jeudi 24 septembre 2009
Les Wikis
C'est quoi un Wiki ?
Un wiki est un logiciel de la famille des système de gestion de contenu de site web rendant les pages web modifiables par tous les visiteurs y étant autorisés. Il facilite l'écriture collaborative de documents avec un minimum de contraintes. Créé en 2001, Wikipédia est devenu peu à peu le plus visité des sites web écrits avec un wiki.
Le mot « wiki » vient du redoublement hawaiien wiki wiki, qui signifie « rapide ». Les wikis ont été inventés en 1995 par Ward Cunningham, pour réaliser la section d'un site sur la programmation informatique, et qu'il a appelé WikiWikiWeb. Au milieu des années 2000, les wikis ont atteint un bon niveau de maturité. Ils sont depuis lors associés à ce qui est dénommé Web 2.0.
REF.:
mercredi 23 septembre 2009
Mac OS 10,6 de Apple(Snow Leopard)
Une version de développement a été distribuée aux développeurs participant à la WWDC 2008 et ne fonctionne que sur processeurs Intel ; Apple a confirmé l'abandon des processeurs à architecture PowerPC, près de 4 ans après la transition d'Apple vers l'architecture x86. Cela expliquerait l'amélioration des performances, car les applications actuelles, en Universal binaries, contiennent du code prévu pour être lancé sur les deux architectures à la fois et qui pénalisent donc le poids du fichier (qui contient en pratique deux fois plus de code) et sa vitesse d'exécution car il est très difficile d'optimiser un programme lorsque le code doit pouvoir s'exécuter sur plusieurs architectures, complètement différentes de surcroît.
C’est le NDP Group qui, au Etats-Unis, a tenu à rappeler que MAC OS X 10.6 se vend plutôt bien sur les terres de l’oncle Sam, qui en l’espace de 2 semaines a su faire mieux que ses prédécesseurs. Ce n’est pas véritablement une surprise, avec un prix d’appel à 29 $(35$ Can) la licence pour un utilisateur, la mise à jour Mac OS X Leopard se vend très bien aux USA.Par contre ,faut avoir la version 10.4 (Mac-Intel)pour en profiter.
Les ventes de Snow Leopard ont en effet été deux fois plus importantes que celles de Leopard, et quatre fois plus que celles de Tiger.
» Avec un prix réduit de plus de 100 $ tant pour la licence mono-utilisateur que cinq utilisateurs par rapport au prix de Leopard, Apple a clairement démontré qu’une politique de prix agressive en cette période génère une réponse exceptionnelle des consommateurs «
Maintenant, c’est à Microsoft d’essayer d’atteindre ses objectifs pour la vente de Windows 7 qui doit débuter le 22 Octobre. La campagne de pub elle est de plus en plus présente, pour l’instant sur le net, et très prochainement sur nos écrans. Microsoft a déjà usé de quelques offres promotionnelles cet été, et vient d’annoncer une sérieuse ristourne à destination des étudiants en mettant la mise à niveau Windows 7 à 29,99 $ (mise à niveau), dans le cadre d’une offre qui doit prochainement débarquer en France. Sans cette ristourne, c’est 100 $ de plus pour l’édition Home Premium (mise à niveau).
Tandis qu’Apple se contente de fournir des mises à jour de son système, en étoffant son architecture et en l’agrémentant de nouveaux logiciels et de nouvelles fonctions, Microsoft préfère partir sur de nouvelles bases. En introduisant Seven, le rideau est replacé sur Vista, histoire de faire oublier les critiques, les mauvaises remarques et les centaines de posts sur les forums d’entraide, vous l’aurez compris les utilisateurs n’ont pas voulu de cet OS à leurs yeux trop peu optimisé.
REF.: logiciel.net
dimanche 20 septembre 2009
LE SENS DE LA VIE
Chaque fois qu'on veut jeter un regard critique sur le merveilleux monde de la politique, on ressort des extraits du Prince de Machiavel. Mais, vous savez quel penseur est le plus pertinent quand vient le temps d'analyser le monde politique?
Henri Laborit.
Laborit (qui est mort en 1995 à l'âge de 80 ans) n'était pas un philosophe politique comme David Hume ou John Locke. C'était un médecin et un neurobiologiste.
Pourtant, sa pensée (c'est mon humble opinion, remarquez) devrait être enseignée dans tous les cours de sciences politiques qui se respectent.
Dans Éloge de la fuite, par exemple, son ouvrage le plus connu, Laborit écrit :
«Nous ne vivons que pour maintenir notre structure biologique, nous sommes programmés depuis l'oeuf fécondé pour cette seule fin, et toute structure vivante n'a pas d'autre raison d'être, que d'être.»
En d'autres mots: le seul objectif des organismes vivants est de rester en vie.
Tout ce qu'on fait dans la vie est pour rester en vie.
On mange pour rester en vie. On se déplace pour trouver de la nourriture qui nous permettra de rester en vie. On parle pour échanger des informations qui nous permettront de trouver de la nourriture pour rester en vie, etc.
C'EST LA MÊME CHOSE EN POLITIQUE.
Pour paraphraser le grand Henri Laborit, on pourrait dire: «La seule raison d'être des partis politiques est d'être...»
Pas servir le peuple. Pas améliorer les conditions de vie des citoyens.
Mais subsister.
Rester en vie.
REF.:
jeudi 17 septembre 2009
Après la TV HD ,la TV en 3D
Rien n'est moins sur !
Le LCD est mort ?
Quelle est la différence entre un ACL et un LED. Les deux sont des écrans à cristaux liquides. C'est la façon dont on éclaire qui varie.
L'ACL est rétroéclairé alors que le LED éclaire surtout par les côtés.
Le LED va remplacer les ACL conventionnels, car ils permettent d'obtenir une image avec plus de nuances.Entre-temps ont asisstera a des TV ACL rétroéclairés par LED blanc ou de couleurs.
Les TV au Plasma eux surviveront,mais reste a savoir ce que nous réserve la TV 3D !!!
Les magasins Future Shop offriront dès le 26 mars 2010, des appareils 3D haute définition de Samsung. Il s'agit de la toute première cuvée de téléviseurs 3D d'un grand manufacturier au Canada.
Par contre, ceux et celles qui veulent être les premiers à regarder des films Blu-Ray ou à jouer à des jeux vidéo en trois dimensions devront y mettre le prix:
2499,99$ - 40 pouces 3D ACL
2899,99$ - 46 pouces 3D ACL
3199,99$ - 46 pouces 3D DEL
D'autres modèles allant jusqu'à 5500$ ainsi que des télés plasma 3D seront également disponibles.
N'oubliez pas les lunettes 3D, qui vous coûteront 249,99$ la paire pour adultes et 229,99$ la paire pour enfants. Vous voudrez probablement aussi vous procurer un lecteur Blu-ray 3D (au moins 400$), mais sachez que la console PlayStation 3 (299$) permettra le visionnement de films et de jeux vidéo en trois dimensions dès la sortie d'une mise à jour logicielle au courant de l'année.
LES FILMS BLU-RAY 3D SONT-ILS NOMBREUX EN MAGASIN?
Pour l’instant, il n’y en a qu’un: Monstres contre Aliens. D’autres suivront au cours des semaines et des mois à venir, notamment Il pleut des hamburgers et les films Shrek. Ironiquement, Avatarne sera pas publié en format Blu-Ray cette année.En dâte du 8 Avril 2010.
REF.:
mercredi 16 septembre 2009
La fin des secrets bancaire ?
À l'instar de l'Europe et de l'Amérique, le Canada profite de la crise économique et des scandales financiers pour déclencher une offensive sans précédent contre le secret bancaire qu'il tient responsable des maux qui nous touchent et des malversations des financiers véreux. Ottawa a d'ailleurs déjà signé des ententes de divulgation de renseignements privés avec la Suisse et les Pays-Bas, et espère convaincre d'autres pays d'en faire autant.
Certes, l'escroquerie est indéfendable et impardonnable. Mais partir en guerre contre les paradis fiscaux, c'est s'opposer à la concurrence fiscale entre États souverains. Est-il donc logique que certains États, qui choisissent d'offrir des lois fiscales avantageuses et de respecter la propriété privée, capitulent pour permettre à d'autres de préserver un régime fiscal oppressif? Surtout, la disparition des paradis fiscaux rendra-t-elle aux délinquants de la finance leur sens de l'éthique? On peut en douter!
Malgré tout, on applaudit les efforts du ministre Blackburn car, nous dit-on, ils permettent de réduire l'évasion fiscale. C'est oublier qu'elle n'est que le symptôme d'un trouble plus profond. Si les paradis fiscaux existent, c'est parce qu'il y a des enfers fiscaux. Les chercheurs ont montré que le principal déterminant de l'évasion fiscale, c'est le taux de taxation. L'OCDE a publié une étude qui le confirme, et Friedrich Schneider, expert en matière de fiscalité et professeur à l'Université Johannes Kepler en Autriche, abonde dans le même sens. Quand le contribuable sent qu'on le prend pour une piñata, il va naturellement tenter de protéger le fruit de son travail. Plutôt que de pointer du doigt les «juridictions non coopératives», le ministre du Revenu devrait donc faire un exercice d'introspection et se pencher sur la nature même du régime fiscal canadien qui, manifestement, est jugé non compétitif par bon nombre de citoyens.
Mais un tel exercice n'intéresse pas Ottawa qui défend sa position en affirmant que l'évasion fiscale force les gouvernements à taxer plus lourdement les contribuables incapables de se soustraire à l'impôt. Cet argument est grotesque! Un commerçant qui perd des clients au profit d'un concurrent augmente-t-il ses prix pour récupérer les revenus perdus? Évidemment pas! Le principe est le même dans le cas de l'évasion fiscale. Si l'État alourdit son fardeau fiscal pour compenser le manque à gagner, il ne fait qu'encourager les autres contribuables à chercher des échappatoires.
Contrairement à ce qu'on entend, la concurrence fiscale, au même titre que la concurrence entre les entreprises, est saine et bénéfique. Elle permet au contribuable de ne plus être une proie captive, ce qui contraint les gouvernements à contrôler leurs pulsions confiscatoires, et à dépenser les deniers publics de manière plus prudente. Elle permet aux travailleurs de conserver une portion plus importante de leurs revenus, ce qui favorise une hausse de l'épargne et de l'investissement, lesquels sont indispensables à la croissance économique. Elle attire la main-d'œuvre qualifiée ainsi que les capitaux financiers nécessaires au développement et à la création de richesse.
On peut comprendre qu'Ottawa n'apprécie pas la concurrence des paradis fiscaux. Mais les ententes de délation et la répression ne sont pas des solutions. Si certains pays ne garantissent plus le secret bancaire, d'autres sauteront sur l'occasion pour occuper cette niche. Si les épargnants ne peuvent plus faire confiance aux banques, ils trouveront d'autres moyens pour échapper à la dictature fiscale. La lutte sera vaine!
M. Blackburn choisit mal ses batailles. Il devrait plutôt travailler pour faire du Canada le plus attrayant des paradis fiscaux. Nous y gagnerons tous.
Nathalie Elgrably-Lévy est économiste senior à l'Institut économique de Montréal.
* Cette chronique a aussi été publiée dans Le Journal de Québec.
P.S.
REF.: