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jeudi 1 juillet 2021

Royaume-Uni : la police lance une opération antidrogue et découvre une ferme de minage

 

 

Royaume-Uni : la police lance une opération antidrogue et découvre une ferme de minage

Drôle de surprise pour les policiers qui ont lancé une opération sur ce qu’ils pensaient être une ferme de cannabis. Ils ont découvert alors une ferme clandestine de minage de Bitcoin

L’histoire peut faire sourire, mais comment la police a-t-elle pu se tromper à ce point ? À quelques kilomètres de Birmingham, une usine désaffectée semblait utiliser beaucoup d’électricité. Suspicieux, les policiers ont effectué une reconnaissance arrière avec un drone équipé d’une caméra thermique. Vu le dégagement de chaleur, aucun doute possible, l’usine a été transformée en centre de culture pour du cannabis.

Image 1 : Royaume-Uni : la police lance une opération antidrogue et découvre une ferme de minage
Crédit : West Midlands Police

La culture de la plante nécessite en effet beaucoup de lumière, d’eau et de chaleur. De plus, des modifications structurelles avaient été apportées afin d’assurer une ventilation supplémentaire. Il n’en fallait pas plus pour que les forces de l’ordre montent une opération anti-stupéfiants. Mais en arrivant sur place, une surprise les attendait.

Pas de cannabis, mais des ordinateurs

La perquisition a eu lieu le 18 mai 2021 et a permis de découvrir une centaine de machines branchées sur le réseau électrique au lieu des plants de cannabis attendus. En effet, une centaine de Antminer S9 génère une quantité importante de chaleur et ils nécessitent eux aussi beaucoup d’électricité.

Les Antminer sont des unités Asics, c’est-à-dire un matériel optimisé et destiné au minage de cryptomonnaie. Au contraire, les rigs détournent des cartes graphiques comme les RTX, dont les prix ne cessent d’augmenter, pour profiter de leur puissance de calcul.

Si le minage de cryptomonnaie au Royaume-Uni n’a rien d’illégal, se brancher clandestinement sur le réseau électrique afin de ne pas payer la facture est un déli. Il faut avouer que la consommation d’une telle installation peut fortement réduire la rentabilité du matériel et « pirater » l’électricité permet de générer plus de profit.

Pas de saisie spectaculaire de drogue donc pour la police, mais l’opération a permis de mettre fin au minage clandestin et à la ponction de l’équivalent de milliers de livres d’électricité. Puisque personne n’était présent lors de l’opération, il n’y a eu aucune arrestation. Néanmoins, le matériel, estimé à 600 dollars l’unité au cours actuel, représente une saisie approchant les 50 000 euros.

Une opération insolite qui risque de rester dans les annales de l’unité qui est intervenue, mais qui risque fortement de se reproduire à l’avenir. Le Bitcoin représentait 0,25 % des consommations électriques mondiales en 2019 selon une étude et au prix de l’énergie, il est fort probable que des installations clandestines similaires existent un peu partout et se multiplient.

Source. : theverge

Snapchat lance enfin de vraies lunettes connectées

 

 

Snapchat lance enfin de vraies lunettes connectées

Il était temps ! Snapchat, ou plutôt Snap, a annoncé hier soir lors de son événement annuel les toutes premières “vraies” lunettes connectées de son histoire, des lunettes qui… ne seront pas commercialisées. Comment ça, vous pensiez réellement que ce serait aussi facile ?

Les vrais le savent, mais ce n’est pas tout à fait la première fois que Snap lance une paire de lunettes.


Ces dernières années, la firme a en effet commercialisé plusieurs produits analogues, les fameuses Spectacles. Des lunettes munies d’une caméra et qui n’ont pas franchement rencontré un franc succès.

Snap n’en a pas fini avec les lunettes connectées

Un manque d’intérêt principalement dû au fait que les lunettes ne proposaient que trop peu de fonctions pour être réellement viables.

Néanmoins, et en dépit des quelques moqueries qui ont visé l’entreprise, Snap a gardé le cap et elle vient donc de dévoiler une nouvelle version des Spectacles… avec pas mal de changements à la clé.

Côté design, déjà, elles font l’impasse sur le look rétro des modèles précédents et elles troquent ainsi leurs rondeurs au profit de lignes anguleuses et… hmmm… disons futuristes. Elles semblent aussi un peu plus massives et, on l’image, plus lourdes.

Des Spectacles qui vont plus loin que les modèles précédents

En compensation, ces nouvelles Spectacles iront cependant un peu plus loin que les modèles précédents. Elles seront en effet capables de projeter des filtres ou des Lens sur ses verres, ce qui permettra du même coup à leur porteur d’utiliser des filtres dans la vraie vie. Et donc de voir le monde sous un angle un peu différent.

Les écrans, justement, semblent assez lumineux puisque Snap annonce une luminosité de 2 000 nits. Ce qui leur permettra de délivrer des expériences plus confortables, et ce de jour comme de nuit. Toujours au rayon des détails techniques, on peut également citer une latence de 15 ms et la présence de deux caméras et de quatre microphones, ainsi que deux haut-parleurs en prime.

Sans grande surprise, Snap a également intégré un SoC à ses lunettes, et plus précisément un Snapdragon XR1.

Une plateforme basée sur le Snapdragon XR1

L’ergonomie, de son côté, reposera principalement sur deux axes : la reconnaissance vocale et les gestes. Ici, l’utilisateur aura le choix et il pourra s’appuyer sur le pavé tactile intégré à la branche des lunettes ou sur les caméras présentes à bord du dispositif. Ce qui veut également dire qu’il sera en mesure d’interagir avec les expériences en réalité augmentée délivrées par le biais des lunettes.

En revanche, et comme expliqué un peu plus haut, on ne parle pas ici d’un produit trouvable dans le commerce, ou par le biais de distributeurs.

Snap réserve en effet les nouvelles versions des Spectacles aux développeurs, et plus précisément aux créateurs de Lens et de filtres. Précision qui a son importance, l’entreprise compte procéder par étape et elle se focalisera pour commencer sur un panel restreint d’utilisateur afin d’ouvrir les lunettes à plus de monde.

Cap sur la réalité augmentée !

Pour celles et ceux qui aiment les chiffres, on peut également profiter de l’occasion pour indiquer que Snapchat vient de franchir un tout nouveau cap, celui des 500 millions d’utilisateurs actifs par mois. Si la croissance de l’application est loin d’égaler celle de Twitter, Facebook, Instagram ou même TikTok, elle reste conséquente et elle prouve bien que l’entreprise a encore une carte à jouer.

Et cette carte, visiblement, se situera du côté de la réalité augmentée, un secteur en pleine explosion et sur lequel devraient se lancer de nombreux géants comme Google ou encore Apple, qui aurait pas moins de deux gros projets sur le feu : un casque et… une paire de lunettes.

 

REF.:

Qui sont les braqueurs de Bitcoins et comment procèdent-ils ?

 

 

Ils procèdent tous de façons différentes, je vais te présenter brièvement quelques-unes de techniques pour « braquer » de la crypto =>

Hameçonnage et les logiciels malveillant:

De la façon la plus probable, les cybercriminels se procurent une liste des employées d’un exchange, par la suite ils entament une recherche conséquente sur leur vie personnelle, sur leurs habitudes, et ainsi de suite, ils vont jusqu’à vérifier la récurrence de prises de contact entre les comptables et l’exchange de cryptomonnaie. Même si cette étape peut prendre du temps, elle peut éventuellement conduire les cybercriminels à l’ordinateur d’un employé ayant accès aux systèmes importants. Si le système automatique d’échange est configuré pour envoyer de la crypto-monnaie, les cybercriminels possédant les droits pour opérer peuvent alors s’envoyer de l’argent. Une récente attaque contre l’échange Binance se serait déroulée de cette façon.

L’attaque des 51 % qui s’opère principalement sur la blockchain:

Vous avez probablement entendu parler de l’axiome immuable selon lequel « les données de la blockchain ne peuvent pas être modifiées. » Néanmoins, ce n’est pas forcément vrai tout le temps. Une attaque à 51 % est une attaque potentielle contre le Bitcoin (ou un autre réseau blockchain), par laquelle une seule entité ou organisation est capable de contrôler la majorité du taux de hachage, entraînant potentiellement une perturbation du réseau. En d'autres termes, celui qui mène une attaque 51 % disposerait de la puissance de minage suffisante pour exclure ou modifier intentionnellement l'ordre des transactions. Une telle attaque permettrait à l'entité malveillante d'essayer d'inverser les transactions qu'elle a effectué tout en possédant le contrôle, ce qui entraînerait probablement un problème de double dépense. Une attaque à la majorité réussie permettrait également à l'attaquant d'empêcher la confirmation de certaines ou de toutes les transactions (déni de service de transaction) ou d'empêcher certains ou tous les autres mineurs de miner, ce qui conduirait au prétendu monopole de minage.

Vol de clés secrètes :

Afin de pouvoir stocker vos cryptomonnaies, vous allez avoir besoin d’un wallet, mis à part si vous optez pour les garder sur un exchange ce qui est assez risqué, notamment pour les deux techniques qui précèdent celle-ci. Un wallet peut être physique, sous forme de clé USB ( LEDGER ), celui-ci peut être un logiciel ou une application de bureau / web.

Le fonctionnement est simple, à l’ouverture du compte, vous allez générer un mot de passe avec 14 mots au hasard, cette clé vous permet d’accéder à votre portefeuille. Un vol se produit généralement par ce biais parce que, de nos jours, les applications ne sont généralement pas écrites à partir de rien mais plutôt assemblées à partir de composants, y compris de développeurs tiers. Autrement dis, si le pirate prend conscience du dictionnaire et de l’algorithme utilisé il pourra accéder à un nombre conséquent de portefeuille.

 
 

Microsoft abandonne Internet Explorer : le navigateur fera ses adieux le 22 juin 2022

 

 

Microsoft abandonne Internet Explorer : le navigateur fera ses adieux le 22 juin 2022

Microsoft vient enfin d’annoncer officiellement la fin d’Internet Explorer. Le fameux navigateur web fera ses adieux le 22 juin 2022 après près de 27 ans de bons et loyaux services. Microsoft compte évidemment le remplacer définitivement par Edge.

La fin d’Internet Explorer lancé en 1995 traîne en longueur depuis déjà plusieurs années. Il y a 6 ans, le directeur marketing de Microsoft indiquait déjà qu’un successeur était en préparation pour le remplacer.


Il s’agissait bien évidemment de Microsoft Edge dont la version basée sur Chromium aura bientôt des mises à jour majeures toutes les 4 semaines. Néanmoins, nous sommes déjà en 2021 et Internet Explorer 11 existe toujours aux côtés d’Edge. Il fallait donc s’attendre à ce que Microsoft annonce le clap de fin officiel à tout moment.

Microsoft 365 et les autres applications ne supporteront plus Internet Explorer après le 17 août 2021

Internet Explorer 11 aurait dû s’arrêter le 17 août 2021, mais Microsoft a finalement repoussé d’un an la date fatidique. L’un des meilleurs navigateurs web (à son époque) prendra donc sa retraite le 22 juin 2022. La société de Redmond l’a officiellement confirmé. En ce qui concerne le support d’Internet Explorer, Microsoft 365 et les autres applications arrêteront de le prendre en charge à partir du 17 août 2021.

Bien entendu, cette décision n’impactera pas Windows 10 Enterprise Long-Term Servicing Channel. Ce système d’exploitation est dédié à des utilisateurs professionnels avec des besoins très spécifiques. Windows 10 Enterprise LTSC est justement utilisé pour des ordinateurs qui doivent fonctionner avec les mêmes applications pendant une longue durée. Cela comprend par exemple les systèmes de contrôle du trafic aérien ou encore ceux de l’imagerie par résonance magnétique (IRM).

De plus, la fin d’Internet Explorer 11 ne concerne pas le moteur de rendu Trident aussi connu en tant que MSHTML. Elle ne touche pas non plus les applications de bureau Server Internet Explorer 11. Microsoft conseille donc à tous les utilisateurs actuels d’Internet Explorer, les irréductibles qui ne craignent pas le navigateur dangereux et obsolète, de s’habituer à un nouveau navigateur web. Bien entendu, Microsoft pousse à choisir Edge, mais il y a d’autres options comme Chrome, Firefox ou même Opera.

Source. : Engadget

Google s’associe à Samsung pour révolutionner Wear OS

 

 

Google s’associe à Samsung pour révolutionner Wear OS

Android

Par Remi Lou le

Non, Google n’a pas abandonné WearOS, son système d’exploitation dédié aux montres connectées. La firme annonce un partenariat d’ampleur avec Samsung pour développer une plateforme commune.



On s’attendait à une montre connectée Pixel, mais finalement, la conférence d’ouverture de la Google I/O ne comportait aucune annonce d’ordre matériel. En revanche, sur le secteur des smartwatches, Google n’est pas resté de marbre et annonce un partenariat avec Samsung pour fusionner Wear OS et Tizen en une seule et même plateforme ne comportant que le meilleur.

Samsung et Google main dans la main

Forte de l’acquisition de Fitbit, Google se rapproche donc de celui qui est à la fois son pire ennemi et son plus grand allié. La nouvelle plateforme, qui devrait conserver le nom de Wear OS, sera de ce fait disponible à fois sur les montres connectées de Samsung et sur toutes les smartwatches qui utilisaient déjà la solution logicielle de Google.

Les constructeurs tiers auront toujours la possibilité d’y ajouter leurs propres surcouches, mais le fonctionnement de la base change quelque peu. Il sera désormais plus aisé de switcher entre plusieurs applications, et Google annonce la possibilité pour les développeurs de créer des « tuiles » de leurs applications, lesquelles seront accessibles depuis l’écran d’accueil.


Si la firme n’a pas dévoilé plus en détail le design de cette refonte majeure de Wear OS, elle nous donne tout de même quelques informations croustillantes sur ses atouts. Ainsi, cette nouvelle plateforme permettrait de booster drastiquement l’autonomie des smartwatches, qui passeraient à deux jours pour certains modèles. Ce nouveau Wear OS devrait également accélérer le lancement des applications — jusqu’à 30% plus rapide — et « toutes vos applications Google favorites » ainsi que les nombreuses applications du Play Store seront désormais disponibles sur les montres connectées de Samsung.


Pour l’heure, Google ne s’avance pas sur une date de sortie précise, si ce n’est un lancement pour « plus tard dans l’année ». Mais puisque Samsung est désormais un acteur majeur de Wear OS, nul doute que nous devrions avoir des nouvelles au moment du lancement de la prochaine Galaxy Watch du constructeur sud-coréen.

 

REF.: