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mercredi 15 novembre 2017

Files Go, l'appli Google pour gérer ses fichiers et les partager en Bluetooth



Google prépare une application multifonction qui permettra de faire de la place sur son smartphone mais aussi de gérer ses fichiers et de les partager.

Pour aider les patients victimes de stress post-traumatique

Lorsqu'il remonte à la mémoire, un souvenir est fragile

Transformer un souvenir traumatique en banal mauvais souvenir, c'est le pari d'un chercheur canadien pour aider les victimes des attentats. Un pari pas si fou, puisqu'il se base sur les avancées de la recherche en neurosciences. En attendant "Envoyé spécial" du 14 septembre, découvrez la fascinante expérience qui l'a inspiré.


A Toulouse, au début des années 2000, Pascal Roulet et d'autres chercheurs du CNRS ont fait, au détour d'une expérience, cette découverte inattendue, dont les applications intéresseront les victimes de stress post-traumatique : lorsqu'il remonte à la mémoire, un souvenir est fragile... et malléable. Pour "Envoyé spécial", Pascal Roulet renouvelle cette expérience, qu'il a menée des centaines de fois sur des souris. Extrait.
Matériel : une cuve remplie d'eau. Le chercheur y plonge une souris pour la première fois. Celle-ci, en nageant, localise une plateforme immergée qui va lui servir à se reposer. Après plusieurs tentatives, le chemin jusqu'à la plafeforme est intégré, le souvenir fabriqué. Le lendemain, la souris retrouve immédiatement la plateforme. Le souvenir est ancré.

Une fenêtre temporelle pour agir sur la mémoire 

Le troisième jour, pour réactiver ce souvenir, le rongeur est posé sur une autre plateforme au-dessus de l'eau. C'est à ce moment-là, alors qu'il se remémore ce qu'il a vécu à cet endroit, qu'il existe une fenêtre temporelle très courte où l'on va pouvoir rendre le souvenir labile, fragile, explique le chercheur. "C'est comme si on faisait remonter le souvenir à la surface ; à ce moment-là, et à ce moment-là seulement, il devient fragile." Une fenêtre temporelle très courte, soixante à quatre-vingt-dix minutes (chez la souris, et sans doute aussi chez l'homme) pendant laquelle on peut modifier la mémoire.
La souris reçoit alors une injection d'une molécule inhibitrice de synthèse protéique. Plongée dans la piscine, elle cherche le chemin de la plateforme, qu'elle semble avoir oublié... comme si son niveau de mémoire avait été diminué. Une piste réelle pour aider des patients à oublier des événements spécifiques extrêmement traumatiques. Chez l'homme, la seule molécule qui aurait un effet (modéré) sur cette mémoire malléable, c'est le propranolol, un bêtabloquant connu depuis une soixantaine d'années et très bien toléré.

REF.:

Alzheimer: La lumière à la rescousse de la mémoire



La stimulation lumineuse des neurones du cerveau a permis de récupérer les souvenirs de souris auxquelles des scientifiques avaient induit génétiquement la maladie d'Alzheimer.
Radio-Canada avec Agence France-Presse

La récupération de souvenirs, qui a changé à la fois la structure des neurones et le comportement des rongeurs, a été réalisée en utilisant l'optogénétique.
Qu'est que l'optogénétique?
L'optogénétique est un récent domaine de recherche qui associe l'optique et le génie génétique. Elle rend certains neurones sensibles à la lumière, ce qui permet de les stimuler à l'aide de rafales lumineuses précises spécifiquement en laissant les cellules voisines intactes.
Les résultats obtenus par le Dr Susumu Tonegawa et ses collègues japonais et américains (de l'Institut Riken et du MIT) semblent accréditer la thèse selon laquelle les souvenirs n'ont pas été effacés par la maladie, mais qu'ils sont simplement devenus inaccessibles.
Étant donné que la mémoire des humains et des souris tend à fonctionner sur un principe similaire, notre découverte laisse à penser que les patients atteints de cette maladie, du moins dans les premiers stades de développement, conservent peut-être aussi les souvenirs dans leur cerveau, ce qui offre l'espoir d'un traitement.

Susumu Tonegawa
Deux théories
Deux hypothèses peuvent expliquer le phénomène de la perte de la mémoire :
  • Elle peut résulter de dommage à certaines cellules cérébrales spécifiques, ce qui rend impossible de recouvrer la mémoire.
  • Elle peut être causée par un problème d'accessibilité aux souvenirs, ce qui rend possible la récupération de la mémoire.
La recherche
L'équipe a voulu vérifier la seconde hypothèse en plaçant des souris dans une cage, où elles ont reçu une faible décharge électrique dans les pattes.
Ensuite, 24 heures plus tard, les bien portantes ont alors manifesté leur peur, se remémorant le désagréable choc ressenti un peu plus tôt.
Celles qui avaient des symptômes d'Alzheimer sont restées sans réaction. Cependant, quand les chercheurs ont stimulé avec une lumière bleue le réseau de neurones associés à la formation d'un souvenir, elles ont recouvré la mémoire de la décharge.
En outre, en examinant la structure du cerveau des souris, les chercheurs ont constaté que les malades avaient moins de synapses (connexions entre les neurones).
Or, des stimulations lumineuses répétées ont permis d'en augmenter le nombre à des niveaux comparables à ceux recensés chez les autres rongeurs. Au point de ne plus avoir besoin de les réactiver artificiellement pour susciter une attitude de frayeur.
Les souvenirs ont refait surface par un moyen naturel. Cela signifie que les symptômes de la maladie d'Alzheimer ont disparu.

Susumu Tonegawa
Selon le Pr Tonegawa, la maladie pourrait être soignée à un stade précoce si une nouvelle technologie qui remplit les conditions éthiques et de sécurité est développée.
Le détail de ces travaux est publié dans la revue Nature.
En 2013, une étude québécoise montrait que le fait de bloquer l'activité d'un certain récepteur du cerveau permettait de rétablir la mémoire et la fonction vasculaire cérébrale de souris atteintes de la maladie d'Alzheimer.« Cependant, les chercheurs estiment que la technique ne devrait fonctionner que pendant quelques mois chez les souris, ou deux ou trois ans chez les humains, avant que la maladie se développe suffisamment pour effacer tout progrès », précise Nature.

 Retrouver les souvenirs

« L’important c’est que l’on ait réussi à démontrer que même si on a l’impression qu’un souvenir a disparu, il est en fait encore là. Reste à savoir comment le retrouver », explique le professeur Susumu Tonegawa.

« Il est possible que dans le futur, de nouvelles technologies soient développées pour activer ou désactiver des cellules au sein de notre cerveau, comme l’hippocampe ou le cortex entorhinal, avec davantage de précision. Les résultats de cette étude nous ont appris quelles types de cellules il fallait viser, des informations fondamentales pour les futurs traitements », ajoute-t-il.


Le saviez-vous?
  • Une personne qui a un parent atteint de l'alzheimer a deux ou trois fois plus de risque de souffrir de cette maladie qu'une personne qui n'a pas ces antécédents familiaux.
  • Le nombre de cas d'alzheimer et de démences apparentées doublera dans les 20 prochaines années dans le monde, et passera de 35,6 millions actuellement à 65,7 millions en 2030.
  • Au Canada, le nombre de personnes touchées passera de 500 000 actuellement à 1 125 000 dans 30 ans.


Tampon, votre ennemi intime





LA SECURITE DES TAMPONS PERIODIQUES , UNE EXIGENCE ABSOLUE DES FABRICANTS

Alors que le reportage «Tampon, notre ennemi intime»diffusé ce jour sur France5
, pointe la présence dans  des  tampons  périodiques de  traces  de  substances  dont  il  dénonce  la  toxicité  potentielle,les fabricants  de tampons souhaitent  rassurer  les  consommatrices  et  réaffirmer  que  les produits qu’ils mettent sur le marché peuvent être utilisés en toute sécurité.Les entreprises membres de GROUP’HYGIENE comprennent l’exigence des consommatrices et rappellent que leur responsabilité est engagée à n’introduire sur le marché que des produits sûrs pour l’usage auquel ils sont destinés
.

Ceci implique en particulier que les tampons périodiques sont fabriqués selon des règles strictes de fabrication et de sélection des matières premières.La bonne tolérance et la sécurité des tampons sont ainsi assurées par des évaluations, des contrôles et des vérifications à tous les niveaux : depuis le choix des fournisseurs, la sélection rigoureuse des matières premières qui font l’objet d’analyses toxicologique s approfondies,  tout  au  long  de  la  fabrication  et jusqu’au produit final avant sa mise sur le marché.

L’INFORMATION DES CONSOMMATRICES, UNE PREOCCUPATION MAJEURE DES FABRICANTS
Les tampons périodiques sont composés de fibres issues de la cellulose (viscose ou coton ou un mélange
des  deux) pour l’absorption des flux. Un voile entoure ces  fibres pour  faciliter  la  mise  en  place  et  le retrait du tampon ;ce voile est composé de fibres issues de la cellulose ou de fibres synthétiques ou un
mélange selon les modèles (coton, polyester, viscose, polyéthylène, polypropylène)
.
La composition des tampons périodiques est disponible et accessible à tous.
Les consommatrices peuvent s’informer sur la sécurité et la composition des tampons ainsi que sur le choc toxique staphylococcique sur le site Internet «Tout savoir sur les protections féminines»créé à l’initiative des fabricants de protections périodiques regroupés au sein de GROUP’HYGIENE. www.protections-feminines.org.
Le choc toxique staphylococcique, plus communément connu sous le nom de syndrome du choc toxique
(SCT), est une infection rare mais grave qui peut toucher tout individu (homme, femme, enfant).
Le SCT d’origine menstruelle  est  associé  à  la  colonisation  vaginale  par  une  souche  de  staphylocoque  doré producteur d’une toxine (TSST-1).Les  tampons  ne  sont  pas  la  cause  du  SCT  menstruel.
Lorsqu’elles utilisent une protection périodique interne au moment des règles, certaines femmes porteuses de
cette souche au  niveau  vaginal ,et qui n’auraient pas développé de défenses immunitaires contre la toxine
présentent, dans de rares cas, un risque de développer un SCT menstruel.
Car,par le passé, le Dr Tierno avait prouvé que le tampon Rely de Procter and Gamble était meurtrier,des femmes mourraient durant les longues périodes de menstruation,durant les année 1980.Dont ,l'infirmière,Pat Kehm décéda a 25 ans.Ce qui est très grave, car plus cette maladie est diagnostiquée tôt, plus on a de chance d’en guérir sans séquelle. Par séquelle, je veux dire « une jambe coupée », par exemple, comme ce qui est arrivé à la sportive et mannequin américaine Lauren Wasser. L’étude des 700 tampons a aussi permis d’observer que 30 % des femmes étaient porteuses du staphylocoque doré, et 4 % de la souche de ce staphylocoque qui produit la toxine. 4 %, c’est quatre fois plus que ce que l’on pensait. Mais parmi ces 4%, seule 1 sur 10 ne dispose d’aucun anticorps pour l’éliminer. C’est ce 0,4 % qui est à risque, d’après le Dr Lina, non pas parce que des tampons pourraient la mettre en danger, comme aux Etats-Unis le « Rely superabsorbant » qui a causé la mort entre 1979 et 1980 de 38 personnes, sur 813 qui ont subi un SCT.


A  l’attention  des  consommatrices,tous les  paquets  de  tampons  périodiques  contiennent  de puis plusieurs années d’importantes informations sur le choc toxique staphylococcique d’origine menstruelle et  des  instructions  précises  pour  choisir  les  tampons  selon  son  flux  et  les  utiliser correctement. Les fabricants  recommandent  aux  consommatrices  de prendre connaissance des informations qu’ils font
figurer sur l’emballage et dans la notice détaillée présente dans les boîtes de tampons,ce qui n'était pas le cas avant!

Le Dr Richard Paulson est membre du bureau américain d'obstétrique et de gynécologique ,il a démontré en 1999 que les muqueuses vaginales seraient très perméables a certaines molécules et un excellent moyen d'administrer un médicament.a base d'oestrogènes.Donc perméable aux produits toxiques des tampons hygiéniques.La muqueuse absorbe 10 fois plus que par voix bucale.Alors les dioxines(dioxyde de chlore) qui servent a blanchir la cellulose contenue dans les tampons sont absorbées dans votre corps,surtout que la forme moléculaire de la dioxine est presque pareille a l'oestrogène.D'ailleurs des études prouve que des patients atteints d'endométriose ont ont des activités de dioxines plus importantes que des patientes indemnes d'endométriose.Et le plus souvent personne ne saient de quoi est fait un tampon,ni de ses composants,car ils y a en de cancérigène.Selon Raphaelle Bove chef de direction générale de la concurrence de la consommation et fraude,sur 6 tampons testés, il y avait des produits cancérigènes comme ,des furanes,dioxines,le carboxyméthylcellulose,

La source d'exposition aux dioxines chez l'humain ,c'est dans une très large mesure l'alimentation .Elle va aller en stocker dans les tissus gras et elle va y rester. Elle va s'éliminer très ,très difficilement de l'organisme ,si bien qu'au cours de la vie,la charge corporelle en dioxine augmente de façon constante tout au long de la vie.
Et cette même cellulose sert pas juste a faire des tampons,mais a faire des serviettes hygiéniques,des couches,des boyeaux de saucisses,aussi les capsules qui sert a envelopper vos médicaments !!!

REF.:
A propos de GROUP’HYGIENE ------------------------------------
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GROUP’HYGIENE est  le  syndicat professionnel représentant  les fabricants  de  produits  à  usage  unique
pour l’hygiène, la santé et l’essuyage . Cela concerne les articles d’hygiène en ouate de cellulose (papier
toilette, mouchoirs  en  papier, articles d’essuyage, gamme table) et les articles d’hygiène absorbants(couches-bébés,
protections pour incontinents, protections féminines).
www.grouphygiene.org

Nos microbes ont besoin de manger,mais nous les affamons




Les microbes nous aident à digérer les aliments, à récolter des calories, à nous fournir de l'énergie, à produire des vitamines essentielles, à réguler l'appétit, à protéger notre système immunitaire et à repousser les méchants. Mais en raison de notre mode de vie moderne, y compris un régime alimentaire occidental hautement transformé et la surutilisation d'antibiotiques, certaines des espèces de bactéries qui vivaient autrefois dans notre intestin sont sur le point de disparaître.Nos microbes ont besoin de manger, mais nous les affamons en ne les nourrissant pas avec les aliments appropriés. La digestion est déja fini avant d'arriver au gros intestin,il nous faut des fibres!!! Adieux le Big Mac !
 Le résultat? Les entrailles malsaines, et un taux d'obésité qui a grimpé en flèche.Time Spector a travaillé longtemps la dessus.Selon le généticien Tim Spector, auteur du nouveau livre "Le mythe de la diète: la vraie science derrière ce que nous mangeons", le mythe le plus important est que, "comme les rats de laboratoire identiques", nous répondons tous à la nourriture et consommons les mêmes façon.Mais tout comme les empreintes digitales, le microbiome de chaque personne est unique, de même que la façon dont le régime alimentaire influe sur notre poids et notre santé. Ainsi, le régime qui fonctionne pour un scientifique britannique peut être radicalement différent d'un chasseur-cueilleur en Tanzanie, ou même de la personne vivant à côté.

REF.: