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mercredi 3 avril 2013

La microfibre de cellules pour reconstruire les tissus vivants

Innovation - Des tissus vivants reconstruits grâce à une microfibre de cellules
 
Photo 18percentgrey / Fotolia


PARIS - Des chercheurs japonais sont parvenus à créer artificiellement des microfibres bourrées de protéines et de cellules, qui peuvent ensuite être pliées et tissées pour reproduire certaines fonctions des tissus vivants.

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Shoji Takeuchi, de l'Institut de science industrielle de Tokyo, et son équipe, sont ainsi parvenus à stabiliser le taux de sucre d'une souris diabétique à laquelle ils avaient implanté une de leur création renfermant des cellules du pancréas sécrétant de l'insuline.
Ces «microfibres cellulaires» pourraient à terme permettre aux médecins de reconstruire «in vivo» des tissus musculaires, des vaisseaux sanguins ou des réseaux nerveux, estiment les chercheurs, qui publient leurs travaux dimanche dans la revue scientifique britannique Nature Materials.
Les scientifiques savent depuis longtemps fabriquer des microfibres à base d'hydrogel artificiel - un gel polymère contenant une très forte proportion d'eau - et les combiner pour former des structures en 3D. Mais ces gels n'étant pas des constituants naturels des enveloppes de la cellule, ils ne sont pas capables de reproduire les liaisons cellulaires caractéristiques des tissus vivants.
Quant aux protéines constituant l'enveloppe des cellules (protéines extracellulaires), comme le collagène ou la fibrine, elles demandent beaucoup plus de temps pour se gélifier et ne peuvent donc pas remplacer l'hydrogel artificiel avec ces techniques classiques.
Pour réaliser leurs «fibres cellulaires», les chercheurs japonais ont donc procédé en plusieurs étapes.
D'abord, ils ont utilisé une sorte de micro-seringue pour créer un minuscule tube d'hydrogel artificiel classique, un boyau fourré comme un boudin d'un mélange de protéines et du type de cellules souhaité.
Bien protégé par ce tube d'hydrogel, les protéines ont tout le temps nécessaire pour se transformer à leur tour en un gel solide, tandis que les cellules du mélange se multiplient confortablement dans un milieu propice.
Dernière étape du procédé: une enzyme digère l'hydrogel artificiel et libère la fibre cellulaire de son moule.

Briques pour la reconstruction

Trois types de protéines et dix sortes de cellules différentes ont été testées avec succès pour produire une fibre au diamètre microscopique mais mesurant jusqu'à un mètre de long, souligne l'étude.
Shoji Takeuchi et son équipe ont ensuite voulu tester les capacités de leur invention.
Une fibre fabriquée à partir de cellules cardiaques de rat commençait à se contracter spontanément au bout de trois jours, faisant bouger la totalité de la structure.
Une autre fibre, incorporant des cellules qui tapissent les veines humaines (endothéliales), fabriquait au bout de quatre jours une réplique de vaisseau sanguin. Une troisième, réalisée à base de cellules cérébrales de rat, parvenait à créer un réseau de neurones le long de ce tube.
Mieux encore, les chercheurs ont ensuite tissé trois fibres cellulaires, d'une longueur totale de 2,5 mètres, pour produire une sorte d'étoffe de 2 cm sur 1 cm, elle-même pliée pour aboutir à une structure en trois dimensions.
Pour les auteurs, c'est la preuve que leurs «fibres cellulaires peuvent servir de briques pour des assemblages de tissus plus complexes» dont les fonctions peuvent être régulées en faisant communiquer entre elles les cellules qui les composent.
Grâce à une fibre de 20 cm de long renfermant des cellules pancréatiques, pliée puis implantée dans le rein d'une souris diabétique, ils ont stabilisé son taux de sucre dans le sang durant au moins 13 jours.
Le procédé pourrait être perfectionné grâce à d'autres «techniques d'assemblage, comme le moulage, l'impression ou l'auto-assemblage», pour reconstruire des tissus complexes à grande échelle où «les vaisseaux sanguins et réseaux nerveux seraient intégrés organiquement à d'autres types de cellules», estiment les auteurs.


Une «super-Jupiter» avalée par un trou noir

Selon des astrophysiciens - Une «super-Jupiter» avalée par un trou noir
 
Photo HO / Nasa / AFP


GENÈVE - Des astrophysiciens de l'Université de Genève (UNIGE) ont détecté une «super-Jupiter» se faisant avaler par un trou noir dans une galaxie située à 47 millions d'années lumières.

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L'observation a été réalisée grâce au satellite européen INTEGRAL, auquel collaborent également la NASA et la Russie.
Placé en orbite depuis 2002, ce satellite astronomique de quatre tonnes étudie les rayons gamma.
Au cours de leurs recherches, les scientifiques, qui gèrent à Genève le Centre de données de la mission INTEGRAL, ont remarqué un signal lumineux qui émanait d'un trou noir localisé au centre de la galaxie NGC 4845, d'une masse 300 000 fois supérieure à celle du Soleil et endormi depuis plus de 30 ans, a indiqué mardi l'UNIGE dans un communiqué.
«Cette observation était totalement inattendue venant d'une galaxie tranquille pendant au moins vingt à trente ans», relève Marek Nikojuk, de l'université de Bialystok en Pologne, le principal auteur d'un article paru dans la revue Astronomy and Astrophysics.

Ce trou noir s'est réveillé en absorbant une planète dont la masse correspond à quinze fois celle de Jupiter.
Selon cette découverte, qui fait l'objet d'une publication dans la revue Astronomy and Astrophysics, le trou noir a mis trois mois pour détourner cette «super-Jupiter» de sa trajectoire et avaler 10% de sa masse totale, tandis que la plus forte densité reste en orbite.

Les astronomes estiment qu'il y a presque autant de planètes errantes que d'étoiles dans la galaxie.



jeudi 28 février 2013

Lundi - Le Canada lancera deux satellites
Satellite Canadien qui détectera des astéroïdes :

Le satellite NEOSSat  
Photo DRDC / Agence QMI

Le Canada lancera deux satellites

Le Canada procédera lundi au lancement des satellites NEOSSat et Sapphire à partir du centre spatial Satish Dhawan, en Inde.

Le Satellite de surveillance des objets circumterrestres (NEOSSat), le premier télescope spatial au monde servant à détecter et à suivre les astéroïdes et les satellites, sera mis en orbite à environ 800 km au-dessus de la Terre.

NEOSSat, qui a la taille d'une valise, fera le tour de la planète toutes les 100 minutes pour examiner l'espace à proximité du Soleil, afin de détecter des astéroïdes qui pourraient éventuellement s'approcher de la planète et, dans un deuxième temps, de surveiller les objets en orbite pour aider à minimiser les collisions entre ces objets.

«Il balaiera le ciel à la recherche de satellites et de débris spatiaux, le Canada s'étant engagé à assurer la sécurité de l'espace orbital pour tout le monde», a mentionné l'Agence spatiale canadienne par voie de communiqué.

«Contrairement aux télescopes au sol, NEOSSat présente l'avantage considérable de pouvoir suivre les satellites et les débris spatiaux dans un grand nombre d'endroits, a précisé le communiqué, sans être limité par son emplacement géographique, le cycle jour-nuit ou les conditions météorologiques.»

Selon le site spaceflightnow.com, le centre spatial procédera également au lancement de Sapphire, le premier satellite militaire canadien, destiné à détecter les débris orbitaux afin d'éviter qu'ils entrent en collision avec la station spatiale.

Parmi les autres satellites lancés, on retrouvera aussi l'engin franco-indien SARAL, qui surveillera la hauteur des eaux et des glaces de la Terre.



REF.:

lundi 25 février 2013

Le Canada lance son premier satellite militaire

Sapphire - Le Canada lance son premier satellite militaire
 
Photo Forces Canadiennes


OTTAWA – Le premier satellite militaire opérationnel spécialisé du Canada, appelé Sapphire, a été lancé lundi matin, à Sriharikota, en Inde.

Aussi sur Canoe.ca:
Le Canada lancera deux satellites le 25 février
Lancé par l’Organisation indienne de recherche spatiale, Sapphire va permettre de suivre des objets créés par l’humain en haute orbite terrestre.
«L’investissement dans le satellite Sapphire est judicieux, puisqu’il aidera à protéger des milliards de dollars en biens spatiaux dans différents domaines, comme les télécommunications, la météorologie, les activités de recherche et sauvetage et les systèmes mondiaux de localisation», a affirmé le ministre de la Défense, Peter MacKay, dans un communiqué, lundi matin.
Les données de ce satellite seront fournies au Space Surveillance Network des États-Unis.
Cet organisme répertorie et suit plus de 22 000 objets artificiels dans l’espace.
Ottawa a souligné que Sapphire pourra commencer à contribuer au réseau d’ici le mois de juillet.
Sapphire a été construit et développé par MacDonald, Dettwiler and Associates (MDA).
«Le coût total du projet Sapphire, qui comprend le coût de construction, de développement, les coûts budgétés pour les infrastructures au sol, le centre des opérations et les frais de personnel, est inférieur à 100 millions $», a affirmé la Défense nationale.
 



REF.:

mardi 5 février 2013

Matière sombre et Neutralino


La matière sombre

L'identification de la nature de la matière noire est l'une des questions majeures de la physique contemporaine. Un ensemble d'observations astrophysiques convergentes (mesures des anisotropies du fond de rayonnement cosmique, études de luminosité des supernovae lointaines, études de la distribution de matière dans les amas de galaxies, ...) permet de conclure que la matière ne contribue que pour un tiers à la densité de l'univers (ΩM ~ 0.3) :

  • Les protons et les neutrons, qui constituent les noyaux des atomes (matière baryonique, capable d'émettre ou d'absorber le rayonnement), ne représentent eux-mêmes qu'une petite fraction de ce tiers de matière (ΩB ~ 0.04).
  • La plus grande part de la matière dont est fait l'univers est donc invisible, non baryonique, et de nature inconnue ! Dans notre propre Galaxie, au voisinage du Soleil, cette densité de 'Matière Noire' est voisine de 0.3 GeV/cm³ et la recherche d'une possible contribution de nature baryonique sous forme d'objets compacts, massifs et invisibles (expérience EROS).

En astrophysique, les WIMPs (acronyme anglais pour « particules massives interagissant faiblement » — wimp signifie aussi « mauviette » dans cette langue) sont des particules hypothétiques constituant une solution au problème de la matière noire.
Ces particules interagissent très faiblement avec la matière ordinaire (nucléonsélectrons), leur section efficace d'interaction est de l'ordre du picobarn. C'est cette très faible interaction, associée à une masse importante (de l'ordre de celle d'un noyau atomique), qui en font un candidat crédible pour la matière noire.

Cette Matière Noire non baryonique pourrait être constituée d'un nouveau type de particule élémentaire, massive et interagissant faiblement, génériquement appelée WIMP (Weakly Interacting Massive Particle). Reliques thermiques du Big Bang durant lequel elles auraient été créées, piégées dans le champ de gravitation des galaxies, ces WIMPs ont naturellement une densité de l'ordre de ΩM. Or les théories supersymétriques, qui permettent d'unifier les quatre interactions fondamentales, prédisent justement l'existence de nouvelles particules élémentaires, massives et interagissant extrêmement faiblement avec la matière. La plus légère de ces particules, le neutralino, pourrait être stable et apparaît comme l'un des candidats WIMP les plus sérieux.

Les neutralinos sont des «particules exotiques» de charge électrique neutre dont la masse serait de quelques centaines de giga-électronvolts, c’est-à-dire entre 100 et 500 fois la masse d’un proton. Ces particules nous traversent continuellement sans qu’on s’en rende compte et traversent même la Terre de part en part sans dévier de leur trajectoire.
«Les neutralinos ont été formés lors du bigbang et ont produit des “nuages” qui ont donné naissance aux galaxies, explique Victor Zacek, directeur du projet PICASSO. L’hypothèse actuelle veut que les galaxies soient entourées d’une immense bulle de neutralinos qu’on ne voit pas mais dont on peut détecter la présence par leur interaction gravitationnelle.»


En physique des particules, le neutralino est une particule hypothétique, prédite par supersymétrie. Il est représenté par le symbole \tilde{\chi}^0_i, avec i un nombre entre 1 et 4.
Le neutralino est une combinaison de trois superpartenaires : le photino (partenaire supersymétrique du photon), le zino (partenaire du boson Z0) et le higgsino (partenaire du boson de Higgs). En effet, lors de la brisure de la supersymétrie qui donne la masse aux partenaires supersymétriques de particules connues, les superpartenaires des bosons de jauges standard se mélangent et ne sont donc pas états propres de masses.
Les mesures récentes au CERN indiquent que sa masse est supérieure à 46 GeV/c2 1.
Le neutralino est, en théorie, stable car il est la particule supersymétrique la plus légère, et donc très abondant au point de représenter l'essentiel de la matière de l'Univers. Il fait à ce titre l'objet de nombreuses recherches. La détection de neutralinos peut être directe par interaction dans un détecteur (recherche menée notamment en France par la collaboration EDELWEISS), ou indirecte, via la recherche des produits d'annihilation (photon, neutrino, positrons, antiprotons), Ces recherches sont menées grâce aux observations des télescopes terrestres (HESSANTARESIceCube) ou embarqués sur satellites (FERMI-GLAST,PAMELA).


Les MACHOs sont des objets hypothétiques compacts et sombres pouvant errer dans le halo galactique. Le nom est l'acronyme de Massive Astronomical Compact Halo Object.
Ils constituent une possible solution au problème de la matière noire galactique. Deux expériences majeures, MACHO (États-Unis d’Amérique) et EROS (France), ont recherché à partir de 1990 ce type d'objet en observant des millions d'étoiles appartenant à deux galaxies naines satellites de la Voie lactée, les nuages de Magellan, et en utilisant l'outil des microlentilles gravitationnelles.
Les résultats obtenus sont contradictoires : les premiers estiment avoir observé un signal positif à hauteur de 16 % en masse du halo galactique pour des objets d'environ 0,4 masse solaire, à l'inverse les seconds rejettent l'hypothèse d'existence de MACHOs dans une gamme de masse entre 10-7 (masse de la Lune) à 30 masses solaires. D'autres expériences sont en cours : SuperMACHO, Point-Agape, MEGA et WeCapp.
Chaque seconde 1 Millard de neutralino nous traverse le corps sans laisser la moindre trace.





vendredi 14 décembre 2012

Hubble plus qu'a 380 millions d'années du Big Bang

Nasa - Hubble remonte le temps vers le Big Bang
Une des galaxies observées par le télescope spatial Hubble. 
Photo AFP / ESA / Hubble

Hubble remonte le temps vers le Big Bang

WASHINGTON - Le télescope spatial Hubble a récemment observé les galaxies les plus lointaines jamais vues, a annoncé la NASA mercredi, une découverte «archéologique» sur les origines de l'univers qui permet de comprendre un peu mieux ce qui s'est passé après le Big Bang.Ces observations, effectuées sur six semaines en août et septembre, ont permis de découvrir sept nouvelles galaxies, dont la plus ancienne est âgée de 13,3 milliards d'années, soit 380 millions d'années après le Big Bang.
La dernière avancée de taille en la matière portait sur une galaxie qui remontait à 500 millions d'années après le Big Bang.
Cette nouvelle découverte annoncée mercredi rapproche donc encore un peu plus les scientifiques de l'aube de l'Univers, les tout premiers temps après le Big Bang à propos desquels tellement de questions restent pour l'heure en suspens.
«C'était une campagne d'observation très ambitieuse, on a pu remonter jusqu'à 13,3 milliards d'années, quelques millions d'années après le big bang. A cette époque l'univers n'avait que 3% de son âge actuel», a expliqué lors d'une conférence de presse Richard Ellis, astrophysicien à l'Institut de technologie de Californie à Pasadena, qui a participé à cette étude.
«En tout sept nouvelles galaxies ont été découvertes, la plus ancienne date de 380 millions d'années après le big bang», a ajouté Abraham Loeb, du département d'astronomie à l'Université de Harvard.
«Regarder ces premières galaxies permet d'en apprendre beaucoup sur les conditions des premiers temps après le Big Bang, d'apprendre plein de choses sur nos origines. On a ainsi pu observer que ces galaxies étaient 1000 fois plus denses que nos galaxies actuelles», a-t-il ajouté.

Regarder encore plus loin


«Ces images sont comme la première échographie d'un bébé. Ce sont les plus vieilles recherches archéologiques dont nous disposons sur les origines de l'univers», a encore affirmé M. Loeb.
L'âge estimé de l'univers est de 13,7 milliards d'années. Ces nouvelles galaxies très lointaines donnent une image précise des origines de l'univers car elles nous apparaissent aujourd'hui telles qu'elles étaient il y a 13,3 milliards d'années, 300 à 400 millions d'années après le big bang, précise la Nasa.
Le télescope Hubble, lancé en 1990, a été poussé à fond: il a pris des images en lumière quasi infrarouge avec des temps de pose plus longs que d'habitude et en utilisant efficacement ses filtres de couleur.
«C'est la première fois en 23 ans qu'on a pu utiliser Hubble à pleine capacité», s'est félicité Richard Ellis.
«Pour trouver les premières galaxies il faudra regarder encore plus loin, mais plus on regarde loin, moins il y a de lumière, plus les galaxies sont petites», a repris Abraham Loeb.
Celui-ci attend donc avec impatience le lancement, d'ici au mieux cinq ans, du successeur d'Hubble, le télescope spatial à infrarouge «James Webb Space Télescope/JWST».
Ce sera le plus grand télescope jamais déployé dans l'espace, avec un miroir principal d'un diamètre total de 6,5 mètres, près de trois fois celui de Hubble. Il pourra capter six fois plus de lumière et cela devrait permettre de remonter encore plus loin, peut-être même de révéler le moment même de la création de l'univers.
«Nous n'avons découvert que la partie émergée de l'iceberg», a conclu Richard Ellis.


REF.:

samedi 1 décembre 2012

«NGC 1277»,le plus gros trou noir jamais observé

Galaxie lointaine - Découverte du plus gros trou noir jamais observé
Représentation artistique d'un trou noir 
Photo A. Hobart / NASA / CXC / AFP

PARIS - Des astronomes pensent avoir découvert le plus gros trou noir jamais observé, un monstre doté d'une masse équivalent à 17 milliards de fois celle de notre Soleil, tapi au coeur d'une lointaine galaxie.
Ce trou noir est si gigantesque qu'il représente 14% de la masse totale de sa galaxie, contre seulement 0,1% habituellement. Une proportion tellement élevée qu'elle pourrait contraindre les spécialistes à réviser leurs théories sur la formation des galaxies, estiment-ils.
Le monstre «NGC 1277» est situé à 220 millions d'années-lumière de nous, dans une galaxie dix fois plus petite que notre Voie Lactée. La gueule du trou noir est énorme: onze fois plus large que l'orbite de la planète Neptune autour du Soleil.
«C'est vraiment une galaxie insolite», résume dans un communiqué Karl Gebhardt, de l'Université du Texas à Austin.
«C'est presque entièrement un trou noir. Elle pourrait constituer le premier objet d'une nouvelle classe, les trous noirs galactiques», ajoute le chercheur, co-auteur de l'étude publiée mercredi par la revue britannique Nature.
NGCC 1277 est à coup sûr le deuxième plus gros trou noir identifié, et il pourrait bien ravir la première place du classement. La masse du numéro un actuel, découvert en 2011 seulement, n'a pas encore été calculée précisément et oscille entre 6 et 37 milliards celle du Soleil.
Les trous noirs sont les forces les plus puissantes dans notre Univers, créant un champ gravitationnel si intense que même la lumière ne peut s'en échapper.
Un trou noir de masse stellaire se forme lorsqu'une très grosse étoile s'effondre sur elle-même à la fin de sa vie. Il peut alors continuer à grandir en engloutissant d'autres étoiles ou fusionner avec d'autres trous noirs, ce qui crée parfois ces trous noirs supermassifs qui occupent le centre des galaxies.
Mais NGC 1277 remet en question cette théorie par sa taille disproportionnée par rapport à sa galaxie hôte.
D'autres études sont nécessaires pour déterminer si ce trou noir hors-norme est unique en son genre ou s'il est révélateur d'un mécanisme de formation cosmique jusque là ignoré.
«La galaxie hébergeant ce nouveau trou noir semble s'être formée voici plus de huit milliards d'années, et ne paraît pas avoir beaucoup changé depuis lors», souligne l'Institut Max Planck, qui a dirigé l'étude.
«Quel que soit le processus ayant donné naissance à ce trou noir géant, il a dû se produire il y a très longtemps», selon l'Institut.



REF.:

jeudi 22 novembre 2012

Vous avez une dent contre votre dentiste ;-)

C'est la piqure ?
Ahhhhhhhhhhhhhhhtatatoutitoto;-)
Nonnnnnnnnnnnnn,maintenant c'est pas comme dans l'ancien temps.
Le client arrive stressé, parle pas beaucoup,il vous dit que sa fait pas mal,vous vous assisez et votre tour ne vient pas,................vous entendez l'enfant avant vous qui cri et pleure,la moman est pas contant laaaaaaaaa.
On nomme votre nom et vous pensez que c'est un autre que vous,un clone qui devrait y allez a votre place.La,ça vous dérange pas que quelqu'un passe  devant vous !
Mais,non............vous vous assisez raide comme une barre et la senteur du chloroforme vous rend nerveux,il n'y a plus de musique dans la pièce et y fait froid loin de la fenêtre LOL ! Y vous pique sa fait mal ,vous vous dites faut que j'fasse mieux que le bébé qui a passé avant moi,mais je ne veut pas de balloune après!
Quand y vous pique une larme coule de votre oeil et vous avez hâte de sortir d'icitte pour pouvoir crier seul en plein bois géritole.
La,le dentiste me gèle tellement raide que j'ai le cou enflé,quand y me parle je parle comme donald duck,onb dirait que je commence a voir des points noir.Ma pression monte dans l'plafond,mon sang circule vers le site d'agression et c'est sûre que ça va gicler!Non,........la petite voix du yâbe dans ma tête,me dit que mes dents sont barrés et que y wouête oubligé de mes casser en deux pour les enlever.

Soudain,le dentiste demande a son asisstante, qui est même pas belle,un pique a glace,.......il essaye mais ,je crois que ça va prendre une barre a clou.Il me dit bouger pas et ouvrez grand ! J'essaye mais ,la le dentiste dit a son asisstante ,si il y a du gaz de mit dans chain-saw @%$##?%$??coulaillle ! Je commence a capotter pas a peu près,je manque de respire.

C'est la que je me réveille avec la moitié de l'oreillier dans yeulle !
;0) Hahahahaaaaaaaaaaa;-)






Non,rien de vrai la dedans,arracher une dent avec une bonne assurance dentaire ,peut couter entre 180 et 490$,donc 20 % de ça soit entre 50 et 100$ de vos poches ,si vous avez eut une radiographie comme moi et a avoir enlever une racine de dent plus une dent de sagesse avec points de souture et nettoyage de l'abcès c'est 489$ ,soit 100$ environ !

Ça fait tu mal ? Nonnnnnnnnnn!
Même pas au porte-feuille,le dentiste prend la peine de vous expliquez et pendant l'extraction vous avez de la musique relaxante.Il vous met a l'aise ,met un tampon contre la gencive pour geler celle-ci afin que vous ne sentiez pas l'aiguille.Et c'est vrai aucun malaise et il vous reste a vous détendre et vous changer les idées.La petite voix qui est dans votre tête folle ,vous dira ,ayoye,mais c'est faux ,vous êtes gelé,il n'y a aucum mal ,le dentiste fait sa job,...............alors faîtes votre yoga mental et tout va bien allez . Allez-up cascade !



REF.: allez googler ça,

dimanche 14 octobre 2012

Les hémorroïdes: rien de pire que se gratter

Les hémorroïdes  au sens premier, sont les veines présentes au niveau des muqueuses de l'anus et de la partie basse du rectum. Dans l'usage courant, les hémorroïdes désignent principalement la dilatation variqueuse et l'inflammation de ces veines, alors appelées veines hémorroïdaires.Les hémorroïdes sont une dilatation des veines de la zone anale (anus et rectum) et du tissu les entourant, un phénomène semblable aux varices qui peuvent apparaître sur les jambes.

Causes

  • Les antécédents familiaux ne sont pas toujours une cause suffisante pour expliquer l'apparition d'hémorroïdes, cependant ils pourraient permettre de détecter un terrain favorable aux crises.
  • Une alimentation fréquemment riche en piment, par exemple.
  • La manipulation fréquente de charges lourdes qui induisent une pression excessive dans la cavité abdominale (les métiers physiques sont concernés, comme les déménageurs par exemple).
  • Le travail dans des conditions assises est un facteur important, qu'il s'agisse d'un travail dans un véhicule (chauffeur de camion, taxi, bus…) ou derrière un bureau sur de longues durées, ne favorisant pas la circulation dans les jambes.
  • Une constipation chronique est facteur important. Les mauvaises habitudes alimentaires et le stress en sont les principales causes et ces points doivent être corrigés si l'on souhaite éviter la ré-apparition des symptômes.
  • Certaines molécules peuvent être en cause, tels des laxatifs s’ils sont utilisés sur une longue période, ou certains opiacés (médicaments ou non).
  • L'accouchement et la grossesse.
  • Les activités s'accompagnant d'un blocage respiratoire, responsable d'une hyperpression abdominale maintenue. L'une des erreurs communes étant celle de « forcer » en retenant son souffle lors d'une constipation.

Traitement curatif

En général, les hémorroïdes se soignent efficacement à l’aide de traitements symptomatiques simples qui atténuent la douleur et réduisent l’inflammation. Enfin, une attention particulière doit être accordée à l’hygiène de la région anale, sans toutefois tomber dans l’excès, le savon pouvant aussi être une cause d’irritation. Toutes ces mesures permettent de résoudre la crise puis d'en prévenir d'autres dans plus de la moitié des cas.


Donc, rien de pire que se les gratter avec vos mains non hygiéniques,mettez du savon mes amis,et un peu de crème a main peu suffire.Vos hémorroïdes piquantes disparaîtront et votre séjour a l'hôpital sera éviter.Vous ne ferez plus parti des 30% qui en souffre.

REF.:

samedi 28 juillet 2012

Le Canada contribue à la construction du plus puissant télescope au monde

Exploration spatiale - Le Canada contribue à la construction du plus puissant télescope au monde
Le télescope Webb, successeur de Hubble, sera lancé en 2013 afin d'explorer la formation des premières étoiles et galaxies de l'Univers.  
Photo courtoisie


OTTAWA – Le fabricant de sous-systèmes informatiques spatiaux COM DEV a annoncé mercredi avoir terminé la fabrication des deux instruments conçus pour le télescope spatial James Webb, qui remplacera le télescope spatial Hubble en 2018.
Les deux instruments, qui cohabiteront sur la même plateforme, sont un détecteur de guidage de précision et un imageur dans le proche infrarouge et spectrographe sans fente.
Posté à 1,5 million de kilomètres de la Terre, le télescope Webb examinera, grâce à ces deux instruments, la formation des premières étoiles et galaxies après le Big Bang, la création de nouvelles étoiles ainsi que les exoplanètes propices au développement de la vie.
Il sera le successeur du très prolifique télescope spatial Hubble lancé il y a 22 ans. «Contrairement à Hubble qui est en orbite autour de la Terre à quelques 400 km de sa surface, Webb sera localisé à plus de 1,5 millions de km de notre planète, soit cinq fois la distance Terre-Lune.
À cette distance, ses instruments seront dans un environnement stable et d'une extrême froideur. En effet, protégés du Soleil par son écran solaire de la taille d'un terrain de tennis, Webb et ses instruments seront refroidis à -230 C, ce qui permettra d'atteindre des sensibilités et des précisions inégalées», explique le professeur Doyon, du Département de physique de l'Université de Montréal (UdeM) et chercheur au Centre de recherche en astrophysique du Québec (CRAQ).
«C'est de loin le télescope le plus puissant au monde, beaucoup plus évolué que Hubble, a expliqué à l'Agence QMI le ministre de l'Industrie et ministre responsable de l'Agence spatiale canadienne, Christian Paradis. La technologie canadienne contribuera à générer 40 % du visuel de ce nouveau télescope.»
Grâce à cette contribution, les scientifiques canadiens pourront bénéficier de 5 % du temps d'observation une fois que l'appareil sera lancé en orbite.
La livraison des instruments canadiens à la NASA, qui est prévue la semaine prochaine, est le point culminant d'une collaboration de dix ans avec l'Agence spatiale canadienne, selon M. Paradis. La construction des deux instruments est évaluée à 136 millions $.
Le télescope spatial James Webb est un projet conjoint de la NASA, de l'Agence spatiale européenne et de l'Agence spatiale canadienne.



 
 



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jeudi 12 juillet 2012

Des astronomes découvrent une cinquième lune autour de Pluton

Astronomie - Des astronomes découvrent une cinquième lune autour de Pluton
Représentation de la Terre et de la distance qui la sépare des autres planètes et de Pluton. 
Photo NASA / AFP

WASHINGTON - Des astronomes ont découvert avec le télescope spatial Hubble une cinquième lune en orbite autour de la planète naine Pluton dans notre système solaire, a annoncé mercredi la NASA.
Cette lune, visible dans les images de Hubble comme une tache de lumière, est apparemment de forme irrégulière et mesure de 10 à 25 km de diamètre.
Elle est sur une orbite circulaire de 95 000 kilomètres de diamètre autour de Pluton.
«Les lunes de Pluton sont sur des orbites de différentes tailles qui semblent parfaitement s'emboiter les unes dans les autres un peu comme des poupées russes», relève Mark Showalter, de l'Institut SETI et responsable de l'équipe scientifique qui a fait cette découverte.
Ces astronomes sont intrigués par le fait qu'une planète aussi petite puisse avoir une collection aussi complexe de satellites naturels.

La découverte de cette nouvelle lune appelée P5 fournit des indices supplémentaires sur la formation et l'évolution de Pluton et de ses lunes.
Selon la théorie la plus souvent avancée toutes ses lunes seraient le résultat d'une collision il y a des milliards d'années entre Pluton et un gros astéroïde de la ceinture dite de Kuiper, qui en contient un très grand nombre.
Charon, la plus grosse lune de Pluton, avait été découverte en 1978.
En 2006, des observations de Hubble avaient débusqué deux autres lunes, Nix et Hydra. Enfin en 2011, les données recueillies par Hubble avaient permis de mettre au jour une autre lune dite P4.
La sonde New Horizons de la NASA est actuellement en route pour effectuer un survol à grande vitesse de Pluton en 2015.
New Horizons devrait ainsi transmettre les premières images détaillées de la planète naine et de ses lunes.
Les astronomes comptent les années suivantes sur le système d'imagerie infrarouge du successeur de Hubble, le James Webb Space Télescope, pour des observations encore plus détaillées comme la composition chimique de la surface de Pluton et de ses lunes ainsi que de nombreux astéroïdes évoluant dans la ceinture de Kuiper plus lointaine.


REF.:

Des astronomes observent pour la première fois des galaxies noires

Chili - Des astronomes observent pour la première fois des galaxies noires
Image saisie par Hubble de la galaxie spirale NGC 2841. 
Photo HO / NASA / AFP

SANTIAGO - Une équipe internationale d'astronomes a pu observer pour la première fois des galaxies noires, une des premières phases de la formation des galaxies, a annoncé mercredi l'Observatoire Européen Austral (ESO).

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Découverte d'une cinquième lune autour de Pluton
Dans un communiqué, l'ESO, une organisation intergouvernementale, indique «que les galaxies noires correspondent à l'une des premières phases de la formation des galaxies envisagée par la théorie, mais qui n'avait jamais été observée jusqu'à présent».
Les galaxies noires «sont de petites galaxies riches en gaz de l'univers primordial qui ont beaucoup de mal à former des étoiles» et «sont supposées être les blocs élémentaires des galaxies lumineuses et riches en étoiles», précise l'ESO.
Cette découverte a pu être réalisée depuis l'observatoire astronomique le plus avancé au monde situé sur le Mont Paranal dans le désert chilien de l'Atacama (nord) qui abrite le Très grand télescope (VLT, Very Large Telescope).
Celui-ci a pu détecter les galaxies «en les voyant briller alors qu'ils étaient illuminés par un quasar», indique le communiqué.
Selon l'ESO, les astronomes supposent qu'elles ont «dû fournir la majorité du gaz des grandes galaxies qui par la suite a formé les étoiles qui existent actuellement».
«Notre approche du problème de détection des galaxies noires a été simplement de les éclairer avec une lumière puissante» a expliqué un astronome, Simon Lilly, cité dans le communiqué.
«Avec cette étude, nous avons fait un pas capital vers la découverte et la compréhension des premières et obscures phases de la formation des galaxies et sur la manière dont les galaxies acquièrent leur gaz» a ajouté Sebastiano Cantalup, un autre chercheur ayant participé à cette étude.


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vendredi 15 juin 2012

Télescope NuSTAR Les trous noirs seront mis à nu

Télescope NuSTAR - Les trous noirs seront mis à nu
Représentation artistique de ce qu'a l'air NuStar, un télescope mis en orbite. 
Photo AFP / Randy-Beaudoin / NASA

WASHINGTON - La Nasa a lancé mercredi avec succès son télescope NuSTAR à rayons X pour mieux scruter l'univers, et plus particulièrement les trous noirs, grâce à une résolution sans précédent qui permettra de mieux comprendre l'évolution du cosmos.

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La fusée Pegasus XL de la firme américaine Orbital Science Corporation qui transportait NuSTAR, a été larguée en plein vol vers 16H00 GMT à 11 900 mètres d'altitude, d'un Lockeed L-1011, un gros tri-réacteur baptisé Stargazer, qui avait décollé une heure avant de la piste de l'atoll de Kwajalein dans les îles Marshall du Pacifique.
La séparation du troisième étage de Pegasus est intervenu environ 13 minutes après le largage de la fusée du tri-réacteur. NuSTAR a ainsi atteint son orbite équatoriale à un peu plus de 600 kilomètres de la Terre comme prévu.
Le télescope se déploie
Le télescope a aussitôt commencé à déployer ses antennes solaires et à transmis peu après ses premiers signaux captés au sol via le système de satellites de la Nasa.
«Il apparaît à ce stade que nous avons un lancement réussi», a dit le commentateur de la télévision de la Nasa qui retransmettait en direct le lancement. «Le lanceur Pegasus a parfaitement fonctionné et nous sommes ravis», a déclaré Tim Dunn, directeur adjoint du lancement.
«NuSTAR va nous aider à comprendre comment notre univers a évolué depuis le Big Bang pour devenir aussi complexe aujourd'hui», avait expliqué fin mai lors d'une conférence de presse Paul Hertz, directeur de la division d'astrophysique au siège de la Nasa à Washington.
«Nous verrons les objets célestes les plus chauds, les plus denses et ceux qui sont le plus chargés d'énergie d'une façon radicalement nouvelle», a expliqué pour sa part Fiona Harrison, de l'Institut de Technologie de Californie et principale responsable scientifique de NuSTAR (Nuclear Spectroscopic Telescope Array).
Recensement des trous noirs
NuSTAR est le premier télescope spatial capable de créer des images cosmiques à partir de rayons X à haute énergie, du même type que ceux utilisés par la médecine pour voir notre squelette ou pour scanner les bagages dans les aéroports.
NuSTAR produira des images d'une résolution 10 fois plus grande que celles obtenues avec les télescopes actuels et sera cent fois plus sensible que ses prédécesseurs fonctionnant dans cette même partie du spectre électromagnétique.
Le télescope pourra ainsi capter la haute énergie des rayons X même à travers la poussière et le gaz qui obstruent l'observation des galaxies, des trous noirs et des étoiles à neutrons nichées au coeur de la Voie Lactée, notre galaxie.
Durant la première phase de deux ans de sa mission, NuSTAR cartographiera certaines régions du ciel pour procéder à un recensement des étoiles «effondrées» et des trous noirs de différentes tailles. Pour ce faire il scrutera les régions entourant le centre de la Voie Lactée.
Cette nouvelle mission complète celles menées par les télescopes à rayons X actuellement en fonctionnement: XMM-Newton de l'Agence spatiale européenne (ESA) et le Chandra de la Nasa.
Durant la semaine suivant sa mise sur orbite, l'équipe chargée de suivre NuSTART effectuera une série de vérifications pour s'assurer que tous les systèmes fonctionnent normalement, précise la Nasa.
Ensuite, les responsables de la mission lanceront une commande à NuSTAR pour le déploiement d'une sorte d'antenne métallique de dix mètres de long qui permettra au télescope de concentrer les rayonnements de rayons X afin d'obtenir des images.
À la différence des télescopes fonctionnant avec la lumière visible, les télescopes à rayons X nécessitent une longue distance entre les miroirs et les détecteurs pour concentrer ces rayonnements.
C'est un peu comme porter des lunettes à plusieurs dizaines de centimètres des yeux, explique la Nasa.


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