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jeudi 13 juin 2019

Mac Pro: l’ordinateur surpuissant d’Apple pourrait dépasser les 50.000 euros


Mac Pro: l’ordinateur surpuissant d’Apple pourrait dépasser les 50.000 euros




La machine de l'entreprise californienne sera commercialisée à partir de 5.999 dollars. Mais le prix de sa version la plus robuste pourrait atteindre de nouveaux sommets.

Ce qu’il faut retenir d'iOS 13, iPadOS 13, macOS Catalina, et du nouveau Mac Pro



WWDC 2019 : ce qu’il faut retenir d'iOS 13, iPadOS 13, macOS Catalina, et du nouveau Mac Pro

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iOS 13, iPadOS, Mac Pro

Marzipan pour Mac, thème sombre pour iPhone, nouveau gestionnaire des « fenêtres » sur iPad, plus grande indépendance de l’Apple Watch, et pourquoi pas un aperçu du futur Mac Pro… Le moulin à rumeurs a tourné tôt et fort cette année. Autant dire que les attentes pour ce keynote d’ouverture de la WWDC étaient immenses. Et force est de constater que Tim Cook et ses lieutenants n’ont pas déçu, avec une présentation longue et dense. Retour sur une soirée d’annonces.

tvOS 13 : l’Apple TV devient une console

Être « plus divertissant et plus personnel », voici la mission de la nouvelle version de tvOS. La grille d’icônes prend désormais place au-dessus d’un fond vidéo, qui permet de découvrir les séries et les films les plus populaires du moment. Pas convaincu ? Continuons : un Centre de contrôle prend désormais place sur le côté droit de l’écran d’accueil. Vous y trouverez l’heure, les réglages de sortie sonore, mais aussi… un gestionnaire de profils.


Chaque membre de la famille peut posséder son propre profil, avec ses propres recommandations dans l’application TV et l’application Music, désormais capable d’afficher les paroles. Alors qu’Apple Arcade se profile, tvOS 13 prend en charge les manettes des Xbox One S et PlayStation 4. Enfin et peut-être surtout, Apple a commissionné de nouveaux économiseurs d’écran en 4K HDR, cette fois sous l’eau.
Pour aller plus loin :

watchOS 6 : l’Apple Watch prend son indépendance

Puisque l’Apple Watch est une montre, watchOS 6 intègre de nouveaux cadrans, dont certains mêlent représentations analogiques et données numériques. À défaut d’ouvrir complètement le cadran, Apple lui apporte une plus grande variété, et de plus grandes possibilités de personnalisation. Nostalgique de la petite Casio de votre adolescence ? Avec Taptic Chime, votre Apple Watch ponctuera les heures avec le pépiement d’un oiseau, ou simplement une vibration discrète.


WatchOS 6 marque surtout une nouvelle étape vers l’indépendance complète de l’Apple Watch. La montre possède désormais son propre App Store, dont les applications ne sont plus seulement des extensions aux applications iPhone. Les développeurs pourront concevoir des applications plus perfectionnées, qui pourront relever les données des capteurs pendant des heures, ou lire en streaming par le biais de la puce Wi-Fi ou du modem cellulaire de la montre.
Apple parsème cette nouvelle version de nouvelles applications : Livres pour écouter des livres audio, Dictaphone pour dicter ses mémoires, Calculatrice pour partager rapidement une addition, ou encore une application qui vous enverra une notification si le niveau sonore environnant est trop élevé. Apple prend (enfin !) en charge le suivi des règles, sur l’Apple Watch, mais aussi dans l’application Santé. Enfin, elle présente une nouvelle collection de bracelets.
Pour aller plus loin :

iOS 13 : l’iPhone passe du côté obscur

Sans surprise, iOS 13 inaugure un « mode sombre », très sombre. C’est l’arbre qui cache la forêt, celle d’une myriade de petites retouches cosmétiques, qui finissent de faire oublier l’esthétique austère d’iOS 7. Les boutons sont plus arrondis, les filets de séparation disparaissent, certains textes autrefois centrés sont maintenant ferrés à gauche, des panneaux flottent au-dessus des contenus en plein écran.

«Se connecter avec Apple»
À cette époque où la confidentialité est un enjeu majeur, «Sign in with Apple» est l'un des ajouts qui a reçu une réaction marquée pendant la conférence.
Un peu agacé de devoir vous connecter à différentes applications comme Facebook et Google, qui utilisent ensuite vos données pour leur propre bénéfice?
La solution semble être celle d'Apple, si l'on se fie aux informations divulguées en Californie.
Avec votre identifiant, vous serez en mesure de lier votre compte à ces apps de façon privée, puisqu'Apple génèrera un numéro unique qu'il leur enverra ensuite. 
Encore plus, si vous ne voulez pas transmettre votre nom ou votre adresse courriel lorsque demandé, vous avez le choix d'utiliser une autre adresse, générée aléatoirement. Elle redirige ensuite les données vers votre compte principal, sans divulguer celui-ci aux entreprises. 
Tel que précisé dans un communiqué de presse, Apple n'utilise pas ces informations pour monter un dossier sur vous ou tracer vos habitudes

Les ingénieurs d’Apple ont retroussé leurs manches pour réduire la taille des applications, améliorer les performances du système, et ajouter de nombreuses nouveautés aux applications intégrées. Safari gagne de nouvelles options de présentation, Mail gagne des options de formatage RTF, Notes gagne une vue galerie et la possibilité de partager des dossiers, Rappels a été entièrement revu…
Nous pourrions continuer cette litanie, mais arrêtons-nous sur Messages. Vous pouvez désormais proposer une fiche de contact, contenant toutes vos informations et votre memoji, que vous pourrez encore fignoler avec iOS 13. Changez d’adresse ou de memoji, et votre fiche sera automatiquement changée chez tous vos correspondants — et inversement. Vous pourrez taper des messages avec le nouveau clavier à balayage façon Swype, ou partager plus facilement avec le nouveau menu de partage.
Parlons aussi de l’appareil photo, qui intègre un nouveau mode d’éclairage de portrait, et la possibilité de modifier l’intensité de l’éclairage après coup. Photos est peut-être l’application qui montre le mieux les nouveaux éléments d’interface d’iOS 13 : la barre de titre disparait, les photos s’arrangent sous la forme d’une mosaïque qui s’anime au défilement, les nouvelles options de navigation apparaissent dans une barre flottante, et de nouveaux outils permettent d’éditer non seulement les photos, mais aussi les vidéos.


Plans : de nouvelles cartes et un Street View

Plans mérite sa propre section : après avoir fait rouler ses voitures et voler ses avions pendant des années, Apple va enfin déployer des cartes plus détaillées et plus précises, aux États-Unis dans un premier temps. Surtout, elle possède désormais suffisamment de données visuelles pour être en mesure de proposer son propre « Street View », une vue au niveau de la rue qu’elle appelle Look Around.


Vous pourrez désormais organiser vos favoris sous la forme de collections, des listes de lieux que vous pouvez partager avec vos amis et vos proches. Apple a revu la gestion de la localisation dans les applications : vous pouvez désormais partager votre localisation une seule fois, et si vous la partagez en continu, une notification vous informera ponctuellement de la manière dont l’application a exploité vos données. Pour ne rien gâcher, Apple a fermé la porte qui permettait à certaines applications d’exploiter le Wi-Fi ou le Bluetooth pour déterminer votre position sans votre accord.

Siri : une voix plus synthétique, mais plus naturelle

Des AirPods à l’Apple Watch en passant par l’iPhone, Siri est présent sur tous les appareils frappés d’une pomme. Alors que chaque appareil possédait sa propre « expression » de Siri, Apple travaille à l’unification progressive de ces multiples assistants, pour former une sorte de « SiriOS » qui serait un assistant dans le nuage. Cela commence par une nouvelle voix, entièrement générée par ordinateur, mais plus fluide et plus naturelle.
Sur les AirPods, Siri peut désormais lire les messages dès qu’ils arrivent, et vous permet d’y répondre immédiatement. Le HomePod peut reconnaitre différentes voix, et répondre en conséquence. Approchez votre iPhone de votre HomePod, et grâce à Handoff, la musique ou le podcast que vous écoutez sur votre iPhone passera sur votre HomePod. Enfin, plus de 100 000 stations de radio sont désormais disponibles à travers Siri.

iPadOS : l’iPad n’est plus seulement un gros iPhone


La rumeur nous avait préparés à d’importants changements pour l’iPad. Elle ne nous avait pas préparés à une mise à jour si conséquente qu’elle mériterait un nouveau nom. Ne dites plus « iOS pour iPad », dites « iPadOS ». Cet iPadOS, donc, intègre les widgets aux côtés des icônes des applications sur l’écran d’accueil. Vous pourrez désormais lancer plusieurs instances d’une même application avec Split View, et utiliser App Exposé pour retrouver les différentes « fenêtres » d’une application.

 

 

Les applications peuvent désormais utiliser une nouvelle vue en colonnes, notamment utilisée dans Fichiers, qui n’a jamais autant ressemblé au Finder, maintenant qu’il a récupéré les actions rapides et les métadonnées présentées avec macOS Mojave. Mieux : il permet enfin — enfin ! — de partager des dossiers dans iCloud, d’accéder aux disques externes et clés USB, d’importer des photos depuis une clé USB sans passer par l’application Photos, ou encore de (dé)compresser les archives ZIP.
Apple a considérablement simplifié la manipulation du texte : on peut déplacer le curseur dès que l’on a posé le doigt sur l’écran, sélectionner en laissant le doigt appuyé, et copier/couper/coller avec des gestes à trois doigts. On peut attraper l’ascenseur au vol pour défiler plus rapidement, et détacher le clavier virtuel pour le positionner n’importe où sur l’écran. Les utilisateurs de l’Apple Pencil, quant à eux, seront heureux d’apprendre que la latence a été divisée par deux.
Outre les nouveautés apportées à iOS, iPad OS gagne une toute nouvelle version de Safari beaucoup plus proche de la version macOS, qui possède notamment un gestionnaire de téléchargements. Enfin, Apple répond aux demandes des utilisateurs d’applications créatives, et intègrera les catalogues de polices de nombreuses fonderies, dont Adobe et Monotype, dans l’App Store.

Mac Pro : le Mac le plus puissant jamais créé

Apple ne pouvait pas laisser passer cette WWDC sans présenter le Mac Pro tant attendu. Son objectif ? Fournir « une architecture sans limites », « entièrement modulaire », « conçue pour les usages divers des professionnels ». Le résultat ? Une machine à l’apparence utilitaire, presque brutaliste, construite autour d’un simple cadre en acier. Ce cadre possède des pieds et des poignées, mais forme surtout le support sur lequel des modules viennent se greffer.


Un énorme radiateur chapeaute de nouveaux processeurs Intel Xeon, entourés de douze emplacements pour des barrettes de mémoire ECC à 2 933 MHz. Le Mac Pro peut ainsi embarquer jusqu’à 28 cœurs et 1,5 To de RAM. Avec ses huit emplacements PCIe, il peut accueillir jusqu’à 4 cartes double wide et 3 cartes single wide, un emplacement étant occupée par une carte d’entrées/sorties comportant notamment deux ports Thunderbolt 3. Le châssis intègre deux ports Thunderbolt 3 supplémentaires, ainsi que deux ports Ethernet 10 GBe.
La carte graphique utilise un connecteur PCIe 16x standard, mais aussi un connecteur propriétaire construit autour du Thunderbolt, qui combine un canal DisplayPort et une alimentation jusqu’à 500 W. L’ensemble forme un « module MXP », qui peut se passer de ventilateur grâce à un énorme radiateur, qu’il embarque une petite carte AMD Radeon Pro 580X ou une grosse carte AMD Radeon Pro Vega II. Il peut même intégrer deux cartes Pro Vega II, reliées avec Infinity Fabric Link. Et comme le Mac Pro peut intégrer deux modules MXP, il peut posséder jusqu’à quatre cartes graphiques.
Les vidéastes pourront aussi ajouter une nouvelle carte accélératrice intégrant un FGPA entièrement dédié au processing des fichiers vidéo. Baptisée AfterBurner, cette carte permet de travailler directement sur les sources ProRes et ProRes RAW, et d’afficher jusqu’à trois flux 8K ou douze flux 4K en temps réel. Une alimentation 1 400 W fournit le courant nécessaire à tous ces composants, refroidis par trois ventilateurs en façade. Une coque en aluminium, percée de multiples trous à la forme travaillée, recouvre le tout.


Un écran 32" Retina 6K (6 016 x 3 384 px) accompagne le Mac Pro. HDR, P3, 10 bits, cet écran coche toutes les cases. Avec son système de refroidissement passif dérivé de celui du Mac Pro, il peut délivrer 1 000 nits de luminosité de manière constante, et même jusqu’à 1 600 nits en pointe pour les besoins des contenus HDR. Ajoutez des noirs extrêmement profonds, et vous obtenez un contraste de 1 000 000:1. Apple parle d’Extreme Dynamic Range ou XDR, qui donne son nom à cet écran, baptisé « Pro Display XDR ».
La dalle du Pro Display XDR, donc, possède un revêtement antireflet. Une version mate est dépourvue de tout revêtement : c’est la dalle elle-même qui est gravée à l’échelle microscopique. Son pied rappelle celui de l’iMac G4 : lesté par un contrepoids, il peut être réglé sur trois axes, et permet même de pivoter la dalle en portrait. Démontable, il peut laisser sa place à une monture VESA. Vous pourrez relier deux Pro Display XDR à votre MacBook Pro en Thunderbolt 3, et jusqu’à six écrans à votre futur Mac Pro.
Le Mac Pro est une machine étendard, qui vient rivaliser avec les stations les plus puissantes de Dell et HP, celles que l’on retrouve dans les studios d’Hollywood. C’est une machine qui se vendra à quelques (dizaines de) milliers d’unités, mais qui est importante pour l’image de la marque. Le Mac Pro est annoncé à 5 999 $ avec un processeur octacœur, 32 Go de RAM, une maigre carte AMD Radeon Pro 580X, et 256 Go de stockage.


Dans la foulée de sa commercialisation cet automne, il sera décliné dans une version conçue pour les racks. Le Pro Display XDR est annoncé à 4 999 $, et même 5 999 $ pour la version mate. La monture VESA spécifique sera vendue 199 $, et le pied entièrement réglable sera proposé en option (un souffle a parcouru la salle lorsque cette information a été révélée) pour la bagatelle de 999 $. Étendard, que l’on vous dit.

macOS Catalina : le Mac se rapproche toujours plus de l’iPad

« Catalina », voici le nom de la nouvelle version de macOS, celui d’une ile au large du port de Los Angeles. Ses nouveautés ? À part SideCar, une fonction qui permet d’utiliser l’iPad comme un écran externe, voire comme une tablette graphique avec l’Apple Pencil, elles proviennent toutes de l’iPhone et de l’iPad. À commencer par le projet Catalyst, le nom officiel du projet Marzipan, qui permet de porter les applications iPad vers le Mac. Disponible dès aujourd’hui dans Xcode, il a déjà été éprouvé dans Gameloft et Twitter.

Vous en avez rêvé, Apple l’a fait : iTunes intègre un client mail éclate. Le volet musical intègre l’application Music, les podcasts prennent place dans l’application Podcast, les séries et les films sont exfiltrés vers l’application TV. Vous voulez encore synchroniser votre iPhone manuellement ? Vous le retrouverez désormais dans la barre latérale du Finder. Temps d’écran, la nouvelle interface des applications Photos et Rappels, ou encore la galerie de Notes passent directement d’iOS à macOS.
De la même manière, la nouvelle application « Localiser mon », qui fusionne « Localiser mon iPhone » et « Localiser mes Amis », débarque sur macOS. Une fois iOS 13 et macOS Catalina installés, les appareils émettront ponctuellement une sorte de signal de détresse en Bluetooth, chiffré et anonymisé. Les appareils environnants seront capables de le capter et de le relayer aux serveurs d’Apple : vous pourrez ainsi localiser votre iPhone ou votre Mac même s’il n’est pas connecté au réseau.

Entre autres nouveautés communes, il faudra encore parler du contrôle vocal du système, ou du verrouillage d’activation sur les Mac dotés d’une puce T2. Mais vous pourrez les découvrir dans nos nombreux articles sur la WWDC 2019, ou en installant vous-mêmes les nouveaux systèmes. Les versions bêta de macOS Catalina, iOS 13, iPadOS 13, tvOS 13, et watchOS 6 sont disponibles dès aujourd’hui. Les bêtas publiques seront disponibles dans le courant du mois de juillet. Les versions finales seront publiées, comme toujours, au début de l’automne.
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Apple dévoile enfin son nouveau Mac Pro, un monstre de puissance jusqu’à 28 processeurs, et un nouvel écran!


Apple dévoile enfin son nouveau Mac Pro, un monstre de puissance jusqu’à 28 processeurs, et un nouvel écran!

 

Avec le nouveau Mac Pro, Apple effectue enfin son retour en haut de gamme ou, si vous préférez, dans le créneau professionnel des stations de travail. Un retour doublé par un écran 32 po XDR Retina 6K.
• À lire aussi: Conférence Apple WWDC : ce qu'on doit retenir
• À lire aussi: Mac Pro ou râpe à fromage? L'Internet tranche
Les utilisateurs professionnels attendaient ce moment depuis des années! Dans le monde informatique, aussi bien dire une éternité. Si la première génération 2006-2012 de cette tour tout aluminium avait remporté un grand succès pour sa puissance et la facilité de ses mises à niveau matérielle, la seconde – modèle cylindre lancé en juin 2013 – fut moins appréciée.
En effet, son design empêchait toute possibilité d’extension interne, il n’y avait que la mémoire vive, les périphériques et le stockage SSD en PCIE 4x qui pouvaient remplacés ou ajoutés. Et c’est sans parler des problèmes de fiabilité des cartes graphiques. Bref, le cylindre Mac Pro a stagné jusqu’en 2017, année où Apple annonçait le développement d’un tout nouveau modèle.
Deux ans plus tard, le nouveau Mac Pro est déballé en public. Et la bête a de quoi faire baver d’envie les « pro-users » les plus exigeants... et les nostalgiques du modèle première génération.
Une puissance de traitement et de vidéo massive
À ne pas en douter, le design du Mac Pro 3e génération s’inspire grandement de la première! Boîtier aluminium, ventilation latérale, même facilité d’accès intérieur, il plaît. Voyons ce qui se cache sous le capot.
Côté processeurs, on compte cinq configurations sur puces Intel Xeon de 8, 12, 16, 24 et 28 cœurs dotés d’énormes caches L2 et L3. Pour les alimenter, les 12 fentes du Mac Pro peuvent totaliser 1,5 téraoctet de mémoire vive répartie sur les deux faces de la carte mère (six par côté). Au maximum de la capacité, la bande passante atteint 140 Go par seconde.
Et avec huit fentes d’extension PCI Express, soit deux fois plus que la dernière génération, les propriétaires peuvent personnaliser et développer leur système de manière jamais possible dans un seul poste de travail.
Carte graphique x 2 jusqu’à 56 téraflops
Pour gérer des contenus cinéma 3D, des scènes tournées en 8K ou des environnements 3D, le Mac Pro dispose d’une à deux cartes vidéo les plus puissantes au monde : Radeon Pro Vega II Duo. Les deux processeurs vidéo (GPU) par carte totalisent jusqu’à 56 téraflops de données par seconde et 128 Go de bande passante mémoire. En somme, assez de puissance en rendu vidéo, en apprentissage machine ou encore dans une simulation de particules en physique pure.
Prix? 5999 $US pour la configuration de base,sinon ça monte a 20,000$ . Livraison cet automne. Lien direct : https://www.apple.com/mac-pro/
Écran 32 po XDR Retina 6K
Pour compléter son Mac Pro, il fallait à Apple un écran tout aussi professionnel à la hauteur des capacités du premier.
Pour cela, l’écran Pro Display XDR 6K de 32 po affiche une définition de 6016 x 3384, soit 40% plus que l’écran Retina 5K. Au menu, 20 millions de pixels, une large gamme de couleurs P3, un milliard de couleurs (10 bits), un angle de vision ultra large, une bordure d’écran de seulement 9 mm et un verre antireflet.
XDR plus fort que le HDR
Cet écran intègre une imagerie XDR qui dépasse l’actuel standard HDR (grande gamme dynamique). XDR qui signifie Extreme Dynamic Range est rendu possible par un ratio de contraste de 1 000 000 :1 et une luminosité continue de 1000 nits (unité de luminance) ou de 1600 nits en pointe.
L’écran qui utilise une connexion Thunderbolt 3 (40 Gb/s) avec le Mac Pro peut également pivoter à la verticale en mode portrait et être détaché de son socle. Ce dernier fait appel à un système de contrepoids qui lui donne une mobilité «sans gravité».
Au meilleur de sa configuration, le nouveau Mac Pro peut gérer l’affichage de six écrans 6K ou douze écrans 4K !
Prix demandé, 4999 $US. Le socle Pro Stand exige 999 $US et le montage mural VESA, 199 $US supplémentaires. Disponibilité : cet automne.

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macOS Catalina : les fonctions incompatibles avec certains Mac


macOS Catalina : les fonctions incompatibles avec certains Mac

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Florian Innocente |
Quels seront les Mac compatibles avec certaines fonction plus exigeantes que les autres de macOS Catalina ? Apple a laissé plusieurs questions sans réponse, on n'en est qu'au début des bêtas distribués, mais des éléments se précisent.
D'une manière générale d'abord, macOS Catalina fonctionnera là où Mojave est déjà utilisable : tous les MacBook Air, MacBook Pro, Mac mini et iMac de 2012, les MacBook 2015, les iMac Pro 2017 et le Mac Pro 2013.
SideCar : utiliser son iPad comme un écran secondaire pour son Mac ne sera possible qu'avec certains Mac. Apple n'a pour l'heure donné aucune précision sur le matériel requis mais une liste d'exclusion dénichée dans la bêta de macOS définit les modèles acceptés pour le moment : iMac 27" fin 2015, MacBook Pro 2016, Mac mini 2018 et MacBook 2016.
Les plus anciens de ces Mac ont en commun un processeur Intel de 6e génération "Skylake", qui a rendu possible le décodage des vidéos au format HEVC au moyen du GPU plutôt qu'en accaparant le processeur principal. C'est justement le format HEVC que SideCar semble utiliser pour projeter l'image du Mac sur l'iPad.
Une série de commandes pour le Terminal affranchit macOS Catalina de ces restrictions et rend opérationnel SideCar sur de plus anciens Mac. Comme le résume Le Journal du Lapin, ça marche mais ça peut manquer de fluidité ou tirer fort sur le processeur.
Il faudra aussi des applications Mac compatibles SideCar, mais Apple laisse entendre que certaines fonctions seulement ont besoin d'une optimisation. Les premiers logiciels annoncés comme devant être 100% prêts sont au nombre de 15, avec des titres d'Adobe, d'Affinity, de Corel, etc.
Voice Control : le contrôle de son Mac par la voix a été amélioré. Que ce soit sur la détection d'un enchaînement entre un texte et une commande à exécuter, la navigation dans l'interface ou la qualité de la reconnaissance. Mais au début ce sera réservé à la langue anglaise.
Activation Lock : Mac perdu ou égaré mais repérable avec l'application "Localiser" ou en se connectant sur iCloud.com ? Vous pourrez verrouiller son accès à distance et empêcher la suppression de son contenu, comme on le fait déjà sur iOS. On ajoute un code PIN à six chiffres comme sésame et un message à l'attention de celui qui l'allumera.
La présence d'une puce T2 sur le Mac à verrouiller est néanmoins obligatoire pour que ce soit possible. Pour le moment ça ne fait pas grand monde : les iMac Pro et les MacBook Pro, MacBook Air et Mac mini lancés depuis 2018.
Pour d'autres fonctions il n'y a pas de précisions, ce qui peut signifier que ça marchera partout ou que l'évaluation des performances obtenues n'est pas encore terminée.

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L'ado qui a piraté Apple ne sera pas condamné



L'ado qui a piraté Apple ne sera pas condamné... mais ne travaillera pas pour la marque




apple, Hackers
 
 
Le jeune hackeur australien a voulu prouver son attachement à la firme à la pomme en la piratant. Elle ne lui fait pas les yeux doux en retour.

Pour plaire à une entreprise et donner envie à cette dernière de vous recruter, quel est le bon comportement à adopter ? Pour cet étudiant australien, la réponse ne fut pas des plus banales, bien au contraire. Plutôt que de contacter Apple, son entreprise de cœur et de lui présenter un projet ou des travaux, le jeune habitant de Melbourne a choisi la manière forte : pirater les serveurs de la marque à la pomme.

De faux identifiants pour se faire passer pour un employé de la firme


À deux reprises d'abord en 2015 alors qu'il n'avait que treize ans, puis au début de l'année 2017, le jeune homme a piraté le système informatique sécurisé d'Apple. Pour y arriver, le talentueux pirate en herbe était parvenu à créer de faux identifiants permettant de se faire passer pour un employé de la firme de Cupertino. Non satisfait de pénétrer dans le système, le jeune homme avait dérobé des documents internes lors de ses incursions.

Jugé devant le tribunal pour adolescents d'Adelaïde, l'adolescent a déclaré par l'intermédiaire de son avocat ne pas avoir eu conscience de ses actes à l'époque, et qu'il espérait que ses talents lui permettent d'obtenir un emploi au sein d'Apple.

Aucune perte pour Apple


Le jeune homme espérait sans doute connaître le même destin qu'un certain George Hotz, un pirate juvénile qui fut recruté par Facebook en 2011 après avoir percé les défenses de l'iPhone et de la PS3. Au lieu de ça, c'est un passage devant le tribunal auquel il a eu droit.

Néanmoins, tout est bien qui finit bien, Apple ayant informé le tribunal de n'avoir subi aucune perte financière ou intellectuelle du fait du piratage du jeune australien. Le magistrat David White n'a pas souhaité condamner le petit génie et a fixé une caution de bonne conduite à 500 dollars australiens (un peu plus de 300 euros) valable pour les neufs prochains mois.


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