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mardi 11 juin 2024

Les erreurs GPS de Google Maps et cie ?

 Les erreurs GPS de Google Maps et cie ?

Quand Google Maps, avec son esprit farceur, vous pousse à emprunter des routes pourtant interdites à votre véhicule

Par: Alexandre Boero


06 mai 2024 à 19h34


L'application de navigation Google Maps, ô combien pratique, a parfois tendance à vous faire emprunter des trajets douteux. Il peut lui arriver de suggérer des itinéraires qui traversent des routes interdites à la circulation.

-NDLR : Il y va de même lorsqu'anciennement les utilisateurs de anti-radar installés illégalement dans les autos se déclanchaient tout près des silots de cultivateurs lol ;-)

-NDLR : Tandis qu'aujourd'hui , encore certaines zones à cause des interférences hertziennes terrestre et de la configuration des buildings de Montréal par exemple occasionnait des changements de direction sur le GPS , comme la zone à l'intersection de l'autoroute 40 et la 25 dans le secteur Hochelaga-Maisonneuve.

Pendant que certains utilisateurs et maires de France se tirent la bourre pour gagner la bataille des itinéraires, des applications de navigation bien connues, comme Google Maps, peuvent s'avérer un peu farceuses. C'est le cas en Suisse, à Genève particulièrement, où des automobilistes ont constaté que l'outil leur faisait prendre des chemins plus courts, certes, mais qu'il n'est pas toujours très judicieux d'emprunter en voiture, car interdits à la circulation.


Google Maps peut vous pousser à rouler sur des chemins réservés aux piétons

Genève est réputée pour être une ville agréable à visiter, certes, mais aussi assez embouteillée. Alors forcément, le recours à des applications de navigation GPS comme Waze ou Google Maps, qui vient de se refaire une beauté, y est plus que fréquent. Sur place, pour de nombreux automobilistes, c'est même devenu quasiment indispensable.


Mais inévitablement, au plus fort des embouteillages, Google a tendance à proposer des trajets plus courts, ce qui sur le papier semble être une bonne chose, sauf quand l'itinéraire proposé pousse le conducteur à passer par un petit chemin réservé aux piétons ou carrément interdit à la circulation.


Pour rester sur l'exemple de Genève, le trafic est régulièrement paralysé dans le quartier de Cornavin (celui où se trouve la fameuse gare ferroviaire centrale de la ville). Il peut arriver qu'en étant localisé au croisement entre la place de Cornavin et le passage des Alpes, le GPS vous invite à traverser l'esplanade qui se situe devant la gare et qui est interdite aux usagers véhiculés. Ce qui crée forcément des bouchons. Et d'autres endroits de Genève sont concernés.



Google s'explique sur les erreurs

Si les trajets sont la majorité du temps très fiables, la marge d'erreur de quelques mètres est suffisante pour emmener un véhicule sur une autre route. Cela ne vaut pas que pour la ville. Les erreurs sont aussi courantes à la campagne, où des conducteurs peuvent être invités à traverser des champs agricoles par exemple, par le biais de petits chemins qui ne sont pas ouverts au public. Ce qui n'enchante évidemment pas les agriculteurs.


Le GPS est un outil pratique, nous le disions, mais il est bon de rappeler qu'il n'a pas force de loi. Du côté de Genève, et cela vaut aussi pour la France, la police rappelle que le respect des règles de circulation doit primer sur toute indication que pourrait fournir telle ou telle application de navigation, qu'il s'agisse de la vitesse ou des panneaux de circulation. L'exemple de la vitesse en temps de travaux est révélateur : si une voie limitée à 110 km/h est brusquement abaissée à 70 km/h, et que votre application continue d'afficher la limite à 110 km/h, vous ne pourrez évidemment pas vous servir du GPS comme justification.


Google Suisse rappelle que plusieurs liens sont à disposition des utilisateurs pour leur permettre de signaler toute erreur. L'entreprise indique que l'application fonctionne grâce à divers éléments : les images recueillies par satellite ; Street View mais aussi toutes les informations livrées par les utilisateurs, les autorités locales et les tiers. Si, à chaque erreur signalée, la correction finit par être faite, elle peut parfois prendre plusieurs jours.


REF.: https://www.clubic.com/

mercredi 3 novembre 2021

La publicité personnalisée:Facebook suit l’activité de votre accéléromètre sur iOS

 

 

La publicité personnalisée:Facebook suit l’activité de votre accéléromètre sur iOS

L’application est de plus en plus critiquée pour son modèle de revenus principal : la publicité personnalisée.


Par

iPhon.fr


Une nouvelle enquête de Mysk, à qui on doit déjà des révélations détonnantes sur le presse-papiers, a su démontrer que Facebook utilise les données récoltées par l’accéléromètre de votre iPhone pour mesurer votre comportement en toute discrétion. Et ce alors même que le réseau social avait récemment confirmé à Forbes collecter des données comme la géolocalisation malgré l’ATT*.

Quels usages éventuels ?

Grâce à l’accéléromètre, un iPhone dans votre poche peut indiquer à de potentiels annonceurs si vous êtes allongé, installé sur une chaise devant votre ordinateur ou en train de faire du sport. Le cyclisme et la marche occasionnent en effet des mouvements répétitifs facilement décelables, qu’il suffit ensuite de transcrire en un profilage affuté pour faire de l’œil à des services tels que Strava et les apps qui y sont associées.

L’accéléromètre est également capable de jouer le rôle de podomètre grâce à quelques calculs algorithmiques plutôt malins, alors même que le capteur spécifiquement dédié au comptage des pas est pourtant protégé. Parfait pour une app comme PeakVisor, qui cherche à identifier des cibles habituées à la randonnée.

Position GPS

Pire : le rapport d’enquête assure aussi que via un ingénieux système de comparaison avec les autres internautes, votre iPhone est à même de communiquer le lieu exact de votre présence à Facebook. Le cas de figure suivant illustre bien le procédé en question :

  1. vous montez dans un train, en même temps que plusieurs autres passagers
  2. vous ouvrez Facebook, mais toujours en lui interdisant d’accéder à votre position GPS
  3. certains passagers, eux, accordent la lecture de leur position GPS à Facebook
  4. à chaque arrêt et à chaque changement de vitesse de la rame, leur accéléromètre mesure les mêmes statistiques
  5. lorsque celles-ci sont comparées par Facebook à sa base d’utilisateurs mondiale, les données de votre accéléromètre correspondent alors et l’app sait que vous êtes dans le même train !

La santé aussi…

Pour finir, toujours selon les informations de Myst, d’autres opérations poussées menées en arrière-plan permettent de convertir les chiffres enregistrés par l’accéléromètre en véritables indices d’ordre médical. C’est par exemple le cas de la fréquence des battements du cœur ou encore de la respiration humaine.

 

REF.:

samedi 25 août 2018

Comment le GPS peut vous pister, même lorsque vous l'éteignez


Comment le GPS peut vous pister, même lorsque vous l'éteignez

Technologie : Des chercheurs ont effectué un suivi des conducteurs en utilisant des capteurs situés dans les smartphones. L'accéléromètre, le magnétomètre et le gyroscope permettent de suivre les utilisateurs de smartphone.
Quelqu'un pourrait-il vous suivre lorsque vous circulez dans votre ville ? Vous pensez peut-être que la désactivation de la fonctionnalité GPS de votre smartphone empêchera cela. Mais des chercheurs de la Northeastern University de Boston ont constaté que ce n'est pas toujours le cas. "Peu de gens sont conscients de ce problème. Principalement parce que quand nous pensons à l'emplacement, nous l'associons au GPS sur le téléphone" explique Sashank Narain, chercheur à Northeastern.

Un smartphone dans une cage de Faraday portable. Le meilleur moyen de se protéger des piratages ?
Lors d'un test, Sashank Narain et son équipe ont pu suivre les personnes qui conduisaient dans des villes telles que Boston, Waltham et Londres. Les localisateurs traditionnels, comme le GPS, ont été désactivés. Les chercheurs ont donc utilisé d'autres capteurs. "L'objectif de notre projet est de faire prendre conscience aux gens que de telles vulnérabilités existent et qu'elles devraient être prises en compte" mentionne Sashank Narain.
Guevara Noubir, professeur à la Northeastern University qui a participé aux travaux, explique à CNBC : "Il y a tout un secteur qui peut avoir un impact sur la sécurité, et en particulier la vie privée. Un domaine nommé "side channel attacks", pour attaques de canal latéral.

Fausse application mobile

En utilisant des smartphones sous Android, les chercheurs ont effectué un suivi des utilisateurs en utilisant des capteurs situés dans les smartphones. Des capteurs qui ne sont pas conçus pour suivre leur emplacement. L'accéléromètre par exemple, qui mesure la vitesse de déplacement d'un téléphone. Le magnétomètre ensuite, qui fonctionne comme une boussole numérique. Et un gyroscope enfin, qui suit la rotation de l'appareil.
Ces capteurs permettent par exemple le changement de l'orientation de l'écran de l'horizontale à la verticale lorsque le téléphone est déplacé. "Les gens ne réalisent pas vraiment que leur téléphone portable, avec un accès à tous ces capteurs, est, en un sens, potentiellement le meilleur dispositif d'espionnage que vous pouvez imaginer" explique Guevara Noubir.
Afin de suivre les sujets de test, les chercheurs leur ont fait télécharger ce qui semblait être une application mobile d'éclairage - qui en réalité recueillait des données de capteurs. "Vous devez avoir une application installée sur le téléphone, mais une fois cela fait, tous les autres processus sont automatiques" mentionne Guevara Noubir.

90 % de précision

À l'heure actuelle, les techniques utilisées par les chercheurs fonctionnent mieux dans certaines villes. "Dans un endroit comme Boston, qui a beaucoup de virages spécifiques et de routes très sinueuses, vous pouvez obtenir une précision allant jusqu'à 50 % de l'emplacement de l'utilisateur dans les cinq premiers résultats de recherche. Dans le cas d'un endroit comme Manhattan, qui ressemble plus à une grille, c'est beaucoup plus difficile" détaille Sashank Narain.
"Si vous devez parcourir le même chemin tous les jours, nous avons une très forte probabilité de deviner où vous vivez, où vous travaillez et quelles sont vos parcours" dit-il, précisant que sur les parcours répétés tous les jours la précision est de 90 %.
Les chercheurs ont été surpris par les résultats et s'attendent à plus de précision au fil du temps. A cause de la précision grandissante des capteurs. "Nous ne nous attendions pas honnêtement à une telle précision" explique t-il. "Au fur et à mesure que la sophistication de ces capteurs sur les smartphones s'améliore, ils deviennent de plus en plus utiles pour accéder à la vie privée des utilisateurs."

Les iPhones concernés aussi

Bien que les chercheurs utilisent des téléphones Android, Sashank Narain a déclaré que le piratage peut s'appliquer "également aux iPhones, car ils ont un système de gestion des droits identique pour les capteurs."
Un porte-parole de Google a déclaré que Android P, son dernier système d'exploitation, "restreint l'accès à des capteurs tels que les accéléromètres et les gyroscopes. Les capteurs de smartphones ne fournissent pas directement les données de localisation des utilisateurs, et cette recherche souligne à quel point il serait difficile d'utiliser ces capteurs pour le suivi de localisation." Apple n'a pas réagit.
Pour vous protéger, les utilisateurs ne doivent télécharger que des applications de Google et des boutiques officielles d'Apple. Assurez-vous également que votre système d'exploitation est à jour. Pour se protéger encore un peu plus, les utilisateurs ne devraient télécharger des applications que dans des app store Google et Apple. Et s'assurer que leur OS est bien mis à jour.

REF.:

Galileo : la constellation de satellites bientôt complète

Galileo : la constellation de satellites bientôt complète

Technologie : Ariane doit mettre sur orbite ce mercredi quatre nouveaux satellites permettant à Galileo, le GPS européen, d'être quasiment opérationnel à 100%.




Galileo, GPS, apple, Google, Alphabet

Après plus de 17 ans, le grand projet Galileo est en passe de devenir une réalité. Ce mercredi, une fusée Ariane 5 doit mettre sur orbite les quatre nouveaux satellites (soit 26/30) positionnés à 23 000 kilomètres d'altitude permettant à Galileo, le GPS européen, d'être quasiment pleinement opérationnel à 100%. Rappelons que le service a été ouvert il y a un an et demi, le lancement des derniers satellite doit permettre d'améliorer encore la précision du système.

Le tir de mercredi "marquera la fin d'un cycle démarré en 2011", déclare à l'AFP Stéphane Israël, président d'Arianespace, société de services de lancement. A cette date, "nous aurons lancé les 26 premiers satellites avec une régularité de métronome". Il restera encore 4 satellites à déployer jusqu'en 2021 mais les 6 derniers ont vocation à remplacer la première génération de satellites.
"Galileo est en train de devenir un grand succès car sa précision est bien supérieure" à celle du GPS (américain) et il offre en plus la datation du signal, souligne Jean-Yves Le Gall, président de l'agence spatiale française CNES
Le patron du CNES note une "accélération formidable du nombre d'utilisateurs" de Galileo dans le monde depuis le lancement des premiers services. Galileo est désormais accessible sur les derniers modèles de smartphones, notamment ceux d'Apple et de Samsung.
En février, le nombre d'utilisateurs était estimé à près de 100 millions. En juin, Jean-Yves Le Gall évoquait "200 millions d'utilisateurs" et il "pense" qu'on est désormais proche "des 300 millions".
L'horizon s'éclaircit donc pour le GPS européen qui a connu de nombreuses difficultés depuis ses débuts en 1999 avec l'objectif de mise en service en 2008....
En fait, aucune entreprise privée ne voulait financer le projet à 100% et il a fallu attendre 2007 pour que le plan de financement industriel soit enfin bouclé. Lassée d’attendre le bon vouloir des industriels impliqués, l’Union européenne s’engage à financer sur fonds publics l’infrastructure. Les Vingt-Sept de l'époque décident donc que l’argent public financerait l’infrastructure satellitaire pour un coût de 3,4 milliards d’euros, soit 2,4 milliards supplémentaires par rapport au milliard d’euros déjà injecté, sur un coût total, exploitation comprise, de 10 milliards d’euros.
En 2007, un seul satellite a été lancé et l'année d'ouverture du service est repoussée à 2012. En 2014, les satellites Doresa et Milena ne rejoignent pas l’orbite prévue. La consternation est telle qu'une commission d’enquête est ouverte en collaboration avec la commission européenne et l’agence spatiale Européenne (ESA). Fin 2014, seuls 4 satellites sont concrètement en orbite. A cette date, 4 milliards d'euros ont déjà été dépensés.
En 2015, les choses s'accélèrent enfin. Soyouz met sur orbite, avec cette succès cette fois, deux nouveaux satellites de la constellation, portant donc le total à 6.
Le programme atteint alors son rythme de croisière avec la mise en orbite de deux satellites tous les trois mois. "Nous avons démontré aujourd'hui encore que l'Europe dispose d'un savoir-faire et d'une technologie de pointe et d'une vision et d'une détermination à accomplir de grandes choses", commente alors la commissaire européenne au Marché intérieur et à l'Industrie, Elzbieta Bienkowska. "Détermination" est bien le mot qui caractérise le mieux les acteurs de ce projet...
Fin 2016,  il est enfin possible d'utiliser les données européennes même si le dispositif est encore incomplet. En 2017, un ultime incident fait craindre le pire : on apprenait en effet que plusieurs horloges atomiques de certains satellites du projet étaient « en panne ».
Le système de navigation ne serait cependant directement touché par ces défaillances car les ingénieurs avaient prévu un système de redondance au cas où la situation se présenterait. Chaque satellite est ainsi doté de quatre horloges. L'ESA indiquait que la situation est sous-contrôle même si était est encore incapable d'expliquer les causes de cette épidémie.
Tous les satellites dont les horloges sont touchées par cette épidémie, sont fonctionnels, avait ainsi assuré l'agence.
Aujourd'hui, Galileo est plus stratégique que jamais à l'heure ou la géolocalisation s'infiltre dans de nombreux domaines, transformation numérique oblige. « Quelque 10 % du PIB européen dépendent aujourd’hui des systèmes de positionnement par satellites, et d’ici à 2030, ce pourcentage pourrait grimper à environ 30 % », justifie le Cnes, l’agence spatiale française.


 REF.:

samedi 19 mai 2018

Comment ne pas être localisé par Google sur internet



Google est très friand pour connaître votre votre géolocalisation, cela permet notamment de proposer des publicités ciblées.
Google peut aussi vous solliciter pour noter par exemple un restaurant dans lequel vous avez mangé.
Cela lui permet d’alimenter gratuite sa base de données.
Cet article vous donne les grandes lignes pour protéger votre vie privée et éviter d’être suivi par Google.
Voici comment ne pas être localisé par Google sur internet.

Comment ne pas être localisé par Google sur internet

Votre adresse IP

Votre adresse IP permet de vous géolocaliser de manière assez grossière, au niveau de la région.
Ces aspects sont expliquées sur la page : Adresse IP et confidentialité
Si cela vous dérange, la seule manière de vous en protéger et d’utiliser des intermédiaires pour que les seveurs contactés ne puissent voir votre adresse IP réelle.
Pour cela :

Gérer la localisation sur Google

Il existe ensuite des systèmes de localisation géographiques plus précis.
En général, pour les utiliser, le service vous demande l’accès, c’est le cas sur votre navigateur internet ou votre smartphone.

Sur un ordinateur de bureau

Les sites internet peuvent vous demander une géolocalisation précise sur votre navigateur internet.
Cette information étant sensible, normalement, par défaut, le navigateur internet est configuré pour vous demander votre autorisation.
Par exemple, lors d’une recherche de Google, ce dernier vous positionne par rapport à votre adresse IP.
Le bouton position exacte permet à Google de vous localiser plus précisément.
Comment ne pas être localisé par Google sur internet
Le navigateur internet vous demande alors l’autorisation, que vous pouvez accepter ou non.
Comment ne pas être localisé par Google sur internet
Chaque site internet possède un profil d’accès de contenu sur votre navigateur.
Sur Google Chrome, vous pouvez régler ces accès en cliquant sur l’icône avant l’adresse du site puis Paramètres du site.
Par exemple, dans la capture ci-dessous, on règle les accès de contenu pour google.fr
Comment ne pas être localisé par Google sur internet
Par exemple, on peut bloquer la position (par défaut, c’est sur demander).
Comment ne pas être localisé par Google sur internet
En re-cliquant, on voit bien que le positionnement est bloqué.
Comment ne pas être localisé par Google sur internet
Plus d’informations sur le blocage de contenu, sur notre article : Blocage de contenu sur Google Chrome
On retrouve le même type de fonctionnement sur Mozilla Firefox :
Comment ne pas être localisé par Google sur internet
Comment ne pas être localisé par Google sur internet

Smartphone

Les Smartphone possèdent trois modes de géolocalisation qui est plus ou moins bonnes mais aussi plus gourmands en batterie.
  • La géolocalisation par GSM qui détermine une localisation géographique en se basant sur les antennes GSM, c’est-à-dire les antennes relais qui servent habituellement à transférer les données aux téléphones mobiles. Elle est plus ou moins précise selon la couverture de 200m à plusieurs kilomètres.
  • La géolocalisation par GPS (satellite) La précision de cette technique est estimée de 15 à 100 mètres pour le réseau GPS. C’est la localisation la plus précise.
  • Géolocalisation par Wifi se base sur les réseaux Wifi autour du téléphone. Elle est donc très mauvaise en zone rurale au aucun ou peu de réseaux Wifi sont présents.
Selon les fonctions du téléphone activée, on peut donc vous localiser précisément.
Sur un Smartphone Android, les applications peuvent utiliser le système de géolocalisation de l’appareil et stocker vos positions.
Chez Google, c’est notamment le cas de l’application Google Maps qui va associés vos trajets, positions sur votre compte Google.
Ces informations sont stockées dans l’historiquement de position.
Sachez aussi que Google Maps enregistrent vos recherches.
Les recherches effectuées sont stockées dans Paramètres > Historiques Maps.

Du côté des paramètres du compte Google, vous pouvez gérer les données de localisation utilisée depuis les paramètres > Google > Localisation.
Vous pouvez gérer le type de positionnement utilisé et les applications qui ont demandé une localisation récente et enfin les services de localisation.

Lorsque vous cliquez sur une application, vous pouvez régler  les autorisations de position.

Depuis l’historique des positions Google, vous pouvez désactiver l’historique des positions afin que Google n’enregistre pas vos positions.


Gérer les données de localisation de Google

Les données recueillies par Google peuvent être gérées et notamment les données de positionnement.
Pour cela, rendez-vous sur la page:  https://www.google.com/maps/timeline?hl=fr
Se trouve alors les données de position qui peuvent être affichées sur la carte avec la date.
Vous pouvez gérer le service d’historique des positions de Google (à désactiver si vous le souhaitez).
Gérer les données de localisation de Google
mais surtout à partir de l’icône poubelle tout en bas à droite, vous pouvez vider l’historique des positions.
Gérer les données de localisation de Google
A partir de là vos données de position ne s’affichent plus.
Bien entendu, vous n’êtes pas certains à 100% que Google a supprimé entièrement ces données, il peut les avoir simplement désactiver de l’affichage.
Gérer les données de localisation de Google
Gérer les données de localisation de Google
Vous pouvez surveiller les données recueillies par Google à partir d’un site dédié par Google, cela se passe sur ce tutoriel : Surveiller les données collectées par Google

Liens autour de la vie privée sur internet

Les liens du site autour de la vie privée sur internet et comment la protéger :
Et plus globalement la télémétrie sur Windows, les logiciels, lire aussi : Télémétrie et collecte de données personnelles
REF.:

samedi 29 avril 2017

Applications GPS Coyote, Waze... : la police veut rendre ses radars et contrôles invisibles ?



Coyote, Waze... : la police veut rendre ses radars et contrôles invisibles

 Réglementation : Si le ministère de l'Intérieur arrive à ses fins, l'attractivité des boîtiers et des applications GPS pourrait en prendre un coup et même leur être fatales.

 

 

Si les applications et les boîtiers GPS sont bien pratiques pour ses itinéraires en voiture, ils sont aujourd'hui également très utilisés pour anticiper les radars notamment mobiles déployés par les forces de l'ordre ou encore les contrôles routiers. Mais pour le ministère de l'Intérieur, cette fonction "constitue une difficulté supplémentaire (car les radars et les contrôles sont) signalés dans les quelques minutes qui suivent leur mise en place".
"Si le signalement des forces de l'ordre peut contribuer à faire baisser la vitesse, il a en revanche un impact très négatif en cas d'alcoolémie, de consommation de drogues, de recherche d'individus, notamment terroristes, criminels ou évadés de prison", poursuit le ministère qui entend donc limiter cette possibilité.
Ses services ont donc "entamé des travaux, associant notamment les principaux fabricants de ces applications, afin de mettre en place un système qui permette de rendre invisibles les forces de l'ordre, à leur demande, lors de certains contrôles sensibles". Il s'agirait donc de ne pas interdire cette fonction mais de la limiter en fonction des demandes des autorités.
Mais un projet de décret a également été transmis à la Commission européenne et il semble aller plus loin puisque il prévoit "l'interdiction de diffuser par l’intermédiaire des services électroniques d’aide à la conduite ou à la navigation tout message de nature à signaler les opérations de police dans certains périmètres".
Si le ministère de l'Intérieur arrive à ses fins, l'attractivité des boîtiers type Tom Tom et des applications dédiées type Waze ou Coyote pourrait en prendre un coup."C'est la mort certaine de ces applications communautaires que le gouvernement vient de signer", assure la Ligue de défense des conducteurs, citée par les Echos. Selon elle, les applis et les réseaux sociaux seront "dans l'impossibilité de connaître les périmètres définis en question" et donc se verront "dans l'obligation de cesser purement et simplement tout signalement".

jeudi 2 avril 2015

Vie privée : « Votre position a été partagée 5398 fois en 14 jours »


Des chercheurs se sont rendus compte que non seulement les données personnelles étaient largement partagées par les applis mobiles mais aussi que les utilisateurs n’en avaient pas la moindre idée. Un assistant de vie privée pourrait être une solution.



La surprise. L’incrédulité. « 4 182 fois – Vous plaisantez ? ». « 356 fois, c’est énorme, inattendu. » Voici pour un petit florilège des réactions d’utilisateurs de smartphones qui ont été les cobayes d’une étude de la Carnegie Mellon University, financée notamment par Samsung et Google... La palme revenant à cette notification envoyée par l’application AppOps : « Votre position a été partagé 5 398 fois avec Facebook, Groupon, Go Launcher EX et sept autres applications au cours des 14 derniers jours ».
AppOps est une application, disponible sur Android, qui permet de surveiller les accès des autres applications à vos données personnelles. Informations de géolocalisation, contacts, historique d’appels, etc. C’est cet outil que des chercheurs de l’université américaine ont installé sur les smartphones de 23 personnes pour leur faire prendre conscience de l’étendu du mal. Il leur a donc été demandé d’utiliser leur téléphone comme si de rien n’était la première semaine.
Les chercheurs ont ainsi pu constater que certaines applications sous Android accèdent à la fonction de géolocalisation toutes les trois minutes. Ils ont également noté que de nombreuses applis collectent plus d’informations que ce dont elles ont besoin. Ainsi, l’appli Groupon, qui n’a pas forcément besoin de savoir où se trouve l’utilisateur, a demandé la position d’une des personnes suivies par l’étude 1 062 fois en deux semaines.

Un manque de clarté

« La grande majorité des personnes n’a pas idée de ce qui se passe », explique ainsi Norman Sadeh, le professeur en charge de l’étude. Sans doute parce que la plupart des utilisateurs n’ont aucun moyen de savoir ce qui se passe dans leur smartphone, une fois une application installée. En revanche, une fois alertés, les propriétaires d’un smartphone tendent à limiter ces fuites d’informations non désirées.
Si les applications Android fraîchement installées demandent l’autorisation d’accéder à certaines informations, les utilisateurs ne comprennent pas forcément les implications de leurs autorisations. Autrement dit, le discours n’est pas assez clair et le système d’exploitation ne prévient pas assez des données exposées.

Vers un accompagnement

« Les gestionnaires de permissions pour les applications sont mieux que rien, explique Norman Sadeh, mais ils ne sont pas suffisants ». Les alertes sur les violations de la vie privée sont un peu meilleures, quand elles sont quotidiennes, sans pour autant représenter une panacée, car il y a désormais trop de critères à maîtriser pour s’assurer du respect de sa vie privée.
Pour l’universitaire, la solution pourrait être dans la mise en place d’assistants personnalisés chargés de veiller à la vie privée des utilisateurs. Il s’agirait d’un logiciel qui apprendrait au fil du temps les préférences d’une personne et qui engagerait une sorte de dialogue sélectif avec cette dernière pour l’aider à établir des configurations semi-automatiques. C’est dans cette direction que Norman Sadeh mène actuellement des recherches. Ses modèles et tests ont démontré qu’il est possible de déterminer avec une précision de 90% les réponses à un questionnaire de vie privée que fournirait un utilisateur.
Simplifier ou « externaliser » les choix touchant à la vie privée… Une solution dans un monde où les réglages sont de plus en plus complexes, mais qui laisse un étrange goût en bouche, comme si on délaissait ou sous-traitait un combat essentiel : la vie privée ? Il y a une application pour ça...

A lire aussi :

Tim Cook : « la vie privée ne doit pas être sacrifiée pour lutter contre le terrorisme »
- 28/02/2015

Source :

Communiqué Carnegie Mellon University

lundi 4 mars 2013

Un appareil de surveillance pour animaux




















Polyvalence - Du chat à la grand-mère, il y a un téléphone pour chaque situation

Photo Ferenc Szelepcsenyi / Fotolia


BARCELONE - Vous avez perdu votre chat? Votre grand-mère? Peut-être êtes-vous blessé après un accident de voiture, incapable d'appeler du secours car votre téléphone n'a plus de batterie? Pas d'angoisses, chaque problème a sa solution mobile.

Notre dossier spécial:
Le monde de la téléphonie mobile se réunit à Barcelone

Les inventeurs et les fabricants ont profité du congrès mondial de la téléphonie mobile, qui prend fin jeudi à Barcelone, pour dévoiler leurs nouvelles trouvailles rendant le mobile encore plus cher au cœur de son propriétaire.
Pas besoin d'être humain pour bénéficier de ces bienfaits.
Un appareil de surveillance pour animaux chez Tractive permet ainsi, attaché au cou d'un chien ou d'un chat, que le propriétaire soit immédiatement alerté sur son téléphone intelligent lorsque son animal s'échappe du jardin ou de toute autre zone choisie.
Les tentatives de fuite de nos amis à quatre pattes seront ainsi contrecarrées grâce au iPhone ou autre téléphone sous Android.
«Avec la surveillance en direct de Tractive vous pouvez suivre la piste de votre animal et savoir où il va», affirme l'entreprise, ajoutant que «par un simple bouton, vous pouvez allumer la lumière intégrée au dispositif pour vous aider à retrouver votre animal dans le noir».
Les personnes âgées qui ont quelques problèmes de mémoire peuvent également être suivies à la trace.
L'un des nouveaux téléphones pour senior lancé par le fabricant spécialisé Emporia Connect, est doté d'un système appelé Emporia Me, qui permet de vérifier la localisation de l'appareil, son niveau de batterie, et même de monter le volume du téléphone pour s'assurer que la personne âgée puisse entendre ce qu'on lui dit.
Même si ce n'est pas un téléphone intelligent, il dispose d'un service de localisation qui en appuyant simplement sur un bouton permet à l'utilisateur de disposer d'instructions vocales pour retourner à sa voiture après une après-midide magasinage, par exemple.
Une fois la batterie à plat, même le plus sophistiqué des téléphones ne sert plus à rien, ce qui est fâcheux en cas d'urgence.
Le nouveau téléphone de Xpal, SpareOne Plus, a la solution: l'appareil fonctionne avec une simple pile AA, et est protégé par un étui résistant à l'eau. De quoi pouvoir compter sur lui pour un appel d'urgence dans les dix ou quinze ans à venir.
«Cela signifie que je peux garder le téléphone dans un tiroir, ou dans une voiture par exemple pendant 15 ans, éteint, et si jamais j'ai une urgence, qu'il faut que je passe un appel, j'ai toujours de la batterie», a expliqué le directeur de Xpal, Alan Cymberknoh.
Une carte sim est nécessaire, mais pas un abonnement, car les appels d'urgence sont gratuits.
Une première version lancée il y a un an a connu un très beau succès, selon M. Cymberknoh. Les ventes avaient été réalisées pour la plupart en ligne aux États-Unis.
Le dernier modèle, lancé cette année lors du congrès de Barcelone, peut également envoyer sa localisation GPS, en cas d'appel d'urgence.
Et l'équipementier Ericsson travaille sur une solution à l'éventuel problème de perte de réseau.
Le géant suédois est en train de tester l'inclusion de mini-antennes transparentes dans le verre de simples fenêtres, permettant d'émettre sur un rayon de 10 mètres environ, dans un projet appelé «fenêtre d'opportunité».
En incluant ainsi les fenêtres dans le réseau, Ericsson pourrait «améliorer la couverture intérieure pour que l'utilisation du téléphone mobile soit encore meilleure».




mardi 8 janvier 2013

Garmin K2 : le GPS de demain


Garmin dévoile au CES de Las Vegas 2013,son prototype K2, un système de navigation intégré faisant appel à plusieurs écrans et à ingénieux dispositif de commande tactile.
Garmin K2 : la navigation de demain
Garmin dévoile au CES de Las Vegas son prototype K2, un système de navigation intégré faisant appel à plusieurs écrans et à ingénieux dispositif de commande tactile.

Comme son concurrent TomTom, Garmin cherche à compenser la chute des ventes de GPS portables en proposant des systèmes de navigation totalement intégrés. Aujourd'hui, le spécialiste américain du guidage propose plusieurs niveaux d’intégration de ses produits. Ils vont de la simple vente de GPS mobile en accessoire, à l’intégration complète comme chez Suzuki, en passant par le navigateur déporté (Volkswagen Up) et la réalisation de logiciel de guidage (Mercedes).
Pour démontrer son savoir faire dans l’intégration totale, Garmin a conçu ce concept K2, « un cockpit numérique » regroupant ses plusieurs de ses innovations. Cette notion de cockpit est d'ailleurs une manière de rappeler l’expérience de l’équipementier dans le domaine de l’aviation. Garmin est par exemple le fournisseur première monte de Cessna sur son Citation Jet, un petit avion d’affaires.
Sur ce K2, la proximité avec l’aviation se limite, d'un point de vue fonctionnel, à l’existence de deux écrans. De manière assez classique, l’écran principal (10 pouces) est situé sur la console centrale et le second (12 pouces) prend place sur le tableau de bord. Ce dernier reprend les informations principales de divertissement mais affiche aussi les informations de conduite.
Boutons virtuels
L’écran de la console centrale est tactile mais le système peut aussi fonctionner avec une dalle classique grâce à la molette située plus bas. Celle-ci fait appel à un capteur infrarouge pour détecter les doigts du conducteur, à quelques centimètres de distance. Ainsi, l’écran peut afficher la localisation des doigts par rapport à des boutons virtuels et l’utilisateur pourra alors presser avec précision l’une de ces touches, sans regarder sa main. La technologie peut intéresser les constructeurs premium qui ne veulent pas faire appel à un écran tactile.

Applications déportées
Garmin a aussi ajouté sa technologie Smartphone Links ofrrant des services connectés via des applications installées sur un Smartphone. Le mobile se charge ainsi de télécharger des données (information trafic, météo, prix des carburants, emails, agenda…) et les envoient par Bluetooth au système de navigation.
Autre point remarquable, l’interface utilise le HTML5 et permet des possibilités de personnalisation étendues, pour le conducteur mais aussi pour les constructeurs automobiles qui pourront l’adapter suivant leur cahier des charges. Le concept embarque également des fonctionnalités avancées telles qu’une cartographie en 3D et une reconnaissance vocale avancée.
Reste maintenant à voir quel sera l’accueil des constructeurs automobiles mais de toute évidence, le concept peut voir le jour dans un futur pas si lointain car les technologies employées, même dans le cas de la commande tactile par détection infrarouge, sont déjà connue et éprouvées. 


mardi 24 janvier 2012

Cour suprême américaine La police n'aura droit qu'à une utilisation limitée des GPS

Cour suprême américaine - La police n'aura droit qu'à une utilisation limitée des GPS
 
© Shutterstock

WASHINGTON - La Cour suprême des États-Unis a limité les droits de la police dans l'utilisation de la géolocalisation par satellite, en décidant lundi qu'elle doit détenir pour cela un mandat l'autorisant à surveiller un suspect avec un GPS sous peine d'empiéter sur la vie privée.
Dans sa décision, la plus haute juridiction a rejeté l'appel du gouvernement américain et a confirmé un jugement de relaxe dont a bénéficié un trafiquant de drogue au motif que le mandat ayant autorisé l'usage d'un GPS pour surveiller son véhicule avait expiré.
Les neuf sages ont jugé à l'unanimité que l'utilisation par les forces de l'ordre d'un GPS pour surveiller les mouvements d'un véhicule était équivalente à une «intrusion» dans la vie privée contraire à la Constitution.
Ils ont estimé que «le gouvernement avait occupé physiquement une propriété privée dans le but d'obtenir une information» et que cette «intrusion» constituait une «fouille» relevant du 4e amendement de la Constitution américaine.
Cet amendement protège les justiciables contre les «fouilles et arrestations (policières) injustifiées».
Lors de l'audience, début novembre, l'affaire avait suscité l'intérêt des organisations de défense des libertés individuelles qui craignent que l'utilisation du GPS, et plus largement des nouvelles technologies, ne permette de contourner la loi ou de violer la vie privée.
Sans convaincre la Cour suprême, le représentant du gouvernement Michael Dreeben avait estimé que l'utilisation du GPS revenait finalement à effectuer un travail de filature classique, qui ne nécessite pas de mandat.


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