comme celui du cabinet McKinsey19 désignent ce marché comme l'une des principales sources de croissance. En 2016, 5,5 millions d'objets sont connectés chaque jour dans le monde. Un nombre qui pourrait rapidement passer la barre des milliards, d'ici à 2020. 20



Source.:

mardi 22 novembre 2011

Déja les 4 degrés de séparation, sont a Facebook !

C'est désormais établi - Facebook a rétréci le monde
 
© Shutterstock

NEW YORK - Le réseau social sur internet Facebook, qui réunit désormais plus de 10% de la population mondiale, semble avoir rétréci le monde, en ramenant à 4,74 en moyenne les degrés de séparation entre deux individus, au lieu des 6 degrés communément admis depuis les années 1920.
«Le monde est encore plus petit que nous le pensions», écrivent cinq chercheurs (Lars Backstrom, Paolo Bodli, Marco Rosa, Johan Ugander, Sebastiano Vigna) dans une étude référencée par Facebook, qui y a collaboré.
Selon une hypothèse formulée pour la première fois dans les années 1920, n'importe quel individu peut être relié à n'importe quel autre par une chaîne de relations individuelles de six personnes.
Cette théorie s'appuie sur les travaux de Stanley Milgram et Jeffrey Travers, qui avaient demandé dans les années 1960 à 300 personnes vivant dans le Nebraska de faire parvenir une lettre à quelqu'un à Boston par l'intermédiaire de connaissances. Un ami représentait un degré de séparation, l'ami d'un ami deux degrés, etc... Les lettres parvenues à leur destinataire avaient franchi en moyenne 6,2 degrés de séparation.
La théorie des six degrés n'a jamais été considérée comme scientifiquement valable, mais elle a inspiré notamment une pièce de théâtre et donné son nom à une organisation caritative. En 1995, le film «Six degrés de séparation» mettait en scène Will Smith, un jeune homme se faisant passer pour une connaissance des enfants d'un riche marchand d'art interprété par Donald Sutherland.
En 2008 une équipe de chercheurs travaillant pour Microsoft, étudiant 30 milliards de messages instantanés envoyés par 240 millions de personnes en juin 2006, avaient établi qu'en moyenne, deux personnes peuvent être reliées en 6,6 étapes.
L'étude ayant bénéficié cette année du concours de Facebook montre quant à elle que 99,6% des utilisateurs du site peuvent se connecter avec un autre internaute, via des connaissances, en cinq étapes étapes seulement, et 92% en quatre étapes.
Pour Facebook, «même quand on pense à l'utilisateur de Facebook le plus isolé de la toundra de Sibérie ou de la jungle péruvienne, un ami de votre ami connaît probablement un ami de (son) ami».
«Quand on limite notre analyse à un seul pays, qu'il s'agisse des Etats-Unis, de la Suède, de l'Italie ou de n'importe quel autre, on découvre que le monde est encore plus petit, et la plupart des gens n'ont que trois degrés de séparation», a ajouté le site.
«Et avec la croissance de Facebook au fil des ans, conduisant à ce que (le site) regroupe une part toujours plus importante de la population mondiale, celle-ci est devenue régulièrement plus connectée», explique le site internet, qui voit ainsi validé l'un des principaux arguments invoqués pour affirmer son utilité. Cette étude, réalisée en début d'année, a porté sur les relations entre 721 millions de membres de Facebook, et 69 milliards de liens d'«amitié».
Cette proximité est facilitée du fait que les utilisateurs de Facebook, bien loin d'être de véritables «amis» dans la vraie vie, souvent se connaissent à peine ou même pas du tout, pour peu que ce soit le site qui leur ait conseillé d'entrer en contact, au vu justement de leurs connaissances communes. En réalité, les internautes ont bien plus de connexions de proximité que de contacts avec des gens vivant à l'autre bout du monde. Au quotidien, «la plupart de mes amis vivent aux Etats-Unis, et ceux dont je suis le plus proche habitent à quelques kilomètres de chez moi», note le responsable de Facebook ayant résumé l'étude sur le site.
Ce qui rend le site paradoxalement à la fois très vaste et extrêmement concentré, 84% des liens d'«amitié» réunissant des utilisateurs se trouvant dans le même pays.

REF.:

samedi 6 novembre 2010

Web 3.0 : Recherche sémantique,avec Guidyu

Guidyu est le premier système intelligent d’exploration et d’interaction fonctionnant grâce à une plateforme novatrice de recommandation sémantique Web 3.0. Guidyu profite de chaque interaction client pour apprendre tout en s'optimisant et en s'adaptant en temps réel. Comment? Guidyu a recours à l’intelligence artificielle pour apprendre et s’améliorer.
Guidyu comprend, oriente et personnalise en temps réel les interactions clients, avec sa capacité de fusionner les expériences en ligne et sur le mobile. Il peut même unifier les communications entre les utilisateurs de vos sites Web et vos représentants du service à la clientèle et de soutien. Il permet une transmission transparente des informations relatives à l’intention et à l’intérêt tout autant qu'à l’interaction, assurant des expériences personnalisées à moindre coût, un accroissement de la satisfaction de la clientèle et une augmentation des ventes!

REF.:

vendredi 14 mai 2010

Goodbye Facebook Connect , Welcome Open Graph. et le Web 3,0 !

Marck Zukerberg a signé hier l'acte de décès de Facebook Connect en lançant l'Open Graph. Avec cet outil, tous les chemins de la planète web mèneront au site de réseautage social.

Open Graph est basé sur le web sémantique, c'est-à-dire un web dit «intelligent» où les informations ne seraient plus stockées, mais comprises par les ordinateurs afin d'apporter à l'internaute ce qu'il cherche vraiment.

Pour y parvenir, Facebook propose que désormais nos pérégrinations sur la toile ne soient plus abstraites, mais basées sur les intérêts énoncés sur notre profil et notre réseau de contacts. Le site de réseautage se veut ainsi le centre de notre vie numérique simplement grâce au bouton «like».

Ce «plugin social» pourra être intégré par tous les développeurs de la planète sur tous les sites de la toile. L'internaute pourra l'utiliser pour indiquer qu'il a vu et apprécié un texte, une vidéo, une image ou quoi que ce soit qu'il aura découvert sur Internet et ses informations se retrouveront sur son mur Facebook et dans les bases de données du réseau social.

Facebook enregistrera en effet l'information et pourra répertorier, en analysant tout ce que nous «likerons» sur Internet, tous nos goûts et intérêts. De quoi enrichir encore sa base de données confidentielles sur chacun d'entre nous, c'est-à-dire constituer une véritable armada de guerre pour lutter contre Google sur le marché de recherche sémantique.

Facebook vient en effet de se doter d'un outil qui pourrait mener la vie dure à Google, car si celui-ci vend des publicités en fonction de notre historique de recherche, Facebook pourra aller bien plus loin dans sa stratégie de marketing comportemental. Ceci, tout en générant toujours plus de trafic, donc en vendant de plus en plus de publicités, puisque les internautes auront de moins en moins besoin de sortir de la plateforme de réseautage pour naviguer sur Internet.

Voir aussi:
- Facebook: les membres de plus en plus exposés aux annonceurs
- L'Open Graph: "la plus importante transformation apportée par Facebook au web"


Collaboration: Anne-Caroline Desplanques

dimanche 15 novembre 2009

La Loi des six degrés de séparation, déja désuète !

Les six degrés de séparation est une théorie établie par le hongrois Frigyes Karinthy en 1929 qui évoque la possibilité que toute personne sur le globe peut être reliée à n'importe quelle autre, au travers d'une chaîne de relations individuelles comprenant au plus cinq autres maillons. Cette théorie est reprise en 1967 par Stanley Milgram à travers l'étude du petit monde. Elle trouve une application en ergonomie dans la règle des trois clics. Elle a été illustrée en 2008 par Eric Horvitz et Jure Leskovec[1], chercheurs chez Microsoft, en analysant des discussions de Windows Live Messenger[2]. Cette théorie peut se démontrer de nos jours avec le site Facebook, qui met en évidence les liens que nous avons avec les autres et les liens que nous avons avec des personnes que nous ne connaissons pas (amis de vos amis).L’Internet permet une révolution sociale dans la constitution de son réseau à l’heure ou tous les foyers ne sont pas encore totalement connectés.


D'ailleur a canal Évasion ,il y a eut l'émission:
Lonely Planet : Six degrés, la série Lonely Planet : Six degrés branche ses téléspectateurs sur les particularités de chacune des villes qu'elle visite et sur les gens qui y vivent. Lonely Planet : Six degrés explore les villes les plus décontractées du monde en échangeant avec ses habitants. En insistant sur la dimension humaine du voyage, cette série va au-delà de la visite guidée et séduit le téléspectateur en le transportant au cœur de l'action. Soucieuse d'éviter les attractions touristiques typiques, chaque expédition préparée par Lonely Planet : Six degrés commence avec l'arrivée d'un voyageur dans une nouvelle ville où il n'a qu'un seul contact. De là, se forme une chaîne humaine au fur et à mesure de ses rencontres.

Ou ce vieux Film de 1994:
http://www.space-cinema.com/film/Six_degr%C3%A9s_de_s%C3%A9paration

Microsoft confirme les '6 degrés de séparation' :

La théorie des « Six Degrés » vient à nouveau d'être confirmée, et cette fois, à grande échelle. En effet, depuis juin 2006, Eric Horvitz et Jure Leskovec, deux chercheurs de Microsoft, ont analysé près de 30 milliards de conversations électroniques sur un panel de 180 millions d'utilisateurs de Live Messenger - soit près de la moitié du trafic global des messageries instantanées. L'étude révèle qu'il faut en moyenne créer des liens avec 6,6 contacts avant de pouvoir parler à une personne particulière qui ne figure pas sur sa liste de contacts. Dans 78% des cas, 7 contacts intermédiaires sont nécessaires.

Interrogé par le Washington Post, Horvitz déclare: « J'ai trouvé ça très surprenant. Il semblerait qu'il y ait une connectivité sociale constante pour l'humanité. Si les gens ont toujours eu l'impression d'être proches, nous avons montré à grande échelle que cette idée était bien plus qu'un mythe urbain ».




Un peu d’histoire:
Le premier site web de réseautage social fût Classmates.com qui débuta ses activités en 1995. Selon Wikipedia, Company of Friends, le réseau en ligne de Fast Company, la revue commerciale en vogue de la nouvelle économie, lance peu de temps après, en 1997, en introduisant le réseautage d’affaires sur Internet. D’autres sites ont emboîté le pas, incluant Sixdegrees.com, qui débuta en 1997, Epinions qui introduisit le Cercle de confiance en 1999, suivi par les équivalents européens Ciao, Dooyoo et ToLuna. Ce n’est pas avant 2001 que les sites web, utilisant les cercles d’amis de réseaux sociaux en ligne ont commencé à apparaître.

Cette forme de réseautage social, couramment employé au sein des communautés en ligne, est devenu particulièrement populaire en 2002 et a fleuri avec l’avènement du site web appelé Friendster. Il existe aujourd’hui plus de mille sites de réseaux en ligne. La popularité de ces sites ne cesse de s’accroître. En 2006 Myspace a été plus visité que Google. Le web2 permet aujourd’hui l’échange et l’interactivité d’un site de réseau en ligne faisant exploser l’audimat.
Le principe d’aujourd’hui, orienté Web2 signifie que les visiteurs participent activement au réseau et ne sont plus des lecteurs passifs de pages statiques préalablement élaborés sur une adresse figée


Le pouvoir au sein des cercles et clubs et maintenant des réseaux en ligne relève plus du degré avec lequel un acteur social se positionne au centre de plusieurs relations sociales que dans son titre professionnel effectif.
On évoquait les six degrés de séparation maximum pour toucher l’ensemble de la planète ou la règle des 150 aussi appelée nombre de Dunbar soutenant que la taille d’un réseau social originel est limitée à 150 membres.
La taille d’un village en anthropologie limitait son nombre à 150 basé sur l’incapacité au-delà de reconnaître les membres et à capter les faits émotionnels concernant tous les membres du groupe. L’effet du petit monde propre à son auteur, Stanley Milfgram en 1967, tendait à démontrer que la longueur de la chaîne des connaissances sociales requise pour joindre une personne choisie au hasard à n’importe quelle autre sur terre est courte et ne dépassait pas six degrés. Avec l’avènement des réseaux sociaux d’internet, la chaîne devrait pouvoir diminuer de moitié. Prenez par exemple Linked in, avec un peu plus de trois mille contacts, je peux atteindre en contact +1, c'est-à-dire par l’intermédiaire d’une autre personne, environ 14 millions de ses membres sur un total de 36 millions aujourd’hui dans le monde.

Je recommande les connexions matinales pour prendre le pouls des contacts, évaluer les demandes de transfert de contacts et messages en tout genre afin d’être en relation avec l’Asie entre 05.00am et 06.00am, Viadéo enregistre ses données informatiques à cette heure matinale et sera ralenti, une connexion à l’heure du déjeuner pour montrer une réactivité certaine et le soir pour être en phase avec les fuseaux outre-Atlantique.


De mémoire, début 2008 nous comptions plus de cent millions de blogs, 1.2 million de posts/ jour ; Aujourd’hui, il y aurait environ 30 milliards de site web en ligne. Hier simple observateur, nous devons maintenant devenir acteur.



Les sites en vogue par pays à l’étranger:
Allemagne : Wer-Kennt-Wen, StudiVZ. Angleterre : Bebo. Australie : Bebo. Brésil : Orkut, 30 fois plus populaire que Facebook au Brésil a été crée en 2004 par Orkut Büyükkökten, un ancien de Google, le deuxième site en vogue est Sonico. Chine : 51.com, Xiaonei, Chinaren, Kaixin001.com. Espagne : Tuenti. Italie : Netlog. Japon : Mixi, Lococom puis Kanshin-Kukan. Suisse : Netlog. Pour la France : facebook, Copainsdavant, Myspace en ludique et Viadéo et XING pour le business. Il faut noter que Plaxo éprouve des difficultés pour la compatibilité avec Vista de Microsoft et lorsque au bureau vous n’êtes pas en mode administrateur. Netlog est très populaire en Belgique. Bebo a un taux de pénétration élevé en Irlande. Friendster est très populaire aux Philippines en Malaisie, en Indonésie et à Singapour.
Copains d’avant ou Classmates ont pour but de retrouver ses anciens camarades de classe. Flixster est conçu pour les cinéphiles. D’ou l’émergence de sites à communautés spécialisées.




Explication plus en profondeur:

Actuellement,le 5ime degré de séparation fait toute la différence (car c'est lui qui vous mettra en contact avec le 6ime contact qui lui connait mettons Barack Obama)sauf qu'avec le web 2,0(Facebook),et le futur google wave (du web 3,0),on est rendu a peut-être au 4ième degré ???

Si on essayaient de nommer ou de situer les différents degrés;il y aurait le,
premier degré(inconnu,sinon secret d'État,car il en faut un ),

le 2ième degré serait: Le WebBot;

le 3ième degré: Échelon ainsi que le DSC1000 du FBI.

le 4ième degré: Microsoft (WindowsVista et le nouveau Win-SeVen)avec ses récoltes d'info personnel,car tout le monde a un Windows d'installé,et maintenant Facebook amélioré.

5ième degré: Google et toute sa grande famille d'applications(Google alias "Wave" ,maintenant Google+ pourrait être facilement le web 3,0 du future).

6ième degré Facebook et le web 2,o , qui deviendra le web 3,0 bientôt !(le web 4,0 est déja en test LOL !)

Nota: Mais avec la venu du WEb 3,0 et/ou du web 4,0 ,bientôt,cette loi deviendra certainement la loi du 4ième Degré LOL !!! Et maintenant ,le Facebook amélioré,en dâte du 22 Novembre 2011,a 721 millions de membres pour 69 milliards de liens d'amitié,ce qui le place a 4.74 ,pour les degrés de séparation entre deux individus !


REF.: http://www.evasion.tv/emissions/lonley_planet__six_degres
Clubic, Absolute Trading method,
loi du 4 ième degré ,

lundi 21 avril 2008

Le WEB 2,5 c'est quoi ?

Le Web 2,5 : L'émergence de plates-formes,comme un service.


Sur la route de l'insaisissable Web 3.0 (quelque chose à voir avec la sémantique, sens et le contexte plutôt que de simples données, des liens et d'AJAX), l'infrastructure de base commence à passer de la pointe à un centre habité par des entreprises comme Amazon, Salesforce . com, Joyent, et maintenant Google avec son nouveau moteur App. Appelez-le Web 2,5, où la plate-forme-comme-une-les fournisseurs de services permettent aux développeurs de créer des applications Web par les nuages et pour les utilisateurs à consommer sur le Web tout périphérique connecté, n'importe quand et n'importe où. Il élimine ce que Amazon Jeff Bezos qualifie de "terres noires", l'indifférencié manutention de lourdes charges, telles que la mise en place et le maintien des serveurs, des bases de données, de stockage et de réseaux. Il tire aussi les centres de données de grands acteurs comme Amazon et Google qui ont été construites à partir du sol en place afin de soutenir des applications Web à grands, virtualisés échelle et avec une grande fiabilité et un coût relativement bas. Et, il crée potentiellement géant abonnement à base de sources de revenus pour la plate-forme-comme-une-prestataires de services. Ils deviennent les services publics fournissant des services Web sur la planète et de gestion à haute valeur ajoutée du profil personnel.


Google App Engine, qui a été dévoilé à Google de Mountain View, Californie, qui offre des fonctionnalités similaires à Amazon EC2, S3, et SimpleDB services.
Google App moteur est limité à l'utilisation de la langue de Python, API Google, et un montant relativement modeste de stockage, de calculer les cycles et de bande passante par jour et voir aussi la rubrique.

Salesforce.com fournit un exemple plus mature aujourd'hui avec sa plate-forme Force.com. Il permet aux développeurs d'écrire des applications, principalement axée sur les CRM, dans une variété de langues qui peut tourner en natif sur la plate-forme logicielle Salesforce.com et les centres de données.



À bien des égards, c'est le modèle de Microsoft - vous avez besoin d'un abonnement (licence dans l'ancien temps) à la plate-forme ,pour exécuter votre application. Dans ce cas, "run" signifie que Salesforce.com fournit aux développeurs tous les logiciels et le matériel des services en échange d'une taxe, qui est basée sur des paramètres, tels que les appels de services Web.

Rival NetSuite, ainsi que des petites cie telles que Bungee Labs, sont la saisie sur le concept de la fourniture complète des nuages-développement et le déploiement plate-forme de services. Microsoft n'a pas encore montré ses cartes dans la plate-forme-comme-une-service arena. Elle n'a pas non plus l'objet de son affection, Yahoo. ( nuages informatique : Le principe est de ne plus conserver sur son ordinateur ni programmes ni données mais de tout stocker sur Internet. Où que l’on soit, on peut tout retrouver juste en connectant puisque tout se trouve dans les nuages…ont l'appel aussi l' informatique virtuelle)
Microsoft a parlé de SQL Server Data Services et le grand maillage de synchronisation, mais il n'a pas révélé tous les plans pour une fin à la fin de la plate-forme ,a accueilli comme un service pour le développement et les applications au service du ciel.
Le Web 3.0, tel qu'il est envisagé par Tim Berners-Lee n'est pas au coin de la rue, mais il est activement en éclosion.
En parallèle, la plate-forme comme un service ,est en pleine évolution, le plateau du Web 2,5 .
Lorsque les deux se rencontreront, le Web 3,0 sera né.


Référence: http://fr.wikipedia.org/wiki/Web_2

Après le Web 2,0 , le WEB 3,0 ou le «Web sémantique»

le Web 2,0 envahit Expo de San Francisco. La plus grande conférence Web 2,0 il ya - les organisateurs attendent de 7000 + participants - habitent le Moscone salle d'exposition.(Le Web 4.0 sera prêt pour 2020 , ce sera le Web0S .)


Web 3,o ? Vraiment?
Web 2.0 est obsolète? Prévoir un couloir conversations sur "Web 2,5" et "Web 3,0," l'autre "versions" de l'innovation en ligne montagnes russes, nous sommes maintenant. Web 2,5, selon News.com Editor-in-Chief Dan Farber, voir la suite émergence de la plate-forme comme un service, en d'autres termes, la croissance de moteurs d'applications Web comme Salesforce.com 's AppForce, Google App nouveau moteur, Amazon gamme de plates-formes connu sous le nom de Amazon Web Services, etc. Web entrepreneurs commencer à construire leurs applications Web sur ces nouvelles plates-formes, les choses vont changer pour les utilisateurs: Nous allons voir une intégration plus poussée entre les données entre les différentes applications, plus de fiabilité et de meilleures performances des applications, et peut-être encore plus rapide l'innovation. 3,0 Web est généralement accepté d'être le «Web sémantique» en d'autres termes, des services qui "savent" ce que l'information qu'ils exploite.
PowerSet, par exemple, est en train de construire de recherche sémantique -, il cherche ce que signifie pages, et pas seulement ce qu'ils disent. Le Web sémantique n'est pas seulement un exercice de l'intelligence artificielle, bien que l'émergence de riches et convenue des structures de données, comme les microformats, sur des sites et de services permettant de construire des applications que «comprendre» les données qu'ils travaillent sur plus de applications Web en cours.




U début de cette année, nous avons vu la libération de plusieurs applications Web basées sur Flash (Flash et le logiciel de compression des exécutables, air). À Web 2,0 Expo, nous nous attendons à voir encore de plus riche applications sur cette plate-forme. Les perspectives pour Microsoft Flash , "Silverlight", c'est pas bon.

Pour les sauvegardes sur le web,c'est en train de devenir rentable maintenant, non seulement pour les petites quantités de données, mais également pour les fichiers multimédias.
Live accès aux données à caractère personnel - pas seulement - constitue la prochaine chose, et avec la croissance de la productivité des suites en ligne, tels que Google Docs, et les médias en ligne des applications, comme rédacteur en chef photo Picnik, les utilisateurs se sont déjà habitués à mettre leurs plus importants fichiers personnels en ligne, souvent sans exemplaires à leur domicile.

Mais une chose que je vais être à la recherche de signes, sont les activités de fusion entre les sociétés Web 2.0. Avec une économie troublante, et avec la maturation du Web 2,0 (si pas des modèles d'affaires), les entrepreneurs et leurs sources de financement se pencheront de façon plus agressive pour les sorties (financier), tandis que les grandes entreprises cherchent à consolider leur Proposés en ligne par les produits de start-up ou de complémentaire Web ,axé sur les entreprises.
Cas typique: les récentes acquisitions de Farecast et Sphère (par Microsoft et AOL, respectivement), et le partenariat entre Google et Salesforce.com.

Contribution a Wikipedia:J'étais référencé en 21 ième position.Le Blogue a Téodulle.Qui avait Référencé le site CNET de l'expo de San francisco en 2008,mais wikipédia trouvant mon référencement en redondance ,a gardé le référencement original du Web 2,3 de CNET édité en 2008.







REF.