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mercredi 16 juillet 2014

Alzheimer: Des chercheurs montréalais font une découverte importante sur la maladie d’Alzheimer

Des chercheurs de l'Institut Douglas ont découvert une variante génétique qui protégerait contre la forme la plus commune de la maladie d’Alzheimer.



Une variante génétique qui protégerait contre la forme la plus commune de la maladie d’Alzheimer a été découverte par une équipe de chercheurs montréalais.
Selon l’auteur principal de cette recherche, Judes Poirier, de l’Institut universitaire en santé mentale Douglas, affilié à l’Université McGill, cette variante génétique peut retarder le déclenchement de la maladie.
«Nous avons découvert que des variantes génétiques spécifiques dans un gène appelé HMG CoA réductase, qui règle normalement la production et la mobilisation du cholestérol dans le cerveau, pouvaient modifier le processus et retarder de près de quatre ans le déclenchement de la maladie d'Alzheimer», a expliqué le Dr Poirier.
Cette percée scientifique permettra d’explorer de nouvelles pistes thérapeutiques.
Les résultats de ces travaux ont été dévoilés lors de la Conférence internationale de l'Association Alzheimer à Copenhague.
 REF.:

vendredi 9 mai 2014

CANCER DU CERVEAU: une molécule capable d’atteindre et traiter les tumeurs cérébrales

L'ANG1005 sera disponible en 2016 ?

Des chercheurs québécois sont en voie de réussir l’impossible: mettre au point une molécule capable d’atteindre et traiter les tumeurs cérébrales




Richard Béliveau flotte littéralement sur un nuage. Avec son équipe, le docteur en biochimie a réussi l’impossible : atteindre le cerveau pour traiter les tumeurs cancéreuses grâce à une molécule en cours de tests cliniques.
«On est à la porte d’un traitement, ça n’arrive qu’une fois dans une vie», lance celui qui a fait du cancer l’ennemi public numéro un.
En 2004, Richard Béliveau et son équipe ont mis au point l’ANG1005, une molécule transportant un médicament capable d’atteindre et traiter les tumeurs au cerveau.
Depuis, l’entreprise montréalaise Angiochem mène les tests cliniques du médicament aux États-Unis. Les résultats sont si prometteurs que de nouvelles études de phase II sont en cours. Nous avons rencontré le chercheur au Laboratoire de médecine moléculaire de l'UQAM.
Q: Pourquoi le traitement que vous avez mis au point est sur la bonne voie ?
Richard Béliveau: «Jusqu’ici, 200 patients ont été traités, entre 60% et 80% voient leur état clinique s’améliorer, certains ont des rémissions complètes. J’avais envisagé les pires scénarios, des effets secondaires importants, des rejets ou de l’intolérance au traitement. Rien de tout ça n’est arrivé. Ce qui nous excite, c’est d’arriver à des résultats avec le glioblastome, un cancer mortel qui ne laisse que 11 ou 12 mois à vivre. On arrive aussi à traiter des métastases au cerveau que l’on retrouve dans 30% à 50% des cancers du sein ou du poumon.»
Q: Quels sont les résultats qui vous semblent le plus spectaculaire ?
R.B.: «C’est la disparition complète d’un glioblastome chez un patient qui ne répondait plus à rien et dont le pronostic était très sombre. Grâce au traitement, l’homme est en rémission depuis trois ans.»
Q: Y a-t-il de l’espoir pour d’autres maladies du cerveau ?
R.B.: «On a trouvé la molécule pour transporter un médicament contre le cancer, on peut penser traiter d’autres pathologies comme l’Alzheimer ou le Parkinson. Mais il est encore trop tôt pour prévoir ce qui va se passer.»
Q: Si tout va bien, il est permis de croire que le ANG1005 sera disponible en 2016 ?
R.B.: «Oui, mais je suis prudent et à la fois enthousiaste. On ne doit pas créer de faux espoirs, ni de faux désespoirs. La science progresse, moi je dis aux patients: “survivez, il y aura peut-être un nouveau traitement”. Mais il est actuellement impossible de mettre la main sur le médicament.»



jeudi 25 juillet 2013

Horloge optique plus précise que les horloges atomiques

Lumière - Horloge optique: la seconde se précise
 
Photo Brian Jackson / Fotolia

PARIS - Des horloges optiques plus précises ont été mises au point par des chercheurs de l'Observatoire de Paris, ouvrant la voie à des avancées dans de nombreux domaines scientifiques, dont la prévention de séismes et la réalisation des cartes.
L'équipe Systèmes de référence temps-espace (Syrte) conduit des recherches sur les fréquences optiques depuis 14 ans afin de parvenir à une définition plus fine de la seconde.
Les horloges optiques mises au point par les membres de la Syrte sont trois fois plus précises que les horloges atomiques existantes et peuvent donner l'heure juste pendant 300 millions d'années sans perdre une seconde, disent ses chercheurs.
Elles fonctionnent via un piège de lumière où des atomes de strontium sont mis à l'arrêt par des lasers puis étudiés à une vitesse 0, ce qui permet de définir la fréquence de leurs oscillations et donc la durée d'une seconde.
Les précédentes horloges utilisent des atomes de césium qui ne donnent pas un résultat aussi précis du fait de leurs oscillations moins fréquentes. Le nouveau dispositif utilise des atomes capables d'osciller plus vite.
«C'est deux fois plus précis que les horloges au césium», déclare Rodolphe le Targat, physicien de l'Observatoire.
Des horloges à ions développées aux États-Unis peuvent garder l'heure exacte pendant 3,7 milliards d'années, mais elles sont beaucoup moins stables.
Les horloges mises au point à l'Observatoire de Paris sont des capteurs sensibles aux perturbations extérieures qui réagissent selon les températures et certains facteurs non ressentis par l'homme.
Ces dispositifs peuvent à un certain degré permettre la prévention de séismes et la réalisation de cartes. Elles peuvent aussi aider au développement de systèmes de géolocalisation plus précis.
Le téléchargement de données et les échanges commerciaux à haute fréquence sur les marchés, déjà effectué en microsecondes, pourraient aussi se faire plus rapidement.
«On est quasiment persuadés que ces horloges-là peuvent encore progresser», explique le physicien de la Syrte.

Mais il faudra encore beaucoup de travail pour réduire la taille des deux horloges qui occupent un laboratoire de 15 mètres carrés empli de câbles connectés à des dizaines de machines.


REF.:

mardi 2 juillet 2013

Moteur de recherche: Altavista ferme ,....yahooooo!

Yahoo! ferme 12 services en ligne, dont le mythique moteur AltaVista

Le groupe américain poursuit son recentrage et fermera douze services durant l'été. Parmi eux, le moteur de recherche AltaVista, né en 1995.

Les méthodes de Marissa Mayer, PDG de Yahoo!, ne font pas que des heureux. Elle a mis fin au télétravailet a vu partir de nombreux cadres de l’entreprise. Mais elle poursuit coûte que coûte le recentrage de la société en éliminant les produits non rentables. Ainsi Yahoo! a annoncé, le 28 juin 2013, sur son blog la fermeture de douze services en ligne dans les jours et mois à venir.
Sur son blog, Yahoo! donne quelques conseils pour remplacer chacun des services concernés car les premiers ont cessé d’exister dès le 28 juin, comme le plug-in WebPlayer qui permettait de créer des playlists musicales. Les autres disparaîtront progressivement jusqu’à la fin du mois de septembre prochain. Parmi ces services, un plus connu, le moteur de recherche Altavista, fermera ses portes le 8 juillet.
Imaginé par Paul Flaherty et développé par Louis Monier et Michael Burrows en 1995, AltaVista fut le premier véritable moteur de recherche du Web. Ce fut l’un des premiers à exister en plusieurs langues (la version française date de l'an 2000) et à proposer la recherche d’images, de vidéos ou de fichiers audio. Yahoo! en fit l’acquisition en 2004. Aujourd’hui, il n’en reste plus grand-chose : un logo associé à la page de recherche de Yahoo!.
Au début du printemps, l’entreprise avait déjà fait un premier ménage dans ses services et fermé sept d’entre eux.



vendredi 14 décembre 2012

Rechercher le titre de la chanson avec le widget Sound Search


Quelle est cette chanson?
La Lecture sonore widget Sound Search peut vous aider à reconnaître la musique et jouer des chansons autour de vous. Vous pouvez:
-Identifier les chansons, directement à partir de votre écran d'accueil
Achat-titres identifiés directement à partir de Google Play, et de les ajouter à votre bibliothèque de musique Jeux
-Garder l'historique d'identification chanson, synchronisé sur tous vos appareils Android, de sorte que vous pouvez acheter une chanson plus tard
-Ajouter le widget directement sur ​​votre lockscreen, afin que vous puissiez reconnaître les chants encore plus vite (pour les appareils fonctionnant sous Android 4.2)
Une fois que vous avez installé le Google Play sonore widget de recherche, cliquez sur le sélecteur de widget et faites glisser le widget de recherche du son sur votre écran d'accueil.Cliquez sur le widget pour commencer à reconnaître.
Le widget Sound Search, que les Américains peuvent désormais installer sur leurs appareils tournant sous Android, peut identifier et même acheter un morceau de musique lorsqu'on l'entend à la radio, dans un magasin ou dans la rue.
Cette application disponible sur le Google Playaméricain fonctionne sur les appareils tournant sous les dernières versions d'Android 4.0 et plus, mais se limite actuellement au marché américain.
Un post publié sur le blog officiel d'Android explique: «Parfois, vous entendez une chanson que vous aimez pendant que vous vous promenez mais vous ne voulez pas la télécharger tout de suite. L'appli Sound Search synchronise tous vos appareils pour que vous puissiez rapidement acheter chez vous avec votre tablette cette chanson entendue et identifiée avec votre téléphone au café du coin».
Mais Sound Search est loin d'être la première application de reconnaissance musicale sur les marchés pour les utilisateurs d'appareils tournant sous Android et iOS.
Shazam, qui avait débuté en tant que service d'envoi de SMS, est l'application historique gratuite qui permet d'identifier un morceau, de lire ses paroles en streaming et qui propose même des adresses où le télécharger gratuitement.
SoundHound est une autre application très populaire auprès des utilisateurs d'Android pour la reconnaissance musicale.
Moyennant 5,99$, elle identifie même des chansons lorsqu'on les fredonne ou qu'on essaie de les chanter, ce que ne permet pas Shazam.

vendredi 10 août 2012

Un algorithme permet de remonter à la source de tout type d'information sur le web


Réseau - Un algorithme permet de remonter à la source de tout type d'information sur le web
 
Photo Paulus Nugroho R - Fotolia.com

GENEVE (Suisse) - Un chercheur portugais de l'École polytechnique fédérale de Lausanne (EPFL) a mis au point un système mathématique permettant d'identifier l'origine d'une information circulant sur un réseau, d'une épidémie, voire d'un attentat, a annoncé vendredi l'EPFL.
Le chercheur Petro Pinto, qui travaille pour le Laboratoire de communications audiovisuelles de l'EPFL, a mis au point un système «qui pourrait s'avérer un précieux allié» pour ceux qui doivent mener des enquêtes criminelles ou qui recherchent l'origine d'une information sur la toile.
«Grâce à notre méthode, nous parvenons à remonter à la source de tous types d'informations circulant dans un réseau et ce en n'écoutant qu'un nombre restreint de membres», a expliqué Pedro Pinto.
À titre d'exemple, il indique être en mesure de retrouver l'auteur d'une rumeur circulant entre 500 membres d'un même réseau, en observant les messages de 15 à 20 contacts seulement.
«Notre algorithme est capable de refaire à l'envers le chemin parcouru par l'information, et de remonter à la source», a-t-il dit.
Le chercheur a aussi testé son système pour retrouver l'origine d'une maladie infectieuse en Afrique du Sud. «En modélisant les réseaux de circulation d'eau, rivières ou transports humains, nous avons pu retrouver l'endroit où se sont déclarés les premiers cas», a-t-il expliqué.
Le chercheur a aussi testé son système sur les communications téléphoniques liées aux préparatifs des attentats du 11 septembre 2001. «En reconstruisant le réseau de ces terroristes uniquement sur la base des informations parues dans la presse, notre système nous a livré trois suspects potentiels, dont l'un était l'initiateur avéré de ces attaques, selon l'enquête officielle».
Les détails de cet algorithme sont publiés ce vendredi dans la revue Physical Review Letters.
Pedro Pinto a travaillé sous l'autorité de deux professeurs suisses de l'EPFL, MM. Patrick Thyran et Martin Vetterli.


REF.:

mercredi 9 mai 2012

Des Nano-particules, antivieillissante et antioxydante

Une substance antivieillissement?Une substance antivieillissement?

Une canadienne âgée de 16 ans a découvert une substance antioxydante pouvant freiner le vieillissement, composée de nano-particules présentes dans la fibre de bois, ont annoncé mardi les organisateurs d'un concours de biotechnologie qu'elle a remporté.


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Janelle Tam, lycéenne de Waterloo, en Ontario, a reçu le premier prix, accompagné d'un chèque de 5 000 dollars, de l'édition 2012 du Sanofi BioGENEius Challenge, dont le jury est composé de chercheurs éminents venant du Conseil national de recherches Canada. La substance qu'elle a créée pourrait être utilisée un jour pour améliorer la santé et freiner le vieillissement, car elle neutralise nombre de radicaux libres nuisibles trouvés dans le corps humain.
La particule appelée NCC (nano-cellulose cristalline) est présente dans les arbres.
Janelle Tam, arrivée au Canada de Singapour il y a cinq ans, a été la première à montrer qu'elle est un antioxydant puissant, potentiellement supérieur aux vitamines C ou E, car elle est plus stable et son action dure plus longtemps. Elle a réussi à la «coupler» chimiquement avec des nano-particules de carbone, les buckminsterfullerènes ressemblant par leur forme au ballon de football, ce qui leur vaut le surnom de footballène.

«Comme un aspirateur»

Le «couple» agit «comme un aspirateur», neutralisant les radicaux libres.
La NCC, dont la grandeur se mesure en millièmes de cheveu humain, est non-toxique, stable, soluble dans l'eau et renouvelable, puisqu'elle vient des arbres, a indiqué la jeune chercheuse cité dans le communiqué.
Ses utilisations potentielles sont virtuellement illimitées, souligne le document, car elle est plus forte que l'acier mais souple, durable et ultra-légère. Un institut national de recherche sur les forêts, FPInnovations, prédit que son marché pourra valoir jusqu'à 250 millions de dollars dans la décennie à venir.
La première usine de démonstration de NCC a ouvert ses portes en janvier dernier sur le site de l'usine de pâtes et papiers de Domtar, à Windsor au Québec.


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