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jeudi 3 mars 2011

programme de subventions intitulé «Couches lavables»

Montréal - Verdun opte pour les couches lavables
«Fini, les couches jetables !», se diront désormais quelque 200 familles de Verdun.
© Agence QMI / Éric Bolté

Montréal

Verdun opte pour les couches lavables



MONTRÉAL - «Fini, les couches jetables !», se diront désormais quelque 200 familles de Verdun. L’arrondissement a lancé mercredi un programme de subventions intitulé «Couches lavables», une première à Montréal.

Dès maintenant, les familles désireuses d’opter pour l’alternative écologique en matière de couches pourront bénéficier d’un montant de 100 $ annuellement, gracieuseté de l’arrondissement.

Pour avoir accès à ce financement, les familles participantes devront remplir un formulaire auprès de la Maison de l’environnement et «s’engager à utiliser uniquement les couches lavables pendant la période durant laquelle leur enfant sera aux couches».

L’arrondissement, qui financera le projet d’une valeur de 24 000 $, a confié le mandat à Nature-Action Québec, un organisme spécialisé en gestion de projets environnementaux.

Le président de la Commission du développement communautaire de l’arrondissement, Alain Tassé, a raconté que l’initiative était née à la demande d’une citoyenne, qui lui aurait demandé s’il existait des subventions pour l’achat de couches lavables.

La revendication de cette dame a pour le moins porté fruit, puisque les parents d’un enfant de moins de six mois pourront dorénavant en faire la demande auprès de l’arrondissement de Verdun.

S’il y a plus de 200 familles qui réclament leur droit à ces subventions d’ici le 31 décembre prochain, M. Tassé assure que l’administration pourra sans doute répondre à la demande.

«S’il n’y a plus de subventions disponibles d’ici le mois d’août, par exemple, on adaptera le programme en conséquence», a-t-il indiqué.

Pas juste bon pour l’écologie

M. Tassé croit même que le projet, qui s’inscrit dans une logique de développement durable, pourrait générer des économies à l’arrondissement.

«Ça pourrait coûter moins cher pour le service d’enfouissement des déchets», a-t-il mentionné, soulignant qu’un seul bambin nécessite, en moyenne, l’utilisation de 6000 couches jetables avant de devenir propre.(initiative Européenne)

Une seule couche lavable remplace quelque 230 couches jetables. L’utilisation de couches lavables peut entraîner des économies de l’ordre de 1 000 $ par année.

Selon le site subventioncoucheslavables.com, 80 villes et municipalités de la province se sont dotées d’un tel programme jusqu’à présent.


REF.:

mardi 23 novembre 2010

La revanche des microbes


La revanche des microbes fait le portrait de ces bactéries qui ont acquis, grâce à leur capacité à muter et à transférer leurs gènes, une résistance à de multiples antibiotiques. En cause, la surconsommation médicale et agricole qui a abouti à une saturation de l’environnement générant une intense pression sélective à l’origine des « multirésistances » bactériennes. Aussi les antibiotiques ne sont plus aujourd’hui un remède miracle, mais une ressource dont l’usage doit être limité.

Les bactéries existe depuis 3,5 milliards d’années et du combat désespéré mené par l’homme pour résister aux épidémies. Dans ce contexte, la découverte de la pénicilline en 1928 tient du miracle. Son efficacité ne sera pas démentie durant plusieurs décennies, pendant lesquelles le développement de la recherche sur les antibiotiques et leur diffusion a porté à croire que nous en avions terminé avec les microbes. C’était sans compter leur extraordinaire pouvoir d’adaptation : certaines souches, depuis les années 1980, sont en effet devenues résistantes.

Un exemple de bactérie dont aucun antibiotique ne peut contrer est le staphylocoque doré (staphylococcus aureus,et qui est a l'origine du furoncle.Le furoncle est une folliculite profonde avec nécrose périfolliculaire dont le germe responsable est le staphylocoque doré (staphylococcus aureus), ce qui provoque la suppuration et la nécrose du follicule et du derme avoisinant. Ceux-ci sont éliminés sous forme d'une masse jaunâtre : le bourbillon. Le furoncle est aussi appelé clou du fait de la forme acuminée (en forme de pointe) de la tuméfaction1.

Il existe plus de 10 000 molécules antibiotiques, mais seulement une centaine, dont un quart sont des pénicillines, sont efficaces et utilisables pour des applications thérapeutiques. Les autres sont trop toxiques, trop instables ou ont une biodisponibilité insuffisante chez l'homme. La plupart des antibiotiques sont des produits naturels, synthétisés par des procaryotes, des champignons, des végétaux supérieurs, des animaux ou des lichens.

Et les bactéries vivent avec nous aussi;comme dans le sol, les bactéries de la rhizosphère (couche de sol fixée aux racines des plantes) fixent l’azote et produisent des composés azotés utilisés par les plantes (exemple de la bactérieAzotobacter ou Frankia). En échange, la plante excrète au niveau des racines des sucres, des acides aminés et des vitamines qui stimulent la croissance des bactéries. D’autres bactéries commeRhizobium sont associées aux plantes légumineuses au niveau de nodosités sur les racines.

Il existe de nombreuses relations symbiotiques ou mutualistes de bactéries avec des invertébrés. Par exemple, les animaux qui se développent à proximité des cheminées hydrothermales des fonds océaniques comme les vers tubicoles Riftia pachyptila, les moules Bathymodiolus ou la crevette Rimicaris exoculata vivent en symbiose avec des bactéries chimiolitho-autotrophes.
Buchnera est une bactérie endosymbiote des aphides (puceron). Elle vit à l'intérieur des cellules de l'insecte et lui fournit des acides aminés essentiels. La bactérie Wolbachia est hébergée dans les testicules ou les ovaires de certains insectes. Cette bactérie peut contrôler les capacités de reproduction de son hôte.
Des bactéries sont associées aux termites et lui apportent des sources d'azote et de carbone.

Des bactéries colonisant la panse des herbivores permettent la digestion de la cellulose par ces animaux. La présence de bactéries dans l’intestin de l’Homme contribue à la digestion des aliments mais les bactéries fabriquent également des vitamines comme l’acide folique, la vitamine K et la biotine49.
Des bactéries colonisent le jabot d'un oiseau folivore (consommateur de feuilles), le Hoazin (Opisthocomus hoazin). Ces bactéries permettent la digestion de la cellulose des feuilles, de la même manière que dans le rumen des ruminants.

Des bactéries bioluminescentes comme Photobacterium sont souvent associées à des poissons ou des invertébrés marins. Ces bactéries sont hébérgées dans des organes spécifiques chez leurs hôtes et émettent une luminescence grâce à une protéine particulière : la luciférase. Cette luminescence est utilisée par l'animal lors de divers comportements comme la reproduction, l'attraction de proies ou la dissuasion de prédateurs.

De même, une bactérie demeurée endormie depuis 250 millions d'années a été découverte dans un cristal de sel. Elle a été découverte par Russell Vreeland de l'université de West Chester enPennsylvanie dans un lit de sel à environ 600 mètres sous terre, près de Carlsbad au Nouveau-Mexique.


La résistance aux antibiotiques est aussi ancienne que les antibiotiques eux-mêmes et bien antérieure à leur utilisation par l'Homme.

Une fraction importante des antibiotiques connus sont en effet des composés naturels produits par des micro-organismes. Ainsi, de nombreux antibiotiques sont fabriqués par des bactéries de la famille des actynomycètes, comme la streptomycine qui est produite par Streptomyces griseus.
La sécrétion d'antibiotiques (contre laquelle la bactérie doit donc résister) est aussi une stratégie développée par certaines bactéries pour éliminer leurs compétitrices de leur environnement. Ces bactéries productrices d'antibiotiques ont développé plusieurs enzymes leur permettant de résister à la molécule qu'elles produisent, afin de ne pas en être elles-mêmes les victimes : ces micro-organismes fabriquent en même temps le poison et l'antidote. Par transfert entre bactéries, les gènes codant ces enzymes de résistance peuvent se propager et transmettre la capacité de résistance à d'autres espèces, ce qui est observé dans l'environnement.

De manière générale, la résistance aux antibiotiques résulte d'une évolution par sélection naturelle, les antibiotiques exerçant une pression sélective très forte, en éliminant les bactéries sensibles. Les bactéries présentant une mutation leur permettant d'y survivre continuent à se reproduire, en transmettant à leur descendance leurs gènes de résistance, produisant rapidement une génération de bactéries pleinement ou majoritairement résistantes.


Voici la liste des plus résistant aux antibiotiques:

Staphylococcus aureus (couramment appelé « Staphylocoque doré ») est l'un des micro-organismes pathogènes offrant le plus de résistance. Il se développe sur les muqueuses et la peau d'environ un tiers de la population, et il s'adapte très rapidement à la pression sélective des antibiotiques. Ce fut la première bactérie à présenter une résistance à la pénicilline -- dès 1947, soit cinq ans après le début de la production de masse de cet antibiotique. La méticilline était alors l'antibiotique de choix. Le SARM (Staphylococcus aureus résistant à la méticilline) a été découvert en 1961 en Grande-Bretagne.

Le SARM est désormais assez courant en milieu hospitalier : il était responsable de 37% des cas fatals de septicémie au Royaume-Uni en 1999, soit 4% de plus qu'en 1991. La moitié de tous les staphylocoques dorés aux États-Unis sont résistants à la pénicilline, la méticilline, la tétracycline et l'érythromycine.

La vancomycine est l'antibiotique qui reste efficace dans ce cas pour l'instant. Une nouvelle classe d'antibiotiques, les oxazolidinones, est disponible depuis les années 1990 et la première application commerciale, le linézolide est comparable à la vancomycine pour son efficacité contre le SARM.

Toutefois, un VRSA (Staphylococcus aureus résistant à la vancomycine) a été identifié en 1997 au Japon et a été trouvé depuis dans des hôpitaux en Angleterre, France et États-Unis. Le VRSA est aussi désigné sous le terme GISA (glycopeptide intermediate Staphylococcus aureus) ou VISA (vancomycin intermediate Staphylococcus aureus), indiquant une résistance à tous les antibiotiques glycopeptidiques.

Enterococcus faecium est une autre bactérie multirésistante trouvée en milieu hospitalier : résistance à la pénicilline en 1983, à la vancomycine en 1987 et au linezolide à la fin des années 1990.

Des pneumonies résistantes à la pénicilline ont été détectées depuis 1967, comme la gonorrhée résistante à la pénicilline. La résistance aux substituts de la pénicilline ne se limite pas auxstaphylocoques dorés.

Depuis 1993, Escherichia coli est résistante à 5 variantes de quinolones. Mycobacterium tuberculosis est couramment résistant à l'isoniazide et à la rifampicine et parfois complètement résistant aux traitements courants.

D'autres pathogènes offrent certaines résistances comme Salmonella, Campylobacter, et Streptococcus.

En 2009 une entérobactérie produisant une enzyme de type "New Delhi métallo-beta-lactamase" (et dénommée NDM-1), est identifiée pour la première fois chez un patient suédois ayant été hospitalisé en Inde 4.






jeudi 21 octobre 2010

Procédure d'inspection des Viandes:

Protocole et procédures pour les Inspecteur des Viandes :
GROUPE:
DIVISION:
RESUME
Inspecteur de produits primaires (Transformation) Hygiène des Viandes
Sous la gouverne du vétérinaire surveillant régional niveau 3 ou de l'inspecteur surveillant régional niveau 5 ou 6 ou de l'inspecteur surveillant de complexe niveau 4 et comme inspecteur en chef d'un ou plusieurs établissements à transformation multiple afin de s'assurer que les opérations de transformation rencontrent les normes nationales et internationales; contrôler la réception des viandes, la transforma­tion, le marquage, l'emballage, l'étiquetage, l'entreposage et l'expédi­tion des produits carnés; contrôler le programme sanitaire et d'entre­tien de la bâtisse; contrôler l'entrée des produits alimentaires et non-alimentaires ; contrôler l'élimination des déchets, des matières non-comestibles et condamnées.
FONCTION A
Contrôler la réception des viandes, l'entreposage et l'expédition des produits carnés pour s'assurer que le tout est fait en accord avec TësT directives ministérielles, la Loi sur l'Inspection des Viandes et ses Règlements, la Loi sur les aliments et drogues et ses Règlements et aux normes des pays importateurs.
A cette fin:
1. Superviser la réception des produits de viande provenant d'établissements ou entrepôts approuvés afin de s'assurer de leur identité, et de leur salubrité en tant qu'ingrédient pouvant entrer dans la pré­paration d'une très grande variété de produits de viande.
Inspecter tout l'équipement pouvant servir au transport des viandes (ceci inclus les conteneurs, les camions, les remorques ainsi que les wagons de chemin de fer) afin de s'assurer qu'ils sont conformes aux normes du Ministère.
*
3. Restreindre l'utilisation de tout véhicule non satisfaisant en inter­disant l'usage de ce véhicule et en recommandant les mesures correctives à apporter et faire rapport au vétérinaire régional et aux compagnies concernées.
4. Contrôler la qualité des arrivages des viandes provenant d'établis­
sements approuvés en réinspectant un échantillonnage représentatif.
Les viandes non satisfaisantes peuvent être retournées sous détention à l'établissement d'origine ou retravaillées sous surveillance de l'inspecteur ou condamnées par un vétérinaire.
5. Soumettre des rapports concernant les arrivages de viande non satisfaisants suite à de mauvaises manipulations au cours du transport ou suite à un accident du véhicule.
6. Aviser_le_personnel d ' inspection __de__l 'établissement _d^origine des
conditions non satisfaisantes rencontrées lors de la réception de leurs produits de viande et discuter du problème et_des solutions possibles.


Contrôler l'entrée des viandes importées à I 'etablissement provenant
directement du pays exportateur en ^examinant la certification , la
documentation, le marquage; en inspectant un échantillonnage représentâtif.!(la racine carrée du nombre de cartons) du produit pris au hasard pour en déterminer la conformité aux réglements d'importation.
Contrôler la__sortie du pays_du_produit refusé ou vérifier et superviser sa destruction lorsqu'il est décidé par 1 ' importateur de ne pas ressortir du pays le produit refusé.
Contrôleur avec la direction des établissements et les expéditeurs,
les réceptions de viande rejetées afin de s'assurer qu'elles seront
transformées dans des établissements approuvés.
Contrôler la certification et la documentation des viandes destinées au commerce local et des_ viandes exportées afin de s'assurer qu'elles
sont en conformité avec les normes nationales et les normes spécifiques des pays importateurs.
Contrôler les retours de viande trouvés non satisfaisants par les
pays importateurs, les établissements de vente en gros ou détail, ou
par le consommateur, lors de leur entrée dans l'établissement.. Vérifier et contrôler la ségrégation, l'identification et la disposition de ces produits.
Compiler des informations et compléter des rapports afin d'établir
des contrôles et des données statistiques requis par la Direction générale .
Contrôler les produits commandés pour le Gouvernement du Canada afin
de s'assurer qu'ils sont préparés en accord avec les normes de l'Office des Normes du Gouvernement du Canada (ONGC) et contrôler l'estampillage selon les normes ministérielles.
Inspecter les réfrigérateurs et les congélateurs afin de s'assurer
que les normes concernant les températures d'entreposage des viandes sont suivies, que les techniques d'entreposage sont adéquates et que les temps limites de conservation des différentes viandes sont respectés.
Vérifier périodiquement l'exactitude des thermomètres, thermographes
et autres instruments servant à enregistrer les températures en les
comparant avec les équipements standardisés du Ministère.
Contrôler la distribution et la transformation des carcasses ap­
prouvées de verrat, viande de porc monorchide, viande provenant d'animaux tuberculeux afin_ de_s ' assurer qu'_i1s ne seront pas exportés.
FONCTION B
Inspecteret contrôler les produits de viande afin de s'assurer que leur étiquetage, emballage et certification sont en conformité avec les directives du Ministère. Retenir les retenir lesProduits non
conformes,afin qu'ils puissent être réétiquetés, réemballé ou recertifiés, ceci afin de s'assurer que le tout est fait en accord avec la Loi sur l'Inspection des Viandes et ses Règlements et la Loi sur l'emballage et l'étiquetage des produits de consommation et ses Règlements. A cette fin:


1. Vérifier et contrôleur que seulement les étiquettes approuvées sont utilisées pour 1 'embal1age et l'étiquetage des produits de viande.
2. Contrôler et surveiller la destruction des étiquettes périmées ou
qui ne rencontrent plus les normes du Ministère et maintenir a jour d es registres des étiquettes approuvées.
3. VérifierET controler que les étiquettes des produits exportés soient approuvées à cette fin et rencontrent les normes des pays importateurs .
Contrôler l'entreposage des étiquettes approuvées dans les sections destinés à cette fin.
Contrôler l'identification et le marquage des produits et coupes de viande et ce, en accord avec la terminologie des lexiques approuvés.
Retenir tout produit de viande dont l'étiquetage est non conforme afin qu'il puisse être réétiqucté ou réemballé selon les normes du Ministère .
FONCTION C
Contrôler et surveiller les opérations de désossement , de découpe, de saumurage, de hachage, de fumage, de cuisson d'appertisation, de re­froidissement, de congélation, la formulation et préparation des mélan­ges selon les recettes approuvées et l'entreposage des produits de viande destinés à la consommation humaine. A cette fin:
1. Contrôler et surveiller 1a ségrégation des différentes espèces de^
viande durant tout le processus de transformation pour é1iminer la possibi1ité de transmission des trichines . La viande fraîche de porc doit être séparée et bien identifiée de façon à ce qu'elle reçoive un traitement thermique suffisant qui assure la destruction des trichines .
*
S'assurer que seulement des recettes et additifs alimentaires ap­prouvés sont utilisés selon les normes prescrites et qu'ils sont mentionnes sur l'étiquette.
Vérifier l'équipement et les facilités de façon à ce qu'aucun plastic toxique, produits synthétiques non approuvés ou de métaux non permis tel que zinc, bronze, plomb ou cuivre ne viennent __ en contact avec les viandes.
Vérifier et contrôler l'efficacité de l'équipement de contrôle de température des cuiseurs, des fumoirs et des autoclaves afin de s'assurer que le traitement thermique des viandes et produits de viande rencontre la recette approuvée, les normes canadiennes et les normes des pays importateurs.
Prélever, préparer et soumettre au laboratoire pour contrôles bac­tériologiques et/ou chimiques des échantillons de différents pro­duits que l'on retrouvent en utilisation dans l'établissement et/ou préparés à cet étabIissement tels que des échanti11ons de glace et/ou d'eau pour endéterminer la potabilité, de viande transformée pour présence de microorganismes pathogènes ou potentiellement pathogènes ;de_muscles et/ou de gras pour présence de pesticides, métaux lourds,
P.C.P., résidus d'antibiotiques.




Agir comme consultant et conseiller auprès de la direction de l'éta­blissement au sujet des mesures correctives à apporter pour modifier
ou altérer les recettes ou méthodes de préparation des produits de viande quand les ..résultats du laboratoire indiquent, que les produits
de viande ne rencontrent pas les tolérâces permises.
Discuter avec la direction de l'établissement atin qu'elle soit au courant des dernières directives du Ministère et contrôler que
celles-ci soient bien observées.
Controler et superviser l'environnement des aires de transformation,d'entreposage et d'expédition en ce qui a trait aux normes d'éclai­rage, de ventilation, de réfrigération, d'hygiène et d'entretien de
la bâtisse.
.
9. Surveiller et contrôler l'étiquetage, les décaractérisation, l'emballage, l'entreposage des produits pour nourriture animale et le marquage adéquat et la disposition des produits condamnés.
Contrôler et surveiller les étapes: de préparation de produits de viande devant être appertisés, du traitement thermique approuvé de ces produits, du refroidissement, de l'identification, de l'étique­tage, de l'emballage, de l'entreposage et de l'expédition de ces
produits de viande ainsi que de l' incubation d'un échantillonnage représentatif du produit ayant subi le traitement thermique, et le
maintien de registre approprié.
Contrôler et surveiller la mise sous détention et la destruction de toute viande en conserve impropre a la consommation humaine afin de protéger les consommateurs d'empoisonnement par le botulisme.
FONCTION D
Contrôler l'élimination des déchets, des matières non-comestibles par le vétérinaire, des résidus des bassins d'évacuation pour s'assurer qu'ils sont recueillis, entreposés et éliminés selon les méthodes sanitaires établies et prévenir la propagation des maladies infectieuses et qu'elles rencontrent les normes des Gouvernements provincial et fédéral et celles des, pays importateurs. A cette fin:
Vérifier et contrôler le marquage, la dénaturation et l'entreposage,
si nécessaire, des produits non-comestibles et condamnés.
S ' assurer et__contrôler que les produits non-comestibles et condamnés sont acheminés directement à un fondoir .approuvé et, maintenir un registre de leur expédition.
Contrôler et surveiller l'emballage, l'étiquetage et la transforma­tion ultérieure de ces produits en supplément pour nourriture animale.
S'assurer que toute possibilité de contamination ou propagation de maladie a été éliminée et que le produit contaminé a été stérilisé.
Prélever et soumettre au laboratoire des échantillons de produits finis pour en déterminer la stérilité et exiger que des mesures correctivcs, quand il y a évidence de non stérilité, soient apportées lors de résultat non satisfaisants du laboratoire.


FONCTION D) (suite)
6. Surveiller 1es, facilités et méthodes utilisées pour le chargement de ces produits.
7. Contrôler que les camions_et__L'équipement utilisés pour le transport de ces produits soient de construction acceptable.
FONCTION E
Contrôler l'efficacité du programme sanitaire, d'entretien journalier,d'entretien de la bâtisse et de l'équipement et voir à la mise en application de la réglementation de façon à s'assurer que les standards sont maintenus de telle manière à prévenir l'introduction de contamina­tion dans les aires où les viandes sont manipulées. A cette fin:
Procéder à une inspection préopérationnelle des lieux (planchers,murs, plafonds et structures aériennes) ainsi que l'équipement démonté afin de s'assurer que le programme de salubrité est adéquat.
Procéder à des épreuves Millipore_de numération totale par écouvillonnage sur le matériel et les surfaces afin d'évaluer la qualité
du programme sanitaire.
S'assurer que les lavabos et stérilisateurs et assainisseurs sont
propres et fonctionnels (eau chaude et eau froide, dispensateur à savon et essuie-mains) et ce, avant le début des opérations.
Inspecter les installations servant aux employés (toilettes, ves­tiaires, douches, cafétéria) ainsi que les vêtements et le matériel afin de s'assurer que ceux-ci sont entretenus de manière à prévenir
toute contamination.
Inspecter les lieux afin de s'assurer qu'ils sont exempts d'insectes ou de rongeurs et s'assurer qu'un système efficace de contrôle a été mis en place et qu'il est suivi.
Vérifier les produits de viande, le matériel d'empaquetage et l'équipement afin de s'assurer qu'ils sont exempts de toute contamination provenant du système de ventilation ou de l'air utilisé pour
leur fonctionnement.
S'assurer que le changement des filtres à air des entrées d'air de
l'usine est fait régulièrement et recommander l'installation ou la modification des filtres à air ou rideau d'air afin de prévenir l'entrée d'air contaminé dans l'usine.

Recommander à la direction de l'établissement les correctifs à ap­porter aux endroits où existe des déficiences.
Mettre sous détention les chambres et l'équipement lorsque les conditions sanitaires sont inadéquates et ne permettre l'utilisation que lorsque les corrections_ont été apportées.
Inspecter les produits alimentaires autres que les viandes afin de s'assurer qu'ils sont exempts de toute contamination (exemple: insectes, terre, substances étrangères, et.).

V
S'assurer que les produits de viande n'ont pas été adultérés ou contaminés d'aucune façon par les Ingrédients alimentaires ou produits non-alimentaires uitlisés dans l'établissement.
Contrôler la réception et l'utilisation des produits chimiques de nettoyage et voir à ce qu'ils aient été approuvés à cette fin.
Participer à la formation des inspecteurs subalternes relativement aux différents aspects de l'Hygiène des Viandes. Faire des séances de démonstration, donner des instructions, surveiller l'exécution du travail et faire rapport des progrès réalisés en complétant des formules d'appréciation mensuelles.
Le titulaire de ce poste est appelé à accomplir d'autres tâches telles que: préparer des rapports; maintenir à jour des registres; entraîner, superviser et conseiller des inspecteurs juniors; participer à l'éva­luation de nouveaux produits, nouvelles pièces d'équipement ou rénova­tion de section de l'établissement.
Le titulaire de ce poste peut être appelé à accomplir d'autres fonctions dans d'autres établissements.
SIGNATURE DU TITULAIRE
Inspecteur Clouseau
SIGNATURE DU SURVEILLANT Gros Torrieux
DATE ....................???



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