Le lancement du service de stockage de données dans le nuage de Google,
Drive, devrait avoir lieu au milieu de la semaine prochaine sur les
plateformes les plus populaires.
Drive (le lien
sera activé au moment du lancement) est un service infonuagique
permettant d'héberger gratuitement des fichiers en ligne. Jusqu'à 5 Go
de données pourraient y être conservées gratuitement, une limite au-delà
de laquelle les internautes devront payer pour accéder à plus d'espace,
selon les rumeurs. Par comparaison, le service concurrent Dropbox
n'offre que 2 Go sans frais.
Parce que Drive est hébergé dans le nuage, les internautes auront la
possibilité d'accéder à leurs documents ou fichiers en tout temps, sans
égards au terminal utilisé. Par ailleurs, Google précise que tout
changement effectué dans un fichier conservé sur Drive sera
automatiquement synchronisé avec toutes les autres versions existantes.
Ce qui retient l'attention de cette rumeur est que le service de Google
sera rendu disponible sur les plateformes Windows, Android, OS X et iOs.
Pourtant Apple et Microsoft proposent déjà les services similaires et
concurrents iCloud et Skydrive.
Comme le suggèrent les captures d'écran dévoilées dans les articles de TheNextWeb et de TechCrunch, l'interface de Drive devrait être aussi épurée et minimaliste que celles des Google Docs ou du lecteur de fil RSS Reader.
Ceux qui sont toujours sceptiques quant à l'existence de Drive feraient
mieux d'aller jeter un coup d'œil sur le site TechCrunch, qui se vante
d'avoir mis la main sur l'application en version OS X.
Bien que le journaliste n'ait pas eu l'occasion de la tester en
profondeur, le service n'étant pas encore activé, il assure que
l'application est «totalement fonctionnelle». Un support natif des
fichiers de Google, comme les Docs, a aussi été intégré au service,
indique-t-il.
L'application Win8 Metro Testbed se connecte votre iPhone à un PC Windows 8,
vous donnant un avant-goût de la façon dont le nouveau système
d'exploitation fonctionne sur un appareil à écran tactile.
Une nouvelle application vous permet d'exécuter Windows 8 sur votre iPad à partir de votre PC.
(Crédit photo: Capture d'écran par Lance Whitney / CNET)
Vous voulez voir comment Windows 8 ressemble et se sent sur un comprimé ? Maintenant, vous pouvez profiter de l'expérience sur votre iPad via une application appelée Win8 Metro Testbed.
Conçu par les gens de Splashtop
, la nouvelle application permet aux utilisateurs de iPad conduire le
courant de Windows 8 bêta dans toute sa gloire à écran tactile par
commande à distance de l'OS à partir d'un ordinateur de bureau. Toutes les fonctionnalités de Windows 8 tablettes et les gestes sont entièrement accessibles sur l'iPad.
L'application vous coûtera 24,99 $ dans le App Store . Et c'est un prix spécial de lancement, il sera normalement coûté 49,99 $.
Donc, il n'est pas destiné aux utilisateurs occasionnels autant que
vers les développeurs et autres professionnels qui ont besoin de tester
Windows 8 sur une tablette.
Comment ça marche?
Vous devez d'abord installer l'application Metro Win8 banc d'essai sur
votre iPad, où pour une raison quelconque il est renommé Splashtop Win8. Vous pouvez ensuite télécharger et installer le logiciel gratuit logiciel Splashtop Streamer client sur votre PC Windows 8 afin qu'il puisse parler à l'iPad. Le Streamer vous invite à entrer un code de sécurité afin que vous seul pouvez accéder à votre PC à partir de votre iPad.
Lancement de l'application sur votre tablette, puis scanne votre réseau
local pour les ordinateurs exécutant le logiciel Streamer. Tapez le nom de votre PC que vous souhaitez commander et entrez votre code de sécurité. Le Windows 8 session à distance apparaît ensuite sur votre iPad.
Un petit bar à l'écran de contrôle Conseils offre des conseils sur la façon d'utiliser l'application.
Mais sinon, vous pouvez vous promener sur votre propre, en utilisant
les mêmes tactile à base de gestes que vous auriez normalement utiliser
sur un dispositif de Windows 8.
Vous pouvez glisser de la droite pour ouvrir la barre Charms, glisser
de la gauche pour basculer entre les applications ouvertes, tirez vers
le bas pour fermer une application, et pincer pour zoomer en avant ou
sur l'écran.
L'application donne Windows 8 exécution complète de l'écran de votre iPad, sauf pour une petite icône en bas à droite. Touchez ce bouton, et un clavier virtuel apparaît.
Touchez deux fois, et une barre d'outils Splashtop s'affiche avec des
options pour accéder à la barre de contrôle Conseils, permettre à un
curseur de la souris, bloquer la rotation d'écran, d'afficher les
touches de navigation, et de rompre la connexion.
Exécution de Windows 8 à partir de mon PC était très fluide et réactif. J'ai pu glisser et de pincement et le doigt mon chemin autour de l'OS avec pratiquement aucun temps de latence.
Naviguer Windows 8 par l'intermédiaire de ma localité réseau Wi-Fi était très rapide.
Splashtop permet également de contrôler votre PC sur Internet en
utilisant votre compte Google en tant que journal en lettres de créance,
qui se sont avérés plus vite que prévu.
J'ai également acquis une nouvelle perspective sur Windows 8 comme un OS à écran tactile.
Les mêmes caractéristiques d'interface utilisateur de métro et des
gestes qui ne fonctionnent pas bien ou pas du tout sur un PC classique
tout d'un coup surgir à la vie sur une tablette.
Windows 8 développeurs et autres utilisateurs qui veulent essayer
nouvel OS de Microsoft sur leurs iPads devrait donner à cette
application d'une vrille.
Voici une vidéo de Splashtop sur son application:
Le Centre canadien de protection de l'enfance est un
organisme caritatif voué à la sécurité personnelle des enfants. Nous
offrons des programmes et des services à la population canadienne dans
le but de réduire la maltraitance des enfants. Notre action se
manifeste à travers nos activités de sensibilisation, notre programme
d'éducation à la sécurité personnelle
(enfantsavertis.ca), notre centrale nationale de signalement des cas d'exploitation sexuelle d'enfants sur Internet
(cyberaide.ca), notre programme d'aide aux organismes pour prévenir les abus pédosexuels
(prioritejeunesse.ca) et notre nouveau programme national de services en cas de disparition d'enfants
(EnfantsPortesDisparus.ca).
PARIS - Loin des pirates informatiques et autres Anonymous malgré des
méthodes comparables, des centaines de pirates informatiques «nobles»,
qui traquent les failles de sécurité pour le compte de grandes
entreprises, sont réunis à Paris pour la troisième édition d'un congrès
inédit.
«Hackito Ergo Sum», un des plus importants rassemblements internationaux
de pirates, réunit jusqu'à samedi quelque 400 participants venus
assister aux conférences animées par des intervenants de quarante
nationalités.
«Il y a très souvent une confusion entre le piratage et le «hacking»,
activité beaucoup plus noble consistant à améliorer les usages et
pointer du doigt les problèmes de sécurité», résume Renaud Lifchitz, un
des intervenants de la conférence, consultant sécurité chez l'opérateur
de télécommunications britannique BT.
«Nous utilisons les mêmes outils que les pirates mais la différence,
c'est qu'une banque va nous embaucher pour qu'on casse tout et qu'on lui
explique comment on y est arrivés, alors que le pirate va se servir
dans les données de la banque et lui voler des milliards», résume dans
l'auditoire Marc, employé d'une entreprise de certification de
logiciels.
«Je fais du consulting en sécurité pour la Commonwealth Bank (une des
quatre grandes banques australiennes) pour laquelle je suis testeur d'intrusion:
je simule des attaques qui pourraient être menées par des gouvernements
hostiles, des banques concurrentes ou des pirates professionnels»,
explique Jonathan Brossard, autre intervenant, directeur général de
l'entreprise Toucan System.
«Cette banque investit un milliard par an sur son réseau pour tester la sécurité», souligne-t-il.
En 2011, les pertes ou vols de données informatiques ont représenté en
moyenne pour chaque entreprise un coût de 1,6 million d'euros par
«incident» en Australie, de 2,5 millions en France ou encore de 4
millions aux États-Unis, selon un rapport de la société de sécurité
Symantec et de l'Institut Ponemon publié fin mars.
Les attaques malveillantes ou criminelles restent la première cause de ces violations de données, selon ce rapport.
«Lors des tests d'intrusion, nous utilisons des techniques de piratage
pour voir jusqu'à quel point on peut arriver. Et très souvent, on arrive
à peu près à faire ce que l'on veut, ce qui n'est pas très rassurant,
mais c'est une constante quel que soit le type d'entreprise», indique
Renaud Lifchitz.
Selon lui, les entreprises «sont insuffisamment sécurisées et ne voient
l'intérêt d'investir que lorsqu'elles ont été attaquées».
S'il admet que les phénomènes Anonymous ou LulzSec, qui ont revendiqué
des dizaines d'attaques contre les sites de grandes entreprises ou
d'autorités, «réveillent un peu l'opinion sur certains problèmes», il
dénonce «l'amalgame entre les experts en sécurité et ces gens-là».
«Cela n'a pas donné une très bonne image du piratage car la cause n'est
pas à mon sens noble, elle est très éloignée de celle du chercheur en
sécurité qui veut corriger les problèmes de sécurité», estime Jonathan
Brossard.
Il affirme que basculer du côté obscur ne lui a «jamais traversé
l'esprit». «Cela dépend des parcours, le mien a été académique et
satisfaisant, mais je comprends que pour des gens qui n'arrivent pas à
travailler, ça doit être tentant».
«Un exploit, soit écrire le bout de code qui permet d'exploiter
une vulnérabilité, coûte au moins 100 000 euros sur le marché noir.
Evidemment on pourrait dire que les clients qui m'ouvrent leurs réseaux
font entrer le loup dans la bergerie, mais c'est pour cela que la
relation de confiance est fondamentale», conclut Jonathan Brossard.
SAN FRANCISCO - Le groupe informatique Microsoft a lancé le compte à
rebours de l'extinction de son système d'exploitation Windows XP,
encourageant ses utilisateurs à migrer vers des systèmes plus récents.
«Nous voulons annoncer que nous lançons un compte à rebours de deux ans
avant la fin de nos services liés à Windows XP et Office 2003», a
indiqué une directrice marketing de Microsoft, Stella Chernyak, sur le
blogue du groupe.
Le 8 avril 2014, Windows XP sera officiellement obsolète.
Windows XP était sorti en 2001. Il n'était plus commercialisé depuis l'été 2008.
Deux autres systèmes sont sortis depuis lors, Vista fin 2006, qui avait
été très critiqué, puis Windows 7 en 2009, énorme succès commercial.
Microsoft travaille actuellement à Windows 8, adapté à la fois aux
appareils portables et aux ordinateurs de bureau, qui a déjà été
présenté en version expérimentale et dont la sortie commerciale est
attendue dans les mois qui viennent.
«Windows XP et Office 2003 étaient de formidables logiciels pour leur
époque, mais le climat de la technologie a évolué», a souligné Mme
Chernyak.