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mercredi 6 août 2014

Surveillance des activités de pédophiles avec le programme CyberTipline


Surveillance des photos dans Gmail : Google s'explique:

Google a apporté des précisions concernant la méthode qui lui a permis de détecter des activités illégales sur le compte Gmail du délinquant sexuel récemment arrêté à Houston. L'entreprise donne des détails sur sa démarche et sur l'obligation légale associée.


google logo gb sq
L'arrestation, le week-end dernier, d'un délinquant sexuel au Texas, réalisée avec le concours de Google, a partagé l'opinion. D'un côté, certains ont salué la démarche de l'entreprise, qui a permis d'arrêter un pédophile qui faisait du trafic de photos d'enfants via sa boîte Gmail. De l'autre, la situation a relancé le débat concernant la surveillance des données personnelles réalisée par Google auprès de ses utilisateurs.

L'entreprise a donné des précisions à l'AFP concernant ses pratiques : « Malheureusement, toutes les entreprises du Web doivent faire face à l'abus sexuel envers les enfants. C'est pourquoi Google supprime activement les images illégales de ses services, et les signale au National Center for Missing and Exploited Children (NCMEC) » explique le service. « Chaque image d'abus sexuel sur mineur est signée d'une empreinte numérique unique qui permet à nos systèmes d'identifier les photos, même au sein de Gmail. » Même si l'entreprise ne donne pas de détail concernant la technologie utilisée, elle en précise les limites : « Il est important de rappeler que nous n'utilisons ce procédé que pour identifier les photos liées aux abus sur les mineurs, et pas pour identifier du contenu électronique qui pourrait être associé à d'autres activités criminelles (par exemple, l'usage d'emails pour planifier un cambriolage). »

Expliqué ainsi, ce n'est pas forcément rassurant, mais l'idée est là : Google utilise des algorithmes qui lui permettent d'identifier un type de photos bien précis, uniquement dans le cadre de sa collaboration avec le NCMEC. L'organisme souligne de son côté que la loi fédérale exige que les fournisseurs de services Web signalent les contenus liés à des activités pédophiles dans le cadre du programme CyberTipline. La surveillance des contenus partagés sur les services de Google résulte donc, dans ce cadre, d'une obligation légale, et se limite à un unique type de contenu identifiable pour lequel l'entreprise confirme « une tolérance zéro ». De quoi éclaircir les intentions et surtout les obligations de l'entreprise face à ce type de contenu indéniablement condamnable.


Source.:

lundi 2 juin 2014

La NSA aspire chaque jour des millions de photos de visages sur le web

On sait, notamment grâce aux révélations d'Edward Snowden, que les agences de renseignement américaines se servent largement d'Internet et des réseaux sociaux pour leurs activités de surveillance.

De nouveaux documents de la NSA (National Security Agency), fournis par Snowden et analysé par le New York Times dans un article paru le 1er juin, se concentrent sur un aspect précis de l'utilisation par les services secrets américains des données numériques disponibles en ligne : les photos publiées chaque jour par les individus, ou échangées grâce aux outils de communication.
Le quotidien américain publie des extraits d'une présentation PowerPoint, utilisée par la NSA en 2011 pour un usage interne et présentée comme top secrète, qui l'assure : « l'image fait tout ».
Extrait du PowerPoint de la NSA consacré aux images, révélé par le New York Times le 1er juin.
Extrait du PowerPoint de la NSA consacré aux images, révélé par le New York Times le 1er juin. | New York Times
Selon le New York Times, ces documents indiquent qu'en 2011, la NSA était capable d'intercepter en une journée « des millions d'images » dont environ « 55 000 dont la qualité suffit pour une reconnaissance faciale ». Ces images seraient récupérées dans les emails, courriels, textos, mais aussi sur les réseaux sociaux, grâce à des outils de vidéo-conférences, ou encore, dans les bases de données de photos utilisées par les administrations des pays étrangers.
RECONNAISSANCE FACIALE
Un porte-parole de l'agence, interrogé sur la question par le New York Times, n'a pas voulu commenter et confirmer ces informations. L'article du New York Times rappelle par ailleurs que les autorités américaines (département d'Etat, FBI, etc.) ont déjà recours à des banques d'images très fournies, incluant les photos de passeport, de permis de conduire, mais aussi, dans le cas des autorités locales, des photos trouvées sur Facebook.
Mais les documents analysés par le New York Times décrivent aussi comment la NSA a ensuite recours à des logiciels permettant d'analyser et exploiter toutes ces photos, grâce à des outils de reconnaissance faciale de plus en plus évolués. Leur développement se serait accéléré sous l'administration Obama : collecter un maximum de photos, et pouvoir analyser précisément toutes les informations qui s'y trouvent, permettrait, ainsi, de repérer au plus vite des cibles potentielles.
« Il ne s'agit pas d'en avoir après les communications traditionnelles. Il s'agit de déployer tout un arsenal pour exploiter numériquement les indices qu'une cible laisse derrière elle dans ses activités courantes sur Internet, afin de recueillir des informations biographiques et biométriques », explique un document de la NSA datant de 2010, cité par le quotidien.
RECOUPER LES BANQUES D'IMAGES
C'est à partir de cette année là que l'agence de renseignement aurait réussi à recouper les photos d'une de ses banques d'images (appelée Pinwale) avec celles contenues dans une liste du gouvernement américain dédiée à la surveillance d'individus liés au terrorisme. A partir de là, plusieurs équipes se seraient constituées au sein de l'agence pour construire des profils précis des individus recherchés, à partir des informations contenus sur les photos dans lesquelles ils apparaissent.
Les tentatives d'identifications se seraient ensuite multipliées, selon le New York Times, qui raconte comment la NSA a, en 2011, tenté de localiser plusieurs cibles, dont Oussama Ben Laden. Ceci avec plus ou moins de succès : les recherches lancées auraient montré des photos d'hommes qui n'étaient pas les cibles recherchées, en raison des limites de l'époque en ce qui concerne l'identification faciale sur des fichiers numériques.
Toutefois, les progrès dans ce domaine sont spectaculaires, assure le New York Times, qui détaille aussi des exemples d'identifications réussies présentées dans les documents que le journal a pu obtenir, dont celle d'un homme chauve, présent dans un parc d'attraction, identifié grâce à d'autres images de lui où il avait pourtant des cheveux.
VIDE JURIDIQUE
Le journal précise que personne n'est en mesure de dire combien d'individus, aux Etats-Unis ou dans le monde entier, ont été capturés grâce à ces méthodes. Une porte-parole de la NSA a souligné par ailleurs auprès du New York Times que l'agence aurait besoin d'une approbation au niveau judiciaire pour l'utilisation de photos d'Américains qu'elle aurait recueillies grâce à ces programmes de surveillance.
Mais en ce qui concerne les limites liées à la reconnaissance faciale, le quotidien évoque un « vide juridique » que les lois sur la défense de la vie privée aux Etats-Unis n'ont pour l'instant pas comblé.


REF.:

mardi 8 octobre 2013

DRM: en bonne voie d’être intégrés dans les standards du W3C ?

Web : les DRM en bonne voie d’être intégrés dans les standards du W3C


Après presque six mois de réflexion, le W3C, par la voix de son directeur, Tim Berners-Lee, vient de donner son feu vert à l’intégration de verrous numériques dans les standards Web. Une décision qui inquiète les défenseurs des libertés en ligne.

Ne pas laisser la main…

« Ce serait une terrible erreur pour la communauté du Web de laisser la porte ouverte à l’infection des standards du W3C par la gangrène culturelle anti technologique d’Hollywood », déclare l’EFF. « Cela saperait la raison même de l’existence du HTML5. […] Le HTML5 était censé être meilleur que Flash, et exclure les DRM est exactement ce qui le rendrait meilleur ».
En partenariat avec la Free Software Foundation, qui défend, entre autres, l’intérêt des logiciels libres et ouverts, l’EFF a ouvert une pétition pour que les Internautes puissent d se déclarer contre l’introduction des DRM dans le HTML. L’objectif est d’atteindre les 50 000 signataires d’ici le 3 mai 2013, date de la prochaine Journée internationale contre les DRM. Il n’est pas question ici d’être du côté des pirates ou des ayants-droits, mais simplement du côté de la liberté. « C'est ici le combat du jour et de la nuit »Je pense que la question de DRM sur le net ou non ne se pose pas. Avec la mort programmée de flash, les industriels vont pousser à l'apparition de DRM dans les navigateurs afin de contrôler la diffusion de contenu.
Donc quitte à avoir des DRM sur le Web, je préfère que ce soit un système de DRM standardisé sous l'égide du W3C, plutôt qu'une guerre qui laisserait les indépendants comme Mozilla sur le carreau au profit d'IE et Chrome.
En toute discrétion, le W3C vient de franchir une nouvelle étape qui pourrait mener à l’intégration à courte échéance des DRM dans le standard HTML 5.1. Tim Berners-Lee a en effet déterminé que « la lecture de contenu protégé » ou verrouillé par des DRM entrait dans le champ de compétences du groupe de travail consacré au HTML au sein du consortium Web.
Autrement dit, la controversée EME, pour Encrypted Media Extension, dont nous vous parlions en mars dernier, pourrait effectivement se trouver standardisée, pour la plus grande satisfaction de Microsoft, Google et d’autres acteurs du Net.

Web ouvert contre DRM

L’Electronic Frontier Foundation, qui s’était inquiétée dès les premiers temps de cette évolution, se dit « profondément déçue » car le W3C cède ainsi le contrôle du navigateur à une tierce partie, le distributeur de contenu. Le W3C qui est perçu comme « un gardien du Web ouvert » semble ainsi abandonner le contrôle de nos machines et de notre expérience Web à des sociétés aux intérêts commerciaux avérés.
L’EFF s’inquiète également des dégâts que cela pourrait causer au W3C lui-même. Car, les« DRM sont difficiles à concevoir, font peu pour éviter le piratage, et, par nature, ne facilitent pas le vie de l’utilisateur ».
Au sein du W3C, certains ont déclaré que la standardisation des DRM ne pourrait être pire que la multitude de formats actuels, comme Silverlight et Flash. Une position pragmatique que Tim Berners-Lee lui-même a d’ailleurs défendue à plusieurs reprises.

Le poids des lobbies

Mais, comme le souligne l’EFF, ouvrir la porte à l’EME, c’est donner satisfaction à la seule industrie américaine du cinéma et à ses défenseurs en ligne, comme Netflix. D’autres intérêts et défenseurs de propriétés intellectuelles se manifesteront ensuite, ce qui pourrait, dans un scénario catastrophe pas si improbable, aboutir à verrouiller peu à peu les contenus présents sur le Web : la vidéo, l’audio, la photo et puis le texte.

Vers encore plus de fermeture ?

D’ailleurs, le danger d’érosion, de démantèlement de l’esprit d’ouverture qui anime le Web, n’est pas juste une fiction. Un groupe de travail s’est créé au sein du W3C, avec pour objectif de protéger le code source des applications Web qui vont se multiplier avec la montée en puissance du HTML 5. Or, cette ouverture du code n’est pas du goût de tous. Pour protéger« les intérêts des développeurs Web », ce groupe veut trouver des mécanismes de protection du code, car « la publicité des codes source devient un problème. Parce que les développeurs Web ne souhaitent pas que les applications Web soient facilement copiables par les autres »lit-on sur la page d’accueil de ce groupe de travail. Au temps pour l’ouverture du Web.

Reste comme espoir que la communauté du Web refuse cette solution et trouve un moyen de l’éviter. Le W3C aurait alors la possibilité de faire machine arrière. On a pourtant peine à croire que Tim Berners-Lee, défenseur du Web et des intérêts et libertés des Internautes, fasse ce choix, celui d’un verrou posé sur une porte jusque-là grande ouverte…

A lire aussi :
Le CERN lance un émulateur pour découvrir le Web d’il y a vingt ans
 – 02/10/2013
DRM et Blu-ray : la Hadopi consulte à la demande de l’éditeur de VLC
 – 08/02/2013
WWW 2012 : Tim Berners-Lee défend le Web à cœur ouvert
 – 23/04/2013

REF.: , Sources :
Electronic Frontier Foundation

Page d’accueil du groupe de protection du code des appli Web



mercredi 25 septembre 2013

Nokia Lumia 1020 en 41 Mp

Une fois de plus, Nokia se démarque de la concurrence en offrant à son Lumia 1020 un capteur de 41 Megapixel. Non content d'écraser tous les téléphones concurrents avec cette caractéristique, il fait la leçon à de nombreux appareils photo.
Depuis que Nokia est passé exclusivement à Windows Phone 8, la compagnie tente de se distinguer en intégrant des technologies inédites. Après le rechargement sans fil et un écran qui se manipule avec des gants introduits l'an dernier, Nokia s'attaque à la photo avec son objectif de 41 Megapixels signé Carl Zeiss, un nom de référence dans l'optique.
Solide, très bien construit, et agréable au toucher, le design du téléphone est proche du Lumia 920, le modèle précédent. Toutefois, l'appareil photo du Lumia 1020 forme une excroissance dans le dos de l'appareil. Il semble avoir été conçu pour se marier avec la coque de protection Nokia, qui aplanit ses formes. La prise en main qui est «bonne» sans la protection, devient excellente lorsqu'elle est en place.
Lors des appels on aime un peu moins le haut-parleur, qui ne tolère aucun décalage physique avec le conduit auditif de l'usager: les deux doivent être mis vis-à-vis avec précision. Il oblige donc à ajuster légèrement la position du téléphone pour bien le positionner contre l'oreille, au risque sinon d'entendre difficilement son interlocuteur. 
L'écran Amoled de 4,5 pouces est encore plus réactif et agréable que sur un Lumia 920. Sa définition en 1280x768 n'offre pas le 1080p, mais se démarque par une grande finesse des images, et des couleurs à peu près juste. Les noirs sont profonds, mais les teintes chaudes sont un peu criardes. Enfin, l'écran est parfaitement lisible en plein soleil.

UNE CAMÉRA IMPRESSIONNANTE

L'appareil photo de 41 mégapixels est l'argument-choc de ce Lumia 1020. Mais où se situe l'avantage exactement? Face à ses rivaux, le Lumia 1020 fait bien mieux que toute la concurrence réunie, en offrant des images bien plus riches et détaillées. Les 41 MP sont également utiles lors des zooms. Ils garantissent des photos de qualité, là où ses concurrents sont limités par un zoom numérique qui dégrade fortement l'image.
De plus, Nokia a développé de nombreuses applications permettant d'exploiter la caméra. Côté rendu, Nokia applique un filtre qui adoucit l'image, un peu comme Canon le fait déjà. Elle perd un peu de naturel, mais tout le monde fera de superbes photos.
Le soir ou de nuit, la caméra profite d'un véritable flash, en plus du DEL habituel, et écrase là encore la concurrence. On distingue bien plus de détails, et le «bruit» sur l'image est moins présent.
Encore mieux, nous l'avons comparé à de véritables appareils photo et le résultat est sans appel. Les photos sont bien plus détaillées qu'avec des appareils sous les 300$ fabriqués par les ténors du marché comme Nikon, Fuji, Canon ou Panasonic.
Ce téléphone fait bien mieux, et sa qualité s'approche dangereusement des modèles d'appareils photo vendus 400$. Il aura fallu utiliser le Fuji X20 pour enfin obtenir un niveau de détail significativement supérieur au Lumia 1020. Nous parlons d'un appareil photo qui coûte quand même plus de 600$!

STOCKAGE ET AUTONOMIE, DANS LA MOYENNE

Le Lumia 1020 vient avec 32Go de stockage, et est dépourvu d'emplacement pour carte SD. Cet espace relativement correct obligera donc à souvent transférer votre contenu dans le nuage ou sur votre ordinateur.
Côté batterie, l'autonomie est d'une bonne journée en utilisation intensive. Il ne vous lâchera pas jusqu'au coucher, mais exigera sa recharge chaque nuit.

WINDOWS PHONE 8, SON POINT FAIBLE

Windows Phone 8 est très loin d'être mauvais, mais Microsoft devrait se pencher plus sérieusement sur l'ergonomie et les applications. Les menus mériteraient d'être mieux organisés, plutôt que rangés dans n'importe quel ordre. On aimerait également un écran de notifications avec accès rapide aux fonctions de communications.
De même, avec un tel appareil photo, il manque encore les applications phares des réseaux de partage de photos comme Instagram. Toutefois, les applications des principaux réseaux sociaux sont bien présentes et simples à utiliser.

CONCLUSION


Le Lumia 1020 est un très bon téléphone. Il offre toutes les technologies modernes, comme le NFC, le rechargement sans fil ou l'écran qui se manipule avec des gants.
À 199$ avec un engagement de 2 ans (chez Rogers) il fait partie des appareils dispendieux. En contrepartie, il offre plusieurs technologies évoluées, à commencer par son capteur photo, le rechargement sans fil, ou encore son écran incroyablement réactif, même en portant des gants.
L'intérêt vient surtout de son appareil photo incroyable qui laisse toute la concurrence très loin derrière. Il laisse d'ailleurs entrevoir une remise en cause, voire une disparition, dans les prochaines années d'une grande partie des appareils photo d'entrée de gamme.
Vendu 600$ seul ou 199$ avec engagement de deux ans chez Rogers. Le prix chez Telus n'a pas été confirmé. À noter: un étui Gripcase contenant également une batterie est offerts chez Rogers pour tout achat avant le 3 octobre.
Nokia indique que son Lumia 1020 sera disponible «début octobre».

CARACTÉRISTIQUES

Écran: Amoled 4.5 pouces 1280x768 
Système d'exploitation: Windows Phone 8
Processeur: Double Cœur Snapdragon S4 à 1,5 GHz
Mémoire: 2Go
Stockage: 32 Go (29Go réellement utilisables) 
Carte SD: Non
Caméra: 41 Mpix + frontale de 1,2Mpix 
Capture vidéo: 1080p
Sortie HDMI: non


REF.:

jeudi 18 avril 2013

Snapchat: 3 Vs Instagram : 0

Phénomène - Snapchat génère trois fois plus d'images qu'Instagram
L'application Snapchat permet de profiter de clichés pendant un laps de temps limité. 
Photo stormy / Fotolia


Le PDG de Snapchat, Evan Spiegel, annonce que plus de 150 millions d'images sont envoyées chaque jours depuis son application de prise de vues autodestructrices, rapporte le site Venture Beat.

Aussi sur Canoe.ca:
Snapchat, une application permettant le partage de sextosInstagram atteint les 100 millions d'utilisateurs

Ce score est à comparer à celui d'Instagram, référence en matière de partage de photos via un terminal mobile et qui revendique de son côté quelque quarante millions de photos échangées.
L'originalité de Snapchat est de pouvoir prendre des photos puis de les partager avec ses amis, mais aussi de pouvoir déterminer pendant combien de temps l'image pourra être vue. De cette manière, il devient amusant de s'échanger, sans risque, des photos tantôt rigolotes, honteuses, voire même coquines.
L'application Snapchat est à télécharger sur l'App Store (iOS) et Google Play (Android).


dimanche 9 décembre 2012

Photo: Snapseed va concurrencer Instagram

Snapseed - Google va concurrencer l'application Instagram
 
Photo courtoisie Google Play


SAN FRANCISCO - Google met désormais à disposition gratuitement pour les appareils mobiles Apple et Android une application de photos concurrente d'Instagram, détenue par Facebook, a-t-il annoncé jeudi en même temps qu'une hausse des membres de son propre réseau social.
L'application «Snapseed est dès à présent disponible sur Google Play (la boutique en ligne d'applications pour Android, le système d'exploitation mobile du géant de l'internet, NDLR) et sur l'App Store», l'équivalent d'Apple pour l'iPad et l'iPhone, a annoncé Vic Gundotra, vice-président de Google, dans un message posté sur le blogue du groupe.
«L'application est gratuite dans les deux cas», a-t-il ajouté.
Google avait racheté en septembre le concepteur de Snapseed, la société allemande Nik Software. L'application mobile de cette concurrente d'Instagram était jusqu'ici disponible uniquement pour le système d'exploitation iOS d'Apple, et elle coûtait 4,99 $.
Cette application permet de prendre, retoucher et partager des photos sur le réseau social, tout comme Instagram, application de photo vedette dans le monde.
Instagram revendique plus de 100 millions d'utilisateurs. Elle a été rachetée en septembre par le réseau social en ligne Facebook, pour une somme finale de 747 millions de dollars, et a fait parler d'elle cette semaine en désactivant la fonctionnalité permettant de regarder ses photos sur le réseau de micro-blogues Twitter.
Snapseed pourra désormais être intégrée au réseau social de Google, Google+, qui compte désormais 135 millions d'utilisateurs actifs, a aussi indiqué jeudi le géant de l'internet. Facebook pour sa part revendique plus d'un milliard d'utilisateurs actifs.
Mais «aujourd'hui, Google+ est le réseau en ligne qui connaît la croissance la plus rapide», a affirmé M. Gundotra. «Plus de 500 millions de personnes ont créé leur compte», dont 135 millions qui partagent des choses sur le fil d'actualité, a-t-il précisé.
Il a annoncé enfin la création au sein de Google+ de groupes, appelés «communautés», afin de donner aux membres du réseau la possibilité de «créer des espaces permanents autour de (leurs) centres d'intérêt».



REF.:

mardi 15 mai 2012

Les meilleurs sites gratuits pour stocker et partager vos photos

Dossier photographie - Les meilleurs sites gratuits pour stocker et partager vos photos
La tâche de classement des images en ligne est beaucoup plus simple et conviviale que vous pourriez le penser. Il est toujours temps de s’y mettre! 
© Shutterstock

MONTRÉAL – Nous vous proposons une liste de sites en français des plus appréciés, offrant des services de stockage et de partage de photos en ligne.
Très simples d'utilisation et gratuits, ils vous faciliteront la tâche du classement des images tout en vous donnant l'air d'un vrai technophile quand viendra le temps de les partager en ligne.


Consultez notre dossier:
Le kit parfait pour devenir un pro de la photo
S'acheter un appareil photo numérique ou un téléphone équipé d'un bon capteur revient pour plusieurs à simplement troquer leurs albums photos physiques pour quantité de cartes mémoire, de DVD qui n'attendent qu'à être perdus ou de fichiers en désordre, n'espérant qu'un jour de pluie pour être classés. La tâche est-elle vraiment aussi fastidieuse qu'il y paraît?
Pour tout dire, la partie la plus «compliquée» est simplement de trouver le service qui répondra à ses besoins. Pour vous y aider, voici notre liste (non exhaustive) des meilleurs services de stockage et de partage de photos.
Sachez que la tâche de classement des images en ligne est probablement beaucoup plus simple et conviviale que vous pourriez le penser. Il est toujours temps de s'y mettre!
1- Picasa de Google (version 3.9)
Ce site est accessible par tous les internautes et est très intuitif. Sans surprise, ce site bénéficie d'une intégration poussée avec les autres services de Google. Entre membres de Google+, le partage de photos, d'albums et de vidéos y est donc des plus faciles. Si l'un de vos contacts n'est pas sur ce réseau social, vous avez la possibilité de lui envoyer un courriel d'invitation pour y visionner votre album sans qu'il doive s'y inscrire.
Plus de 25 effets de retouche y sont proposés, allant de l'infrarouge à l'effet bande dessinée, en passant par un choix de bordures. Les usagers peuvent aussi y créer des diaporamas de portraits. Ce service est compatible avec tous les services de Google, tels que Gmail et Documents.
Capacité de stockage: 1 Go gratuit, sous conditions. Pour l'augmenter, les frais s'élèvent de 2,49$ à 4,99$/mois pour de 25 Go à 100Go. Jusqu'à 16 To sont disponibles.
2- Flickr de Yahoo!
Vous pouvez y téléverser vos images le plus simplement du monde, par courriel ou depuis votre téléphone ou d'autres applications photos. Une fois que les photos y sont hébergées, il est possible de les partager avec ses contacts des réseaux sociaux, qu'elles soient agrémentées de commentaires ou de notes. Plusieurs paramètres de confidentialité sont garants de la sécurité de vos images.
Le service gratuit (version limitée) permet d'y héberger 300 Mo de photos et deux vidéos par mois. La limite de chargement est affichée sur le compte de l'usager et il est possible de compresser ou de rogner les images pour en diminuer la taille. Pour 24,95$/an, vous aurez accès à davantage d'options avec la version Flickr Pro.
3- Joomeo
Ce service français gratuit propose une façon facile et conviviale de classer et de stocker vos photos et vos vidéos dans leur format original. Plusieurs vidéos de démonstration détaillent les diverses fonctionnalités ou options s'offrant à vous.
Les diaporamas sont aussi très faciles à monter, l'usager est guidé pas à pas pour se faire orienter vers des choix musicaux, des effets de transitions ou l'ajout de musique de fond.
Lorsque vous invitez un ami, un contact ou un groupe (que vous aurez créé) à visionner vos images, vous pouvez même leur attribuer un identifiant et un mot de passe, afin de sécuriser le partage. Le compte gratuit (Basic) autorise une capacité de téléchargement de 150 Mo/mois, mais la capacité de stockage est illimitée. Le partage par courriel, Facebook, Twitter et MySpace est très facile et intuitif.
4- ComBoost
Ce site s'adresse un peu plus aux technophiles, dans la mesure où il permet de créer des diaporamas pour un blogue ou un site web. Autrement, il propose de partager des albums photo avec ses contacts et de créer des diaporamas personnalisables. Ces deux tâches ne pourraient pas être plus faciles à accomplir, l'interface du site étant très intuitive; il est impossible de s'y perdre!
Les usagers peuvent créer des diaporamas et des albums de photos commentés et disponibles en cinq formats. Plusieurs modes d'affichage sont disponibles. Le partage de photos avec ses contacts peut être sécurisé à l'aide d'un mot de passe. Aussi, les internautes peuvent se faire un livre photo. Pour ce faire, le logiciel ComBoost est disponible en téléchargement à même le site (Windows, Linux et Mac OS X).
5- PhotoInPress, un service québécois
Ce site québécois propose de faire de la techno votre alliée, dans le but de réaliser toutes sortes de montages et d'albums photo à la hauteur de votre nostalgie du «bon vieux temps». Pour vous y aider, un logiciel dédié est disponible gratuitement au téléchargement.
Une fois l'album terminé et annoté de vos souvenirs ou vos histoires, vous pouvez faire imprimer le fruit de votre travail ou vous en occuper vous-même en ne commandant que la jaquette de votre futur livre. Vous obtiendrez un livre photo d'une centaine de pages au maximum, doté d'une jaquette amovible rigide ou en cuir. De 14,99$ à 44,99$.
6- 500px, un service basé à Toronto (anglais)
Plusieurs photographes l'ont adopté. Il ne fournit pas de fonctionnalités aussi poussées que les autres sites proposés dans cet article, mais son intérêt réside dans l'affichage très réussi des photos sur leurs pages.
Les usagers peuvent se créer de véritables porte-folios ou des murs en mosaïque avec leurs images. Il est aussi possible de suivre des membres sur le site (Flow), afin d'être tenu au courant de leurs nouveautés photographiques. Les photographies qui s'y trouvent sont magnifiques et peuvent servir d'inspiration aux photographes en herbe.
Plus d'options, en anglais:
23hq (disponible en français)
Photobucket
Smugmug
Snapixel
Pbase


REF.:

dimanche 13 mai 2012

Créez de superbes effets photo avec votre téléphone

Dossier photographie - Créez de superbes effets photo avec votre téléphone
Photo crée avec l'application mobile Instagram. 
© Marie-Joëlle Parent / Instagram

Les téléphones intelligents peuvent maintenant prendre des photos très intéressantes, même si elles ne rivalisent pas avec celle des appareils photo coûteux. Mais ils ont un gros avantage: il existe de nombreuses applications qui permettent d'obtenir des photos surprenantes. Essayez-les: plusieurs sont gratuites ou ne coûtent que quelques dollars... Moins cher qu'un rouleau de film!

Consultez notre dossier:
Le kit parfait pour devenir un pro de la photo
Instagram
C'est la plus populaire et la plus simple des applications de photographie. Elle permet d'ajouter à ses photos des filtres qui accentuent les couleurs pour leur ajouter un je ne sais quoi dramatique. On peut aussi mettre l'accent sur une partie de la photo et rendre flou ce qu'il y a autour.
Et une partie du cachet des photos Instagram est qu'elles sont carrées, comme les bonnes vieilles photos à développement instantané Polaroid. L'application permet de partager ses photos retouchées par courriel, Twitter et Facebook, mais on peut aussi les garder dans une galerie personnelle.
Gratuit, Android iOS
King Camera
C'est une application québécoise qui contient des fonctions surprenantes. Elle permet entre autres de prendre des photos simplement en tapant des mains; de prendre des séquences de plusieurs photos et de prendre des photos en touchant quelque part dans l'écran, pas seulement sur le petit bouton en bas. Deux modes de retouches sont proposés: un mode rapide Quick, plus simple, et Pro, qui offre plus d'options.
Gratuit, iOS
Pudding Camera
C'est une application rigolote qui permet de prendre quatre photos en séquence pour n'en former qu'une seule, pour créer du mouvement dans une photo. Imaginez prendre quatre expressions d'un bébé qui pleure, la réaction de quelqu'un... ou simplement montrer l'effet du vent dans les branches.
Android, Gratuit
CameraZoom FX
Une application semblable à King Camera, mais pour Android, avec encore plus d'options. On peut partager les photos de plusieurs façons (courriel, réseaux sociaux, Dropbox, Evernote, Bluetooth...). Elle est développée par les éditeurs des sites Web technos Gizmodo et Lifehacker. Des extensions permettent d'augmenter le nombre de filtres et d'effets disponible.
Android, 4,99$
Almost DSLR
C'est une application pour ceux qui sont familiers - ou qui aimeraient se familiariser - avec les réglages manuels d'un appareil réflex ou hybride. Elle permet d'ajuster soi-même la mise au point, l'exposition et la balance des blancs. Parfait quand on sait exactement le type de photo qu'on cherche à obtenir. L'application est aussi utile pour tourner de la vidéo, pour empêcher l'autofocus de s'activer constamment.
iOS, 2$
Adobe Photoshop Express
Adobe offre gratuitement deux versions simplifiées de son puissant logiciel Photoshop, pour les tablettes et les téléphones intelligents: PS Express et Photosphop Touch. Les applications sont gratuites et permettent de recadrer, rogner et retoucher rapidement ses photos. Vous préférez retoucher vos photos avec une souris et l'écran plus grand de votre ordinateur? Vous pouvez utiliser la version en ligne, Photoshop Express Editor.
Gratuit, iOS et Android
Pas besoin d'installer de logiciels
Vous avez besoin de retoucher vos photos rapidement? Pas besoin d'installer un logiciel de retouches. Il y a des sites gratuits qui permettent de retoucher vos photos en ligne. En plus de Photoshop Express Editor, vous pouvez essayer Pixlr (pixlr.com). Le site est gratuit et en français.
Il permet de faire tout ce qu'on peut faire avec un logiciel: il contient un outil-tampon pour faire des retouches presque indétectables en recopiant une petite partie d'une photo vers une autre. On peut aussi utiliser des couches («layers») pour faire des corrections qui se superposent à la photo originale, une technique qui offre plus de possibilités et qui permet de revenir en arrière en tout temps. Ce sont des fonctions qui ne sont pas offertes dans beaucoup de logiciels payants!
Mais il faut être vigilant. Le site Photoflexer propose plusieurs options de retouches automatisées qui semblent très intéressantes. L'inconvénient? Si vous cliquez au mauvais endroit, vous risquez de télécharger un virus informatique! À éviter.
À même l'appareil
N'oubliez pas que les fonctions avancées de plusieurs appareils permettent de faire des retouches de base comme le recadrage et la correction des yeux rouges. Les appareils photo Olympus ont même des filtres artistiques pour prendre des photos style Pop Art, couleurs dramatiques ou trou d'épingle. Pas besoin d'ajouter de filtres ensuite: vous obtenez tout de suite ce que vous désirez!


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jeudi 12 janvier 2012

Réponses personnalisées: Google+ intégré au moteur de recherche Google


Réponses personnalisées - Google+ intégré au moteur de recherche Google
 
©REUTERS/Google/Handout

SAN FRANCISCO - Le groupe internet Google a annoncé mardi que son moteur de recherches allait intégrer des réponses trouvées dans Google+, son outil de personnalisation du web.
Baptisé «Search plus your world» (la recherche, plus votre monde), le système intègre des réponses trouvées dans Google Plus et dans le service de partage de photos Picasa pour des réponses plus personnalisées.
«On trouve énormément de choses sur le web aujourd'hui, mais à un certain stade, ce contenu est sans nom et sans visage», a expliqué à l'AFP un responsable de Google, Ben Gomes.
«Ce qui est le plus intéressant, c'est ce qui vient des gens qu'on connaît, et c'est pourquoi on introduit un monde personnel dans la recherche».
«Maintenant, quand je fais une recherche sur Bangalore, non seulement je trouve des informations sur la ville, mais je vois des images de la maison où j'ai grandi», a noté M. Gomes pour relater son expérience personnelle de cette innovation. En faisant venir le curseur sur l'image obtenue, on apprend qui a mis cette image en ligne, et où.
Il s'agit d'une nouvelle étape dans l'objectif déclaré de Google de généraliser les applications «sociales», ou communautaires, de Google+ dans l'ensemble de ses services - pour contrer la concurrence de Facebook, le réseau social aux 800 millions d'utilisateurs qui devient de plus en plus un outil de consultation d'internet à part entière.
«Il s'agit d'un nouveau type de recherche, centrée sur ce qui est important pour un internaute en particulier», a noté M. Gomes.
Google montrera aussi ce que des célébrités ou personnalités influentes disent de tel ou tel sujet de recherche.
Twitter a immédiatement critiqué le nouveau système, craignant que les messages échangés en temps réel sur son service de microblogues perdent de leur visibilité dans les résultats du moteur de recherches.
«Les informations sortent en premier sur Twitter, ce qui fait que souvent les comptes Twitter et les "tweets" sont les résultats les plus pertinents», a fait valoir la société de San Francisco (Californie, ouest). «Nous craignons qu'avec les changements annoncés par Google, ces informations deviennent plus difficiles à trouver».
Certains observateurs, comme Danny Sullivan, chez SerachEngineLand, se sont pour leur part étonnés de l'initiative de Google, qui pourrait avec cette initiative prêter le flanc aux accusations de comportement monopolistique en favorisant délibérément ses propres produits, au lieu de laisser ses algorithmes organiser la priorité des résultats de recherche.
Mais Google s'est dit surpris par les critiques.
«Nous sommes un peu surpris par les commentaires de Twitter», a fait valoir un responsable de Google... sur Google+. «Il a choisi l'été dernier de ne pas renouveler l'accord qui nous liait, et depuis lors nous avons suivi leurs instructions» revenant à demander au moteur de recherches de Google d'ignorer les "tweets" contenant des liens vers des sites internet.


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samedi 27 août 2011

StumbleUpon pour générer du trafic vers vos liens Web


Chronique de Tamy Emma Pepin - Découvrir le Net
Selon les derniers chiffres obtenus par StatCounter, StumbleUpon générerait plus de 50 % du trafic des réseaux sociaux aux États-Unis. 
© Reuters

Vous écrivez un billet de blogue, vous le partagez sur Facebook. Vous publiez une vidéo, vous la partagez sur Twitter. Mais utilisez-vous StumbleUpon pour générer du trafic vers vos liens Web?

Selon les derniers chiffres obtenus par StatCounter, StumbleUpon générerait plus de 50 % du trafic des réseaux sociaux aux États-Unis. Dans un article récent, Mashable rapporte que durant les 18 premiers jours d’août, StumbleUpon a représenté 50,27 % du trafic référant suivi par Facebook avec 38,9 %, alors que Twitter rapportait moins de 4 % des parts de marché.
Mais au-delà des chiffres, la beauté de StumbleUpon est que cet outil permet à tous les internautes de découvrir du contenu Web qu’ils aimeront.
On s’inscrit à la communauté, on identifie nos intérêts (photographie, politique, musique), puis on clique tout simplement sur le bouton Stumble - qui vient de passer la barre des 25 millions de clics. On vous proposera ainsi du contenu : sites, blogues, photos, vidéos. Si ce que vous voyez vous plaît, vous cliquez j’aime, sinon, je n’aime pas.
De cette façon, le système reconnaît vos préférences et les bons contenus sont rapidement partagés, créant un nombre important de visiteurs vers les pages jugées positivement.
Adepte de Stumble, je suis tombée cette semaine sur de vieilles photos du métro newyorkais, sur un article de la culture hipster des années 40, ainsi que sur le site WhatHappenedInMyBirthYear.
com, véritable machine interactive à remonter le temps permettant de retracer les événements culturels à avoir marqué son année de naissance. Ainsi, j’apprends qu’en 1984, Ghostbusters était le film le plus populaire de l’année, Stephen King était le meilleur ami des libraires et Michael Jackson battait des records en remportant huit prix Grammy. En 1984, on inventa aussi le lecteur CD portable. À la radio, la chanson Wake Me Up Before You Go-Gode Wham régnait au top des palmarès. Et surtout, en 1984, on ne se doutait pas de la vitesse à laquelle la technologie allait évoluer et de sa capacité à non seulement nous mener vers le futur, mais également nous faire si vivement revivre le passé.


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lundi 8 août 2011

Un site web modifie vos photos


Vous voulez donner un style à vos photos? Vous pouvez utiliser Instagram si vous avez un iPhone. Que faire si vous n’avez qu’un ordinateur? Pixlr.coma la réponse.
À l’aide de leur page Flash, vous pouvez charger n’importe quelle image qui se trouve sur votre ordinateur et lui donner un look vintage. Plusieurs tintes, effets et cadres sont disponibles. Vous pouvez maintenant prendre des photos à l’aide d’un appareil numérique et lui donner le look d’une photo argentique.

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mercredi 27 juillet 2011

Un appareil photo HD de la taille d'un smartphone



Sony - Un appareil photo HD de la taille d'un smartphone
Le Sony Cyber-shot DSC-TX55 
©Sony

Selon Sony, le Cyber-shot DSC-TX55 est l'un des appareils les plus minces capables de filmer en Full HD, à 12,2 mm d'épaisseur. Côté smartphones, cependant, le Galaxy S II de Samsung et l'Optimus 2X de LG proposent la vidéo en Full HD 1080p et ne mesurent que 8,5 mm et 10,9 mm d'épaisseur, respectivement.
Heureusement pour Sony, aucun smartphone n'embarque un capteur CMOS Exmor R de 16,2 mégapixels effectifs, un zoom 5x, ni un mode permettant de créer des panoramas de 42,9 mégapixels.
Le Cyber-shot TX55 est également capable de composer des panoramas par balayage 3D et peut prendre des photos tri-dimensionnelles. A ceci s'ajoutent un grand écran tactile OLED 3,3 pouces, une suite d'effets intégrés, un système de stabilisation et une autonomie écran allumé de 125 minutes ou 250 clichés.
Panasonic, de son côté, vient de présenter son nouvel appareil, le Lumix DMC-LS5. C'est un compact d'entrée de gamme de 14,1 mégapixels, facile d'utilisation, capable de filmer en 720p et admettant des piles AA.
Le Sony Cyber-shot TX55 sera disponible en septembre en même temps que le Cyber-shot DSC-WX30. Le Lumix LS5 de Panasonic sortira lui en novembre. Prix encore inconnus.
sony.fr/product/dsc-t-series/dsc-tx55


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samedi 2 juillet 2011

Appareil photo perdu ?



Rien de plus triste que de perdre ou pire, se faire voler son appareil photo. Mais un site peut vous donner une chance de le retrouver à partir des informations d'identification EXIF enregistrée dans chaque photo, qui sont propres à chaque appareil. Il suffit de glisser une photo prise avec l’appareil sur le site. Croisez les doigts : si la personne qui a votre appareil a mis des photos en ligne, vous avez une chance de la récupérer !

mercredi 29 juin 2011

Capteur photo de Sony: Résolution record de 16 mégapixels sur mobiles


Capteur photo de Sony - Résolution record de 16 mégapixels sur mobiles
Le nouveau capteur Exmor R de Sony offrira une résolution record de 16 mégapixels aux caméras intégrées à des téléphones mobiles. 

Le fabricant électronique Sony a dévoilé un nouveau capteur photo miniature de 16 mégapixels destiné aux téléphones mobiles. Il s'agit là d'un nouveau record de résolution pour un capteur de téléphone.
À ce jour, la meilleure résolution photo pour téléphone mobile est signée par le Nokia N8, qui affiche 12 mégapixels. Dès le premier trimestre 2011, ce titre reviendra aux marques qui auront opté pour le nouveau capteur Exmor R de Sony.
Ce module, qui ne mesure que 6,5 mm, affiche une résolution de 4672 x 3512 pixels, soit un total de 16,41 millions de pixels. Il est également doté d'un système de rétro-éclairage qui offre une meilleure sensibilité et réduit le bruit dans des conditions de faible luminosité.
Ce capteur sera disponible dès janvier 2011 pour les fabricants qui souhaitent l'intégrer à leurs nouveaux appareils.
Sony a également dévoilé un capteur de 8,13 mégapixels, encore plus petit que le précédent (5,76 mm). Celui-ci sera disponible à partir d'avril 2011.

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