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vendredi 4 octobre 2013

Cellulaires volés vérifier la liste : protegezvosdonnees.ca

http://www.protectyourdata.ca/fr

Les appareils sans fil volés ne seront plus activés

OTTAWA - Les voleurs et receleurs d'appareils intelligents devraient se faire beaucoup moins actifs à compter de maintenant, puisque l'industrie a lancé lundi une liste noire d'appareils déclarés volés ou perdus.
L'automne dernier, devant la pression des consommateurs et des forces policières, les télécommunicateurs sans fil canadiens s'étaient engagés à mettre en œuvre une telle liste afin d'aider à combattre ce type de vol en croissance.
Tout appareil sans fil utilisant les technologies GSM, HSPA, HSPA ou LTE déclaré volé ou perdu à compter du 30 septembre 2013 fera l'objet d'une vérification, lors du processus d'autorisation. Si l'identité numérique de l'appareil apparaît sur la liste noire, il ne sera pas réactivé.
Certains numéros d'identité de fournisseurs de télécoms américains seront aussi inscrits sur cette liste canadienne.
«Non seulement la liste noire nationale contribuera-t-elle à faire des téléphones intelligents une cible moins attrayante pour les criminels, mais l'industrie passe également à l'action pour aider les consommateurs canadiens à déterminer si un appareil seconde main a été déclaré perdu ou volé», a expliqué Bernard Lord, président et chef de la direction de l'Association canadienne des télécommunications sans fil.
Un consommateur pourra vérifier lui-même si le téléphone usagé qu'il veut acheter est un appareil perdu ou volé.
Il pourra visiter le site web protegezvosdonnees.ca qui lui permettra d'entrer tout simplement le numéro d'identité d'un appareil afin de déterminer sur-le-champ si l'appareil figure sur la liste noire.
Le site protegezvosdonnees.ca comprend aussi de l'information sur l'importance de protéger les données conservées sur les téléphones intelligents, ainsi que des conseils pour les aider à éviter de devenir des victimes de vols d'appareils.


mercredi 10 juillet 2013

Course technologique pour traquer les voleurs

Nouveaux moyens - Course technologique pour traquer les voleurs

Photo kmiragaya / Fotolia

PARIS - Bijoux géolocalisés, détecteurs de voleurs de cuivre, drones en ville... les entreprises en démarrage et les groupes industriels sont lancés dans une «course technologique» contre des délinquants qui ont toujours une longueur d'avance, s'accordent à dire des experts.
La dernière trouvaille d'Évolution, l'entreprise de six salariés en Haute-Savoie (Alpes françaises), est une montre-espion à la James Bond: malgré son aspect luxueux, volontairement ostentatoire, la montre qui abrite une puce GPS miniature finira comme mouchard sur le présentoir d'une bijouterie.
«Lors d'un braquage, dans l'urgence, les voleurs emportent souvent le présentoir et les policiers pourront alors les repérer avec une précision d'un ou deux mètres», explique Fabrice Foschia, le patron de la société, qui espère développer un jour des bijoux équipés de GPS.
Mais la joaillerie n'est pas le seul débouché du mouchard: des GPS miniatures peuvent aussi être installés en toute discrétion sur des oeuvres d'art ou sur les voitures de suspects.
«La tendance est à la traçabilité de la délinquance et à une plus grande automatisation de la surveillance», affirme Jean-Luc Logel, président d'Eden, le tout premier groupement européen d'entreprises innovantes de la sécurité et la défense, qui réunit 100 membres et emploie 7500 personnes.
La lutte contre la délinquance du quotidien, celle des rapines ou des intrusions, passe par des systèmes de détection humaine par imagerie thermique ou infra-rouge dans des espaces à ciel ouvert comme ceux qui stockent des matériaux en cuivre (sites SNCF - Société nationale des chemins de fer français - entrepôt de matériaux) mais aussi les sites sensibles tels que les centrales nucléaires.
«Nos contrats de surveillance périmétrique ont augmenté de 10% depuis les actions de militants écologistes qui se sont introduits dans des centrales nucléaires», ces derniers mois, affirme Yves Monneret, président du conseil de surveillance de Sorhea, 50 salariés à Vaulx-en-Velin, près de Lyon (centre-est).
Au côté de ces PME qui élaborent des solutions pour des besoins ciblés, des géants industriels déploient des programmes pour sécuriser des grands événements tels que les Jeux olympiques ou des espaces publics.

Les trafiquants de drogue, pros de l'écoute


À Mexico, le groupe de défense Thalès a intégré en 2010 un système de surveillance tentaculaire avec 10 000 caméras associées à des drones de surveillance, des détecteurs de coups de feu ou de mouvement de foule, mais aussi des boutons de «panique» permettant aux citoyens d'alerter les forces de sécurité.
Ce programme aurait permis, selon Thalès, de faire baisser la grande criminalité de 22% en trois ans dans cette agglomération célèbre pour sa violence.
Lundi et mardi, à Lyon, le 1er forum mondial des nouvelles technologies contre le crime, qui a pour ambition de devenir un «Davos de la sécurité», a mis en évidence «une course permanente à latechnologie», selon les mots employés par l'ancien juge antiterroriste français, Jean-Louis Bruguière.
«L'avantage est souvent aux malfaiteurs qui s'approprient facilement une technologie», avant que les États ne s'en emparent, a-t-il expliqué au cours d'une table ronde d'experts de la police et de la justice.
Une idée partagée par le criminologue Alain Bauer qui a rappelé que «les narcotrafiquants colombiens avaient eu dans le passé un système d'écoutes plus élaboré que celui des autorités».
«Si les braquages de banques sont en baisse grâce au renforcement de la sécurité, aujourd'hui des braqueurs numériques vident des comptes» en se faufilant dans des failles de sécurité pour récupérer des données bancaires, a expliqué au cours du forum Myriam Quemener, procureur-adjoint au Tribunal de grande instance de Créteil, près de Paris, et spécialiste de la cybercriminalité.
Quant aux braqueurs à l'ancienne, ils se sont eux aussi mis à la page en utilisant des systèmes de brouillage de caméras.

«La technologie, c'est en quelque sorte les deux faces d'une pièce : une opportunité qui peut être utilisée par les criminels mais aussi un moyen de les combattre», a dit en préambule de ce forum Ronald K. Noble, secrétaire général d'Interpol, en appelant les pouvoirs publics et les entreprises à unir leurs forces pour anticiper les besoins en sécurité.


REF.:

jeudi 9 décembre 2010

Les escros de Madoff : Les banques HSBC, JPMorgan Chase, UBS,UBP... !

Affaire Madoff - Accord avec un philanthrope américain, 625 M US$ restitués
Bernard Madoff
© AFP / STEPHEN CHERNIN

NEW YORK - Les États-Unis sont parvenus à un accord avec la famille du philanthrope américain Carl Shapiro, qui va restituer 625 millions de dollars de bénéfices provenant d'investissements dans le fonds de Bernard Madoff, afin de dédommager les victimes de l'escroc.

«Carl Shapiro et plusieurs personnes et entités lui étant liées ont accepté de renoncer à 625 millions de dollars aux Etats-Unis, dont la totalité sera mise à la disposition des victimes du fonds de Bernard Madoff», écrit mardi dans un communiqué le bureau du procureur fédéral de Manhattan, à New York.
«La distribution des fonds aux victimes sera gérée par Irving Picard», le liquidateur du fonds Madoff, ajoute le communiqué, qui précise que l'accord a été approuvé par un juge fédéral mardi.
«La famille Shapiro est heureuse d'avoir conclu cet accord avec le département américain de la Justice et avec le liquidateur», a de son côté commenté un conseiller juridique de la famille Shapiro dans un communiqué.
«Cet accord (...) est un bon exemple des progrès que nous faisons pour rassembler le plus de fonds possible au bénéfice des clients du fonds de Bernard Madoff» ayant perdu leur investissement lors de la plus grosse escroquerie boursière de l'histoire, a pour sa part commenté Irving Picard dans un communiqué séparé.
Carl Shapiro, âgé de 97 ans et domicilié à Boston, a été l'un des premiers clients de Bernard Madoff et a investi dans le fonds de l'ex-gestionnaire de fortune dès 1961, est-il précisé.
«La famille Shapiro ne conteste pas que son compte ait été le bénéficiaire de sommes provenant du fonds de Bernard Madoff qui étaient le résultat ou faisaient partie d'activités illégales perpétrées par Bernard Madoff et d'autres», détaille un compte-rendu judiciaire mis en ligne mardi.
Le liquidateur de l'affaire Madoff a jusqu'à la fin de la semaine pour porter plainte contre des complices présumés et réclamer des fonds au bénéfice des victimes.
Ces derniers jours, il a donc accéléré ses démarches et a réclamé au moins 9 milliards de dollars à la banque britannique HSBC et diverses entités associées, 6,4 milliards de dollars à la banque américaine JPMorgan Chase, et 2 milliards de dollars à la banque suisse UBS, les accusant de complicité avec l'escroc.
M. Picard a également annoncé un accord avec la banque suisse Union Bancaire Privée (UBP) qui va restituer un montant pouvant aller jusqu'à 500 millions de dollars.
Bernard Madoff, 72 ans, a été condamné en 2009 à 150 ans de prison pour cette escroquerie, estimée entre 23 et plus de 65 milliards de dollars, selon que l'on compte avec ou sans les intérêts.

Mise a part les Banques,Madoff (Juif d'origine) avec ses magouilles avait un rendement de 1%/mois de plus que les autres,et en tout temps ? wow ce qui est impossible a long terme !!!
Sa chaîne de Ponzi en ayant trop d'ampleur pour continuer,il savait que tout allait éclater un jour,et il a continué.
Il faisait accroire a ses clients ,de faire parti d'un club exclusif d'investisseur.
IL a harnaqué la communauté juive(ironique)de Palm Beach ou tous les riches sont installés.
Ensuite ,il a harnaqué les pauvres de Californie ,qui investissaient dans des fonds nourissiers ,qui alimentait les placements de Madoff.Il a fait perdre toute les économie de l'organisation caritative "Elie Wiesel" ,soit plus de 15$ Millions.
Presque tout les investisseurs de Wall Street le savaient et n'investissaient pas dans les fonds de Madoff.
Au 17 ième étage du chic Lipstick building de Madoff,il y avait plein de vieux computer et d imprimantes qui produisaient des reçus de transaction pour ses clients.IL n' a jamais changé ses imprimantes ou pc par une firme informatique craignant que l'on découvre son jeux.
Il gérait des placements que pour 11 à 25 clients selon la SEC12, pour un montant de 17 milliards USD13. Ces clients étaient des banques, des fonds et de grosses fortunes personnelles13 auxquelles il en était arrivé à offrir un taux de profit de 17 % par an14
Intrigué par les taux de profit proposés par Madoff, Harry Markopolos, un de ses concurrents, avait alerté dès 1999 par écrit la SEC, et concluait en 2005 : « Le plus grand hedge fund du monde est une escroquerie ».
Le fonds ayant accumulé d’énormes pertes, Madoff aurait alors monté un système de cavalerie ou vente pyramidale11 où il payait les intérêts des premiers investisseurs avec le capital apporté par les derniers entrés. Suite à la chute des marchés financiers fin 2008, certains clients ont souhaité retirer leurs fonds, faisant alors s’écrouler le système13. « Début décembre 2008, il devait faire face à des retraits de 7 milliards de dollars, alors qu'il disposait de moins de 1 milliard en banque »10. La SEC craignait que l’ensemble des actifs financiers du fonds ne soient en réalité fictifs12 et que la fraude n’avoisine les 50 milliards USD, ce qui en ferait la plus grande fraude réalisée par un seul homme.

Il était seulement 40% du temps a son bureau et le reste du temps en vacance dépensant son argent en France,a Palm Beach.....
Le 20 février 2009, le liquidateur de la société de Madoff a annoncé avoir retrouvé 650 millions USD27.
D'après le New York Times, 15,5 milliards de dollars auraient été remboursés par les banques à leurs 720 000 investisseurs hors des États-Unis, correspondant à l'ensemble des fonds investis hors intérêts28

Les complices et les bénéficiaires

Irving Picard, l'administrateur judiciaire chargé de liquider la société de Bernard Madoff estime à environ 2000 le nombre de personnes ou entreprises qui ont gagné de l'argent grâce à Madoff et a accusé environ 1000 d'avoir profité indûment de ce système, parmi eux la famille Levy qui a négocié un arrangement de 220 millions de dollars29,30,31 et la banque UBP avec qui l'arrangement porte sur environ 500 millions de dollars.
Irving Picard a déclaré que « Madoff n'a pas agi seul pour commettre la plus grande fraude financière de l'histoire », il a annoncé qu'il réclamait 6,4 milliards de dollars à la banque américaineJPMorgan Chase, principale banque du fonds de Bernard Madoff, deux milliards de dollars à la banque suisse UBS32 et neuf milliards de dollars à la banque britannique HSBC33. Il a également porté plainte contre Citigroup concernée à hauteur de 425 millions de dollars, BNP Paribas pour environ 400 millions de dollars, Legacy Capital, Capital Research, ABN AMRO, BBVA, Nomura et Merrill Lynch34,35.

Le dossier Kohn

Irving Picard soupçonne la banquière autrichienne Sonja Kohn d'être la complice principale de Madoff, « En Sonja Kohn, Madoff a trouvé une âme soeur criminelle, dont l'avidité et l'inventivité malhonnête égalaient la sienne », a t-il déclaré36.
Elle est accusée d'avoir "pendant plus de vingt ans, orchestré une vaste machination illégale". "M. Madoff payait Mme Kohn" qui rabattait l'argent de ses clients vers le fonds de M. Madoff, qui la payait secrètement en retour"37.
Dans la plainte centrée sur Sonja Kohn, Picard lui réclame 9,1 milliards de dollars de dommages et intérêts ainsi que 10.5 milliards à la banque qu'elle a fondée, à la banque italienne Unicredit, à sa filiale Bank Austria et à 53 autres personnes et entités.
« Compte tenu de l'étendue du montage Ponzi de Madoff, de la nature trompeuse des accusés et de la structure délibérément byzantine de Medici Enterprise, nous pensons que seront révélées encore plus d'informations relatives à l'ampleur réelle de cette entreprise criminelle », ajoute-t-il.
* on apprenait le 10 Dec 2010; que ,

Picard réclame 19,6 milliards de dollars de dommages et intérêts à Sonja Kohn ainsi qu'à la banque italienne Unicredit, à sa filiale Bank Austria et à 53 autres personnes physiques et morales.
Le Wall Street Journal avait révélé en février que les fils et le frère de Bernard Madoff sont visés dans des affaires de fraude fiscale bien qu'aucune inculpation n'ait été prononcée.
ET,le 11 Dec. ,le décès de Mark Madoff, âgé de 46 ans, intervient le jour du deuxième anniversaire de l'arrestation de son père, impliqué pendant une vingtaine d'années dans une escroquerie de grande ampleur dont le préjudice mondial a été évalué jusqu'à 65 milliards de dollars.

Le 17 Decembre 2010,un investisseur, Jeffry Picower, a succombé en octobre 2009 à une crise cardiaque en Floride alors que le liquidateur du fonds Madoff, Irving Picard lui réclamait 7,2 milliards de dollars.

Ses héritiers sont tombés d'accord pour verser la somme, la plus forte somme jamais bloquée (pour être ainsi restituée) dans l'histoire des États-Unis, a indiqué le procureur fédéral de New York Preet Bharara lors d'une conférence de de presse.
«L'intégralité des 7,2 milliards de dollars sera reversée aux victimes. Nous espérons donner l'argent l'année prochaine», a-t-il ajouté.
REF.: canoe, http://www.ft.com/cms/s/0/2428b572-016c-11e0-9b29-00144feab49a,dwp_uuid=b7a8d610-caaf-11dd-87d7-000077b07658.html#axzz17X3bkIuT

Madoff a eu des complicités jusque dans les banques dont la HSBC. Redifussion sur les ondes de RDI ("une heure sur terre ")dimanchè 12 décembre à 20 heures.

C'est de valeur que Radio-Canada a mit un voile sur son émission "une heure sur terre",et faire accroire au peuple,que Madoff est le gros méchand !


On apprenait ,le 19-11-2013 que , les États-Unis ont annoncé mardi un accord à l'amiable record de 13 milliards de dollars, qui était très attendu, avec la banque JPMorgan Chase pour mettre fin aux poursuites liées aux prêts hypothécaires à risque.
Cet accord «met fin aux plaintes fédérales et d'États américains sur le regroupement, la vente et la titrisation de produits adossés à des prêts hypothécaires (RMBS) par JPMorgan Chase (et ses filiales) Bear Stearns et Washington Mutual» avant la crise financière, a déclaré le ministre de la Justice de l'État de New York, Eric Schneiderman, dans un communiqué.