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vendredi 19 avril 2019

FAQ – Compte administrateur Windows

FAQ – Compte administrateur Windows



admin, compte administrateur
 
 
Il existe beaucoup d’incompréhension autour du compte administrateur de Windows.
Cet article répond aux questions les plus fréquentes.
Rappelons que le compte administrateur de Windows se nomme le compte intégré.
Ce compte est caché par défaut et n’est pas accessible.
Vous avez probablement un compte utilisateur qui fait partie du groupe administrateurs.
Ce dernier possède donc aussi des accès administrateur sur Windows.
L’article suivant donne toutes les explications sur comment créer un compte administrateur sur Windows : Le compte administrateur de Windows

FAQ – Compte administrateur Windows

Q – Quelles sont les différences entre un compte administrateur et non administrateur ?

Un compte utilisateur faisant partie du groupe administrateurs peut installer des applications et modifier la configuration système de Windows.
Notamment un administrateur peut écrire dans le dossier Program Files.
A contrario, un utilisateur standard ne peut pas écrire dans ce dossier mais seulement dans son profil utilisateur C:\Users\
Le compte standard est donc utile pour donner accès à un ordinateur mais avec des restrictions.
Plus d’informations : Différence entre compte administrateur et utilisateur sur Windows

Q – Y-a-il une différence entre le compte administrateur intégré et un compte utilisateur administrateur ?

Les permissions sur le système sont identiques.
C’est à dire que vous pouvez globalement effectuer les mêmes actions sans restrictions.
La seule différence est que lorsque vous utilisez une session avec le compte administrateur intégré, vous n’êtes pas soumis au contrôle des comptes (UAC).
Pour mieux comprendre le fonctionnement de l’UAC, vous pouvez lire le dossier suivant : Le contrôle des comptes utilisateurs (UAC) de Windows

Q – Peut-on supprimer le compte administrateur intégré de Windows ?

Non, cela est impossible. En tentant de supprimer le compte administrateur, vous pouvez obtenir le message d’erreur suivant :
L'erreur système 1371 s'est produite.
Impossible d'accomplir cette action sur des comptes prédéfinies

Q – Les accès administrateurs sont les accès les plus hauts de Windows

Non, il existe des utilisateurs qui ont des accès plus importants.
Notamment un utilisateur système ou encore service local.
Il ne s’agit pas d’un groupe accessible par un utilisateur Windows.
Il n’est donc pas possible de s’identifier et ouvrir une session avec un utilisateur qui ferait partie d’un groupe système.
Ci-dessous la liste des processus d’un Windows 10 avec une colonne User Name.
On voit que certains processus sont lancés par l’utilisateur courant spamh et d’autres processus système avec l’utilisateur Service Local, Service réseau ou encore Système.
FAQ - Compte administrateur Windows
La page suivante donne quelques explications autour des utilisateurs systèmes : Les utilisateurs AUTORITE NT

Q – je reçois le message « impossible de lancer une application avec l’administrateur intégré » lorsque je veux utiliser un programme depuis le compte administrateur

Lorsque vous utilisez le compte administrateur intégré, vous recevez le message d’erreur suivant :
Impossible d'ouvrir cette application
Impossible d'ouvrir xxxx à l'aide du compte Administrateur intégré. Connectez-vous à l'aide d'un autre compte, puis réssayez
Il peut s’agir de restrictions systèmes et notamment de Restriction administrateur : Les stratégies locales
Pour débloquer le compte administrateur intégré et résoudre ces erreurs de lancement d’application, reportez-vous à la page : Impossible de lancer application avec administrateur intégré
FAQ - Compte administrateur Windows

Impossible d’ouvrir cette application.

Q – Est-il possible de renommer le compte administrateur intégré ?

Cela est possible mais cela n’a pas grand intérêt, d’autant que vous risquez de vous embrouiller par la suite.
En effet, vous risquez de confondre le compte administrateur intégré avec un autre utilisateur.
Pour renommer le compte administrateur, vous pouvez utiliser la commande wmic depuis une invite de commandes en administrateur.
wmic useraccount where name='username' rename newname
Plus d’informations sur wmic, lire le tuto : Tutoriel WMIC

Les liens

Les autres articles du site autour des comptes administrateurs.
Tous les tutoriels liés au compte administrateur et utilisateur de Windows :
REF.:

BSOD ou Stop Code DPC Watchdog Violation

BSOD ou Stop Code DPC Watchdog Violation




BSOD


Cet article traite des BSOD ou Stop Code DPC Watchdog Violation.
Il s’agit de plantage complet de Windows avec un écran bleu qui peuvent se provoquer sur Windows 7, 8 ou 10.
L’ordinateur doit redémarrer afin de relancer Windows.
Cet écran bleu peut arriver durant l’utilisation de votre PC ou pire au démarrage.
Vous trouverez des explications ainsi que des solutions pour résoudre les BSOD ou Stop Code DPC Watchdog Violation.


BSOD ou Stop Code DPC Watchdog Violation

Watch Dog pour chien de garde correspond à un mécanisme de Windows qui vérifie si les périphériques et matériels de l’ordinateur répondent correctement.
Lorsque cela n’est pas le cas, un plantage de type BSOD et Stop code DPC Watchdog Violation peut alors se produire.
Voici la description de ce plantage :
le chien de garde DPC a détecté une durée d'exécution prolongée à un IRQL égal ou supérieur à DISPATCH_LEVEL.
Cela peut être dû à un pilote qui ne répond pas ou à un matériel qui ne répond pas.
Cette vérification de bogue peut également se produire en raison de la surchauffe des processeurs (problème thermique).
Le crash est survenu dans le noyau Windows. Ce problème est peut-être causé par un autre pilote qui ne peut pas être identifié pour le moment. "
Ce plantage sévère de Windows peut avoir deux sources :

  • Un pilote d’un périphérique qui bug et ne répond pas.
  • Un problème matériel sur un périphérique.
Pour plus d’informations sur les Stop Code et BSOD, lisez notre article : BSOD et Stop Code : les écrans bleus de la mort de Windows

Résoudre les écran bleu DPC Watchdog Violation

Mettre à jour les pilotes

En priorité, il est conseillé d’effectuer une mise à jour de pilotes.
Les articles suivants du site peuvent vous y aider :

DISM : vérifiez les fichiers systèmes

En second lieu, sur Windows 8 et Windows 10 une réparation DISM est aussi conseillé.
Cela permet de s’assurer qu’aucun corruption du système n’est présent.
Ouvrez une invite de commandes en administrateur puis copiez/collez les commandes suivantes.
Laissez les analyses s’effectuer et vérifiez que Windows ne trouve aucune corruption.
Dism /Online /Cleanup-Image /StartComponentCleanup
puis :
Dism /Online /Cleanup-Image /RestoreHealth
Afin de pouvoir vérifier et réparer ces derniers, vous pouvez suivre le guide de la page suivante pour utiliser les utilitaires un checkdisk, SFC et DISM : Réparer Windows 7, 10 depuis l’invite de commandes

Vérifiez le matériel de votre ordinateur

L’introduction évoque des surchauffe de l’ordinateur.
En effet, une température trop haute peut provoquer des dysfonctionnements de votre PC.
Il faut donc surveiller la température des composants (processeur, carte graphique ou disque dur).
Pour se faire, suivez l’article : Vérifiez la température de l’ordinateur

Résolution des plantages BSOD

En dernier lieu, suivez notre article dédié à la résolution des BSOD et StopCode.
Plusieurs procédures y sont données, qu’il faut suivre pas à pas : Résoudre les BSOD et Stop Code sur Windows 7 et Windows 10

Liens BSOD Windows

Le tutoriel complet sur les plantages BSOD : BSOD : les écrans de plantages de Windows

REF.:

dimanche 14 avril 2019

Les vrais propriétaires de montréal



Main basse sur la ville de Montréal:


blanchiment $, loyers, montréal, société
 
 
En 1970,émergent,les banlieues,centres commerçiaux,autoroutes,gratte-ciel,Montréal est passée d'une ville avec une personnalité et une architecture distinctives a une ville en perte de cette identité.
Des quartiers étaient rasés: des maisons et des bâtiments au style distinctif,(journaliste d'enquête : Henry Aubin)ont été remplacés par des gratte-ciels sans identité ni originalité. Ils auraient pu être construits dans n'importe quelle ville industrialisée. Lorsque j'ai proposé cette enquête a mon éditeur,je croyais que trois mois suffiraient pour trouver a qui appartenait Montrèal de trouver les propriétaires.La recherche des propriétaires a été très ardue. Il n'y avait pas d'ordinateur a l'époque. Les propriétaires se faisaient discrets. j'ai dû frapper a beaucoup de portes. Pour comprendre qui contrôlait le développement de la ville,il me fallait bien plus que les droits de propriété. Comme journaliste d'enquête ,mes collègues me regardaient d'un air soupçonneux a la longue.
Sur quoi il travaille ? Il ne produit pas comme nous. Il prend de longues pauses ? Qu'est-ce qui se passe ? Je me sentais coupable. Je travaillais six ou six jours et demi par semaine. Je croyais que Montréal appartenait aux américains et que l'île deviendrait comme Manhattan. Ce n'était pas du tout le cas. Tout le pouvoir était européen.

Tout a commencé quand,je suis allé a une audience de la régie du logement,ou des locataires d'un immeuble de chemin Côte-Saint-Luc se plaignaient du prix du loyer.Les hausses étaient importantes et sans motif apparent. Aucun travail n'était en cours. L'inflation n'était pas élevée.Les gens étaient fâchés. Ils voulaient savoir qui était propriétaire de l'immeuble. Le gestionnaire de l'immeuble était la,mais ne le savait pas. J'ai pensé que ce serait un bon cas a fouiller. J'ai découvert que l'immeuble appartenait a une société a numéro au Liechtenstein. Je m'y suis rendu,un petit pays voisin de la Suisse. A l'époque ,ce pays était encore plus discret que la Suisse sur les comptes bancaires.L'adresse obtenue était le 231 Kirchstrasse dans la ville de Schaan. Cette adresse revient souvent dans les régistres fonciers pour désigner le siège des sociétés qui possèdent les tours d'habitation les plus importantes de Montréal. Je lui ai dit,vous ête président de telle et telle entreprise. Il a répondu: vraiment ? Il ignorait non seulement qu'il en était président,mais aussi que ses sociétés avaient des activités a Montréal.

On voit a quel point,ces propriétaires sont exonérés de responsabilités. Dans ce cas-ci ,des italiens auraient masqué leur identité derrière cette société du Liechtenstein.
Le grand magazine d'actualité Der Spiegel ira même jusqu'a qualifier Montréal de Mecque de l'immobilier pour riches allemands voulant fuir l'inflation et le socialisme rampant.
Rappelons nous après les turbulentes années 1960: les grands espoirs,les autoroutes,l'expo universelle.Montréal était au sommet avec ses grands projets et le métro. Tout allait a plein régime. Puis arrivent les années 1970.La fête est terminée.Des édifices poussent partout. Ils ne sont plus beaux comme ceux des années 1960.On voyait la ville changer,mais on ne savait pas ce qui se passait en coulisse.
Voila son travail. Il a révélé l'incroyable collusion financière et politique ,Montréal était perçue comme une ville ouverte ou l'on pouvait construire comme bon nous semble. Tout était permis. Et nous avons compris. Chaque nationalité avait sa spécialité.

Les Britanniques exellaient dans les immeubles de bureaux. Les italiens,dans les immeubles a logements.Les Français ne possédaient pas beaucoup de propriétés,mais de grandes entreprises de construction et la plus grande cimenterie.

Le plus surprenant parmi eux,c'était les Belges.La Belgique ,un petit pays ,possédait une énorme société financière, qui contrôlait des centaines partout dans le monde. L'une d'elles,Genstar,était le plus grand propriétaire de terrains a bâtir au Canada et le plus grand constructeur d'immeubles d'habitation au Canada. La Belgique a joué un grand rôle dans l'essor de Montréal a l'insu de tous !
Avec Genstar,la société générale de Belgique a délaissé l'Afrique pour le Canada. En 1960,elle acquiert pour 50 M$ la société Miron et sa carrière de calcaire en plein coeur de Montréal.
Elle devient une productrice majeure de calcaire ,ingrédient clé du ciment.

Trizec lui,était le plus grand propriétaire de tours de bureaux a Montréal. Détenu par le groupe britannique Eagle Star,propriétaire suprême ,son conseil d'administration n'était composé que d'aristocrates. Cette société était liée au plus grand producteur mondial d'or,Anglo-Américan,dont le siège était en Afrique du Sud. Les bénéfices tirés de ces mines ont été réinvestis dans la construction de grands édifices a Montréal durant les années 1970. Trizec a été fondée en 1960 pour construire la Place Ville-Marie ,le plus grand complexe de tours de bureaux du genre en Amérique du Nord.
La plus grande entreprise de construction a ce moment au Canada s'appelait Janin. Voici sa liste:
Le complexe Desjardins et ses 4 tours ou son siège était situé; la tour de la Bourse,longtemps la plus grande de Montréal;l'Hôtel Château Champlain ,un grand hôtel de la ville; la gare centrale de train; le quartier général de la sureté du Québec et la prison Parthenais; la maison de Radio-Canada.Voila les principaux édifices,beaucoup d'infrastructures routières furent réalisées par Janin :
Auroroute Ville-Marie,pont Jacques-Cartier,pont Champlain,tunnel Louis-H Lafontaine ,échangeur Turcot,voie maritime du St-Laurent.

En général,il n'y a pas un gros bonnet qui possède une constellation d'intérêts.J'ai découvert que ceux que je croyais tout-puissants ne savaient même pas qui possédait leur société,qui était derrière. Par exemple,dans la société Janin,M. Gautrin ,président de cette grande firme de construction ne savait pas qui possédait la société propriétaire de Janin. C'était la société française Chargeurs Réunis.C'était un mystère pour lui . Il avait l'air très surpris . Je ne crois pas qu'il faisait semblant. Une multinationale n'a pas de racine.Elle est partout.Des sociétés minières possèdent des sociétés immobilières,des pétrolières possèdent des sociétés immobilières.Lorsqu'elles investissent dans une ville ,elles veulent tirer le maximum de profit.Le profit c'est bien ,mais c'est tout ce qui compte pour elles.
Elles ne se soucient pas de l'architecture,ni du gaspillage d'énergie.Elles ne veulent que construire un bâtiment et y loger le plus de locataires possible. Elles ne se soucient pas de leur impact sur la communauté.

 La politique municipale est intéressante au Québec. Elle est indépendante de Québec. On y observe une chronologie fascinante. Jean Drapeau ,maire de Montréal,phase 1 ,dans les années 1960. Il est un maire très progressiste,avec l,expo universelle et le métro. Par contre,il est pro autoroutes et démolit de vieux quartiers.C'est un maire fascinant qui a modernisé Montréal. Il a revitalisé le centre-ville grâce au réseau souterrain et de prestigieux projets. Une période assez positive pour Montréal et son aménagement urbain.
Selon David Hanna (prof en études urbaines de l'UQAM),tout a changé dans les années 1970. On a passés a l'ère Drapeau phase 2,avec les Olympiques et la corruption scandaleuse. C'est un fait,commission d'enquête a l'appui. Le stade olympique a coûté l'équivalent de 10 stades construits aux USA durant la même période.
Gérald Tremblay(2002-2012),lui a dirigé Montréal au cours d'une autre èere de développement. Les années 2000 sont épiques. Beaucoup d'argent et de développement. Malheureusement Tremblay n'a pas de vision. Ou plutôt.il a une vision. Une vision révélée en commission d'enquête: corruption scandaleuse. Voila ce que G. Tremblay a voulu faire de Montréal:
une nouvelle mecque pour les développeurs.Alléger la règlementation.Venez,la ville est ouverte ,vous avez le champ libre. Personne ne vous freinera.

 Montréal est réputée pour son excellence. Un centre-ville extraordinaire ,toujours animé. Un peu comme a New-York. Il y a toujours de l'animation au centre-ville:
soir,nuit,matin,toute la journée,tous les jours de la semaine. Mais ce qui démarque Montréal,c'est sa ligne d'horizon. On peut profiter de percées visuelles en plein centre-ville. On peut y voir des immeubles de seulement 4 étages.On trouve une gradation de hauteurs afin que le soleil pénètre malgré les hautes tours. Un centre-ville ou il fait bon marcher. Cette approche a fait la renommée de Montréal. Il ne faut pas la bousiller. Un atout précieux a préserver pour une ville nord-américaine. Il faut encourager ce type de développement. Ce qui nous amène a l'ultime cadeau de maire Tremblay. Au terme d'un règne de corruption et de multiples projets désastreux. Tremblay sent que l'étau se resserre. En novembre 2012 ,il démissionne. Mais peu avant sa démission ,il a donné aux développeurs le plus beau cadeau qu'ils pouvaient espérer. Il a autorisé au centre-ville un zonage jusqu'a 40 étages.Systématiquement. Il a démantelé le zonage peaufiné par Drapeau,puis par Doré,fruit de la renommée de Montréal en Amérique du Nord. Un centre-ville habitable,agréable,dynamique,populaire. Un centre-ville magnifique,ou les gens aiment faire les courses,vivre,se promener. Tout a coup,au centre-ville de Montréal,aujourdhui des édifices de 40 étages poussent sur le bord d'un trottoir dans les rues étroites ou des lieux patrimoniaux fragiles,comme des champignons. C'est la dévastation. C'est un cadeau a perpétuité que Tremblay nous a donné.Lorsqu'on augmente les hauteurs,on ne peut pas les diminuer. Les développeurs entameront des poursuites pour pertes de droits d'aménagement. C'est catastrophique. On se rend compte qu'on vit dans les canyons de Manhattan. On remerciera Tremblay ?
Plusieurs building appartienne a la famille Saputo,a Vincenzo Chiara , a Giuseppe Borsellino.
Plusieurs condos de luxe ,comme l'Avenue (200M$)est a la famille Broccolini.
Le Roccabella phase 1 et 2 (117M$) et le ROC Fleuri (71M$) sont a Giorgio Tartaglino.
L'ICÔNE (120M$)est a la famille Essaris.
Le YUL (215M$)est a Kheng Ly.

A Brossard, Aster Corp = est dans l'immobilier ,le ciment et les autoroutes.
A La Prairie, Gulf Oil = est dans l'immobilier,autoroutes et les énergies fossiles.
A Delson,Genstar = est dans le ciment,autoroutes et les énergies fossiles.
A Candiac, Empain + Schneider Group = sont dans la construction,énergies fossiles .

Maintenant,.............le MTQ :
De mon point de vue, est un état dans l'état.
Les gouvernements changent ,mais il y a peu d'impact. En 2008,le MTQ annonce un nouvel échangeur Turcot . Le plus grand échangeur autoroutier du Québec.Énorme.Construit dans les années 1960. Le MTQ propose un tout nouvel échangeur. Magnifique. Pour les années 1960.Sa configuration ,son concept,tout. Style années 1960. Mais,nous sommes en 2009-2010 !!! Ça n,a aucun bon sens ; on a évolué. Le projet est très mal reçu. Au final,le MTQ construira l'échangeur quasi a l'identique,sauf un ajout,l'aménagement d'une voie réservée aux autobus. La voie réservée aurait dû être dans le projet initial,a tout le moins. C'est incroyable qu'un ministère démontre si peu d'intérêt pour le transport public,bien qu'il en soit responsable et qu'en tant qu'expert ,il semble figé en 1960. Il semble très peu d'innovation dans ce projet (a échéance en 2019-2020)sans compter tous les projets de tramway mis aux oubliettes,les fameuses lignes avenue du Parc et côte-des-neiges.Le tram-train reliant Lachine.Tant d'études coûteuses soutenues par les élus montréalais. Lorsqu'elles arrivent au MTQ,elles sont toutes écartées. Systématiquement. Voila,ce que j'entends par l'État dans l'État !!!


REF.: Radio-Canada-TV,inspiré du livre: Les vrais propriétaires de Montréal par Henry Aubin.

samedi 13 avril 2019

La blockchain est morte, vive Hashgraph ?

La blockchain est morte, vive Hashgraph ?




Blockchain
 
 
Face à la chaîne de blocs, des technologies alternatives tentent d'émerger. Parmi les plus crédibles, Hashgraph offre des gages en termes de sécurité, d'équité et de performance.
La technologie Hashgraph a été dessinée pour proposer une alternative crédible à la blockchain. Portée par la société texane Swirlds, elle tente de répondre à ses principaux points faibles. Pour bien comprendre l'apport de Hashgraph, petit retour sur les faiblesses de la chaîne de blocs.
Certes, un registre distribué et infalsifiable permettant de transmettre des informations sans passer par un tiers de confiance montre sa pertinence pour un grand nombre de cas d'usage. Reste que la technologie de chaîne de blocs telle qu'elle a été conçue présente un certain nombre de défaillances. C'est avant tout l'algorithme de consensus de la blockchain qui est pointé du doigt. Les membres d'une communauté n'étant pas, par essence, tous dignes de confiance, il introduit le mécanisme de preuve de travail (proof of work). Pour valider une transaction, un "mineur" doit résoudre un problème mathématique complexe.
Mance Harmon, CEO de Swirlds, présentant la technologie Hashgraph en septembre 2017 à l'occasion de TechCrunch Disrupt à San Francisco. © JDN / Capture
Or ce travail de minage étant rémunéré (en cryptomonnaies), il est devenu un business en soi. Dans cette optique, des acteurs se sont fédérés autour de plateformes de serveurs pour mutualiser leur puissance de calcul. Cette débauche d'énergie pose des problèmes écologiques, le minage étant particulièrement énergivore. La concentration du pouvoir entre quelques mains soulève, elle, des risques en matière de sécurité et d'équité. Selon une étude de l'université de Cambridge, 58% des mineurs se trouvent en Chine. "C'est le premier mineur qui résout le problème mathématique qui gagne le lead pour valider la transaction, sachant qu'un seul peut gagner", rappelle Guillermo Blanco, fondateur de Ledgerfrance.com, un cabinet de conseil en DLT (pour Distributed Ledger Technologies).
Non seulement ce système gaspille des ressources, plusieurs mineurs concourant pour la même transaction, mais il crée potentiellement un risque de conflit d'intérêt. Les mineurs peuvent, en effet, influencer l'ordre de passage et privilégier telle transaction plutôt que telle autre. La blockchain ne peut donc garantir le principe du "premier arrivé premier servi", l'ordonnancement des transactions dépendant du travail de minage.
De par sa conception, la blockchain présente, par ailleurs, un problème de performance. Le bitcoin est limité à 7 transactions par seconde. "Un volume d'échanges très faible par rapport à ce que peuvent proposer les technologies centralisées", note Guillermo Blanco. "Par comparaison, Visa gère 11 000 transactions par seconde." Enfin, la sécurité de la blockchain est mise en cause puisqu'elle augmente proportionnellement avec le nombre de nœuds du réseau. Les "cybercasses" contre les plateformes de crypto-devises Mt.Gox en 2014, et Youbit en décembre dernier, ont également laissé des traces.

Un consensus basé sur "l'art du commérage"

Pour toutes ces raisons, des registres distribués de nouvelle génération reposant sur d'autres modèles de consensus tentent d'émerger. Parmi eux, on peut citer Ouroboros ou Hyperledger mais c'est avant tout Hashgraph qui sort du lot des propositions alternatives à la blockchain originelle. "C'est le seul algorithme qui prouve mathématiquement qu'il est capable d'arriver à un consensus unique", affirme Guillermo Blanco.
Après sa présentation remarquée à l'occasion de la conférence TechCrunch Disrupt de San Francisco en septembre dernier, Hashgraph a enflammé les forums de discussions. Cet algorithme de vote repose sur le principe du "Gossip about gossip", c'est-à-dire du "commérage". A la base, tous les membres du réseau ont le même niveau d'information mais, pour passer une transaction, le système rajoute à chaque maillon une information supplémentaire à ce qu'a raconté la personne précédente et ainsi de suite. Swirlds a détaillé ce protocole de consensus dans un livre blanc.
"Une entreprise qui monte un réseau aura un interlocuteur identifié en cas de problème"
Sur le papier, ce système répond bel et bien aux lacunes de la blockchain précédemment évoqués. Il ne nécessite pas de calcul massif et assure une efficacité optimale dans la validation des transactions. Aucun bloc n'est mis de côté comme dans le minage de la blockchain. Le volume d'échanges est seulement limité par la bande passante. Swirlds évoque des capacités de plus de 250 000 transactions par seconde. Côté équité, Hashgraph propose un horodatage consensuel, ce qui élimine le risque de voir l'ordre des transactions affecté.
Enfin, Hashgraph présente un niveau de sécurité amélioré. Il affiche une tolérance aux fautes dites byzantines naturelles (problèmes réseaux) ou volontaires (sabotage, attaque). Aucun membre du réseau ne peut empêcher la communauté d'atteindre un consensus. Personne ne peut non plus modifier le consensus une fois qu'il a été atteint.

De la gestion des identités au jeu vidéo

Paré de toutes ces vertus, Hashgraph se propose de couvrir de multiples cas d'usage dans le trading et les transactions financières, dans le partage de documents en ligne (en assurant une traçabilité en termes d'auteurs, d'historique de modifications...). De façon plus anecdotique, il peut permettre d'éviter la triche dans les jeux vidéo en ligne massivement multi joueurs.
Dans un autre registre, l'horodatage consensuel pourrait aider une plateforme d'enchères en ligne comme eBay à garantir que la personne qui a surenchéri en dernier est bien la bonne. En matière de gestion des identités, le service d'authentification numérique Ping Identity se sert d'Hashgraph pour s'assurer qu'une autorisation d'accès à un système d'information a bien été clôturée suite au départ d'un collaborateur ou encore en cas de vol d'un terminal.
Au-delà de son déficit de notoriété, Hashgraph a plusieurs défis à relever pour s'imposer. Pour Guillermo Blanco, "la plateforme devra prouver qu'elle est capable de gérer un réseau public avec le même niveau de performance, de sécurité et d'équité qu'elle le fait pour un réseau privé". Autre grief avancé par ses détracteurs, Hashgraph n'est pas disponible en open source comme nombre de technologies de registre distribué, mais fait l'objet d'un brevet. Le téléchargement du kit de développement (SDK) permettant de l'utiliser est soumis à l'approbation préalable d'une  licence utilisateur. Guillermo Blanco y voit plutôt un avantage. "Une entreprise qui monte un réseau aura un interlocuteur identifié en cas de problème", indique l'expert. Il rappelle que le Bluetooth est breveté, ce qui n'a pas empêché sa généralisation.


REF.:

jeudi 11 avril 2019

Windows : Supprimer le mot de passe oublié



Windows : Supprimer le mot de passe oublié

mot de passe, Password, 
 
Voici un tutoriel pour récupérer son ordinateur si vous avez oublié votre mot de passe, sans avoir à le réinitialiser, donc sans perdre aucune donnée !

Notre vidéo


Matériel requis

- 1 clé USB vierge - 1 ordinateur accessible avec Internet
- L'ordinateur dont vous avez oublié le mot de passe

Les parties II. et III. seront à faire sur l'ordinateur accessible.
Les IV et V se feront sur l'ordinateur dont vous voulez supprimer le mot de passe.

Téléchargement et installation de Lazesoft

Vous pouvez le télécharger via ce lien : http://www.lazesoft.com/download.html



Cliquez sur "Download" en face de "Lazesoft Recovery Suite 4.2 Home Edition (Free)"



Une nouvelle page va s'ouvrir, cliquez de nouveau sur "Download Now".



Choisissez "Save File".



A la fin du téléchargement, cliquez sur le fichier que vous venez de télécharger.
Une fenêtre devrait s'ouvrir.



Cochez la case "I accept the agreement" et cliquez sur "Next".



Cliquez sur "Install".



Après avoir vérifié que "Launch application" était cochée, cliquez sur "Finish"

Rendre votre clé USB bootable

Après l'étape précédente, une fenêtre devrait s'ouvrir.


Après avoir inséré votre clé USB dans votre ordinateur (c'est plutôt logique...), cliquez sur "BURN CD/USB DISK"



Ici, vous devez indiquer la version du système d'exploitation de l'autre ordinateur.

Une fois fait, cliquez sur "Next"



Cochez "USB Flash" et choisissez la lettre correspondant à votre clé USB. Cliquez ensuite sur "Start".
Si vous ne savez pas pour la lettre, allez voir dans votre explorateur comme ceci :



Une fenêtre vous avertissant que votre clé USB va être formatée, et donc qu'il faut avoir au préalable sauvegardé vos donnée s'ouvre. Si votre clé est vide, pas de problème, sinon copiez vos fichiers qui sont sur votre clé ailleurs.



Cliquez sur "Yes".

Ce message va s'afficher, l'opération prendra quelques minutes. Ne vous inquiétez pas si cela met du temps ;)




Enfin, cliquez sur "Finish".

Booter sur la clé USB

Il va s'agir ici de faire démarrer l'autre ordinateur sur la clé USB.
Donc vous allez retirer la clé USB de l'ordinateur accessible, et la mettre dans un port de l'autre ordinateur qui sera éteint :




Ensuite, allumez-le grâce au bouton Power, puis directement après (où en même temps) maintenez la touche "Echap" jusqu'à ce que cet écran apparaisse (Ou F8, ou tout autre touche spécifique à votre matériel pour obtenir cet écran de démarrage)



Avec les flèches du clavier, sélectionner la ligne correspondant à votre clé USB et pressez la touche Entrée.
Cette ligne sera surement différente sur votre ordinateur, donc essayer les lignes ne commençant pas par "P...". Au pire, essayez-les une par une et voyez laquelle vous permet d'obtenir le même écran qu'ici :


Si vous arrivez jusqu'ici, c'est bon signe.
Sélectionnez la 1ère ligne et pressez la touche Entrée.

Supprimer le mot de passe

Vous devriez arriver sur cette interface :


Elle devrait vous rappelez quelque chose :)

Cliquez sur "Password Recovery" en bas à droite.


Normalement, rien à toucher ici. Cliquez sur "Next".


Là on vous demande si vous allez l'utiliser uniquement pour un usage non commercial. Cliquez sur "Yes".


Rien à faire non plus, "Next".


Ici, sélectionnez l'utilisateur pour lequel vous voulez supprimer le mot de passe.
Normalement, il devrait y avoir "No" dans "Blank Password". Cela confirme bien la présence d'un mot de passe.
Cliquez sur "Next".

Nous arrivons à l'étape ultime :


Cliquez sur "RESET/UNLOCK".

Si tout s'est bien passé, ce message devrait s'afficher :




Vous pouvez dès maintenant redémarrer votre ordinateur (avec "Reboot" en bas par exemple) ou l'éteindre.
Lorsqu'il s'allumera, aucun mot de passe ne vous sera demandé !

La version vidéo pour ceux qui veulent : https://www.youtube.com/watch?v=ae_Hcb0ZvJQ

Merci à ByMorgane pour cet article.

REF.: