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vendredi 2 février 2018

Neuroscience: Comment vous devenez ce que vous êtes maintenant ?



Tout se passe dans votre subconscient,c'est comme l'équivalent de l'univers physique matériel ,..............tout se passe dans l'antimatière ou la matière noir/sombre,c'est 95% de l'univers le reste c'est la matière , c'est vous,le bout de votre nez  !

Notre conscience joue un rôle bien moins important dans notre vie qu'on ne le pensait.
C'est notre inconscient qui préside a nos actes et a notre personnalité. De même que le cosmos est bien plus vaste qu'on ne peut l'imaginer en regardant le ciel étoilé,. L'univers a l'intérieur de notre tête s'étend bien au-dela de ce dont nous avons conscience. Nous commençons a peine a découvrir les secrets de cette immensité.

Le cerveau humain est le chef-d'oeuvre le plus complexe de la nature.
Ce qu'on a découvert de plus extraordinaire dans notre univers,c'est nous.
Plus les neurosciences progresse,plus elles font la lumière sur les facultés de notre inconscient. Mais avec ou sans conscience ,nous avons tous des comportements différents.


Un test :
Plusieurs ne verrons pas le Lapin ou L'autruche ?
Votre subconscient vous jout des tours,sur cette double réalité ! 




D'ou cela vient-il ?

Pourquoi ne prenons-nous pas les mêmes décisions quand nous sommes confrontés aux mêmes choix ?
Cela s'explique par la façon dont notre cerveau se structure.
Au commencement ,il y a les gènes.Nos gènes peuvent avoir une immense influence sur notre comportement.
Par exemple,50% des personnes dans le monde sont porteuses de deux gènes mutés qui font augmenter le risque de commettre un acte violent de 882%(c'est vraiment exponentiellement dangereux).Une grande majorité de prisonniers sont porteurs de ces gènes, ainsi que presque tous les condamnés a mort.On ne peut donc pas dire que tout le monde naît avec les mêmes prédispositions en termes de pulsions et de comportements.L'un de ces deux gènes mutés se situe sur un chromosome sexuel et s'exprime essentiellement chez les hommes. Comme beaucoup de nos caractéristiques,notre sexe est déterminé par nos gènes.Toutefois ,tous nos gènes ne nous influencent pas. Notre ADN ne détermine pas complètement qui nous allons devenir. Quels gènes s'expriment et quand,cela dépend de notre environnement(et pour beaucoup). 
Notre famille,notre milieu,notre culture: tous ces paramètres interagissent avec notre ADN.Chaque cerveau va donc se développer différemment et nous offrir une trajectoire de vie unique.
L'activité de nos neuronnes est influencée par notre univers intérieur,mais aussi par le monde extérieur. C'est donc de l'interaction de notre patrimoine génétique et de notre environnement que naît notre comportement. 
Le cerveau du même petit enfant ne se développera pas de la même façon dans des époques et des lieux différents. La culture.....,les idées.....,les systèmes de croyances.....Tous ces facteurs variables entrent en interaction avec nos gènes et modifient la structure physique de notre cerveau. Cela déterminera qui nous pouvons devenir.Dans une certaine mesure, nous sommes donc prisonniers du monde dans lequel nous évoluons.Même si nous avons l'impression d'être pleinement aux commandes de notre vie ,c'est lion d'être le cas.

Ne sommes-nous donc des marionnettes manipulées par notre inconscient ?
Toutes nos décisions sont-elles forcement liées a notre histoire ?
Notre libre arbitre existe-t-il ou n'est-il qu'une illusion ?
La question du libre arbitre hante les philosophes et les scientifiques depuis plusieurs siècles. Ces dernières années,quelques études menées par des chercheurs en neurosciences ont fait avancer le débat. Selon, le docteur Alvaro Pascual-Leone Chercheur et prof de neuroscience a Harvard,On aurait tendance penser que ,quand on décide de faire quelque chose,le cerveau active des réseaux dédiés a l'action de choisir. Mais on a jamais enregistré aucune activité cérébrale correspondant a la notion de choix,de libre arbitre.Alors on a pas de libre arbitre ! Et pour percer le mystère de libre arbitre, l'équipe d'alvaro Pascual-Leone a mis au point une expérience qui utilise la technique de stimulation magnétique transcrânienne.Et a démontré que nos décisions sont influencées par nos zones de mémoire cérébrales de notre subconscient.Ceci fait parti intégrante de tout un monde de cerveaux.Les neuronnes de chaque être humain sur la planète interagissent avec ceux d'autres êtres humains. Il en résulte un système d'une complexité inimaginable. Donc,même si notre cerveau suivait des règles prévisibles, dans la pratique, il serait impossible de déterminer la trajectoire exacte de notre existence.On dit qu' y a 15% des gens qui sont plus émotif , a cause qu'il ont un problême génétique concernant les transporteurs de sérotonine entre chaque neurones et qui les rend plus émotif.C'est ce qui établira leur tempérament.D'ou l'importance de ne pas isoler(ou traumatiser) les enfants entre zéro et 2 ans,qui va empêcher le développement normal de la zone du lobe préfrontal et de l'amygdale rhinencéphalique.



Nota:  
Si ça prend des actes violents pour faire avancer la société,nous aurons donc 50% de chance que quelqu'un de notre entourage ,ou d'un autre pays,le fasse a notre place si on est pas capable de petter notre coche pour le faire !

SUIS-JE MAÎTRE DE MOI-MÊME ?

Le Dr Eagleman examine la partie inconsciente du cerveau. Il dévoile que tout, comme nos mouvements, nos décisions et notre comportement, est largement contrôlé et orchestré par un monde invisible d'activités neuronales inconscientes.

REF.:

mardi 30 janvier 2018

La Réalité est relative ?



On a vu des cas de synesthésie,ce qui est un phénomène neurologique par lequel deux ou plusieurs sens sont associés, les lettres de l'alphabet ou nombres peuvent être perçus colorés.Si nous comparons a nouveau notre cerveau a une ville,nous observons que la frontière entre les quartiers n'est pas toujours très nette. Les informations liées a un sens atterrissent donc parfois dans la zone dédiée a un autre sens. Et cela crée des cas se synesthésies. C'est la preuve qu'une modification de nos circuits cérébraux peut changer notre réalité.Pour certains les jours de la semaine sont disposés dans l'espace,pour d'autres les mots ont un goût ,d'autres voient la musique. Le cerveau de chaque être est unique ,tout comme sa perception de la réalité.

Pour le Docteur D. Eagleman,la zone du verveau de l'Amygdale est impliquée dans certaines de nos émotions,notamment la peur.Elle constitue le système d'alerte de notre cerveau.Face a un danger potentiel ,elle réquisitionne toutes nos ressources cérébrales ,pour gérer la situation. Or il se trouve que quand l'amygdale est active ,les souvenirs qui se forment sont bien plus détaillés qu'en temps normal. C'est parce que notre cerveau est prévoyant ,et que lorsque notre cerveau sera soumis a la même peur ou au même danger ,nous disposerons de plus d'informations pour survivre et surtout quand un événement est potentiellement dangereux ,notre souvenir est donc plus riche. Voila pourquoi il nous paraît plus long.
L'impression de temps ralenti se forme a posteriori. Notre mémoire réécrit l'histoire de notre réalité.
C'est un prisme de plus entre le monde qui nous entoure et la perception que nous en avons. Le cerveau est le plus grand illusionniste de l'univers. Et nous croyons a tous ses mensonges. Nos perceptions nous semblent naturelles,pour interpréter le monde. Nos réactions nous semblent instantanées,alors que nous vivons en fait toujours dans le passé. Et nos informations sensorielles ne sont que des signaux électrochimiques envoyés,triés,assemblés et conditionnés par notre cerveau. Notre réalité est donc entièrement créée a l'intérieur de notre tête. C'est notre cerveau qui construit notre réalité. A partir du petit filet d'informations que nos sens lui fournissent,il écrit une histoire.Peut-être que chaque cerveau raconte un monde différent.
Il y a 7 milliards de cerveaux humains sur terre... et des milliers de milliards de cerveaux animaux.
Mais aucun n'a accès a toutes les facettes du monde.
Alors,qu'est-ce que la réalité ?
C'est notre cerveau qui en décide . Nos perceptions en sont la matière première. Elles atteignent nos récepteurs sensorielles,qui les changent en signaux électriques.Ces signaux circulent ensuite dans notre cerveau sur des autoroutes neuronales. Ils passent par des centres de traitements,puis deviennent notre réalité. Dans la ville qu'est notre cerveau ,certains quartiers sont dédiés a la vue;a l'ouie,ou au toucher. Et dans chaque quartier ,il y a des rues spécialisées.Par exemple ,dans le quartier de la vue,il y a la rue des couleurs ,celle des contours,ou encore celle des mouvements. Mais comme dans toutes les villes...aucun quartier ne fonctionne en autosuffisance.La vie d'une ville dépend des échanges qui s'effectuent a différents niveaux entre les habitants. Et c'est de toutes ces interactions que naît notre réalité personnelle. La réalité est donc l'oeuvre de notre cerveau. Elle se base sur des informations sensorielles,mais elle ne dépend pas de toutes pour autant. Si on prive le cerveau de ces informations,la réalité ne disparaît pas. En revanche il se passe quelque chose d'étrange.

Quelle est donc la vraie nature de la relation entre le monde extérieur,le cerveau et ce que l'on appelle la réalité ?
La réponse se trouve dans le fonctionnement du système visuel.
Retournons dans le cerveau .
La plupart des informations sensorielles que nous recevons passent par le thalamus ,avant de se diriger vers le cortex,la substance grise située a la périphérie du cerveau. C'est donc le thalamus qui transmet au cortex visuel les données recueillies par les yeux. Cela explique la densité du flux d'informations qui circule du thalamus au cortex visuel. Mais ce flux est six fois plus dense en sens inverse. Cela signifie que la majorité des informations visuelles ne sont pas fournies par les yeux. Notre vision dépend moins de la lumière qui entre par nos yeux...que de ce que nous avons déja dans la tête. Il génère des images,en d'autres termes, même sans le monde ,le spectacle continue. Cela paraît fou,mais ce monde vit dans notre cerveau. Ce que nous voyons n'est qu'une simulation de ce qui se trouve sous nos yeux . Notre cerveau a recours a un modèle interne. C'est une représentation préfabriquée de la réalité,qui nous aide a déchiffrer notre environnement. Quand je marche dans cette rue ,pour le déduire,mon cerveau se base sur mon modèle interne,qui s'est construit au fil des expériences que j'ai accumulées en marchant pendant des années dans des rues comme celle-ci.Au lieux de reconstruire ma réalité en repartant toujours de zéro,mon cerveau compare les informations sensorielles qu'il reçoit au modèle qu'il a déja élaboré. Il l'affine et il le corrige. Mon cerveau fait ça tellement bien que je ne me rends compte de rien.
Le cortex visuel forme des prévisions a partir du modèle interne. Il les envoie au thalamus ,qui les compare aux informations que les yeux lui ont transmises.Le thalamus relève les différences entre les prévisions et les informations,et les renvoie au cortex, qui les intègre pour mettre a jour le modèle interne. Grâce a ce modèle interne ,le monde devant nous reste stable même lorsqu'on bouge. 



REF.:

mardi 9 janvier 2018

Société civilisée de demain : Plus tolérant ou plus responsable ?



A mesure que notre technologie avance ,surtout en neuroscience,nous deviendrons plus responsable et tolérant,simplement par une meilleure connaissance des différentes maladies du cerveau et du comportement humain.
Les troubles du cerveau connus seront bien identifiés et répertoriés, dans un prochain avenir, avec ce que nous ne connaissons pas encore assez du cerveau actuellement !



Autrefois l'épilepsie,schizophrénie,dépression,bipolaire,tumeur au cerveau,TDAH,Trouble de Stress post-traumatique(TSPT ou SSPT),etc....maintenant les Juges devront ainsi que la société(surtout le jurie) être au courant de certains trouble de personnalité ,et d'avoir un meilleur jugement concernant les condanations a mort ou a perpétuité ,en matière de fautes ou de responsabilités.
Surtout,pour certaines catégories de personnes ayant été non responsable de leurs actes,en fonction du développemnent du cerveau selon la maladie ou de son l'âge .
Tout est dans la prévention maintenant !

Plus on en apprendra sur le cerveau et le comportement criminel,plus le système juridique sera forcé de changer.Il devra accorder une importance accrue au traitement et a la réhabilitation des criminels,dont les responsabilité des actes incombe a leur cerveau.

 Il est vrai que la question est particulièrement controversée et ravive de houleux débats autour de la distinction entre la peine et le soin. L’une et l’autre ne sont, en principe, pas superposables : l’on ne soigne pas en punissant et l’on ne punit pas en soignant. Mais, peut-être peut-on punir et soigner en même temps . Par exemple, la prise d’inhibiteurs sélectifs de recapture de la sérotonine afin de prévenir des accès de violence, ou de traitements anti-androgènes destinés à réduire la libido .S’agissant tout particulièrement du traitement inhibiteur de la libido, parfois appelé à tort « castration chimique », il est aujourd’hui employé aux États-Unis et dans certains pays européens.
 En effet, des propositions d’intervention chirurgicale consistant à détruire une petite région du cortex chez les criminels sexuels de façon à réduire leurs pulsions, font aujourd’hui resurgir le spectre de la lobotomie , ce qui nous amène à envisager dès à présent les risques éthiques de l’application des neurosciences en matière juridique.

La lutte contre la criminalité, conformément aux anticipations futuristes de la nouvelle « Minority Report » écrite par Philip K. Dick en 1956.En France, la détection des signes avant-coureurs de la délinquance chez les jeunes enfants, l’instauration d’une peine de sûreté préventive pour garder en détention les criminels ayant purgé leur peine mais susceptibles de récidiver, etc., manifestent une tendance similaire et effraient.
Par exemple, la rétention de sûreté, instaurée dans notre droit par une loi de 2008, qui prévoit l’incarcération dans des centres de rétention de criminels dangereux à l’expiration de leur peine, participe de cette volonté de prévention de la criminalité.Sans entrer dans les débats sur le caractère récupérable ou non de certains individus, la nature de certains désordres cérébraux est telle que s’il est possible d’agir avant le passage à l’acte criminel, en détectant des comportements futurs ou des probabilités de récidive au moyen de l’imagerie cérébrale, pourquoi refuserions-nous d’en faire application ? C’est là une belle et généreuse idée à laquelle on ne peut que souscrire.

 En conclusion, nous retiendrons tout simplement qu’il n’est pas possible de conclure … De tout temps, des données scientifiques ont pu être admises après avoir été réfutées et ce qui est vrai aujourd’hui ne le sera peut être plus demain. Les neurosciences pourront probablement, dans un avenir plus ou moins proche, recevoir d’autres applications dans le domaine juridique, sans que l’une ou l’autre de ces disciplines ne s’en trouve dénaturée. Toutefois, s’il est un point sur lequel les neurosciences et le droit se rejoignent déjà, c’est celui de la plasticité : plasticité du cerveau et plasticité du droit. Car, si le cerveau de l’homme est plastique, c’est-à-dire susceptible d’évoluer à tous les âges de la vie, parce que les synapses ont la faculté de modifier leur capacité de transmission de l’information , le droit, fait par les hommes pour les hommes, est quant à lui suffisamment flexible, non seulement pour s’adapter à l’évolution des techniques, mais pour accompagner, voire même précéder, les métamorphoses de l’existence.

Nota:
La neuroscience, définie comme l'étude de la structure et du fonctionnement du système nerveux, forme une discipline scientifique en pleine expansion dont les applications potentielles en dehors des laboratoires de recherche sont nombreuses. Leur impact sur les différentes sciences sociales, c'est-à-dire la philosophie, la psychologie, le marketing, les sciences de l'éducation, etc. est aujourd'hui accompagné d'une apparence juridique intéressante. Les données des neurosciences suscitent un intérêt croissant dans la sphère juridique (ou juridique) tout au long de l'utilisation des méthodes d'imagerie cérébrale ou de la prescription de traitements neuropharmacologiques. Derrière le neuro-légal et la neuro-loi, le néologisme permettant de traduire le terme anglo-saxon "neurolaw" sont des perspectives émergentes riches et des enjeux intéressants liés à l'éthique.


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dimanche 8 octobre 2017

Comment fonctionne le cerveau,les neuronnes et la neuro-efficacité


Les pouvoirs du cerveau:

La conscience humaine, unique dans le monde vivant, est restée un mystère d'origine divine pendant des millénaires. Aujourd'hui, les récents et spectaculaires progrès scientifiques (de l'imagerie médicale à la physique quantique), le révèlent pour la première fois. Je pense donc je suis. Mais qui pense en nous? Qui sommes-nous?
Voyage au-delà de notre cerveau. Comme la conscience, l'intelligence humaine a propulsé l'homme au sommet de l'évolution, en lui offrant de dominer le monde. Mais aujourd'hui, l'intelligence serait en panne. Le QI moyen baisse,nous pensons moins rapidement que nos ancêtres,en quelques 100 millièmes de secondes. A travers une enquête sur la nature de ou des intelligence(s), nous découvrons les raisons de cette panne, et comment  «re-doper» notre intelligence grâce aux progrès scientifiques, dont des greffes de cellules cérébrales.Rappelons que l’hippocampe est une des seules régions où la synthèse de nouveaux neurones à partir de cellules souches est possible. Cette neurogénèse augmente avec l’activité physique et l’apprentissage.

Un cerveau intelligent n'est pas un cerveau qui fonctionne plus ,mais au contraire ,un cerveau qui fonctionne moins.C'est ce qu'on appel la neuro-efficacité.Ëtre intelligent c'est résoudre un problême ,en faisant le minimum d'effort.
L'inhibition c'est d'apprendre a contrôler nous-même les interférences qui viennent perturber notre intelligence .
Ce sont les bugs de l'intelligence! C'est avec le test de stroop(test: faut nommer la couleur sans le lire),que l'ont voit ça.

La myéline ,enveloppe les axones des neuronnes(appelé la matière grise) ,se forme après notre naissance et surtout par notre environnement . C'est la myéline qui permet a l'information de voyager rapidement et efficacement dans notre cerveau
 Aujourd'hui,la formation de la myéline est perturbée ,selon l'endocrinologue Barbara Demeneix.Notre intelligence est menacée par un fléau majeur du 21 ième siècle ,la pollution.On est exposé a des centaines de produits chimiques qui vont interférer avec l'hormone thyroidienne.La thyroide est située a la base du cou,est nécessaire au développement du cerveau depuis les premieres étapes du développement du foetus jusqu'a un âge plus avancé ,pour assurer la myélisation. Selon l'EFSA (European food safety authority)a analysé 297 pesticides ,dont une centaine,comme le byphénol A, BCP,les retardateurs de flame qui perturbe le fonctionnement de l'hormone thyroidienne.

Selon les neurobiologistes , 15% des cellules du cerveau qui sont des neuronnes ,les reste soit 85% ne communique pas grâce a l'électricité . On l'appel la glie.

Nous gardons en mémoire que 1% de l'information en souvenir ,le reste ,le 99% c'est de l'inconscient.
L'inconscient cognitif(selon le neurologueYves Agid) c'est 99 % des informations;On ne met en souvenir moins de 1% de ce qui nous arrive.Et  actuellement on est tous en train de lutter contre l'attraction terrestre,notre corps dépenses de l'énergie ,on lutte sinon on serait écrasé comme des crêpes,notre corps, notre cerveau perçoit, traite l'information et nous on en a aucune conscience et c'est le cas de 99 % de toutes nos informations qui arrivent en conscience et nous font souvenir que moins de 1% de toutes les informations. Et ce 1 % est fondamental,parce que ce 1% constitue notre mémoire de soi.Je suis celui qui a connu telle situation, je suis celle qui a connu tel traumatisme, triomphé de telles épreuves,donc ce serait presque rien dans notre mémoire,de ce presque rien qui nous constitue !


Les cellules gliales communique entre-elles et avec les neuronnes. Les cellules gliales ont non seulement certaines des propriétés des neurones, mais elles ont la capacité d’intégrer les messages apportés à partir de l’environnement pour produire un comportement. C’est dire combien elles sont importantes à considérer pour expliquer nos mouvements, nos émotions, nos pensées et combien elles sont des cibles thérapeutiques potentielles pour lutter contre les maladies du cerveau.Les cellules gliales sont bien plus nombreuses que les neuronnes et qui forment leurs environnement . Certaines fabriquent la myéline ,d'autres nourissent les neurones et les protègent.On les appelent les astrocytes . On a découvert que les astrocytes jouaient un rôle dans l'intelligence . Tout a commencer avec un génie . On a découvert dans le cerveau d'Einstein ,que son cerveau avait plus d'astrocytes. Les astrocytes,ou cellules gliales identifiées ,il y a plus d'un siècle sont complexes . Ils controlent les synapses ,le flux sanguin dans le cerveau,nourissent les neurones ,ils réagissent aux blessures . Ces tâches ménagère font que l'astrocyte contrôle les neurones.

Ce qui est a l'origine de nos capacités se trouve en partie dans nos gènes . Selon Robert Plomim ,généticien comportementaliste ,les gènes nous donne un potentiel et l'environnement nous permet de l'exprimer. Le Docteur Plomin,a fait des tests avec des clônes(des jumeaux)qui sont identiques et leurs test d'intelligence fait que leurs résultats sont plus près que d'un frère ou d'une soeur .
On a identifié plus de 300 gènes qui influent sur l'intelligence .C'est seulement 1 % qui a été identifié .


On ne parle plus de zone du cerveau,car la plupart des gènes qui agissent sur le cerveau affectent beaucoup de régions différentes.

Selon Rex Jung,neuropsychologue, nous utilisons différentes manières de raisonner.La créativité est un autre mode de fonctionnement du cerveau. Est-t'elle différente de l'intelligence ? La créativité est en fait un processus de raisonnement fondamentalement différent . Un musicien peut-être a la fois intelligent et créatif.
Sa théorie ,est que le réseau de l'intelligence se situe a la surface du cerveau. Avec la créativité ,les choses sont différentes,elle dépende principalement du réseau du mode par défaut.C'est un réseau qui se trouve plutôt au milieu , a l'intérieur du cerveau. Et ces deux réseaux échange en permanence les informations pour nous permettre de résoudre les problêmes posés par le monde qui nous entoure .
Ceux qui sont créatifs ,c'est ceux qui ont importés les idées de d'autres domaine(comme un dentiste,qui a déja étudier astronomie).

La Réalité est relative:
On a vu des cas de synesthésie,ce qui est un phénomène neurologique par lequel deux ou plusieurs sens sont associés, les lettres de l'alphabet ou nombres peuvent être perçus colorés.Si nous comparons a nouveau notre cerveau a une ville,nous observons que la frontière entre les quartiers n'est pas toujours très nette. Les informations liées a un sens atterrissent donc parfois dans la zone dédiée a un autre sens. Et cela crée des cas se synesthésies. C'est la preuve qu'une modification de nos circuits cérébraux peut changer notre réalité.Pour certains les jours de la semaine sont disposés dans l'espace,pour d'autres les mots ont un goût ,d'autres voient la musique. Le cerveau de chaque être est unique ,tout comme sa perception de la réalité.

Pour le Docteur D. Eagleman,la zone du verveau de l'Amygdale est impliquée dans certaines de nos émotions,notamment la peur.Elle constitue le système d'alerte de notre cerveau.Face a un danger potentiel ,elle réquisitionne toutes nos ressources cérébrales ,pour gérer la situation. Or il se trouve que quand l'amygdale est active ,les souvenirs qui se forment sont bien plus détaillés qu'en temps normal. C'est parce que notre cerveau est prévoyant ,et que lorsque notre cerveau sera soumis a la même peur ou au même danger ,nous disposerons de plus d'informations pour survivre et surtout quand un événement est potentiellement dangereux ,notre souvenir est donc plus riche. Voila pourquoi il nous paraît plus long.
L'impression de temps ralenti se forme a posteriori. Notre mémoire réécrit l'histoire de notre réalité.
C'est un prisme de plus entre le monde qui nous entoure et la perception que nous en avons. Le cerveau est le plus grand illusionniste de l'univers. Et nous croyons a tous ses mensonges. Nos perceptions nous semblent naturelles,pour interpréter le monde. Nos réactions nous semblent instantanées,alors que nous vivons en fait toujours dans le passé. Et nos informations sensorielles ne sont que des signaux électrochimiques envoyés,triés,assemblés et conditionnés par notre cerveau. Notre réalité est donc entièrement créée a l'intérieur de notre tête. C'est notre cerveau qui construit notre réalité. A partir du petit filet d'informations que nos sens lui fournissent,il écrit une histoire.Peut-être que chaque cerveau raconte un monde différent.
Il y a 7 milliards de cerveaux humains sur terre... et des milliers de milliards de cerveaux animaux.
Mais aucun n'a accès a toutes les facettes du monde.
Alors,qu'est-ce que la réalité ?
C'est notre cerveau qui en décide . Nos perceptions en sont la matière première. Elles atteignent nos récepteurs sensorielles,qui les changent en signaux électriques.Ces signaux circulent ensuite dans notre cerveau sur des autoroutes neuronales. Ils passent par des centres de traitements,puis deviennent notre réalité. Dans la ville qu'est notre cerveau ,certains quartiers sont dédiés a la vue;a l'ouie,ou au toucher. Et dans chaque quartier ,il y a des rues spécialisées.Par exemple ,dans le quartier de la vue,il y a la rue des couleurs ,celle des contours,ou encore celle des mouvements. Mais comme dans toutes les villes...aucun quartier ne fonctionne en autosuffisance.La vie d'une ville dépend des échanges qui s'effectuent a différents niveaux entre les habitants. Et c'est de toutes ces interactions que naît notre réalité personnelle. La réalité est donc l'oeuvre de notre cerveau. Elle se base sur des informations sensorielles,mais elle ne dépend pas de toutes pour autant. Si on prive le cerveau de ces informations,la réalité ne disparaît pas. En revanche il se passe quelque chose d'étrange.

Quelle est donc la vraie nature de la relation entre le monde extérieur,le cerveau et ce que l'on appelle la réalité ?
La réponse se trouve dans le fonctionnement du système visuel.
Retournons dans le cerveau .
Chaque hémisphère cérébral est formé du lobe frontal, lieu du raisonnement, fonctions du langage, coordination motrice volontaire ; du lobe pariétal, siège de la conscience du corps et de l’espace environnant ; du lobe occipital, permettant l’intégration des messages ; et du lobe temporal, centre de l’audition, de la mémoire et des émotions.
La plupart des informations sensorielles que nous recevons passent par le thalamus ,avant de se diriger vers le cortex,la substance grise située a la périphérie du cerveau. C'est donc le thalamus qui transmet au cortex visuel les données recueillies par les yeux. Cela explique la densité du flux d'informations qui circule du thalamus au cortex visuel. Mais ce flux est six fois plus dense en sens inverse. Cela signifie que la majorité des informations visuelles ne sont pas fournies par les yeux. Notre vision dépend moins de la lumière qui entre par nos yeux...que de ce que nous avons déja dans la tête. Il génère des images,en d'autres termes, même sans le monde ,le spectacle continue. Cela paraît fou,mais ce monde vit dans notre cerveau. Ce que nous voyons n'est qu'une simulation de ce qui se trouve sous nos yeux . Notre cerveau a recours a un modèle interne. C'est une représentation préfabriquée de la réalité,qui nous aide a déchiffrer notre environnement. Quand je marche dans cette rue ,pour le déduire,mon cerveau se base sur mon modèle interne,qui s'est construit au fil des expériences que j'ai accumulées en marchant pendant des années dans des rues comme celle-ci.Au lieux de reconstruire ma réalité en repartant toujours de zéro,mon cerveau compare les informations sensorielles qu'il reçoit au modèle qu'il a déja élaboré. Il l'affine et il le corrige. Mon cerveau fait ça tellement bien que je ne me rends compte de rien.
Le cortex visuel forme des prévisions a partir du modèle interne. Il les envoie au thalamus ,qui les compare aux informations que les yeux lui ont transmises.Le thalamus relève les différences entre les prévisions et les informations,et les renvoie au cortex, qui les intègre pour mettre a jour le modèle interne. Grâce a ce modèle interne ,le monde devant nous reste stable même lorsqu'on bouge. 


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vendredi 3 juin 2016

IND: Interface neuronale directe

Une interface neuronale directe - aussi appelée IND ou BCI1 (brain-computer interface : interface cerveau-machine, ou encore interface cerveau-ordinateur) est une interface de communication directe entre un cerveau et un dispositif externe (un ordinateur, un système électronique…). Ces systèmes peuvent être conçus pour assister, améliorer ou réparer des fonctions humaines de cognition ou d'action défaillantes.
L'IND peut être unidirectionnelle ou bidirectionnelle.
Ce type de périphérique est fondamentalement différent de toute autre interface homme-machine : une telle liaison ne requiert en effet aucune transformation préalable du signal électrique émis par l’activité cérébrale en activité musculaire (psychomotrice), cette dernière étant usuellement traduite en signal d’entrée pour la machine.
En s’affranchissant de la chaîne de réaction « cerveau, nerfs, muscles, interface conventionnelle homme-machine », les temps de réponse peuvent être écourtés de plusieurs dixièmes de seconde dans le cas d’interaction urgente. De plus, ils laissent les organes vitaux (mains, pieds, yeux, etc.) libres et disponibles pour d’autres types de commandes simultanées.


Depuis les années 1970, le champ de recherche sur les IND s'est spectaculairement étendu, principalement en ce qui concerne les neuroprothèses (neuroprosthetics), qui ont pour fonction de restaurer l'ouïe, la vue ou une incapacité motrice.
Grâce à la fantastique plasticité du cerveau, il a été constaté que l'influx nerveux produit par les prothèses peut, après un temps d'adaptation, être traité comme un influx naturel20.
Grâce aux récentes avancées effectuées ces derniers temps, une IND permet non seulement de restaurer des facultés perdues (comme l'ouïe, la vue ou même les mouvements), mais est capable de plus d'étendre ces facultés, bien au-delà des capacités naturelles (comme le contrôle du curseur d'un PC à une vitesse et une précision impossibles à atteindre avec une simple souris, des jeux en ligne et même des membres robotisés).
Prospectivement, certains ont imaginé la création d'un exocortex.


Communication par interface neuronale

Interface utilisée par un patient paralysé
Les patients dont les capacités de communication ont été altérées, peuvent bénéficier de la technologie d'une interface neuronale directe (entre autres par le biais du BrainGate) pour communiquer.
Par cette méthode, ils imaginent une souris d'ordinateur sous leur main et par la pensée, ils arrivent à déplacer un curseur sur un clavier virtuel modélisé sur un écran.
En plus de lettres, le clavier inclut des mots prédéfinis facilitant la composition de phrases ou d'idées.
Avec de la pratique, un utilisateur de clavier virtuel comme Matthew Nagle arrive à manipuler un clavier virtuel (via une interface neuronale) avec la même aisance que celui qui manipule une souris informatique conventionnelle.

Neuroprosthétique

 

La conception de neuroprothèses est une spécialité des neurosciences concernant les prothèses qui incorporent un système capable d'émuler les fonctions du système nerveux humain. La neuroprothèse la plus couramment utilisée est l'implant cochléaire, qui en 2006, était implantée sur environ 100 000 patients dans le monde21.
Il existe un grand nombre d'autres prothèses, comme l'implant rétinien.
La différence entre IND et neuroprothèse réside essentiellement dans l'utilisation qui est faite de l'équipement : les neuroprothèses relient en général le système nerveux à une prothèse alors que les IND relient le système nerveux à un ordinateur. Le plus souvent les neuroprothèses sont connectées à n'importe quelle partie du système nerveux, par exemple les nerfs des membres, alors que les IND sont branchés sur le système nerveux central.
Pour des raisons justifiées évidentes, les deux termes sont parfois considérés comme interchangeables. En effet, toutes deux poursuivent le même but, à savoir restaurer l'ouïe, la vue, le mouvement ou une fonction cognitive, et exploitent des méthodes expérimentales et chirurgicales identiques.

En 2005, le tétraplégique Matt Nagle fut la première personne capable de contrôler une main artificielle grâce à un IND. Il participa pendant neuf mois à un test de technologie cybernétique BrainGate. L'implant fut réalisé dans la région du gyrus précentral droit (zone qui contrôle le déplacement du bras). La technologie à 96 électrodes BrainGate permit à Nagle de contrôler un bras robotisé, ainsi qu'un curseur d'ordinateur, l'éclairage et la télévision26. L'année suivante le professeur Jonathan Wolpaw reçu le prix de la Fondation Altran pour l'innovation afin qu'il développe une interface utilisant des électrodes de surface plutôt qu'implantées dans le cerveau.

 

Les forces armées des États-Unis ont développé des interfaces cerveau ordinateur afin d'améliorer la performance de ses troupes et dans le but d'interférer avec les communications des troupes adverses52.
Un rapport conclu :
« L'implémentation la plus réussie d'interface invasive a été réalisée lors d'essai médicaux utilisant l'influx des nerfs pour transférer l'information53. »
Le budget de la DARPA pour l'année 2009-2010 comporte le financement d'un programme nommé « Silent Talk » à hauteur de 4 millions de dollars. Ce projet doit permettre la communication d'homme à homme sur le champ de bataille, sans utiliser la parole, grâce à l'analyse du signal neuronal54. Une allocation complémentaire de 4 millions de dollars a été octroyée à l'université de Californie pour des recherches sur la télépathie synthétique par le biais d'un système informatique54. Ces recherches visent à détecter par EEG et à analyser les signaux neuronaux qui sont propagés avant que la parole soit exprimée et a déterminer si l'on peut définir des formes d'ondes standard correspondant aux mots54. Ces recherches sont incluses dans un programme de 70 millions de dollars, qui a débuté en 2000, avec l'objectif de développer un équipement capable de s'adapter au comportement de son utilisateur55.

Interface sur des cultures de cellules

Des chercheurs ont construit des interfaces pour connecter des cellules nerveuses individuelles ou des réseaux de cellules in vitro. Ceci permet d'une part d'améliorer la recherche concernant les implants sur les animaux et d'autre part de réaliser des expérimentations visant à réaliser des réseaux neuronaux capables de résoudre des problèmes, de construire de petits ordinateurs ou des contrôleurs de robot.
  • La technologie visant à stimuler et enregistrer l'activité de neurones connectés sur une puce électronique est appelée neuroélectronique ou neuropuce56.
  • La réalisation de la première neuropuce est attribuée à Jerome Pine and Michael Maher de l'université Caltech, en 1997. La puce Caltech permet de connecter jusqu'à 16 neurones.
En 2003, une équipe menée par Theodore Berger de l'université de Californie du Sud a commencé à travailler sur une neuropuce devant servir d'hippocampe artificielle. Cette puce est conçue pour fonctionner dans un cerveau de rat et devrait permettre de mettre au point des prothèses destinées à des cerveaux plus évolués. L'hippocampe a été choisi car on considère que c'est la structure cérébrale la plus organisée et la mieux connue. Elle a pour fonction de mémoriser les expériences sur le long terme dans d'autres parties du cerveau57.
Thomas DeMarse à l'université de Floride a utilisé une culture de 25 000 neurones prélevés dans un cerveau de rat pour piloter un simulateur de vol de chasseur F-2258. Suite au prélèvement, les neurones corticaux ont été cultivés dans une boîte de Petri et ont rapidement reformé un réseau synaptique afin de constituer un réseau neuronal actif. Les cellules furent ensuite installées sur une matrice de 60 électrodes et l'influx nerveux fut utilisé pour contrôler les commandes de profondeur et de lacet du simulateur. Cette étude fut menée afin de comprendre les mécanismes d'apprentissage du cerveau, à un niveau cellulaire.


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jeudi 24 mars 2016

Améliorez naturellement la production des neurotransmetteurs




Dans mon article précédent est votre tir de cerveau comme il se doit?  

Je discutais des suppléments naturels qui aideront votre cerveau face au stress, l'anxiété et les troubles du sommeil. Même si elles peuvent ne pas être des remèdes à vos angoisses, il est mon espoir qu'ils vont aider à soulager certains de votre détresse pendant que vous résoudre les causes profondes de votre anxiété.Dans cet article, je vais expliquer les avantages de suppléments qui aideront votre corps à surmonter les états d'humeur dépressive lorsque les temps bruts entrent dans votre vie. 
La dépression et l'anxiété
 Événements de la vie peuvent déclencher des changements dans nos humeurs, et cela peut mettre notre chimie du cerveau détraqué. Nos neurotransmetteurs commencent à mal-le-feu, conduisant à des états chroniques d'anxiété et de dépression.Mais quand il vient au fonctionnement de neurotransmetteur idéal et de la performance, la dopamine est «Roi de la chimie». Et beaucoup d'autres médecins considèrent que la tyrosine d'acide aminé - un précurseur de la production de dopamine dans le cerveau - dépasse le rendement de la plupart des médicaments anti-dépresseurs. Il coûte moins cher, il vous aide à mieux penser, et il peut soulever votre humeur lorsque vous vous sentez triste.Donc, nous allons commencer à plonger dans notre chimie mentale et d'apprendre comment nous pouvons améliorer la production de dopamine en utilisant le supplément facilement disponible - tyrosine.La dopamine hormone a une main dans presque chaque interaction humaine. Dans son état le plus raffiné, la dopamine est un précurseur de la norépinéphrine, qui est une hormone qui est le plus responsable de notre vigilance cognitive. À son tour, noradrénaline contrôle notre humeur, la motivation, l'anxiété et même la libido. Donc, si vous êtes un professionnel de la santé mentale en herbe ou une personne qui est engagée à leur propre santé à long terme et le bien-être, il est important de noter qu'une erreur de tir de la dopamine dans notre cerveau peut entraîner une foule de questions. 
Maladie de Parkinson: un manque de dopamine
La maladie de Parkinson, une maladie dégénérative, est le résultat d'une offre insuffisante de dopamine dans les parties centrales du cerveau. Essentiellement, les cellules dopaminergiques générer chez les patients atteints de Parkinson connaissent l'apoptose, autrement connu comme la mort cellulaire. En fin de compte, pour un médecin d'établir un diagnostic de la maladie de Parkinson, il doit y avoir des dommages clairement les voies de la dopamine appelé la substantia nigra.Bien que la cause de cette maladie peut varier d'un patient à - par exemple, excessive traumatisme crânien (boxeurs et autres sports agressifs), les toxines environnementales, et même des facteurs génétiques - fondamentalement les symptômes sont très similaires »à travers le conseil d'administration». Les résultats de cette perte drastique de la fonctionnalité de la dopamine se traduit souvent par le tremblement et la déficience motrice stéréotypée qui se caractérise par des mouvements de la main et la tête "fragiles". la capacité des personnes souffrant de Parkinson pour le mouvement est assez faible; leur mouvement est lent et leur posture peut être assez pauvre. Cependant, il existe des médicaments sur ordonnance que les médecins peuvent utiliser pour traiter les patients - essentiellement un médicament appelé L-dopa.L-dopa est une molécule qui sert de précurseur pour la dopamine, la mise en miroir de la structure chimique de la dopamine. Une fois que les symptômes d'une personne deviennent assez sévère pour un diagnostic définitif de la maladie de Parkinson, un médecin pourra vous prescrire une «drogue» synthétisé ?? sous forme de L-dopa pour atténuer les symptômes accablants du patient. Ainsi, par l'ingestion de cette substance sous forme de pilule, il va inévitablement promettre un afflux de la production de dopamine.Malheureusement, comme beaucoup d'autres médicaments sur ordonnance, les avantages de la L-dopa peut souvent venir avec des effets secondaires indésirables; la fatigue, l'anxiété, l'agitation et les nausées sont quelques-uns de ces effets secondaires indésirables. Alors que la L-dopa a un rôle important dans le protocole de traitement actuel de la maladie de Parkinson, il est également important de considérer que le précurseur de la dopamine, la tyrosine, peut être ingérée sous une forme naturelle pour améliorer la production de dopamine - sans les effets secondaires.TyrosineTyrosine est responsable de la production d'un composé organique, appelé catécholamines. Sans entrer trop scientifique ici, les exemples les plus importants de catécholamines sont la norépinéphrine, l'épinéphrine (adrénaline) et de la dopamine. Plus tyrosine que nous avons sous la main, mieux équipé, nous sommes à gérer le stress, la fatigue, la colère, l'agressivité et les trempettes dans nos humeurs.Les aliments riches en Tyrosine  comprennent les viandes, les poissons, les œufs, les noix, les haricots, l'avoine et le blé, avec les plus grandes quantités trouvées dans des sources animales. Les régimes végétaliens peuvent en deçà des exigences minimales, et il y a des chercheurs qui considèrent qu'il ya un manque de tyrosine dans le régime alimentaire qui peut conduire à «syndrome végétalien en colère», de sorte que les promoteurs d'un régime végétalien pourraient devoir envisager la supplémentation si elles commencent à souffrir de symptômes de carence.Indications vous pourriez avoir besoin pour donner à vos niveaux de dopamine un bon coup de pouce avec une certaine tyrosine supplémentaire comprennent la léthargie, la dépression, la tristesse, la colère, sautes d'humeur sombre, faible estime de soi, la solitude, et une faible libido. Si vous rencontrez un de ces symptômes régulièrement, il est important de ne pas les balayer sous le tapis, car ils peuvent former un «lapin de poussière" méchant que vous aurez à faire face plus tard!Considérant que la dopamine contrôle tant de domaines cruciaux de nos activités quotidiennes, il est essentiel de réaliser que vous avez la possibilité d'optimiser votre potentiel physique et mentale en conséquence. Comme mentionné, la dopamine nous aide à coordonner les mouvements de manière efficace; si je savais que beaucoup au sujet de la dopamine quand je lançais à l'école secondaire, il n'y a aucun doute que je pourrais jouer le baseball majeur en ce moment (sarcasme, bien sûr!) Néanmoins, avec le degré de contrôle que la dopamine a sur notre corps et l'esprit, il est important de prendre conscience des signaux de votre corps, et pour ajuster votre supplémentation en tyrosine à ce que correspond le mieux à vos besoins.Acide gamma-aminobutyriqueAcide gamma-aminobutyrique (GABA) est à la fois un acide aminé et un neurotransmetteur, et est connu pour sa capacité à réduire l'anxiété, d'élever l'humeur et effectivement tonifier les muscles! En fait, le GABA pourrait même être considéré comme le tranquillisant naturel parfait pour les moments où vous vous sentez ouvertement anxieux, agité et surmené.
Comme la Tyrosine et L-dopa, le GABA peut aussi nous permettre de créer notre propre 'humeur lifter. Cela ne veut pas pseudoscience, ceci est la chimie simple. Vous pouvez acheter des suppléments GABA - ils sont habituellement vendus par incréments de 750 mg par comprimé. Alors que vous devriez consulter avec votre santé préféré professionnelle sur votre capacité à faire face à un épisode de dépression ou d'anxiété, il devrait être réconfortant de savoir que ceux-ci 'over the counter' suppléments existent.Par:  Jacob Scharf:
A propos de l'auteur:Jacob Scharf vie au Royaume-Uni, il est un écrivain et élève de Integrative Neuroscience. Il est également un instructeur certifié kettlebell. Le long de son voyage Jacob a écrit sur divers sujets de santé et de bien-être; finalement, son but est de partager avec les gens l'information qui leur permettra de maximiser leur potentiel dans tous les aspects de la vie. Que ce soit physique ou mentale, Jacob croit en luttant pour un niveau de performance optimal.


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