Powered By Blogger

Rechercher sur ce blogue

mardi 15 janvier 2013

UltraViolet ,musique et films dans les nuages


Conversion numérique - Les géants de l'électronique soutiennent l'UltraViolet
 
Photo studio306fotolia - Fotolia.com

Conversion numérique

Les géants de l'électronique soutiennent l'UltraViolet


LG, Samsung, Toshiba, Sony, Vizio, Panasonic et Philips agissent en faveur de la création de bibliothèques virtuelles, permettant le transfert du contenu des DVD et des Blu-ray vers le nuage informatique. Au CES de Las Vegas, les fabricants ont annoncé qu'ils incluront dix films UltraViolet gratuits dans leur offre de smart TV. Les nouveaux lecteurs Blu-ray contiendront chacun cinq titres gratuits.
Également soutenue par de nombreux studios hollywoodiens, dont Warner Brothers et Sony, l'initiative UltraViolet est considérée par de nombreuses personnes comme le meilleur moyen pour les cinéphiles de faire entrer leurs collections de films dans l'ère numérique tout en réduisant le danger du piratage.

Amener les cinéphiles à adopter le cloud
Lorsque les mélomanes sont passés au format numérique, la procédure était simple: il suffisait d'insérer le CD dans le lecteur et d'ouvrir iTunes pour en obtenir une copie numérique.
Pour les amateurs de cinéma, les choses sont moins aisées. Il n'existe pas de version vidéo «légale» d'iTunes et les fabricants de PC font progressivement disparaître les lecteurs CD/DVD de leurs appareils - les derniers Apple iMacs et MacBooks n'en sont plus équipés. Un téléviseur connecté à un lecteur de DVD ou de Blu-ray devient donc l'unique moyen d'apprécier le contenu d'une bibliothèque de cinéphile.
Pour ceux qui commencent à peine à se constituer une telle bibliothèque, les services comme Netflix et Amazon Prime font l'affaire. Mais pour ceux qui disposent déjà d'un catalogue bien fourni, l'idée de devoir racheter tous ses films au format numérique constitue un frein.
UltraViolet cherche à surmonter ce problème en permettant la création d'un catalogue virtuel (une sorte d'équivalent cinéma d'iTunes Match ou de Google Music), auquel on peut accéder (et que l'on peut même télécharger) depuis un appareil disposant d'une connexion internet.
Les films peuvent également être achetés directement au format numérique pour entrer dans le système. La plupart des nouvelles sorties DVD et Blu-ray, comme The Dark Knight Rises, sont compatibles UltraViolet. Il suffit, après l'achat, d'entrer le numéro de série sur son compte UltraViolet pour faire apparaître le titre dans sa filmothèque.
Déjà disponible au Royaume-Uni et aux États-Unis, le service UltraViolet entend se développer en Australie, en France, en Allemagne, en Irlande et en Nouvelle-Zélande en 2013. Accompagner la vente de nouveaux appareils d'un lot de films gratuits pourrait s'avérer la meilleure tactique pour s'implanter dans de nouveaux territoires.



REF.:

Les "tabphones" ou "phablettes" :


Le LG Optimus Vu II n'épargne pas votre canal carpien
Il n'y a qu'à voir la photo pour ressentir la douleur : cet énorme appareil dispose d'un écran de 5 pouces, format qui semble se développer. A tel point qu'on parle désormais de "tabphones" ou "phablettes" (contraction de phone et tablette) pour désigner ces hybrides entre 5 et 6 pouces de diagonales. On se souvient évidemment du Galaxy Note 2, le Lenovo K900 en est un autre...
Mais aucune photo que celle-ci ne semble mieux illustrer les limites de la prise en main de ces engins. Pour les amateurs, notons que c'est une évolution du LG Optimus Vu premier du nom, avec des spécifications revues à la hausse : 2Go de mémoire vive (au lieu d'un seul), un stockage doublé à 64Go, et l'apparition d'un lecteur de cartes micro-SD.
Notons au passage, puisque nous parlions des fabricants chinois, que ZTE se met aussi à l'écran maxi : son Grand S, présenté au CES, embarque un écran full HD de 5 pouces.


Faille crétique Java,faut tout désactiver !

Avis aux Geeks ,.............pas le troupeau:
En dépit d'une mise à jour logicielle d'urgence publié hier par Oracle, le département américain de la Sécurité intérieure est toujours conseiller les utilisateurs d'ordinateurs de désactiver Java sur leurs navigateurs Web, craignant qu'une vulnérabilité non corrigée reste.
Oracle a publié une mise à jour logicielle, dimanche, pour corriger une vulnérabilité critique dans Oracle Java 7 après l'EDS «Readiness Team Computer Emergency publié une semaine dernier avis recommandant aux utilisateurs de désactiver le plugin multi-plateforme sur les systèmes où il a été installé. La faille pourrait permettre à un attaquant à distance non authentifié d'exécuter du code arbitraire quand un ordinateur vulnérable visite un site Web qui héberge le code malveillant conçu pour tirer parti du trou.
 Apple a pris les devants via une mise à jour de son filtre anti-malware XProtect en désactivant Java sur les versions Mountain Lion et Lion d’OS X.



Donc voici comment faire :
Étape 1 : Pour désactiver Java dans Windows
  • Fermer les navigateurs
  • Ouvrir C:\Program files (x86)\Java\jre7\bin
  • Chercher le fichier javacpl.exe et exécuter ce fichier en tant administrateur
  • Choisir Avancé>Java par défaut des navigateurs
  • Décocher tous les navigateurs
  • Si un navigateur est grisé, il est possible de désactiver cette ligne en cliquant en même temps sur la barre espace.
  • Appliquer en cliquant sur OK(ou bien aller directement dans java par le panneau de configuration)
Étape 2 : Désactiver l’installation de Java dans chaque navigateur (Peu importe l'OS)
  • Firefox (actuellement : 15) : Outils > Modules complémentaires > Plugins > Désactiver tous les Plugins en relation avec Java
  • Internet Explorer (actuellement : 9.0.9) : Gérer les modules complémentaires>Barre d’outils et extensions>Désactiver toutes les extensions en relation avec Oracle America Inc.
  • Google chrome (actuellement : le 21.0.1180.83) : Dans chrome: taper   //chrome/extensions/ > Désactiver tous les Plugins en relation avec des Java
  • Safari pour Windows (actuellement 5.1.5) : Préférence > Sécurité > Décocher Java
  • Opera -> taper opera:plugins dans la barre d'url -> désactiver le plugin Java
Sachez qu'un patch non officiel est disponible sur demande pour tous ceux qui ont des applications critiques sur Java et qui ne peuvent pas s'en passer. La méthode la plus sage reste quand même la désactivation avant la mise à jour. (Qui n'arrivera possiblement pas avant le 16 octobre !!!)



REF.: http://korben.info/comment-desactiver-java.html

jeudi 10 janvier 2013

États-Unis: les précurseurs de l'«open data»


Publication de données - États-Unis: les précurseurs de l'«open data»
 
Photo momius - Fotolia.com


WASHINGTON - La liste des visiteurs de la Maison Blanche, les risques de retard sur chaque vol intérieur américain, ou encore la carte des tornades: ce sont quelques-uns des 400 000 fichiers publiés sur internet par l'Etat américain, un des précurseurs de l'«open data».
L'open data - littéralement «données ouvertes» en français -, qui vise à publier sur internet le maximum de données publiques possible, a seulement quelques années d'existence.
Washington n'a lancé data.gov qu'en 2009, avec 57 fichiers, mais près de quatre ans plus tard, le site publie régulièrement de nouvelles données, dans un format qui permet aux entreprises ou aux citoyens de les exploiter facilement.
Le développement de l'open data traduit la volonté des États d'améliorer la transparence de l'action publique et d'en justifier le coût auprès des citoyens.
C'est grâce à des données - gratuites - de l'administration des transports, que des sites aériens américains indiquent pour chaque vol, avant l'achat, le pourcentage de vols à l'heure: 73% seulement pour le vol United Washington-New York du mercredi soir.
Et on trouve de tout sur data.gov: les rapports d'inspection des maisons de retraite, les évaluations de sièges auto pour enfants ou les taux d'infections nosocomiales dans les nombreux hôpitaux publics militaires.

La qualité prime

Mais ce n'est pas tant le volume que la qualité des données qui importent.
Selon le professeur James Hendler, un expert américain qui étudie l'open data dans le monde, les Américains, suivis des Britanniques, sont en pointe car ils ont institutionnalisé la publication des données par les administrations. Ils ont aussi développé des «écosystèmes» d'entreprises et d'associations qui exploitent les données dans des applications pour les internautes.
«C'est bien de publier les données, mais tout est vraiment plus utile quand on crée des communautés et si on donne l'opportunité aux gens d'intégrer les données, et si les données sont lisibles par des machines», explique-t-il.

Trous, erreurs et zones d'ombre

Mais si les Américains sont les premiers à s'être lancés, les zones d'ombre persistent après une période d'euphorie suivant l'élection de Barack Obama. Au premier jour de son premier mandat, le 21 janvier 2009, le président américain signait un mémorandum ordonnant à ses ministères une «présomption de publication» pour tous les documents, un renversement de tendance après la présidence de George W. Bush.
«Les deux premières années ont été très créatives, très avancées», explique Daniel Schuman, de la Fondation Sunlight. Mais «ils ont perdu la motivation». En cause: l'inertie ou la résistance des administrations, qui doivent adopter de nouveaux réflexes.
«Nous avons besoin de nouvelles lois, pour institutionnaliser cela et nous immuniser contre un changement d'humeur du prochain président», expliquait récemment lors d'une conférence Anne Weismann, directrice de l'ONG CREW, qui a forcé la Maison Blanche à publier la liste de ses visiteurs, afin d'identifier ceux qui ont l'oreille de la présidence.
Des milliers de fichiers ne sont pas à jour, contiennent des trous ou des erreurs, pointe de son côté Josh Tauberer, un jeune entrepreneur de l'open data, notamment sur le site des dépenses publiques (USASpending.gov).
Mais l'open data n'en est qu'à ses débuts. Avec plus de 40 pays et l'arrivée de l'Inde, l'Amérique du Sud et de dizaines de villes dans le giron de l'open data, le nombre de fichiers en ligne pourrait passer d'environ un million actuellement à plus de cinq millions d'ici 2015, selon James Hendler.



REF.:

mercredi 9 janvier 2013

CES 2013 : Qualcomm enfonce le clou avec ses nouveaux Snapdragon



Technologie : Le leader des processeurs pour smartphones a dévoilé ses nouveautés dont le très puissant Snapdragon 800 doté de 4 coeurs cadencés jusqu’à 2,3 GHz.

Microsoft absent, Qualcomm a eu l'honneur d'ouvrir le CES de Las Vegas cette année. Et le fondeur n'est pas venu les mains vides.
Alors que la concurrence dans les puces pour mobiles s'intensifie (Nvidia avec Tegra 4, ARM etIntel), le groupe américain a dévoilé les nouveaux membres de sa famille Snapdragon (gravés en 28 nm) afin de ne laisser à personne sa place de leader sur le segment des smartphones.
Et autant dire que Qualcomm n'a pas trop de souci à se faire vu les caractéristiques de ces nouveaux SoC (system on chip), notamment le plus puissant d'entre-eux sobrement baptisé Snapdragon 800.
Bénéficiant d'un meilleur rapport performance par watt à travers la gravure en 28 nm, cette plate-forme offre 75% de plus de puissance de calcul que son prédécesseur le S4.
Occuper le marché 
Il est doté de 4 coeurs Krait 400 cadencés jusqu’à 2,3 GHz (!) associés à un composant graphique Adreno 330 qui est deux fois plus rapide qu'Adreno 320, affirme Qualcomm. De quoi supporter un affichage en 2560 x 2048 points. Rien que ça.
Il prend en charge l’USB 3 à 5 Gbit/s, le Bluetooth 4.0. Le SoC intègrera à terme le Wi-Fi 802.11ac (1,3 Gbit/s) et un modem LTE-Advanced (150 Mbit/s).
Qualcomm a également présenté une version moins puissante avec le Snapdragon 600 (40% plus puissant S4 Pro) doté de 4 coeurs Krait 300 à 1,9 GHz et du GPU Adreno 320.

L'idée reste la même : occuper tous les segments de marché de l'entrée de gamme aux modèles les plus puissants, véritables références pour l'américain. Qualcomm affirme ainsi que plus de 50 terminaux seront équipés de ces nouveaux SoC dès le second semestre.
L'espace est donc réduit pour la concurrence. Rappelons qu'en novembre dernier, Qualcomm s'offrait le luxe de dépasser pour la première fois Intel en capitalisation boursière (Nasdaq). 
Pourtant, au global, Qualcomm n'est que le quatrième fabricant de semi-conducteurs global et affiche un chiffre d'affaires deux fois inférieur à celui d'Intel, leader du marché.
Mais la croissance est bien du côté de Qualcomm et de ses processeurs pour smartphones, alors que les tentatives d'Intel sur ce marché n'ont pas encore donné les fruits escomptés. 
Ce basculement des positions devrait se maintenir avec un marché des PC attendu en baisse et un marché des tablettes et des smartphones en croissance à deux chiffres...