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32 présumés hackers ont été arrêtés dimanche en Turquie. Ils sont soupçonnés d’être membres deAnonymous, un groupe de hackers international.
Huit des 32 arrêtés ont moins de 18 ans.
Cette vague d’arrestations – qui s’est déroulée dans une douzaine de villes turques – vient après plusieurs attaques «par déni de service» lancées la semaine dernière contre les sites web du Parlement turc et du premier ministre.
Le groupe Anonymous utilise ces attaques pour protester contre la censure internet en Turquie, qui est de plus en plus abusive.
Le 15 mai dernier, des milliers de personnes dans plusieurs villes du pays se sont rassemblées pour protester contre les projets du gouvernement.
Un nouveau projet de réglementation du gouvernement avait mis les utilisateurs turcs en colère. Celui-ci prévoyait que chaque utilisateur d’internet en Turquie devrait s’identifier d’un nom d’utilisateur et d’un mot de passe et que son historique soit enregistré par le gouvernement.
Une autre mesure de l’instance de surveillance de l’internet bannit l’usage de 138 mots comme nom de domaine, des mots parfois anodins, comme «animal» ou «blonde» en Turc, ou même les termes anglais «hot» ou «free».
Depuis 2007, la pornographie est complètement bannie du net en Turquie. YouTube a aussi été banni pendant plus de deux ans.
La vague d’arrestations s’est déroulée le jour même où le premier ministre, Recep Tayyip Erdogan, a remporté haut la main les élections législatives.
REF.:
Huit des 32 arrêtés ont moins de 18 ans.
Cette vague d’arrestations – qui s’est déroulée dans une douzaine de villes turques – vient après plusieurs attaques «par déni de service» lancées la semaine dernière contre les sites web du Parlement turc et du premier ministre.
Le groupe Anonymous utilise ces attaques pour protester contre la censure internet en Turquie, qui est de plus en plus abusive.
Le 15 mai dernier, des milliers de personnes dans plusieurs villes du pays se sont rassemblées pour protester contre les projets du gouvernement.
Un nouveau projet de réglementation du gouvernement avait mis les utilisateurs turcs en colère. Celui-ci prévoyait que chaque utilisateur d’internet en Turquie devrait s’identifier d’un nom d’utilisateur et d’un mot de passe et que son historique soit enregistré par le gouvernement.
Une autre mesure de l’instance de surveillance de l’internet bannit l’usage de 138 mots comme nom de domaine, des mots parfois anodins, comme «animal» ou «blonde» en Turc, ou même les termes anglais «hot» ou «free».
Depuis 2007, la pornographie est complètement bannie du net en Turquie. YouTube a aussi été banni pendant plus de deux ans.
La vague d’arrestations s’est déroulée le jour même où le premier ministre, Recep Tayyip Erdogan, a remporté haut la main les élections législatives.
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