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lundi 27 janvier 2020

Comment interdire l’accès à un disque sur Windows





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Comment interdire l’accès à un disque sur Windows

Windows permet de reteindre certains fonctions ou accès à travers les « restrictions administrateurs« .
Parmi, ces restrictions, il est possible d’interdire l’accès à des disques.
Cela peut-être des disques locaux, clés USB ou disque dur externe.
Mais vous pouvez aussi simplement masquer et cacher les lettres des lecteurs rendant ces disques invisibles.
Cela peut être assez pratique pour des parents qui souhaitent vraiment bloquer certaines fonctions à leurs enfants.
Dans cet article, nous allons voir comment interdire et bloquer l’accès à un disque sur Windows.
Comment interdire l'accès à un disque sur Windows

Interdire l’accès à un disque sur Windows

Deux méthodes sont données ici pour parvenir à masquer ou interdire l’accès à un disque dur Windows.
Vous pouvez choisir les lettres des lecteurs visées, cela permet de restreindre l’accès à certains disques locaux, ou aux lettres des disques amovibles (clés USB ou disque dur externe).
Deux options sont possibles :
Soit masquer les lecteurs depuis l‘explorateur de fichiers de Windows, les lettres des lecteurs ne s’affichent plus :
Comment interdire l'accès à un disque sur Windows
Soit interdire l’accès aux disques, une popup restrictions apparaît alors avec un message :
Cette opération a été annulée en raison de restrictions sur cet ordinateur. Contactez votre administrateur système.
Comment interdire l'accès à un disque sur Windows

Interdire l’accès à un disque via gptedit.msc sur un Windows professionnel

Cette méthode utilise l’éditeur de stratégie locale de Windows.
Sur les éditions familiale de Windows, cet éditeur n’est pas disponible. Il est possible sur Windows 10 d’ajouter cet éditeur mais les restrictions administrateurs que vous allez appliquer ne fonctionneront pas, plus d’informations : Comment activer gpedit.msc sur Windows 10 
Si vous êtes en Windows familiale, passez à la méthode donnée dans le paragraphe suivant.
Lancez la console mmc depuis la boite de dialogue exécuter.
Bloquer l'accès à un lecteur de disque avec gpedit.msc
Sur la console mmc, cliquez sur le menu fichier puis Ajouter/Supprimer un composant logiciel enrichissable
Bloquer l'accès à un lecteur de disque avec gpedit.msc
Dans la colonne de gauche des composants de logiciels enrichissantes disponibles.
Sélectionnez éditeur d’objets de stratégies de groupes puis cliquez sur Ajouter.
Bloquer l'accès à un lecteur de disque avec gpedit.msc
Une nouvelle fenêtre va alors s’ouvrir, c’est à partir de celle-ci que vous allez pouvoir choisir à qui appliquer ces stratégies.
Par défaut, c’est sur l’ensemble de l’ordinateur que les stratégies s’appliquent.
Cliquez sur Parcourir.
Bloquer l'accès à un lecteur de disque avec gpedit.msc
Sélectionnez Utilisateurs, et sélectionne l’utilisateur ou le groupe d’utilisateurs sur lesquels vous souhaitez appliquer les restrictions administrateurs.
Bloquer l'accès à un lecteur de disque avec gpedit.msc
puis l’éditeur de stratégie s’ouvre.
Déroulez : Configuration utilisateur > modèle d’administration > Composants Windows > Explorateur de fichiers.
Les deux restrictions qui permettent de masquer ou interdire l’accès aux lecteurs apparaissent en rouge.
Bloquer l'accès à un lecteur de disque avec gpedit.msc
En double-cliquant dessus, vous pouvez activer celle-ci.
Un menu déroulant vous permet de choisir à quelle lecteur vous souhaitez appliquer ces blocages ou masquages.
Bloquer l'accès à un lecteur de disque avec gpedit.msc
Bravo ! vous avez réussi à masquer une lettre de lecteur dans Windows !

avec NoDrives Manager

Cet outil gratuit permet de masquer une lettre de lecteur dans l’explorateur de Windows.
Cacher une lettre de lecteur avec NoDrives Manager
Enfin il faut relancer l’explorateur de fichiers.
Pour se faire :
Sinon fermez puis relancez la session utilisateur.
Cacher une lettre de lecteur avec NoDrives Manager
Pour faire réapparaitre la lettre de lecteur, il faut alors effectuer l’opération inverse.
Bravo ! vous avez réussi à cacher une lettre de lecteur dans Windows !

avec la gestion des disques

Cet autre méthode vise à cacher le lecteur en retirant la lettre de lecteur.
Cela s’applique à tous les utilisateurs.
  • Ouvrez la gestion des disques de Windows
  • Sur Windows 10, clic droit sur le menu Démarrer puis Gestion des disques
  • Sur le lecteur à cacher, faites un clic droit puis Modifier la lettre de lecteur
Retirer une lettre de lecteur pour la masquer
Puis faites supprimer afin de retirer la lettre de lecteur.
Retirer une lettre de lecteur pour la masquer
A partir de là, le disque n’est plus visible et accessible.
Pour remettre le lettre, il suffit de retourner dans le menu précédent et faire ajouter.
Bien entendu, un utilisateur administrateur peut le faire a tout moment.

Interdire l’accès à un disque par le registre Windows

Enfin cette dernière méthode fonctionne sur toutes les versions de Windows : de Windows Vista, à Windows 7, Windows 8.1 et Windows 10.
Celle-ci consiste à charger la ruche du registre de l’utilisateur et modifier les clés Policies afin de mettre en place les restrictions de disques.
A partir de là, la lettre de lecteur ne sera plus présente dans l’explorateur de fichiers.
Dans un premier temps, vous devez afficher les fichiers cachés et systèmes : Afficher les fichiers cachés / systèmes
Ensuite, ouvrez l’éditeur du registre Windows, pour cela :
  • Sur le clavier appuyez sur la touche Windows + R
  • Dans la fenêtre exécuter, saisissez regedit et OK.
  • Dans la liste cliquez sur HKEY_LOCAL_MACHINE
  • Une fois HKEY_LOCAL_MACHINE sélectionné, clique sur le menu Fichier puis Charge la ruche
Comment interdire l'accès à un disque sur Windows
  • Ouvrez le fichier C:\Users\XXX\NTUSER.dat – où XXX est le nom de l’utilisateur à qui vous souhaitez bloquer les lecteurs et disques
  • Un nom va être demandé, saisissez NTUSER, le nom n’a pas d’importance.
Comment interdire l'accès à un disque sur Windows
  • Déroulez NTUSER > Software > Microsoft > CurrentVersion > Policies.
Comment interdire l'accès à un disque sur Windows
  • Dans Policies, créez un dossier Explorer, en effectuant un clic droit : Nouveau > Clé
Comment interdire l'accès à un disque sur Windows
  • Ensuite, il va falloir créer de nouvelles valeurs en effectuant un clic droit puis Valeur DWORD 32-bits
Comment interdire l'accès à un disque sur Windows
Ainsi, les valeurs suivantes permettent des restrictions différentes :
  • NoDrives permettent de masquer un lecteur ou disque
  • NoViewOnDrive bloque l’accès à un disque
Comment interdire l'accès à un disque sur Windows

Les valeurs NoViewOnDrive

Les valeurs suivantes vous aide à déterminer la lettre de lecteurs visée.
ValeurDescription
0x0Aucune restriction sur aucun lecteur.
0x3Restriction sur les disques A et B.
0x4Restrictions seulement sur le disque C
0x7Restriction sur les lecteurs A, B et C uniquement
0x8Reteindre que le lecteur D
0xFRestreindre les disques A, B,C et D uniquement.
0x03FFFFE0Restriction sur tous les disque supérieure à la lettre E
0x03FFFFF0Restriction sur tous les disque supérieure à la lettre F
0x03FFFFFFRestreindre tous les lecteurs.
Par exemple, ci-dessous, on créé l’entrée NoViewOnDrives avec la valeur 0x03FFFFFF, ainsi tous les lecteurs sont visés.
Interdire l'accès à un disque par le registre Windows

Liens

Voici quelques autres articles pour protéger l’accès à des dossiers ou lecteurs :

Hammerspoon – Comment automatiser macOS avec des scripts Lua





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Hammerspoon – Comment automatiser macOS avec des scripts Lua

Si vous êtes sous macOS et que votre passion dans la vie c’est d’automatiser des trucs, voici un outil qui modestement risque bien de changer votre vie.
Hammerspoon est un logiciel qui se loge dans la barre de notification de macOS et qui permet d’agir sur les APIs de macOS à partir de simples scripts écrits en Lua (ça se prononce LOU-ah.
Pour ceux qui ne connaitraient pas Lua, il s’agit d’un langage de programmation scripté très simple à comprendre. Hammerspoon agit donc comme un bridge entre vos scripts Lua et votre système d’exploitation Apple.
Une fois Hammerspoon installé, vous devriez voir son icône dans la barre de notifs. Cliquez dessus, choisissez « Preferences » et donnez-lui accès aux options d’accessibilité.
Puis cliquez sur « Open Config ». Cela va ouvrir le fichier init.lua dans votre éditeur de code / texte par défaut. Et à partir de là, vous allez pouvoir coder des choses.
Pour commencer, je vous propose un Hello World. Collez le code suivant dans init.lua, sauvegardez, puis dans Hammerspoon, cliquez sur « Reload Config »
hs.hotkey.bind({"cmd", "alt", "ctrl"}, "W", function()
  hs.alert.show("Hello World!")
end)
Ensuite, en appuyant sur CMD + ALT + CTRL + W, vous verrez une alerte afficher « Hello World! ».
Voilà en gros le principe. Mais évidemment, vous pouvez aller beaucoup plus loin que cela. Il est possible par exemple de déclencher certaines actions lorsque vous lancez une application précise ou lorsque vous vous connectez à un réseau wifi particulier. Par exemple, il est possible d’envoyer un SMS / iMessage à quelqu’un lorsque vous déboulez sur un réseau wifi précis.
Bref, vous comprenez le principe.
Il n’y a pas mal d’exemples dans la documentation et le détail de l’API est ici. Cela va vous permettre d’automatiser plein de trucs, de l’envoi de message, au redimensionnement de fenêtres, de la génération de mot de passe, de la traduction (appel de l’API DeepL) et j’en passe…
Et si vous cherchez de l’inspiration ou des scripts sympas à installer, il y a plein de « spoons » proposés par la communauté, que vous pouvez télécharger ici.


REF.:

Les futurs visages de la toile

Les futurs visages de la toile

REF.: Guillaume Renouard (La Rédaction)
JDN



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À l'heure où les termes splinternet, décentralisation et régulation reviennent de plus en plus dans l'actualité, à quoi ressemblera le web de demain ?
Arpanet, premier réseau à utiliser le protocole TCP/IP, souffle cette année ses 50 bougies. Il est le grand frère de l'Internet tel que nous le connaissons aujourd'hui, qui s'installe en 1990, lorsque l'industrie des télécommunications décide d'employer la technologie Arpanet pour construire un réseau mondial. La face du net a bien changé depuis, des sites Internet rudimentaires des années 1990 à l'essor du Web 2.0 à travers les blogs et les réseaux sociaux, jusqu'à l'avènement du mobile et des objets connectés.
Si l'Internet a connu de prodigieuses avancées techniques, sa philosophie a, elle aussi, évolué au fil du temps. Le web utopique et humaniste des débuts demeure vivant à travers de nombreuses initiatives, mais l'Internet est désormais aussi, tel Janus, le dieu à deux visages, un outil au service du contrôle et de la surveillance de masse. Nous nous trouvons, en outre, à une époque charnière, où les décisions qui seront prises transformeront le web de demain.

Vers l'ubiquité du net ?

"Sauf catastrophe civilisationnelle majeure, je pense que l'Internet va devenir omniprésent. Capteurs et objets connectés vont en permanence récolter des données, qui se déplaceront sous forme de flux à travers les réseaux", prophétise Mitchell Baker, présidente de la Mozilla Foundation et de la Mozilla Corporation. Selon elle, l'Internet de demain sera très différent de celui que nous connaissons aujourd'hui. L'informatique pourrait devenir invisible, souris, claviers et écrans cédant la place à des interfaces holographiques, rendues possibles par l'essor de la commande vocale et de la réalité virtuelle et augmentée. "Nous allons interagir avec l'informatique de manière beaucoup plus humaine, en usant d'interfaces qui nous sont naturelles, comme la voix, le mouvement ou le toucher. Notre rapport à la toile sera ainsi beaucoup moins abstrait."
Si la possibilité d'un Internet omniscient ouvre des perspectives excitantes, elle a aussi de quoi inquiéter. C'est du moins ce que montre une récente étude du Pew Research Center, pour laquelle 10 000 experts ont été interrogés sur l'avenir du net et des technologies numériques. Pour Lee Rainie, directeur de la recherche sur l'Internet et la technologie au Pew Research Center, "l'un des experts interrogés parle d'Internet-cerveau pour désigner l'Internet du futur, car la multiplication des capteurs et des flux de données permettra d'anticiper certains de nos besoins et comportements, voire de déduire certaines choses à partir de nos ondes cérébrales. Cela ouvre des possibilités formidables, mais pose aussi un défi conséquent aux standards que nous avons établis en matière de protection de la vie privée."

Un internet plus régulé ?

Il sera donc nécessaire d'établir de nouvelles règles pour l'Internet de demain. La collecte et le traitement des données utilisateurs posent déjà un certain nombre de problèmes, comme l'a récemment montré le scandale Cambridge Analytica. Avec l'explosion des capteurs et des flux de données, ceux-ci risquent de s'exacerber. C'est pourquoi l'étude du Pew Research Center souligne la nécessité d'encadrer plus étroitement les usages que l'on peut faire de ces données, et les algorithmes chargés d'extraire du sens de ces dernières. "De nombreux experts tirent la sonnette d'alarme quant au rôle de ces algorithmes. L'un de ceux que nous avons interrogés dirige une agence baptisée The FDA for algorithms. Peut-être aurons-nous besoin d'agences gouvernementales pour évaluer le rôle des algorithmes, de la même manière que l'on teste de nouveaux médicaments avant leur mise sur le marché", s'interroge Lee Rainie.
Mais selon Mitchell Baker, la mise en place de régulations, bien que nécessaire, est insuffisante. Selon elle, le danger principal pour les internautes vient du fait que les technologies de pointe, en tête desquelles l'intelligence artificielle, sont aujourd'hui concentrées entre les mains de quelques géants du net américains, dont les internautes continueront d'utiliser les produits tant qu'ils seront les meilleurs du marché. La responsabilité incombe donc aussi, selon elle, aux entrepreneurs du numérique de construire des services alternatifs, qui soient centrés sur l'intérêt des internautes. "C'est pourquoi nous avons très tôt mis en place un navigateur Internet sur lequel nous pouvons par exemple empêcher les traqueurs publicitaires de suivre l'utilisateur, car le navigateur a été conçu pour être à son service, et non à celui du site qu'il visite. Nous avons aussi déployé des options qui permettent à l'internaute de choisir différents niveaux de protections sur les réseaux sociaux, ou encore un outil qui l'avertit en cas de vol de données, un autre qui aide à gérer ses mots de passe… "

Un Internet au pluriel ?

D'autres initiatives visent à décentraliser des fonctionnalités clefs du web, afin de réduire le pouvoir des géants américains et de donner davantage d'espace aux concurrents. Comme celle de Dominic Williams, qui, à travers son entreprise Dfinity, affirme vouloir construire "l'ordinateur du futur". Le principe : un service de cloud computing basé sur la blockchain, offrant aux entreprises clientes une troisième voie entre le stockage des données sur site et l'usage d'une solution cloud fournie par Google, Amazon ou Microsoft.
"Notre protocole Internet combine les capacités informatiques des centres de données indépendants, qui se comptent par milliers, pour créer un réseau d'ordinateurs capable d'accueillir tous types de services et logiciels. De cette façon, données et fonctionnalités peuvent être hébergées partout, et pas seulement chez trois entreprises différentes", s'enthousiasme-t-il. Daniel Kalst, lui, travaille sur Consento, un projet qui s'appuie sur le pair-à-pair pour permettre aux utilisateurs de sécuriser le stockage de leurs données. Chaque internaute se voit remettre une clef cryptographique, qu'il partage avec un ou plusieurs amis proches, dont l'intervention sera ensuite nécessaire pour lui permettre de s'identifier et d'accéder à ses données.
Mais l'appel à davantage de régulations et à la décentralisation fait aussi planer le spectre du splinternet, un internet qui ne serait plus unifié, mais fragmenté entre différentes zones répondant à des règles très différentes, avec très peu de services communs et de flux de données entre les différents pôles. "Il me semble que l'Internet mondial, sur lequel nous avons tous accès à la même expérience, appartient déjà au passé", analyse Mitchell Baker. "La Chine a mis en place son propre Internet à coup de régulations draconiennes, la Russie entend faire de même… Il est donc très probable qu'à l'avenir, l'Internet se décline au pluriel."

REF.:

Fuite chez Microsoft: 250 millions d'échanges de support client exposés





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Fuite chez Microsoft: 250 millions d'échanges de support client exposés

Près de 250 millions de conversations de support client entre employés et clients de Microsoft auraient été exposées sur le web. Contenant plusieurs renseignements sur les utilisateurs des produits Microsoft, ceux-ci pourraient être utilisés pour des fraudes et tentatives d'hameçonnage.

Vous avez déjà rencontré un problème avec un produit Microsoft comme Windows, Outlook, OneDrive ou la suite Office et avez demandé de l’assistance auprès du support client? Vous pourriez avoir de plus importants problèmes à présent.
Produits Microsoft support client
Si vous avez demandé de l'assistance pour un de ces produits Microsoft, soyez sur vos gardes.

Le consultant en sécurité informatique Bob Diachenko et son équipe chez Comparitech security on effectivement découvert que près de 250 millions d’échanges du support client avaient été exposés sur le web.
Ces données couvrent tous les pays du monde sur une période de 14 ans entre 2005 et 2019 et contiennent en autre:
  • Les adresses courriel des utilisateurs
  • L’adresse IP
  • La localisation
  • La description du problème rencontré par les utilisateurs et les cas CSS
  • Les numéros de cas, résolutions et remarques
  • Les notes internes identifiées comme confidentielles
Alerté par Bob Diachenko, la réponse de Microsoft s’est faite par l’entremise d’Eric Doer, directeur général de Microsoft.
«Nous sommes reconnaissants envers Bob Diachenko d’avoir travaillé en étroite collaboration avec nous afin que nous puissions corriger rapidement cette mauvaise configuration, analyser les données et informer les clients le cas échéant.»

Une fuite qui rehausse les risques d’hameçonnages

Cette fuite majeure a de quoi de rehausser les risques de tentatives d’hameçonnages et d’arnaques.
Après tout, une personne mal intentionnée a tous les outils pour faire du chantage et se faire passer pour un agent de Microsoft.
On peut ainsi s’imaginer recevoir un courriel à l’image de Microsoft où l’on nous dirait grosso modo : « Votre dossier #17364474 concernant X situation n’a pas été résolu correctement. Svp nous contacter à tel numéro de téléphone ou courriel, bla-bla-bla ».
Quand on sait qu’il existe déjà plusieurs courriels d’hameçonnage à l’image de Microsoft et même de faux appels à leur nom, avoir un cas précis de problème que l’on a eu par le passé peut donner davantage de crédibilité à une personne mal intentionnée.
La prudence est donc de mise et dites-vous que Microsoft ne vous contactera jamais de leur plein gré pour vous aider à « résoudre un problème ». C’est nous en tant qu’utilisateur et client qui devons les contacter en premier pour obtenir du support.

6 astuces indispensables pour VLC



6 astuces indispensables pour VLC

Si vous utilisez VLC vous serez peut-être content d’avoir les quelques astuces dont je vais vous parler, sous le coude pour le rendre encore plus indispensable. En plus il s’agit de petites options très simples à mettre en place donc même si vous venez de commencer à utiliser le logiciel elles pourront vous servir aussi.
Allez chauffez vous les doigts, on démarre tout de suite !

1. Regarder des vidéos YouTube avec VLC

Peu de gens le savent, mais il est en effet possible de regarder des vidéos YouTube directement dans VLC et sans rien devoir télécharger. Pour le faire, vous devrez ouvrir le menu « Média » de VLC et cliquer sur « Ouvrir un flux réseau… » (ou CTRL + N pour aller plus vite).
ouvrir un flux Youtube dans VLC
Il ne vous reste plus qu’à coller l’URL de la vidéo à regarder et c’est parti. En cliquant sur « Afficher plus d’options » en bas vous pourrez même choisir différents paramètres comme le temps de mise en cache, à quel moment démarrer/arrêter la lecture, synchroniser avec d’autres médias (une piste audio par exemple), etc.
L’intérêt du truc ? Pouvoir regarder des choses de manière « minimaliste », sans avoir l’interface YouTube et ses tentations sous les yeux. Et sans avoir de pubs.

2. Convertir une vidéo dans plusieurs formats

Comme pour l’astuce précédent, vous devrez aller dans le menu « Média« , mais cette fois il faudra choisir l’option « Convertir/Enregistrer » (ou faire CTRL + R). Via le bouton « Ajouter » vous sélectionnez le fichier à convertir sur votre ordinateur. Vous pourrez même ajouter un fichier de sous-titres.
Reste ensuite à convertir/enregistrer puis à sélectionner le format de sortie (mp4, mp3, OGG, video HD pour Android, …) et son dossier de destination.
Bien pratique pour faire de petites conversions rapidement sans trop se prendre la tête.

3. Enregistrer ce que vous écoutez et regardez

Imaginez : vous vous créez une petite playlist de chansons provenant de plusieurs albums et vous kiffez grave. Plutôt pénible de recréer la même playlist la prochaine fois non ? Du coup il suffit de l’enregistrer et vous êtes tranquille, plus besoin de repasser par tous vos albums séparément. Et ça marche aussi pour les playlists vidéo.
Enregistrer ses playlists avec VLC
Cette fois vous devez aller dans le menu « Vue » puis cliquez sur « Contrôles avancés« . Cela devrait vous ajouter une barre de nouveaux boutons en bas du lecteur : lancer l’enregistrement, faire une capture écran, poser une boucle … Ce n’est pas l’astuce de l’année, mais c’est hyper simple à utiliser !

4. Télécharger les sous-titres automatiquement

Si le fichier en cours dans VLC dispose des sous-titres, vous allez pouvoir les récupérer directement en quelques clics. Rendez-vous à nouveau dans le menu « Vue » puis sur « VLSub« , ce qui activera la fonctionnalité. À vous ensuite de personnaliser les paramètres (langue des sous-titres …) et à télécharger les sous-titres des fichiers audio/vidéo lorsqu’ils sont disponibles.
Gérer les sous-titres avec VLC

5. Faire des captures écrans

Je vous l’ajoute même si elle est hyyyyyyyper basique. C’est vraiment histoire de vous dire que ça existe en interne avec VLC et de sauver quelques secondes si vous avez pris l’habitude de faire des captures via un outil externe. Lors de la lecture de la vidéo (ça ne marche pas pour l’audio, ce qui est assez logique) il suffit de mettre en pause au moment voulu et de cliquer droit avec la souris sur l’image, puis d’aller dans « Vidéo » et enfin « Prendre une capture d’écran« .

6. Ajouter des effets à une vidéo

Dans le menu « Outils« , vous allez sélectionner « Effets et Filtres » (ou via le raccourci CTRL + E). Une fois le panneau activé vous verrez qu’il est possible d’appliquer différents effets audio ou vidéo. Pour la partie audio, cela va de l’égaliseur au spatialiseur en passant par la compression. Et pour la partie image, vous pourrez ajuster l’image (teinte, contraste …), travailler les couleurs et la géométrie, rogner les bords ou encore faire des incrustations (ajouter du texte ou un logo …).
Créer des effets et filtres avec VLC
Bref il y a de quoi faire avec ce petit logiciel qu’est VLC qui regorge de petites fonctions pas forcément très connues ou peu mises en avant.
Vous en avez d’autres ? N’hésitez pas à me les faire connaître en commentaires et je tiendrai la liste à jour 😉
Source.: