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vendredi 1 juin 2018

P2P : BitTorrent Inc. a changé son nom pour Rainberry,..........le même mystère qu'Alphabet pour google ?



BitTorrent est sans aucun doute l'une des marques technologiques les plus reconnaissables du siècle. Il est donc surprenant que BitTorrent Inc. ait changé son nom pour Rainberry. Selon la compagnie, c'est strictement une «décision d'entreprise», mais une motivation plus détaillée fait défaut.
Fondé par l'inventeur BitTorrent Bram Cohen, BitTorrent Inc. est surtout connu pour son client torrent uTorrent, dont il a fait des millions au fil des ans.
Contrairement à la plupart des startups de partage de fichiers, la société a été bien financée dès le départ. La société de capital-risque Accel a été l'un des premiers investisseurs, dans un fonds qui comprenait également Facebook et Dropbox.
Cependant, au cours de la dernière décennie, BitTorrent Inc. ne s'est pas transformée en une entreprise de plusieurs milliards de dollars. La société a essayé divers nouveaux produits, services et modèles d'affaires, mais aucun n'a surpassé le succès qu'elle avait eu avec uTorrent.
Ces dernières années, les choses ont empiré. La société a été presque détruite en raison de pratiques de gestion douteuses, selon Cohen. Cependant, il semble que les eaux se soient calmées maintenant sous une nouvelle direction.
Au lieu de réinventer la roue, l'entreprise a promis de recentrer ses efforts sur ce qui a fait ses preuves, uTorrent. Une nouvelle version basée sur un navigateur du client populaire a été publiée récemment, et cela semble être l'un des principaux axes à l'avenir.
Il y a quelque chose de nouveau - BitTorrent Inc. a un nouveau nom. Bien qu'elle n'ait été publiée nulle part, la société anciennement connue sous le nom de BitTorrent Inc. est maintenant Rainberry Inc.
"Rainberry Inc est le nom officiel de la société; il a été changé vers le début de l'année 2017 », explique Jordy Berson, Chief Product Officer de Rainberry, à TorrentFreak. Il souligne que c'est une décision purement corporative et qu'aucune des marques de produits existantes ne changera.
"La meilleure façon d'y penser est que ce n'est pas sans rappeler la façon dont Alphabet Inc est le nom officiel de l'entreprise que la plupart des gens connaissent comme Google", ajoute Berson.
Il n'est pas rare que les entreprises changent de nom, mais le motif de leur motivation reste un mystère. Il doit y avoir une bonne raison pour laquelle Rainberry est préféré à BitTorrent, d'autant plus que cette dernière est une marque connue par des millions de personnes.
Alors que BitTorrent Rainberry Inc. ne doit pas une explication complète au public, il est remarquable que le changement de nom ait été tenu secret.
Rainberry n'a pas de site Web d'entreprise et n'est pas mentionné sur les sites Web officiels de BitTorrent.com ou d'uTorrent.com, par exemple. De plus, tous les employés de Rainberry lisent toujours BitTorrent Inc. comme leur employeur alors que Rainberry ne semble même pas exister sur Linkedin.
Le nom de Rainberry est assez unique aussi. Une recherche rapide sur Google n'apporte que quelques mentions. Cela inclut une offre d'emploi pour "Rainberry Inc f / k / a BitTorrent Inc" mais aussi une entreprise nommée "Rainberry Acquisition" qui a été formée il y a deux mois, coïncidant aussi à San Francisco ...


REF.:

Une carte et une application pour identifier les «trappes à tickets»


Le fondateur de SOS Ticket espère inciter les conducteurs à plus de vigilance dans les zones à risque.

Les données tirées de plus de 52 000 contraventions contestées à travers la province ont permis d’identifier des zones où les automobilistes courent plus le risque d’être pris en défaut, communément surnommées les « trappes à tickets ».
En une décennie à la tête de SOS Ticket, l’ex-policier Alfredo Munoz a aidé des dizaines de milliers de conducteurs à contester leurs contraventions. Il a alors amassé une mine d’informations qu’il a mises à profit pour développer l’application Woww, qui alerte les automobilistes dès qu’ils approchent d’une zone souvent surveillée par des patrouilleurs.
L’équipe du Journal a utilisé la même masse de données pour confectionner une carte interactive, qui montre les secteurs où on note une concentration de contraventions distribuées.
Cette carte vous permet de visualiser les tronçons qui font souvent l’objet d’une surveillance policière accrue.
Chaque point blanc représente un endroit où une contravention a été émise entre 2007 et 2016. Les zones où la densité de contraventions est particulièrement élevée apparaissent en rouge. Elles suggèrent la présence d’une possible «trappe à tickets» ou de secteurs où les automobilistes doivent faire preuve de plus de vigilance et de prudence au volant.
Source Alfredo Munoz
Attention accrue
Le fondateur de SOS Ticket rappelle que les policiers surveillent souvent les endroits où il y a plus de risques d’accident.
« L’application permettra d’avoir un degré d’attention accrue à l’approche de ces secteurs », estime-t-il, soulignant que l’inattention est désormais une des principales causes de collisions sur les routes.
« En avisant les conducteurs qu’ils pénètrent dans une zone à risque, j’espère augmenter leur attention au volant. L’alerte sonore va leur indiquer que ce n’est pas le moment de changer le poste de la radio ou de prendre une gorgée de leur café », illustre M. Munoz.
Comme les radars photo
Même s’il a toujours dénoncé « les trappes à tickets », Afredo Munoz assure que son application n’a pas pour but de les contourner, mais bien de sensibiliser les automobilistes à la sécurité routière.
Le fondateur de SOS Ticket, Alfredo Munoz, a créé l’application Woww, qui avise les automobilistes lorsqu’ils approchent d’un secteur où ont été distribuées de nombreuses contraventions.
Photo Ben Pelosse
Le fondateur de SOS Ticket, Alfredo Munoz, a créé l’application Woww, qui avise les automobilistes lorsqu’ils approchent d’un secteur où ont été distribuées de nombreuses contraventions.
Un peu dans le même esprit, souligne-t-il, que les panneaux qui préviennent les conducteurs de la présence d’un radar photo. Selon lui, ce n’est pas à coups de contraventions que les conducteurs vont être sensibilisés à la sécurité.
« L’éducation, ça prend du temps, mais c’est la meilleure façon de changer les choses », dit-il.
À long terme, M. Munoz espère obtenir la collaboration de la Société de l’assurance automobile du Québec (SAAQ) et du ministère des Transports (MTQ) pour parfaire l’application.
L’application vire au rouge et émet un signal sonore lorsque le conducteur a intérêt à redoubler de prudence.
Photo Ben Pelosse
L’application vire au rouge et émet un signal sonore lorsque le conducteur a intérêt à redoubler de prudence.
Il avance qu’il pourrait ainsi cerner plus de zones à risque, mais aussi informer en temps réel des dangers sur la route, comme la présence de glace noire, d’un accident ou d’un objet qui obstrue une voie.
Offerte gratuitement
L’application Woww est présentement offerte gratuitement pour téléchargement.
« L’objectif n’est pas de faire de l’argent, mais bien de sauver des vies », dit le père de famille de 52 ans, qui s’est départi de SOS Ticket afin de retourner aux études à plein temps pour devenir avocat.

Les experts ont des réserves sur les applications

 
Les experts en sécurité routière ne sont pas unanimes sur l’utilité des applications mobiles qui permettent aux conducteurs d’éviter des constats d’infraction.
« Si les gens peuvent contourner la loi grâce à une application, je ne suis pas d’accord. Si c’est avantageux pour une personne, individuellement, ce ne l’est pas collectivement », estime la chercheuse Marie-Soleil Cloutier, de l’Institut national de recherche scientifique.
Loi contournée
Selon elle, ces applications mobiles remplacent de façon détournée les détecteurs de radars policiers, interdits depuis longtemps au Québec.
Malgré tout, elle reconnaît qu’une application qui dévoile l’emplacement de policiers sur les routes peut avoir un certain effet de prévention. Au même titre que les pancartes qui avertissent les automobilistes de la présence de radars photo.
« Le réel avantage, c’est de réduire la vitesse. Mais si les gens ne ralentissent que là et accélèrent après, on n’est pas plus avancé », illustre-t-elle.
Même son de cloche du côté de CAA-Québec.
« Est-ce que notre comportement sur la route va être guidé par une application ? C’est notre conscience et notre jugement, qu’on devrait exercer en tout temps », dit le porte-parole Pierre-Olivier Fortin.
« Si les limites de vitesse existent, c’est pour qu’elles soient respectées. Point à la ligne. Si chacun respectait le code de sécurité routière, on n’aurait pas besoin de ces applications mobiles », lance pour sa part Erick Abraham, ingénieur mécanique et associé de recherche à l’école Polytechnique de Montréal.
Gare aux distractions
Mais pour le Conseil canadien de la sécurité, ces applications peuvent pourtant être utiles et aider à améliorer le bilan routier.
« On prône la prévention. À notre avis, ça rend les conducteurs plus prévoyants, et sachant qu’ils pénètrent dans une zone à risque de contraventions, ils vont ralentir », indique le porte-parole de l’organisme, Lewis Smith.
À condition que l’application ne soit pas trop « intrusive et distrayante », nuance-t-il.
 

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On a testé cinq SSD de nouvelle génération pour booster votre ordinateur portable



Ultra compacts, les nouveaux SSD M.2 bénéficient de l’interface NVMe pour passer la barrière des 600 Mo/s. Nous avons testé pour vous cinq modèles populaires. 

 

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Les Hackers prouvent qu'il est possible de contourner l'authentification à deux facteurs







Tout ce dont vous avez besoin est un utilisateur qui ne vérifie pas les noms de domaine avant de cliquer.Les mots de passe restent toujours une fonctionnalité de sécurité que nous devons tous gérer. Les gérer est devenu plus facile grâce à l'introduction de gestionnaires de mots de passe, mais ils ne sont pas parfaits. L'authentification à deux facteurs (2FA) est considérée comme un moyen d'améliorer considérablement la sécurité, mais il s'avère que la contournement est assez simple.Comme le rapporte TechCrunch, Kevin Mitnick est Chief Hacking Officer à la société KnowBe4 de formation à la sensibilisation à la sécurité. Dans la vidéo , il montre à quel point il est facile de saisir les détails d'un utilisateur LinkedIn simplement en les redirigeant vers un site Web ressemblant à LinkedIn et en utilisant 2FA pour lui voler ses identifiants de connexion et son accès au site. L'outil Evilginx que Kevin a utilisé pour l'aider à le faire a été créé par le chercheur en sécurité Kuba Gretzky, qui a expliqué comment le bypass fonctionne dans un article sur breakdev.org.L'attaque est simple. Il nécessite un e-mail qui semble "correct" pour le site Web ciblé afin que le destinataire ne prenne pas le temps de vérifier le domaine à partir duquel il a été envoyé. Dans l'exemple ci-dessus, l'email provient en fait de llnked.com plutôt que
LinkedIn.com.Si vous cliquez sur le bouton "Intéressé" dans l'e-mail, l'internaute accède à un site Web qui ressemble à la page de connexion Linkedin, mais qui se trouve sur le domaine llnked.com. C'est un autre point auquel un utilisateur suspect va s'arrêter, mais la plupart sont juste impatients de se rendre sur le site. Donc, ils remplissent les détails et cliquez sur Connexion. Cela déclenche la vérification 2FA, qui, lorsque le bon code est entré, crée un cookie de session permettant un accès sécurisé au site.en relation
 


   
 



    Authentification à deux facteurs: qui l'a et comment l'organiser;Pendant ce processus, il est possible de voler le nom d'utilisateur, le mot de passe et le cookie de session pour le compte LinkedIn. À ce stade, le nom d'utilisateur et le mot de passe ne sont même pas nécessaires. Mitnick charge simplement le navigateur Chrome, visite LinkedIn, ouvre les outils de développement du navigateur, colle le cookie de session dans la console, puis rafraîchit sur LinkedIn. L'accès est alors accordé.Ce que Mitnick essaie de montrer ici est, même avec 2FA, l'utilisateur est le maillon faible. S'ils ne prennent pas le temps de vérifier où ils entrent leurs informations sécurisées, aucune sécurité dépendant de l'utilisateur, aussi forte soit-elle, ne fonctionnera.

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jeudi 31 mai 2018

Ça coûte 252$/année pour avoir un compte Bancaire au Québec en 2018

Les banques informent mal leurs clients à propos des forfaits:(pour faire de l'argent avec les cons,les BS,les personnes en perte d'autonomie progressive,ceux qui ne connaise pas leurs droits,etc)

Pourquoi ça coûte cher ? (c'est surement,pour couvrir les frais de Cyberfraude(déja 51% des transactions se font en ligne en 2016) ,recouvrement de carte crédit et faillite en grosse parti,(déja 170 banques Canadienne fermées en 2017),car la masse salariale des employés (sauf les haut cadres)vont de plus en plus être remplacés par des machines,comme avec les assistants virtuels....Facebook,Twitter,Messenger,Alexa,...)

Selon une enquête d'Option consommateurs.

Une enquête réalisée par le groupe Option consommateurs indique que "la plupart" des institutions financières au pays n'informent pas correctement leurs clients au sujet des forfaits bancaires.
L'organisme de défense des droits des consommateurs a révélé les résultats de son enquête, mercredi, au cours d'une conférence de presse à Montréal.
Entre autres résultats, environ 70 pour cent des personnes interviewées se sont dites peu ou très peu informées à propos des forfaits bancaires.
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Les frais bancaires sont aussi souvent sous-estimés par les clients, de l'ordre de 48 pour cent. Ainsi, les gens en moyenne estimaient leurs frais bancaires à 12,38 $, alors qu'ils étaient de 18,29 $.(La moyenne serait environ 21$/mois en frais total divers,c'est 252$/année pour un compte avec transactions illimités)
Ce manque d'information apparaît d'autant plus étonnant, selon Option consommateurs, que les institutions financières s'étaient engagées auprès du gouvernement à offrir des comptes à frais modiques et à bien divulguer l'information à ce sujet. Or, l'information fait souvent défaut, malgré cette entente avec le gouvernement fédéral, argue le groupe de défense des consommateurs.
"(Ça) permet de dire qu'elle (l'entente) aide les institutions financières à communiquer aux consommateurs, de façon générale. Il y a un effet positif mais, malgré tout, on ne peut pas dire que les institutions financières respectent leur engagement. Soixante-huit pour cent des éléments d'information nécessaires à la prise de décision ont été observés, ce qui, selon nous, est tout à fait inadéquat", a conclu Olivier Bourgeois, coordonnateur en énergie et responsabilité sociétale chez Option consommateurs.
De même, 63 pour cent des représentants des institutions financières n'ont pas référé les enquêteurs d'Option consommateurs au site web de leur institution. Et 48 pour cent n'ont pas remis de dépliant.
De plus, il existe un outil de comparaison des comptes bancaires sur le site web de l'Agence de la consommation en matière financière du Canada. Mais aucun représentant des institutions financières ne l'a mentionné aux enquêteurs incognito d'Option consommateurs.
Recommandations
Entre autres recommandations, Option consommateurs conseille aux institutions financières de mieux former les employés du service à la clientèle.
Elle recommande aussi à l'Agence de la consommation en matière financière du Canada de prendre les moyens qu'il faut pour s'assurer du respect de l'entente avec le gouvernement fédéral.
Pour les fins de l'enquête, deux représentants se sont rendus dans 27 succursales bancaires à Montréal et Toronto pour poser des questions sur les forfaits. De plus, 100 Canadiens à faible revenu ont été interviewés sur les forfaits et ils ont donné accès à leurs relevés bancaires à Option consommateurs.
Option consommateurs a également consulté les sites web des institutions financières et les dépliants de 18 institutions financières.

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