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vendredi 14 mai 2021

Espionner avec vos AirPods Pro et mise a jour du micrologiciel,

 

 

 Espionner avec vos AirPods Pro et mise a jour du micrologiciel, {4:08

 


La version du micrologiciel passera de la version 3az83 a 3e751 mettons ou 3A283 !

 Nouveau:  l'audio spatial et le changement automatique de périphérique

Le nouveau micrologiciel AirPods Pro 3A283 ajoute la prise en charge de l'audio spatial et de la commutation automatique Si vous utilisez la version bêta d'iOS 14, vos AirPods Pro se sont améliorés.

 Jason Cross Par Jason Cross Rédacteur Macworld 14 sept. 2020 7 h 59 PDT

 airpods pro ouvert Jason Cross / IDG 

Table des matières

 Comment mettre à jour le micrologiciel de votre AirPods Périodiquement, Apple mettra à jour le micrologiciel des AirPods et AirPods Pro pour corriger les bogues ou modifier les performances.

 En règle générale, une mise à jour n'est pas vraiment quelque chose que la plupart des utilisateurs remarqueront jamais. 

Cette fois, c'est différent. Apple apporte de nouvelles fonctionnalités aux AirPods et AirPods Pro dans iOS 14, tvOS 14 et macOS Big Sur, et apparemment, ils nécessitent une mise à jour du micrologiciel. Si vous possédez des AirPods Pro, vous remarquerez peut-être bientôt qu'ils ont mis à jour la version 3A283 du micrologiciel. Quand ils le feront, cela activera deux nouvelles fonctionnalités pour ceux qui utilisent iOS 14 ou tvOS 14 beta: l'audio spatial et le changement automatique de périphérique. En savoir plus sur la façon dont Apple améliore les AirPod cet automne.Pour vérifier la version du micrologiciel de vos AirPods, connectez-les à votre iPhone et ouvrez l'application Paramètres.

 Appuyez sur Général, À propos et faites défiler vers le bas jusqu'à ce que vous voyiez le nom de vos AirPods. Appuyez dessus et vous verrez des informations telles que le numéro de modèle, le numéro de série et la version du micrologiciel. airpods pro spatial IDG Appuyez longuement sur la barre de volume dans le Centre de contrôle pour voir les fonctionnalités de vos AirPods Pro.

 Pour activer Spatial Audio, ouvrez le Centre de contrôle (balayez vers le bas depuis le coin supérieur droit) avec vos AirPods Pro connectés et appuyez longuement sur la barre de volume. Vous verrez des boutons pour l'annulation du bruit et l'audio spatial. Vous pouvez également ouvrir Paramètres> Bluetooth et appuyer sur le bouton d'information (i) à côté de vos AirPods Pro lorsqu'ils sont connectés. Vous y verrez une bascule pour Spatial Audio, ainsi que d'autres paramètres. 

Comment mettre à jour le micrologiciel de votre AirPods

 Malheureusement, il n’existe aucun moyen fiable de forcer vos AirPod à mettre à jour leur micrologiciel. Cela se produit automatiquement et vous devez simplement attendre. Vous pourrez peut-être augmenter vos chances de mise à jour des AirPod en suivant ces étapes:

 Assurez-vous que vos AirPods sont dans leur boîtier de chargement. 

 Assurez-vous que vos AirPods sont connectés à votre iPhone, iPad ou Mac et que ledit appareil dispose d'une connexion Internet.

 Fermez le couvercle de votre boîtier de charge AirPods et branchez-les ou placez-les sur un chargeur sans fil (si vous avez un boîtier de charge sans fil). 

 Même avec ces conditions remplies, la mise à jour de vos AirPod peut prendre de quelques minutes à plusieurs heures.


REF.:

Qu'est-ce qui rend les hackers russes si bons?

 

 Qu'est-ce qui rend les hackers russes si bons? 

 Réponse initiale: Pourquoi les pirates informatiques russes sont-ils si bons?  

Les hackers russes sont bons pour la même raison que les hackers américains, chinois, israéliens, britanniques, australiens, néo-zélandais et canadiens: leurs pays peuvent se le permettre et ils le considèrent comme une priorité du renseignement et de la défense. Il existe un marché gris robuste pour les services de piratage. Si vous pouvez vous le permettre, c'est à vendre. Et les prix ne sont vraiment pas si élevés - 100 000 $ pour un travail de base, un peu plus pour un travail vraiment calme ou délicat. Les plus grands pays comme la Russie, la Chine et les États-Unis peuvent également se permettre d'embaucher et de former leurs propres hackers. Les pirates informatiques russes ont eu un profil plus élevé ces derniers temps en raison des élections américaines de 2016. La situation géopolitique de la Russie a également conduit à une utilisation plus visible des cyberattaques, comme contre l'Ukraine. Enfin, en raison de la nature de l'application de la loi en Russie, nous avons tendance à voir plus de cybercriminalité organisée à partir de là-bas que l'Amérique, la Chine ou l'Europe occidentale. 

 

REF.L: Quora.com

Y a-t-il un lien établi entre le vaccin ARN messager et certains types de cancer ? COVID19 et cancers : recherches croisées sur les vaccins à ARN:

 

Oui, le lien est qu'on a commencé à développer des médicaments et vaccins à ARN messager contre le cancer, et qu'on a appliqué ces recherches à la Covid-19.

C'est notamment ce qu'a fait BioNTech

:

La société a mis au point une thérapie humaine à base d'ARNm pour administration intraveineuse afin d'amener l'immunothérapie anticancéreuse individualisée à base d'ARNm à des essais cliniques. Elle a établi son propre processus de fabrication. ( Wikipédia

)

plus de détails : COVID19 et cancers : recherches croisées sur les vaccins à ARN

 COVID19 et cancers : recherches croisées sur les vaccins à ARN

Les vaccins à ARN qui semblent porter tous les espoirs d’une potentielle fin de crise sanitaire constituent un saut technologique et médical important, que la communauté scientifique prépare depuis longtemps, notamment contre les cancers.

A-R-N-m : quatre lettres cristallisent depuis quelques semaines les espoirs de millions de personnes à travers le monde. Plusieurs vaccins basés sur l’injection de ces Acides RiboNucléiques Messagers ont en effet été développés et leurs premiers résultats dépassent, pour l’instant, les espoirs que chercheurs et médecins avaient osé formuler. Si ces vaccins à ARNm sont une nouveauté pour le grand public, aucun n’ayant jamais obtenu d’autorisation de mise sur le marché, l’approche est à l’étude depuis plusieurs années dans les laboratoires de recherche. Très concrètement, l’équipe dirigée par Ugur Sahin, cofondateur de l’entreprise allemande BioNTetch qui a mis au point l’un des vaccins candidats, fait partie des pionniers qui travaillent depuis plus de 10 ans sur des stratégies de vaccination par ARN pour lutter contre… les cancers !

De l’ARN à la mobilisation du système immunitaire

Les ARNm sont des molécules qui constituent, pour toutes les cellules, les plans de fabrication des protéines. Le principe d’une vaccination basée sur l’injection d’ARNm est relativement simple : les ARNm injectés sont pris en charge pas les cellules de l’organisme, qui l’utilisent pour produire la ou les protéine(s) correspondante(s). Puis, comme elles le font avec toutes les protéines qu’elles produisent, les cellules en exposent à leur surface des échantillons représentatifs, pour que les cellules immunitaires en maraude puissent les contrôler. Dans le cas de la vaccination contre le SARS-Cov2, les ARNm injectés dans le vaccin codent notamment pour une partie de la protéine S1, présente à la surface de l’enveloppe virale. Ainsi, lorsque le contrôle a lieu, les cellules immunitaires qui reconnaissent les échantillons comme étant issus d’un agent étranger, mettent en place un dispositif de défense complet pour éliminer tout ce qui y ressemble, dans l’instant mais aussi à l’avenir, grâce aux grandes capacités de mémoire de notre système immunitaire. C’est le principe de toute vaccination préventive : exposer à notre système immunitaire un échantillon représentatif de l’agent pathogène pour qu’il développe, par anticipation, tout l’arsenal défensif qui sera un jour mobilisé si le pathogène se présente.

Pour activer le système immunitaire, l’ARNm a un autre avantage : la simple présence de ces molécules dans notre organisme est un signal d’alerte. Lorsque certaines cellules immunitaires captent une présence anormale d’ARN, des mécanismes inflammatoires sont déclenchés. Ils contribuent à établir un contexte favorable à la réponse immunitaire et sont indispensables dans une démarche de vaccination. Dans les vaccins « classiques », ce rôle est joué par les adjuvants, qui sont donc rendus inutiles dans les vaccins à ARNm.

L’approche vaccinale contre les cancers

Quand il s'agit des cancers, l’approche n’est plus préventive ; elle vise à être curative : on ne prépare pas le système immunitaire à être efficace contre de futures et éventuelles cellules cancéreuses, mais on cherche à faire en sorte de rétablir et focaliser son action quand un cancer s’est développé. Au-delà de cette différence temporelle, le principe est le même : faire en sorte d’exposer aux cellules immunitaires des échantillons représentatifs des cellules cancéreuses, dans un contexte inflammatoire adapté. Dès lors, l’une des grandes questions est de savoir quel(s) échantillon(s) présenter. En effet, il faut s’assurer que ce ciblage ne puisse pas monter le système immunitaire contre des cellules saines qui exprimeraient, elles aussi, la protéine codée par les ARNm vaccinaux ! Pour trouver des cibles spécifiques aux cellules cancéreuses, la piste que suivent majoritairement les chercheurs repose sur l’exploration du patrimoine génétique des tumeurs : certaines des mutations génétiques présentes dans les cellules cancéreuses se répercutent directement sur la nature des protéines produites par ces cellules. En désignant ces protéines mutées au système immunitaire, ce que les immunologistes appellent des « néo-antigènes », le ciblage de la tumeur est, théoriquement, assuré.

Aujourd’hui, cette stratégie fait déjà l’objet d’essais cliniques, à des stades encore précoces, notamment dans le cadre de cancers du sein triple négatifs et de mélanomes. Les néo-antigènes ciblés dans chaque cas sont multiples. Les vaccins actuellement testés sont ainsi constitués d’un cocktail d’ARNm, encapsulés dans des vésicules de lipides, destinées à protéger les fragiles ARNm et à faciliter leur intégration dans les cellules.

Enfin, certains travaux visent à optimiser encore la stimulation immunitaire en ciblant spécifiquement l’activation des cellules dendritiques des patients, dont on sait qu’elles jouent un rôle central dans l’orchestration des réponses immunitaires : lorsqu’elles sont « infectées » par l’ARN vaccinal, ciblant les néo-antigènes tumoraux, les cellules dendritiques réagissent comme si elles faisaient face à une infection virale et répondent en conséquence. Les premiers résultats cliniques, très préliminaires, donc, semblent indiquer une bonne efficacité de l’approche.

Face aux cancers, bien d’autres facteurs entrent en ligne de compte pour espérer obtenir une efficacité thérapeutique. En particulier, on sait que les tumeurs opposent de nombreux freins au système immunitaire pour se prémunir de son action. Les immunothérapies basées sur les inhibiteurs de points de contrôle immunitaire (les anti-PD1, anti-PD-L1 et anti CTLA-4) pourraient donc, évidemment, à terme, être associées aux éventuelles stratégies vaccinales. Elles sont d’ailleurs déjà intégrées aux essais de vaccination en cours contre les cancers.

De façon générale, ces approches basées sur l’activation très précise du système immunitaire ouvrent des perspectives inédites en termes de personnalisation des traitements, la synthèse d’ARNm spécifiques en laboratoire étant relativement simple en tant que telle et donc réaliste dans le cadre d’une prise en charge. Evidemment, ces développements doivent être accompagnés d’une grande vigilance quant à la toxicité éventuelle (mais a priori faible) des ARN, des molécules qui n’ont encore jamais été utilisées comme médicament. Les essais cliniques mis en œuvre actuellement, à très grande échelle, devraient apporter certaines réponses précises à ces questions. On peut aussi espérer que ces essais permettront de générer des informations massives sur la nature de la réponse immunitaire induite par ce nouveau type de vaccination. Une connaissance importante pour, peut-être, identifier les limites ou les opportunités de cette approche dans un contexte de vaccination anti-cancéreuse.


Comme la chercheure:

Marie-Claude Bourgeois-Daigneault(pense appliquer un vaccin a base de virus d'ici 3 a 5 ans, au Québec !)

Titre:Professeure sous octroi adjointe
Adresse:Centre de recherche du CHUM et Institut du cancer de Montréal.

Département de microbiologie, infectiologie et immunologie

 

Sujets de recherche

Notre équipe de recherche étudie l’utilisation des virus oncolytiques comme traitement immunothérapeutique du cancer.

Plus spécifiquement, notre programme de recherche se divise en 3 principales facettes:

  • l’utilisation des virus oncolytiques comme plateformes de vaccination anti-tumorale personnalisée
  • le développement de stratégies de vaccination anti-tumorale hétérologue bactérie oncolytique-virus oncolytique
  • l’étude de l’importance de l’immunoprotéasome pour l’activité immunothérapeutique des virus oncolytiques.
  •   On pense que c'est un aspect important des réponses durables observées chez certains patients et le domaine évolue rapidement vers l'immunothérapie. Comme moyen supplémentaire pour engager le système immunitaire, nous avons conçu un virus, le virus de la stomatite vésiculaire (VSV), pour coder l'interféron-γ cytokine pro-inflammatoire. Nous avons utilisé l'adénocarcinome mammaire 4T1 ainsi que d'autres modèles de tumeurs murines pour caractériser les réponses immunitaires chez les animaux porteurs de tumeurs générées par le traitement avec nos virus. Le virus codant pour l'interféron γ a démontré une plus grande activation des cellules dendritiques et a entraîné une sécrétion plus profonde de cytokines pro-inflammatoires par rapport au virus parental. D'un point de vue thérapeutique, le virus de l'interféron-γ a ralenti la croissance tumorale, minimisé les tumeurs pulmonaires et prolongé la survie dans plusieurs modèles de tumeurs murines. L'efficacité améliorée a été perdue chez les animaux immunodéprimés; par conséquent, le mécanisme semble être médié par les lymphocytes T. Pris ensemble, ces résultats démontrent la capacité des virus oncolytiques à agir en tant que stimulateurs immunitaires pour stimuler l'immunité antitumorale ainsi que leur potentiel pour une thérapie génique ciblée.

R.D.

Sources :
Sahin, U. et al; An RNA vaccine drives immunity in checkpoint-inhibitor-treated melanoma; Nature; 29 juillet 2020
Sahin, U. et al; Personalized RNA mutanome vaccines mobilize poly-specific therapeutic immunity against cancer; Nature; 5 juillet 2017
Kranz, L.M. et al; Systemic RNA delivery to dendritic cells exploits antiviral defence for cancer immunotherapy; Nature; 1er juin 2016
Schmidt, M. et al; T-cell responses induced by an individualized neoantigen specific immune therapy in post (neo)adjuvant patients with triple negative breast cancer; Annals of oncology; supplement de septembre 2020; presentation au congrès de l’ESMO

 

REF.:

Ce qu’il faut savoir sur la faille de sécurité décelée dans AirDrop

 

 

Ce qu’il faut savoir sur la faille de sécurité décelée dans AirDrop

Des chercheurs en cybersécurité expliquent comment s’en prémunir.


Par Valentin

Avc iOS 14.5, les iPhone font le plein de nouvelles fonctionnalités en faveur de la confidentialité. Il s’agit là d’un domaine de compétences dans lequel Apple se veut exceller, mettant en avant la protection des données personnelles au sein de nombre de ses campagnes promotionnelles. Malgré tout, il arrive parfois que des experts arrivent à dénicher des brèches pouvant exposer les informations privées des utilisateurs à de potentiels pirates informatiques.

C’est ce qu’il vient de se passer en Allemagne, où des développeurs ont réussi à identifier une faille de sécurité majeure issue de l’outil AirDrop. Celui-ci, qui n’est pas disponible sous forme d’app indépendante mais uniquement depuis les paramètres ou le partage, est considéré par beaucoup comme un moyen efficace de transférer des fichiers. Il n’est en revanche disponible que sur les appareils de Cupertino.

Vos coordonnées potentiellement dans la nature

Comme l’expliquent des scientifiques de l’université de technologie de Darmstadt ayant étudié la question de près, il est possible pour des acteurs malveillants d’obtenir votre numéro de téléphone ainsi que votre adresse e-mail si vous faites appel à AirDrop. Tout ce qu’il faut pour y arriver est une simple connexion Wi-Fi, suffisamment proche de la cible pour parvenir à ses fins.

Découverte en mai 2019, donc il y a de longs mois maintenant, la faille a été communiquée aux ingénieurs d’Apple depuis mais rien ne semble indiquer que ceux-ci aient depuis corrigé le problème. Pourtant, on sait que la société américaine n’a pas pour habitude de prendre à la légère ce genre de sujet. En général, des patchs sont même déployés assez rapidement lorsqu’un souci de ce type arrive aux oreilles de ses ingénieurs.

Que faire afin de s’en prémunir ?

À ce jour, plus d’un milliard d’appareils de marque Apple seraient donc vulnérables. Mais comme souvent, il existe en fait un moyen relativement simple de se protéger. Il suffit en effet de désactiver manuellement un paramètre précis d’AirDrop. La marche à suivre est la suivante (sur iPhone) :

  1. ouvrir l’app Réglages
  2. scroller et cliquer sur le menu Général
  3. choisir AirDrop
  4. sélectionner Réception désactivée

Notons par ailleurs que le service AirDrop est aussi accessible sur la nouvelle Apple TV et sur tous les modèles de MacBook, mais aussi sur le Mac mini M1.

 

REF.:

lundi 10 mai 2021

Comment transférer ma licence Windows 10 sur HDD sur un SSD ?

 

 

Votre licence si vous avez lié votre compte Microsoft est lié au pc dans le Cloud. Donc vous pouvez installer Windows 10 sur le ssd, lier votre compte et ce sera activé. Si ça ne marche pas. Donner comme raison à Microsoft l'installation sur le même pc avec ssd.

Si vous vouler simplement transférer sans réinstaller. Vous pouvez utiliser Clonezilla. Vous aurez votre pc comme vous l'avez maintenant.

Clonezilla[1] est disponible gratuitement en créant une clé usb bootable, soit avec yumi[2] ou yumi uefi[3] ou unetbootin[4].

Notes de bas de page

[3] YUMI-UEFI Portable (multiboot USB creator) | PortableApps.com
 
REF.: Quora.com