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samedi 11 juin 2022

PimEyes : un outil de reconnaissance faciale inquiétant

 

 PimEyes : un outil de reconnaissance faciale inquiétant 


Grâce à la reconnaissance faciale, le moteur de recherche PimEyes dispo en version payante, peut retrouver des photos et des vidéos publiées sur Internet à partir d'un visage. Un outil redoutablement efficace, qui ouvre la voie à des dérives inquiétantes…

Vous connaissez sans doute le principe de la reconnaissance faciale. Utilisée dans de nombreux domaines liés à la sécurité, cette technologie d'analyse de visage permet, par exemple, d'identifier des intrus lors d'infractions grâce à des caméras de vidéosurveillance, de franchir un portique de contrôle dans un aéroport. ou encore, dans un registre plus quotidien, de déverrouiller un smartphone ou un ordinateur, sans saisir de code. Intégrée dans de nombreux dispositifs spécialisés, elle est aussi exploitée dans des applications grand public – comme Facebook, qui l'utilise pour identifier des amis –, mais également accessible via des services en ligne, via des moteurs de recherche permettant de retrouver des personnes à partir d'une image de leur visage. Le problème, c'est que certains sont tellement efficaces qu'ils en deviennent inquiétants. 

PimEyes : un outil de reconnaissance faciale terriblement efficace

C'est notamment le cas de PimEyes, un puissant service en ligne qui défraie actuellement la chronique. Accessible à tout le monde – contrairement au célèbre Clearview AI, qui est réservé aux forces de l'ordre –, moyennant un abonnement de 30 dollars par mois – soit une trentaine d'euros –, ce moteur de recherche inquiète par ses performances. D'autant que son fonctionnement est très simple : il suffit de soumettre un visage pour que l'algorithme de reconnaissance faciale de PimEyes retrouve toutes les photos et vidéos publiées sur Internet où la personne apparaît. Et PimEyes est tellement efficace qu'il est capable d'identifier des personnes sur des images où elles apparaissent en portant des lunettes ou une casquette ! Difficile de le tromper…


PimEyes ne recense que les images publiées sur Internet et disponibles au public, évitant les photos sur les réseaux sociaux comme Twitter, Instagram ou Facebook si elles sont mises en mode privé. Le but officiel est de pouvoir surveiller sa réputation en ligne en sachant où une personne apparait sur Internet, comme l'explique le directeur du logiciel Giorgi Gobronidze, un Géorgien de 34 ans, dans la FAQ du moteur : "Avec PimEyes, vous pouvez vérifier quels sites web accessibles ont publié des photos contenant un visage donné. Vous pouvez utiliser ces informations pour retrouver les images qui ont été publiées sans votre consentement et vous défendre contre les escroqueries, le catfishing ou le vol d'identité."

PimEyes : des utilisations très indiscrètes

Cependant, rien n'empêche les internautes d'utiliser cet outil à des fins malveillantes. Il est possible, par exemple, de chercher des photos de n'importe quelle personne puisqu'il suffit simplement de cocher une case affirmant que vous êtes bien la personne en question pour accéder aux données de PimEyes.

Les journalistes du New York Times ont décidé de tester les capacités du moteur de recherche et les différentes utilisations qu'il est possible d'en faire. Et le moins que l'on puisse dire, c'est que PimEyes est très performant, détectant les visages sur les photos de mariages, de fêtes, de festivals ou encore en arrière-plan sur une photo de touriste. Mais certaines photos sont plus problématiques, et le journal révèle des histoires inquiétantes. Un des testeurs a ainsi avoué avoir eu recours au moteur pour identifier les personnes avec un pseudo qui le harcèlent sur Twitter. Un autre confie avoir découvert les véritables identités d'actrices de films pornographiques et recherché des photos explicites de ses connaissances Facebook. Une ingénieure en informatique américaine a testé l'outil avec l'une de ses photos et a eu le malheur de retrouver une vidéo pornographique dont elle ne connaissait pas l'existence. Elle a donc essayé de l'effacer en payant, mais les journalistes du New York Times ont pu retrouver la vidéo un mois plus tard… L'absence de contrôle permet donc de facilement trouver un visage qui n'est pas le sien, et il faut payer de nouveau pour pouvoir retirer une photo compromettante d'Internet.

Un bilan inquiétant, d'autant que PimEyes compte des dizaines de milliers d'abonnés, la plupart situés aux États-Unis et en Europe. Le moteur est actuellement visé par une enquête en Allemagne pour violations de la loi européenne sur la protection de la vie privée. Il est donc primordial de faire très attention à ce que vous et vos proches postez sur Internet, car cela peut rester à vie et vous mettre dans des situations très compromettantes.

REF.: Merci a Maurine Briantais

 https://www.commentcamarche.net/applis-sites/services-en-ligne/25701-pimeyes-une-reconnaissance-faciale-inquietante/

L’internet par satellite Starlink de SpaceX est disponible pour les VR, à quoi s’attendre?

 

 

L’internet par satellite Starlink de SpaceX est disponible pour les VR, à quoi s’attendre?

Starlink, c’est le nom de la constellation de satellites qui permet un accès à internet par satellite partout sur la planète. Le service, déployé et popularisé par SpaceX dont Elon Musk est le président-directeur général, est maintenant largement déployé pour les VR dans plusieurs pays d’Europe, états des États-Unis et provinces canadiennes incluant la majorité du Québec.

Du vrai web haute vitesse en VR et en camping, c'est maintenant possible, et il faut le dire, mais il était temps!

On a tous entendu parler de Starlink, ces fameux satellites en orbite qui nous permettent d'avoir une connexion de partout, déployé par l'entreprise américaine de monsieur Telsa en personne, Elon Musk.

Le problème jusqu'à maintenant, c'était la difficulté de l'installation, qui est permanente.

Voilà que Starlink arrive avec sa solution pour véhicules récréatifs et ça va faire plaisir à beaucoup de monde, autant les gens en VR que ceux qui sont dans des terrains de camping où les propriétaires empêchent les fournisseurs de venir faire des installations sur place.


Starlink, l'internet par satellite développé par SpaceX, est enfin disponible au Québec pour les VR.

Une grande avancée technologique…

Si le projet d'internet par satellite Starlink a d’abord été annoncé par SpaceX en 2015, ce n’est qu’en 2021 qu’il a obtenu son numéro ASN le considérant officiellement comme un fournisseur d'accès à internet.

Maintenant officiellement disponible pour les VR, les utilisateurs peuvent s'attendre à un internet de haut débit à faible latence dans les zones disponibles que l’on retrouve sur le site web du constructeur. 

C’est un gros avantage, autant pour les gens nomades que pour les aventuriers comme moi ou pour les fervents campeurs, puisque Starlink nous donne accès à internet presque partout en Amérique du Nord. 



On s’entend que d’un point de vue technologique, il s’agit d’une grande avancée. En effet, dans n'importe quelle destination où Starlink offre une couverture pour travailler et jouer, même dans les lieux les plus éloignés.

En plus, Starlink a également ajouté l’option aux voyageurs de se déplacer sans avoir à changer leur adresse de service.

Disons que pour ceux qui font six mois au Québec et six mois dans le Sud, ça change carrément la donne!

En gros, on a besoin de passer ses fils vers le toit ou le côté du véhicule pour quand on voudra brancher l’antenne. 

On doit aussi se sécuriser une boîte de rangement intérieure ou extérieure parce que le gadget n’est pas utilisable en mouvement.

Un autre gros plus: même si le service est plutôt dispendieux, Starlink nous propose de payer au fur et à mesure.

En gros, les utilisateurs de VR ont la possibilité de mettre en pause et de réactiver leur service à tout moment moyennant des frais facturés au mois.

Ça permet aux utilisateurs de personnaliser leur service en fonction de leurs besoins de voyage individuels et ça, c’est une denrée rare dans le monde des télécommunications.


Bien que disponbible pour les VR, Starlink n'est malheureusement pas utilisable en mouvement.

… qui n’est toujours pas la solution parfaite

Malheureusement, Starlink est loin d’être la solution parfaite. Le plus gros hic, c’est qu’il ne fonctionne pas lorsque l’on est en mouvement, ni s’il y a des arbres ou de l’obstruction.

C’est un peu moins pratique quand on est dans un VR, dans un bus aménagé ou simplement dans un camion que l’on a converti en maison.

Puisque Starlink requiert une vue dégagée et directe au ciel sans obstruction pour se connecter, ça signifie que dès que l’on est stationné il faut sortir l'installer à chaque fois et s’assurer d’une bonne réception.

Heureusement, c’est possible de télécharger l'application Starlink pour iOS et Android pour déterminer le meilleur endroit pour votre emplacement.

Si ça semble demander plus d’adaptation dans les débuts, les commentaires sont généralement positifs et la pose ne semble pas être sorcière.

Après, il y a toute la question du prix. Sans surprise, se doter de Starlink n’est pas donné. On parle d’un coût matériel de 759$ pour s’équiper, puis d’un paiement mensuel de 170$.

C’est vrai que ça peut sembler cher, mais on doit le voir comme un investissement. Quand on est nomade ou qu’on est beaucoup sur la route, se doter d’internet, ce n’est jamais donné.

Acheter un forfait cellulaire pour travailler efficacement de n'importe où? Ça aussi, ça coûte les yeux de la tête. 

Bref, pour le moment, c’est vrai que Starlink ne s’adresse pas à tout le monde. Cependant, si on est beaucoup sur la route, qu’on a une maison dans le sud ou simplement qu’on passe près de la moitié de notre année dans un camping, c’est un “pensez-y bien”.

En plus, on va se le dire, mais des compagnies de télécommunications qui offrent la possibilité de mettre en pause et de réactiver le service à tout moment, il n’y en a pas d’autres.

En savoir plus sur l’offre de Starlink pour les VR

Revivre et s’inspirer de toute la transformation Pimp ton VR

REF.: Merci a Francois Charron

 https://francoischarron.com/sur-le-web/infos/linternet-par-satellite-starlink-de-spacex-est-disponible-pour-les-vr-a-quoi-sattendre/XB8Rn9EYdy/

WinSecret : modifier l'apparence de Windows 11 facilement

 

 

WinSecret : modifier l'apparence de Windows 11 facilement

Pas besoin d'être un expert de l'éditeur de registre pour changer l'interface de Windows 11 comme vous l'entendez. L'outil gratuit WinSecret vous simplifie la tâche en quelques clics.

Envie de personnaliser un peu l'interface de Windows 11, de retrouver quelques aménagements auparavant proposés dans Windows 10 et dont vous avez du mal à vous passer ? Pour ce genre d'opérations, vous pouvez bidouiller des clés du Registre de Windows en passant par l'éditeur de Registre… à condition de savoir parfaitement ce que vous faites. Une fausse manipulation et votre système peut se retrouver complètement bancal voire, inopérant. Pour vous faciliter la tâche il existe ce que l'on nomme des tweaker. Des logiciels spécialement conçus pour modifier des réglages de Windows en modifiant le registre sans pour autant vous laisser modifier la moindre clé. Ils se dotent en effet d'une interface graphique qui facilite chaque opération en vous permettant de choisir une option dans un menu ou de cocher simplement une case. Ces logiciels, gratuits la plupart du temps, existent depuis belle lurette pour modifier Windows de fond en comble. On peut ici évoquer Winaero Tweaker ou encore RoundedTB par exemple. Un petit nouveau vient de faire son entrée : TweakNow WinSecret. Gratuit lui aussi, il se focalise sur Windows 11 et permet de modifier aisément plusieurs aspects de l'interface du système. Il permet ainsi de modifier l'apparence de la Barre des tâches mais aussi de l'Explorateur de fichiers ou encore de l'écran de démarrage. WinSecret n'est disponible qu'en anglais mais se montre très simple à utiliser.

Comment modifier l'interface de Windows avec WinSecret ?

Simple à utiliser et gratuit, TweakerNow WinSecret regroupe au sein d'une unique interface les réglages nécessaires pour modifier sans effort l'apparence de Windows 11.

► Commencez par télécharger TweakerNow WinSecret. Installez l'utilitaire puis lancez-le. L'installation ne présente aucune difficulté.

► L'interface de WinSecret se révèle plutôt claire. Au sommet de la fenêtre s'alignent plusieurs onglets. Chacun d'eux est consacré à un élément de Windows : Appearence pour modifier les couleurs et quelques éléments graphiques, Desktop pour le Bureau, File Explorer pour l'Explorateur de fichiers, Privacy pour quelques réglages de confidentialité, System pour les éléments de démarrage, Taskbar pour la barre des tâches et enfin Others pour le menu contextuel et le positionnement des fenêtres. Au centre de la fenêtre sont regroupés les réglages possibles pour chacune des catégories présentes dans les onglets. Choisissez par exemple Appearence.


► Vous pouvez ici adopter le mode sombre pour vos applis, accentuer la couleur de la barre de titres des fenêtres ou encore en modifier la largeur. Essayez de modifier les paramètres. Pour voir immédiatement les résultats, cliquez sur le bouton Save en haut à gauche de l'interface de WinSecret.


► Cliquez sur l'onglet Desktop afin de choisir de masquer ou non certaines icônes sur le Bureau (la corbeille, les éléments réseaux, etc.). Vous pouvez aussi modifier l'espacement minimal entre chaque icône présente sur le Bureau. Un redémarrage est nécessaire pour voir le résultat de cette dernière modification. N'oubliez pas de cliquer sur le bouton Save pour appliquer vos réglages.


► Dans l'onglet File Explorer, vous avez la possibilité d'afficher par défaut les extensions de nom de fichiers (.exe, .png, .mkv par exemple), de révéler les fichiers et dossiers cachés par le système, ou, plus intéressant, de retrouver la barre d'outils de l'Explorateur de fichiers de Windows 10 dans Windows 11. N'oubliez pas de cliquer sur le bouton Save pour appliquer vos réglages.


► L'onglet System propose des réglages un peu anecdotiques. Ils permettent d'afficher l'ancienne animation de démarrage de Windows ou d'activer ou non les messages texte pendant le démarrage (ce qui permet de connaître le détail des opérations en cours pendant la phase de boot). Plus utile, une option permet de désactiver l'écran de verrouillage afin d'arriver directement sur la page de saisie du mot de passe de session. Il est même possible d'afficher un message personnel à l'écran de la saisie du mot de passe. Enfin, vous avez la possibilité d'abaisser le temps nécessaire à une appli avant de quitter. N'oubliez pas de cliquer sur le bouton Save pour appliquer vos réglages.


► Les réglages proposés dans l'onglet Taskbar permettent de modifier la taille de la barre des tâches, son emplacement, sa transparence, etc. mais aussi d'ôter certaines icônes qui semblent y être bien ancrées comme celle de Conversation ou celle dédiée aux bureaux virtuels de Windows. N'oubliez pas de cliquer sur le bouton Save pour appliquer vos réglages.


► Enfin, depuis l'onglet Others, vous pouvez désactiver la fonction Snap Assit qui permet d'ancrer des fenêtres sur le bureau ou encore récupérer l'ancien menu contextuel présent dans Windows 10. N'oubliez pas de cliquer sur le bouton Save pour appliquer vos réglages.


► WinSecret propose également depuis l'onglet Privacy quelques réglages de confidentialité. Néanmoins, ils restent assez sommaires. Pour aller plus loin, nous vous conseillons d'utiliser un outil gratuit dont c'est la spécialité et qui se montre très complet : DoNotSpy 11.

 

REF.:  https://www.commentcamarche.net/telecharger/utilitaires/25681-winsecret-modifier-l-apparence-de-windows-11-facilement/

Par:Fabrice Brochain 

DoNotSpy 11 : stopper l'espionnage de Windows 10 et 11

 

 

DoNotSpy 11 : stopper l'espionnage de Windows 10 et 11

Si vous n'y prêtez pas attention, le système d'exploitation de Microsoft peut se montrer très indiscret avec vos données personnelles. L'outil gratuit DoNotSpy 11 va vous aider l'empêcher de collecter des données à votre insu.

Windows 10 et Windows 11 peuvent prendre certaines libertés avec vos données personnelles et l'utilisation que vous faites de votre PC. Ce n'est pas un secret d'ailleurs puisque, lors de l'installation du système, une multitude d'autorisations vous sont demandées : analyse des frappes au clavier, localisation, sites Web visités, etc. Las, lorsque vous cliquez un peu trop rapidement sur Accepter, histoire de commencer au plus vite à utiliser votre PC, vous laissez à Microsoft toute latitude pour espionner votre activité. Heureusement, ces réglages ne sont pas gravés dans le marbre. Vous pouvez bien sûr revenir sur vos décisions. À commencer par modifier les réglages de confidentialité dans Windows 10 comme nous l'indiquons ici.

Vous pouvez aussi vous en remettre à un outil gratuit comme DoNotSpy 11. Comme son nom l'indique (ne pas espionner, en français), il est là pour remettre de l'ordre dans ce que vous acceptez ou refusez de communiquer à Microsoft. Il agit comme Windows10Privacy ou O&O Shutup10 (conçus pour Windows 10) ou encore PrivateZilla auquel nous avons consacré une fiche pratique. DoNotSpy 11 fonctionne aussi bien avec Windows 10 que Windows 11. Entièrement en français, il permet d'empêcher le système d'afficher du communiquer à Microsoft de nombreuses données personnelles grâce à une interface simple à manipuler et accessible à tous et de renforcer la confidentialité.

Comment empêcher Windows de collecter vos données avec DoNotSpy 11 ?

Gratuit et en français, DoNotSpy 11 permet en quelques clics de faire un point sur les autorisations que vous avez accordées à Windows et de revenir sur vos choix pour plus de confidentialité.

► Téléchargez et installez DoNotSpy 11 sur votre PC. L'installation ne présente aucune difficulté. Lancez ensuite l'utilitaire.

► L'interface du logiciel s'affiche. Elle présente au centre de la fenêtre la liste des éléments qu'il est possible de désactiver. Ils sont regroupés en plusieurs catégories : Publicité, Applications, Windows Defender, Vie privée, Chercher, Démarrer, Mises à jour, Microsoft Office et Edge (Chromium). La partie droite de la fenêtre livre des informations sur l'utilisation et les données transmises de chaque élément. Bon point : les indications sont toutes en français. Il est donc plus aisé de comprendre les tenant et aboutissant de chaque réglage.


► Cochez la case Activé au sommet de la fenêtre dans la section Filtre. S'affichent alors les éléments pour lesquels vous avez déjà refusé les autorisations.


► Cochez maintenant la case Désactivé pour continuer à traquer les données transmises à Microsoft. Naviguez parmi les différents réglages proposés et cliquez dessus pour avoir de plus amples informations sur leur fonction. Si un réglage vous semble inopportun, cochez simplement la case à gauche de son nom pour le sélectionner et continuez vos investigations.


► La plupart des éléments sont indiqués en bleu. Mais d'autres s'inscrivent en orange ou en rouge. Ce code couleur précise le degré d'importance du réglage. Il n'est absolument pas conseillé de tout cocher (et donc de tout désactiver). Windows risquerait de ne plus fonctionner normalement. Il a besoin pour cela de transmettre certaines données. Aussi, veillez à lire attentivement chaque description avant de désactiver un réglage.


► Lorsque toutes vos préférences de confidentialité vous semblent justes, cliquez sur le bouton Appliquer au bas de la fenêtre. Par mesure de sécurité, DoNotSpy 11 vous invite à créer un point de restauration. Vous pourrez ainsi revenir en arrière en cas de mauvaise manipulation comme nous le décrivons dans notre fiche pratique. Une fois le point créé, les réglages sont appliqués. Vous pouvez cliquer sur le bouton Sortir pour quitter l'application.

 

REF.:  Fabrice Brochain

 https://www.commentcamarche.net/telecharger/securite/25679-donotspy-11-stopper-l-espionnage-de-windows-10-et-11/

Asahi – Le Linux des nouveaux Macs

 

 

Asahi – Le Linux des nouveaux Macs

Savez vous ce que signifie Asahi en japonais ? Cela veut dire « Soleil levant » et c’est également une variété de pommes.

De pomme ? Oui, de pomme… Apple en anglais. Hé oui, on va bien parler aujourd’hui de Asahi, un projet dont le but est de porter Linux sur les Mac Silicon (les fameux M1…etc), en commençant par les Mac Mini, MacBook Air et MacBook Pro 2020 M1.

Leur objectif n’est pas de simplement faire tourner un linux mais également de l’optimiser pour en faire un système d’exploitation agréable à utiliser au quotidien.


Toutefois, cela demande pas mal de boulot car Apple Silicon est très peu documenté, et les dev doivent reverser l’architecture du GPU d’Apple et développer le pilote open source qui va bien. Gros challenge à suivre donc !

Pour le moment, seule une alpha est sortie. Pas mal de choses fonctionnent comme le wifi, l’usb, le lecteur de carte SD…etc. Par contre, pour le bluetooth, Thunderbolt, l’accélération du GPU…etc il faudra encore attendre un peu. Mais comme je vous le disais, c’est une version Alpha. Le dual boot fonctionne donc vous pourrez profiter de Asahi tout en conservant macOS. Et si vous vous plantez, pas grave, vous pouvez toujours supprimer la partition Asahi ou réinstaller votre Mac via son mode d’install recovery.

Pour installer Asahi, vous devez mettre à jour votre macOS vers une version >= 12.3, disposer de 53 GB minimum d’espace disque, ouvrir un terminal et entrer la commande suivante :

curl https://alx.sh | sh

Vous trouverez plus d’infos ici.

REF.:  https://korben.info/asahi-le-linux-des-nouveaux-macs.html