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jeudi 10 novembre 2011

Dossier DSQ : Doit-t'on poursuivre Marie-Josée Beaulieu et Robert Quesnel ?


Qui ??????

Marie-Josée Beaulieu,.......a t'elle réellement contrôlé les coûts du projet ?............a O.K. !

Travailleur indépendant du secteur Technologies et services de l'information
Région de Montréal, Canada 

J'ai le goût de vomir ;-)
Elle est,..................................une ex-employée de la firme DMR a obtenu en Octobre 2007 un important contratde 494,000$ a titre de services-conseils "en contrôle de coûts de projet". Or,l'entreprise qu'elle venait de quitter,et pour laquelle elle a travaillé pendant 17 ans,fournit actuellement un élément clé du DSQ,soit "l'infrastructure pour le partage des données cliniques" ,au coût de 21 millions $.





Poste actuel
  • Coordonnatrice de livraison - Projet pilote et montée en charge DSQ chez Dossier de Santé du Québec (MSSS)
Postes précédents
  • PCO et adjointe exécutive chez Dossier de Santé du Québec
  • PCO chez Caisse de dépôt et placement du Québec
  • PCO chez Groupe DMR Conseil Inc.
Formation
  • Collège Régina Assumpta
Relations
93 relations

Profil public








Photo de Bob Quesnel,.............souriez !
Robert  Quesnel




Robert Quesnel


Directeur de projet TI, Architecte d'entreprise
Montreal, Canada Area 
Hospital & Health Care
Current
  • at Robert Quesnel Services conseils
Past
  • Président at Solutions Réseau-Conseil
  • VP Bureau de Montréal at SoluConseil (acquise par CGI en 2003)
  • Directeur conseil at CGI
Education
  • Université Laval







Robert Quesnel,ex-directeur conseil pendant 8 ans chez CGI ,il a obtenu des contrats de 313,000$ avec son entreprise Solution réseau-conseil,puis un autre de 209,000$ avec une cie a numéro (sa sent pas bon !$$$$$$! )pendant que son ex-employeur raflait des contrats de 35 millions $ avec le DSQ .


D'autres exemples,...........................
d'ex-gros cadres devenu semi-retraités,ou travailleurs autonomes ,c'est plus payant être un travailleur autonome que rentier !
Des noms,...................Clément Sirois ex-directeur des projets liés au DSQ A EUT UN CONTRAT SANS APPEL D'OFFRES DE 96,000$,Suzanne Coulombe,ex-coordonnatrice des projets d'information du CHUS qui elle a reçu des contrats de 532,000$. J'arrête,la plaque me chauffe !!!!$$$$!!!!!! c'est la que l'argent des autres va !







Malgré qu'il dispose d'une équipe de 80 employés affectés à l'informatisation du réseau, le ministère de la Santé a accordé près de 100 millions $ en contrat de services-conseils à des consultants privés depuis le déploiement du coûteux dossier santé du Québec (DSQ).
La liste des fournisseurs du ministère de la Santé ayant travaillé sur le fameux DSQ, dont le Journal a obtenu copie, montre à quel point les experts du secteur privé se sont régalés du grand chantier d'informatisation du réseau.
Avant même que le projet de DSQ ne soit officiellement lancé, c'est le docteur André Simard qui a obtenu le mandat de planifier le déploiement, à titre d'abord de "conseiller en gestion clinique et en système d'informatisation".
Il est par la suite devenu "directeur des projets du DSQ", puis "directeur général", raflant des contrats totalisant 1,2 million $ sur une période de cinq ans, pour une moyenne de rémunération annuelle de 245 000 $.
À la direction des communications du ministère de la Santé, on souligne que cette rémunération "peut paraître élevée", mais qu'elle correspond à celle d'un médecin au Québec.
Entourage imposant
Autour de lui se sont greffés pas moins de 117 consultants privés, dont plusieurs anciens employés du réseau public et d'ex-employés de firmes spécialisées devenus travailleurs autonomes.
Par exemple, deux pionniers de l'imagerie médicale à la retraite, Adalbert Racine et Léon Laplante, ont récolté des contrats respectivement de 362 000 $ et 410 000 $.
Le premier était chef du service d'imagerie au CHUQ lorsqu'il s'est retiré en janvier 2003, alors que M. Laplante était responsable de l'informatique à l'hôpital d'Amqui avant de prendre sa retraite et se convertir en travailleur autonome à l'été 2004.
D'autres postes importants de coordination ont été comblés par des pigistes, notamment Ginette Lessard, qui a récolté des contrats de près de 500 000 $ sur une période de quatre ans (2007-2011).
Un ex-directeur des études médicales du Collège des médecins, Pierre Blanchard, a pour sa part obtenu 560 000 $ pour des contrats de médecin conseil sur une période de quatre ans.
Dépassement de coûts
En 2006, c'est le ministre de la Santé de l'époque, Philippe Couillard, qui a lancé avec Jean Charest "le plan d'informatisation du réseau", qui devait coûter 547 millions $ et être complété en 2011.
Cinq ans plus tard, le Vérificateur général du Québec, Renaud Lachance, a dressé un constat d'échec du projet et a levé le voile sur de pharamineux dépassements de coûts, en avril dernier.
Au même moment, après cinq changements de patron, c'est à Lise Verreault que la difficile tâche de mettre l'informatisation du réseau sur le droit chemin a été confiée.
Le ministère de la Santé, soutient maintenant que les composantes du DSQ seront livrées d'ici 2016, que l'informatisation du réseau sera complétée en 2021 et que la facture totale sera de 1,6 milliards $.
REF.: journal de Mouriale,

Steve savait tout comme les Geeks que le HTML5 tuerait le Flash


C'est la fin pour Flash sur les appareils mobiles. Adobe, le créateur de ce format, ne l'adaptera plus aux fureteurs des appareils portables en raison de la montée du format HTML 5.
Dans un communiqué obtenu par le site technologique ZDNet et publié plus tard sur son site internet, Adobe confirme qu'il entend désormais se concentrer sur Air et HTML 5.
Les versions existantes du plugiciel pour les plateformes Android et BlackBerry seront maintenues et des correctifs y seront toujours apportés, mais il n'y aura pas de nouvelles versions.
«Dans le futur, notre travail avec Flash sur les appareils mobiles sera destiné à permettre aux développeurs de faire des applications natives avec Adobe AIR pour la plupart des magasins d'applications», écrit Adobe.
«HTML5 est maintenant supporté de manière universelle sur les appareils mobiles, dans certains cas de façon exclusive. Cela fait de HTML5 la meilleure solution pour créer et déployer des contenus dans les fureteurs sur les plateformes mobiles», poursuit l'entreprise.
La victoire posthume de Steve Jobs
Avec cette dernière déclaration, Adobe concède en quelque sorte la victoire du multimédia sur le web à Steve Jobs.
Plusieurs appareils équipés du système d'exploitation Android sont dotés d'un plugiciel Flash. Il en va tout autrement des appareils équipés d'iOS, le système d'exploitation mobile d'Apple. Tant l'iPhone que l'iPad ont été lancés sans la possibilité de lire ce format, ce qui leur a valu maintes critiques.
Steve Jobs, avait en horreur le lecteur Flash et affirmait qu'il était trop énergivore pour les appareils d'Apple.
Dans une longue lettre ouverte publiée en mai 2010, il affirmait que Flash était «dépassé» et faisait la promotion du standard HTML 5 pour l'industrie, une «technologie moderne». Pour lui, Flash avait été créé «pendant l'ère du PC - pour les PC et les souris».
Adobe avait répliqué quelques semaines plus tard en achetant des publicités dans les médias américains. «Nous aimons Apple», pouvait-on y lire. Mais l'amour était féroce: du même coup, Adobe accusait Apple d'être une entreprise fermée.
«Ce que nous n'aimons pas, c'est que quiconque prennent votre liberté de choisir ce que vous créez, comment vous le créez et ce que vous vivez sur le web.»
De plus en plus de développeurs web laissent d'ailleurs tomber le format Flash au profit du HTML 5. Une étude menée en mars démontrait que 63% des vidéos sur internet sont compatibles avec cette norme, soit plus du double qu'il y a un an.

mardi 8 novembre 2011

Une faille de sécurité dans l'iPhone et l'iPad

Apple - Une faille de sécurité dans l'iPhone et l'iPad
 
© REUTERS / Robert Galbraith

Une faille de sécurité affectant les iPhone et les iPad pourrait permettre à des pirates de proposer des applications qui dérobent des informations, envoient des SMS ou détruisent des données, avertit un expert spécialisé sur les produits Apple.
Selon Charlie Miller, chercheur au cabinet de sécurité Accuvant Labs, un prototype d'un programme malveillant, proposé sur l'App Store, le magasin en ligne d'Apple, a permis de confirmer cette vulnérabilité.
Le logiciel malveillant a passé le barrage du service de validation des applications soumises à Apple pour iOS, le système d'exploitation des iPhone, iPad et iPod, explique-t-il.
Pour l'instant, il n'y a pas de preuves que cette vulnérabilité a été exploitée par des pirates, relève toutefois Charlie Miller. Mais la démonstration prouve qu'une telle attaque est possible, ajoute-t-il.
«Jusqu'ici vous pouviez télécharger n'importe quoi sur l'App Store sans craindre un logiciel malveillant. A présent, vous ne savez plus de quoi est capable est une application», souligne Charlie Miller.
Le logiciel test de Charlie s'appelle InstaStock. Une fois lancé, ce programme de suivi des cours de Bourse se connecte sur un serveur et peut exécuter des commandes ou rapatrier des informations à l'insu de l'utilisateur.
Une vidéo de démonstration est consultable sur YouTube.
Apple n'a pas souhaité commenter dans l'immédiat la découverte, alors que le chercheur dit avoir contacté le groupe californien au sujet de cette vulnérabilité.
Charlie Miller avait déjà identifié en 2009 un bogue affectant l'application de SMS de l'iPhone qui aurait pu permettre à des pirates de prendre le contrôle à distance des appareils des utilisateurs d'Apple.

REF.:

Hacktivisme: Anonymous c'est pour le mieux !


Pornographie juvénile - Des cybermilitants s'attaquent aux pédophiles
 
© Archives / Agence QMI

Anonymous, un groupe de cybermilitants, a annoncé le mois dernier qu’il avait fait «planter» des sites de pornographie juvénile et dénigré ceux qui avaient fréquenté ces sites.
La semaine dernière, le groupe Anonymous a diffusé les adresses IP de près de 200 visiteurs de sites de pornographie juvénile en utilisant des renseignements récoltés sur les sites que le groupe avait fermés. Une adresse IP est la combinaison unique utilisée par chaque appareil qui se branche à internet.
Selon le site msnbc.com, ces cybermilitants ont relevé les adresses IP des visiteurs de sites de pornographie infantile en leur offrant de télécharger une fausse mise à jour du logiciel Tor, qui peut servir à cacher l’identité d’un utilisateur.
Cette fausse mise à jour redirigeait les internautes vers un serveur contrôlé par Anonymus qui enregistrait les adresses IP entrantes et leurs destinations.
Les cybermilitants ont ensuite envoyé un message aux visiteurs de sites pornos qu’ils avaient démasqués: «À vous pédophiles, à la lumière des preuves que nous, Anonymus, avons récoltées, vous n’avez plus besoin de fouiller sur internet, d’accord? Nous avons mis la main sur vos adresses IP, malgré le "mythe de l’anonymat" du logiciel Tor. Nous avons piraté vos sites préférés.»
«Si vous utilisez des noms d’emprunt pour vos activités perverses, sachez qu’en prison, on vous en donne de différents.»

REF.:

Emploi & PME : Le gouvernement doit dépenser moins, et mieux

L’omelette ou la poule?

david.descoteaux - 7 novembre 2011 Vous espérez payer moins de taxes et d’impôts un jour? Sortez dans la rue, enlevez votre T-shirt, et faites la danse de la croissance économique. Nous en aurons besoin.
Comme le gouvernement semble incapable de réduire ses dépenses, il mise grandement sur les impôts et taxes des travailleurs et des entreprises pour équilibrer ses budgets futurs. Plus les entreprises vont faire de bonnes affaires et payer de bons salaires, plus l’argent va rentrer.
Dans ce cas, ce serait peut-être sage de la part du gouvernement d’écouter ce que ces entreprises ont à dire, non? La Fédération canadienne de l’entreprise indépendante (FCEI), qui représente plus de 24 000 PME au Québec, a justement quelques idées pour relancer l’économie.
Baisser la TVQ
Dans le cadre des consultations pré-budgétaires qui débutent aujourd’hui à Québec, la FCEI a mené un sondage auprès de ses membres. Pour redresser les finances publiques, les PME québécoises veulent, entre autres, réduire les salaires et avantages sociaux des fonctionnaires. Elles refusent de voir leurs impôts engraisser l’État. Et trouvent de plus en plus illogique de financer des régimes de retraite dorés aux employés de l’État, puisqu’elles-mêmes sont souvent incapables d’en offrir à leurs travailleurs.
Pour stimuler l’économie : il faudrait alléger la paperasse et les réglementations imposées aux PME — la FCEI recommande de diminuer ces coûts de 20 %. Aussi : geler les taxes sur la masse salariale (RRQ, RQAP, FSS, etc.). Les PME veulent notamment qu’on révise la générosité du programme d’assurance parentale (RQAP).
Les PME souhaitent aussi qu’on diminue la taxe de vente (TVQ). Pour remettre plus d’argent dans les poches des gens, et stimuler la consommation.
Fait intéressant : la FCEI veut ramener le taux d’imposition des PME à la moyenne canadienne (de 8 % à 4 %), en échange d’une baisse des subventions. On les comprend : 80 % des membres de la FCEI n’ont demandé aucune subvention au cours des cinq dernières années, me confiait récemment Martine Hébert, présidente de la FCEI. Pour les PME, le processus coûte trop cher en temps et en argent, pour le peu qu’elles reçoivent. Le système profite surtout aux grandes entreprises.
On étouffe
Voyez-vous un fil conducteur ici? Beaucoup des mesures proposées par les PME dépendent d’une chose : que l’État contrôle ses dépenses, même qu’il les réduise. Parmi les taxes sur la masse salariale, par exemple, le coût du RQAP a grimpé de 20 % pour l’employeur depuis 2008. Parce que les dépenses de ce programme sont hors de contrôle.
Pour un même employé, les taxes sur la masse salariale coûtaient 31 % plus cher à un entrepreneur québécois qu’à un entrepreneur ontarien, calculait en 2009 l’économiste Norma Kozhaya, du Conseil du patronat.
On en revient toujours à cela : s’il veut aider le secteur privé à générer de la croissance économique (pour l’aider à équilibrer son budget), le gouvernement doit dépenser moins, et mieux. Car plus l’État va dépenser et s’endetter, plus il devra étouffer les consommateurs et les entreprises avec de nouvelles taxes. Ceux-là mêmes qui lui procurent ses revenus. On peut continuer à se bourrer la face d’omelettes, mais on va finir par tuer la poule.

REF.:  David Descôteaux,