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Vous écrivez un billet de blogue, vous le partagez sur Facebook. Vous publiez une vidéo, vous la partagez sur Twitter. Mais utilisez-vous StumbleUpon pour générer du trafic vers vos liens Web?
Selon les derniers chiffres obtenus par StatCounter, StumbleUpon générerait plus de 50 % du trafic des réseaux sociaux aux États-Unis. Dans un article récent, Mashable rapporte que durant les 18 premiers jours d’août, StumbleUpon a représenté 50,27 % du trafic référant suivi par Facebook avec 38,9 %, alors que Twitter rapportait moins de 4 % des parts de marché.
Mais au-delà des chiffres, la beauté de StumbleUpon est que cet outil permet à tous les internautes de découvrir du contenu Web qu’ils aimeront.
On s’inscrit à la communauté, on identifie nos intérêts (photographie, politique, musique), puis on clique tout simplement sur le bouton Stumble - qui vient de passer la barre des 25 millions de clics. On vous proposera ainsi du contenu : sites, blogues, photos, vidéos. Si ce que vous voyez vous plaît, vous cliquez j’aime, sinon, je n’aime pas.
De cette façon, le système reconnaît vos préférences et les bons contenus sont rapidement partagés, créant un nombre important de visiteurs vers les pages jugées positivement.
Adepte de Stumble, je suis tombée cette semaine sur de vieilles photos du métro newyorkais, sur un article de la culture hipster des années 40, ainsi que sur le site WhatHappenedInMyBirthYear.
com, véritable machine interactive à remonter le temps permettant de retracer les événements culturels à avoir marqué son année de naissance. Ainsi, j’apprends qu’en 1984, Ghostbusters était le film le plus populaire de l’année, Stephen King était le meilleur ami des libraires et Michael Jackson battait des records en remportant huit prix Grammy. En 1984, on inventa aussi le lecteur CD portable. À la radio, la chanson Wake Me Up Before You Go-Gode Wham régnait au top des palmarès. Et surtout, en 1984, on ne se doutait pas de la vitesse à laquelle la technologie allait évoluer et de sa capacité à non seulement nous mener vers le futur, mais également nous faire si vivement revivre le passé.
REF.:
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