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dimanche 8 novembre 2009

Pour créer une différence marquante dans la vie d'un enfant


La magie n'est qu'A UN CLICK...................................LAMAGIEDELAMITIE.CA





QU’EST-CE QU’UN PEU DE MAGIE PEUT FAIRE ?

Les enfants qui passent du temps avec un mentor ont une plus grande confiance en eux, développent de nouvelles compétences et habiletés, et s’ouvrent davantage aux autres. Et les mentors s’émerveillent de plaisir quand ils voient un monde de possibilités s’ouvrir à travers les yeux d’un enfant.

QUE FAIT UN MENTOR ?

En plus de jouer avec de la pâte à modeler ou dessiner pendant les heures de travail, vous apportez une présence significative à un élève. À travers l’amitié, les conseils et le partage, vous

allez aider un élève à développer son estime de soi.

UN MENTOR…

sait écouter
est un leader confiant
s’intéresse aux autres
croit dans les capacités des autres
est patient et aimable
est sensible à la situation et aux besoins des autres
a un grand sens de l’humour
est sérieux quand il s’engage dans ses relations
est ouvert et accepte différents points de vue

Partagez la magie de l'amitié avec un jeune - DEVENEZ MENTOR aujord'hui !
Universal Studios Home Entertainment veut aider les Grands Frères Grandes Soeurs a trouiver 10,000 mentors Canadiens !
1-800-263-9133

vendredi 6 novembre 2009

Sur Apple Store pour l'iPhone : L'Application "ONF"



Wow ! Trop C00L !
Plus de 1,000 films,et tout est gratuit :O)


La Cote du Grand TÉ0: un 10/10

REF.: Google est mon nammi :O)

eMail: Apache Wave, Alias Google Wave révolutionne l'eMail interactif


Google ambitionne une nouvelle plate-forme ouverte de communication avec une forte connotation de collaboration : Google Wave.

Google_WaveAvec Bing, Microsoft espérait bien créer la sensation de cette fin de semaine mais Google ( encore une fois ) est peut-être en train de lui voler la vedette. Du moins Google Wave déclenche-t-il déjà un large enthousiasme dans le milieu des développeurs qui sont appelés à contribution pour mener à bien ce service en gestation depuis deux ans et dévoilé hier à l'occasion de la conférence Google I/O.

Derrière Google Wave, on retrouve les frères Rasmussen, créateurs du très populaire Google Maps et qui ont souhaité établir un nouveau modèle de communications réunissant en un même lieu e-mail, messagerie instantanée mais aussi blogs, wikis, documents collaboratifs... De là est né le concept de Google Wave.

" Dans Google Wave, vous créez une vague et y ajoutez des personnes. Quiconque sur la vague peut utiliser du texte, des photos, des gadgets, et même des flux d'autres sources sur le Web. Il peuvent répondre ou éditer la vague directement. […] Vous voyez presqu'instantanément sur votre écran ce que vos collaborateurs saisissent dans votre vague. Cela signifie que Google Wave est aussi bien adapté pour les messages instantanés que pour le contenu persistant; il permet à la fois la collaboration et la communication. Vous pouvez même rembobiner la vague et voir comment elle évolue "

, explique l'un des frères Rasmussen. Une plate-forme autorisant une communication avec cette notion cruciale de temps réel et à laquelle peuvent se joindre diverses personnes avec la possibilité de reprendre le fil de cette conversation, l'enrichir instantanément avec du contenu, ce qui bénéficie à tous ceux surfant sur la Wave.

Si les développeurs paraissent très enthousiastes, c'est aussi parce que Google Wave verse dans l'open source jusque dans son protocole de communication, s'appuie sur HTML 5 dont les balises audio et video sont un grand plus, et propose tout un panel d'APIs ouvertes. C'est avec ces développeurs que Google escompte mener à bien son projet pour lequel aucune date de disponibilité publique n'a été fixée. Les développeurs vont pour l'heure travailler pendant encore de nombreux mois sur une preview.


Sur Youtube une démo.



Google vient d'acquérir AppJet, une petite entreprise à l'origine, notamment, de EtherPad, une application de traitement de texte collaboratif.

Les salariés et l'expertise d'AppJet rejoindront l'équipe dédiée au développement de Google Wave. Ils viendront ainsi en renforcer le volet collaboratif puisqu'EtherPad est plus performant que Google Docs à ce chapitre. En effet, il fonctionne comme une messagerie instantanée, et permet donc la collaboration en temps réelle, alors que Google Docs fonctionne par l'envoi de courriels via Gmail.

Les termes de la transaction n'ont pas été divulgués, mais Google pourrait avoir déboursé 10 millions de dollars américains, selon le site GigaOm. Il s'agit de la cinquième acquisition du géant de la recherche sur le web au cours des derniers mois. Il a en effet mis la main sur AdMob, Teracent, ReCaptcha et On2.

Après avoir prononcé la mort de Wave cet été 2010,, Google donne maintenant une seconde chance à son service collaboratif en ligne en le faisant renaître sous la Fondation Apache Software.

Wave permettait aux usagers de collaborer entre eux et en temps réel, par divers moyens de communication tels que la messagerie, le partage de documents, le clavardage, etc. Or, l'intérêt des internautes n'a pas été au rendez-vous, ce qui a forcé Google à désactiver son service après seulement quelques mois.

Cependant, Google a toujours affirmé qu'elle souhaitait «recycler» la technologie développée pour Wave pour en tirer profit dans d'autres produits. Voilà qui est chose faite, car elle sera appliquée à «Wave in a Box», un projet de source libre. Doté d'un serveur et d'une application autorisant la collaboration en temps réel, ce service utilise la même infrastructure de communication que celle établie pour Wave.

Apache Wave devrait bientôt être proposé sous la licence Apache, de source libre. De cette façon, Wave in a Box et les protocoles de la Wave Federation se développeront sous l'égide de la Fondation Apache Software, une organisation à but non lucratif. L'objectif de cette dernière est de concevoir des logiciels de licence Apache, comme le serveur http Apache.


par Aude Boivin Filion


REF.:

Chien: La propreté du chiot


L'apprentissage de la propreté

Où tout l'art d'apprendre à l'autre, réside dans l'art de se faire comprendre...

Vous comptez peut-être acquérir un chiot (ou bien vous l’avez depuis peu) et s’impose pour vous de lui apprendre la propreté.

Ce premier grand apprentissage n’est pas toujours facile à faire faire au jeune animal qui vient d’être propulsé chez vous, alors qu’il a été arraché brutalement à sa mère et sa fratrie en perdant tous ses premiers repères de vie. Désorienté, il a avant tout besoin de tranquillité émotionnelle pour aborder ce difficile apprentissage.

C’est dans l’accueil spontané, tendre et indulgent de ses nouveaux maîtres (mais pas leur toute permissivité pour autant !) que le chiot trouve cette tranquillité et peut ainsi reporter sur eux l’attachement qu’il avait pour sa mère et sa fratrie.

C’est sur cet attachement qu’il vous revient de bâtir la confiance en vous de votre chiot, parce qu’un apprentissage ne se réalise jamais mieux que dans la confiance.

Mais au fait qu’entendons-nous par « propreté du chiot » ?

Pour lui, propreté signifie ne pas faire sur les lieux de couchage et de nourriture. C’est ce qu’il a déjà appris avec sa mère chez ses éleveurs (dans le cas des meilleures conditions d’élevage).

En effet, dès la naissance et tant qu'ils tètent, les chiots sont incapables d’éliminer seuls spontanément. C’est leur mère qui provoque l’élimination et en absorbe les produits, tenant ainsi le couchage propre.

Dès que ses chiots commencent à manger une nourriture solide, elle n'ingère plus leurs déjections et les pousse alors à aller faire leurs besoins en dehors du nid

Si vous l'accueillez à 8 semaines (âge minimum légal de vente) le petit animal est donc déjà "propre", car il ne faisait plus ses besoins dans le nid.

Le chiot doit donc s’ajuster sur notre point de vue de la propreté quand il arrive dans nos maisons : c'est-à-dire faire ses besoins en dehors de l’habitation. Il s’agit pour lui d’élargir jusqu’en extérieur l’espace entre le nid où il n’élimine plus et l'endroit où il pourra se soulager.

Pour lui faire comprendre ce que vous attendez donc de lui, et toute manière forte ne favorisant jamais les apprentissages, c’est dans le calme que vous devrez procéder pour son bon équilibre.

Préalable pour faciliter l’apprentissage :

  • Distribuer la nourriture selon un protocole précis et à heure fixe afin de mieux gérer l’élimination.

Pour une bonne régulation du comportement alimentaire du jeune animal, en dehors des repas de la famille (où l’on ne donne rien au chiot), on le laisse manger seul au calme et on lui retire sa gamelle ¼ d’h plus tard, qu’elle soit vide ou pas, et même chose aux repas suivants (toujours en laissant l’eau disponible).

Sachant que le chiot se soulage habituellement après ingestion de nourriture, on facilite donc son apprentissage de la propreté en le sortant à ces moments là.

  • Limiter l’espace que le chiot peut occuper (surtout en votre absence) et décider d’un lieu de couchage.

Vous réduisez ainsi les zones que le jeune animal peut souiller bien sûr, mais aussi vous imposez votre contrôle sur l’espace de vie en continuant ce que sa mère faisait en rappelant ses chiots à l’ordre quand ils s’éloignaient trop des zones permises.

Que ce soit pendant vos absences, pour le repos en journée ou pour la nuit, la cuisine est souvent la pièce retenue comme lieu de couchage parce que facile d’entretien.

Un chiot dort beaucoup, il va donc s’y reposer de nombreuses heures et souhaite se soulager presque automatiquement à chacun de ses réveils. Le sortir juste à ces moments là, garantit une fois encore d’obtenir facilement des éliminations.

  • Prévoir un « carré d’aisance »

Un chiot de 8 semaines ne peut pas se retenir plus d’1h ou 2 dans la journée, 3 ou 4h la nuit, et il ne faudra pas attendre de lui une réelle capacité à se retenir plusieurs heures avant l’âge de 6 mois.

Si l’on peut le sortir après les siestes, les repas ainsi qu’après les séances de jeux (où le chiot éprouve aussi facilement le besoin d’éliminer) il est aisé d’obtenir en quelques semaines un jeune animal qui se soulage facilement dehors.

Être aussi disponible n’étant pas toujours possible il faut donc prévoir qu’il va naturellement se soulager dans la maison, sans qu’évidemment cela soit à punir (puisque c'est un besoin naturel).

Si l’on doit s’absenter plusieurs heures (ou si l’on habite au 6è sans ascenseur !) on peut délimiter un « carré d’aisance » (dans la cuisine, sur la terrasse, etc.…) matérialisé par du papier journal ou une serpillière par exemple, suffisamment espacé de sa gamelle d’eau. Stimulé par l’odeur des ses précédentes éliminations à cet endroit là, il y reviendra plus volontiers.

Cette méthode arrange de nombreux maîtres, mais il est évident qu’elle retarde le chiot dans son apprentissage à éliminer en extérieur. On lui « apprend » en quelque sorte que c'est permis de faire son pipi ou sa crotte dans la maison ! Or on cherche précisément à lui faire comprendre le contraire...! Il faudra donc beaucoup d’indulgence quand il s’éternisera un peu à « devenir propre » !

C’est le cas des chiots venant d’animaleries, souvent plus longs à être propres à la maison car ils ont été tenus captifs dans de petits boxes, où ils étaient contraints de faire leurs besoins sur le lieu de couchage. Ils y ont fait littéralement « l'apprentissage forcé » de : «Je fais là où je suis». Il faut donc défaire ce qui a été « appris » et réapprendre « la bonne manière » en accord avec les critères humains de la propreté : patiente et indulgence donc.

Sortir le chiot souvent et dès son plus jeune âge (mais pas dans n’importe quelles conditions)

Puisque le chiot élimine spontanément après ses repas, siestes et parties de jeux, s’il se met à tourner en flairant le sol après l’un de ces moments, mieux vaut réagir promptement et le sortir de suite !

Au début de l’apprentissage choisissez de l’emmener en laisse toujours aux mêmes endroits un peu tranquilles et propres si possible, pour qu’il s’y familiarise et puisse trouver confiance pour s’y poser.

Pour apprendre à éliminer dans n’importe quel environnement extérieur, un chiot a besoin d’être assez assuré en lui, et sa confiance en vous au bout de la laisse l’y aidera.

Les endroits bruyants, très fréquentés de gens et de congénères perturbent et distraient le chiot... idem quand on cherche à jouer avec lui lors de toutes les sorties... il se soulagera sûrement en rentrant à la maison ! On est tellement plus tranquille chez soi !

N’attendez pas les deniers vaccins pour le promener ! Il y a plus à craindre à ne pas poursuivre une bonne socialisation au milieu extérieur en ne le sortant pas, qu’à le maintenir à l’intérieur par peur des infections possibles.

Il est pour cela conseillé de le sortir avant ses 3 mois. Le risque infectieux est minime par rapport à celui de vous retrouver avec un chiot qui ne saura pas aborder sans crainte les sorties en milieu urbain surtout, parce qu’il n’y aura pas été familiarisé assez tôt.

Risque encore majoré s’il vient d’un élevage isolé en campagne où il n’a pas été en contact du tout avec les bruits de rue.

Sans pour autant l’emmener tout de suite faire ses besoins sur les trottoirs les plus fréquentés ! (parce que justement souvent les plus sales) il y a urgence à le confronter progressivement à toute situation qu’il sera amené à vivre plus tard.

Il deviendra ainsi un chien équilibré en toute occasion et environnement, capable de faire ses besoins en laisse où que vous alliez.

Et même si le chiot dispose d’un jardin, cela ne dispense surtout pas de le sortir dans la rue pour les raisons précédemment exposées.

Comment procéder :

Une fois repéré « le bon endroit » propre et tranquille, promenez-y le chiot en le laissant flairer, sans marquer votre impatience qu’il percevrait finement et qui ne ferait que le stresser et certainement pas se soulager rapidement.

Pour éliminer, il peut préférer un sol absorbant, sableux ou avec petits cailloux ou bien de l’herbe (pas toujours facile dans les grandes villes !) habitude qu’il a peut-être déjà pris chez ses éleveurs.

Ramenez-le toujours à cet endroit là, et vous y obtiendrez plus facilement ses éliminations.

Dès que le chiot s’est exécuté, félicitez le et montrez votre approbation avec une caresse de la main et la voix , pour qu'il comprenne que c'est exactement ce que vous attendez de lui.

Attention cependant à bien attendre qu'il ait juste terminé pour le féliciter, car il pourrait s'arrêter pris par l’émotion !

A proximité de lieu d’habitation, en ville, à l’intérieur de résidences, etc. prévoyez toujours vos petits sacs pour ramasser ses déjections. Vous participez ainsi à plus de propreté et à faire aimer les chiens de ceux qui ne les voient que comme une nuisance !

Vous pouvez alors poursuivre un peu la promenade toujours en laisse et petit à petit agrandir le périmètre d’exploration, lui proposer un de ses jouets (mais anticiper et interdire toute prise en gueule de papiers, cailloux, etc.)

Progressivement, vous rendez l’extérieur familier et positif et surtout sans rentrer tout de suite dès les besoins faits, au risque que votre chiot n’associe rapidement « pipi/caca » = fin de la balade !

Si le chiot se soulage à la maison

A supposer que l’on soit assez disponible, il est bien sûr laborieux de sortir le très jeune chiot de 6 à 8 fois dans la journée (et 1 ou 2 fois la nuit !) si l’on n’a pas une maison avec jardin. Il y aura donc bien quelques « accidents » de parcours devant lesquels il est capital de réagir avec justesse, pour optimiser l’apprentissage

Si vous ne prenez pas votre chiot juste le fait en train de se soulager, ne le grondez surtout pas. N’allez pas le frapper ou lui infliger la trop fâcheuse et trop pratiquée punition de lui mettre la truffe dedans ! Cela ne lui apprend rien sinon à vous craindre sans comprendre. Le chien est dans son présent et n'associera pas votre soudaine colère avec le fait de s’être soulagé il y a quelques instants

La mine penaude qu'il adoptera à chacun de vos accès de fureur quand vous surprendrez un pipi dans la maison, ne sera (en langage chien) que l’attitude de soumission d’un chiot qui craint votre colère et réclame votre apaisement.

L'idée sotte et tenace qu'il "se sait coupable" et demande pardon ne doit pas vous effleurer, cette interprétation n’est qu’anthropomorphisme !!

Par contre si vous le voyez flairer, tourner et vouloir se poser n’importe où, saisissez-le gentiment, emmenez-le dehors ou à l’endroit de l’appartement que vous avez prévu pour cela.

Félicitez le bien chaleureusement si vous avez la chance qu’il s’exécute et termine là où vous le mettez.

Le but est qu’il finisse par associer que vous souhaitez qu’il se soulage à cet endroit là et pas ailleurs. Mais aussi et surtout qu’il ne craigne pas votre présence quand il a une envie qu’il ne peut retenir. Car alors il pourrait ne plus faire facilement en laisse dehors (craignant votre proximité), ou bien aussi chercher à dissimuler ses déjections de la nuit par exemple en les absorbant ! (Une des causes de coprophagie chez le chiot)

Quand vous ne l’avez pas surpris, contentez-vous de ramasser ou éponger hors de sa présence pour qu’il ne prenne pas votre position accroupie pour un appel au jeu !

Un nettoyage ensuite à l'eau vinaigrée est préférable à l'eau de javel dont l'odeur serait plutôt incitatrice à recommencer à cet endroit là !

Si l’on a pu offrir des conditions d’apprentissage optimales, le chiot est propre entre l’âge de 4 à 6 mois, mais parfois un peu plus tard quand justement on le laisse seul de nombreuses heures.

Alors soyez indulgent avec votre chiot, ne punissez jamais pour cet apprentissage comme pour aucun autre, ceci n’est en rien éducatif !

On obtient bien davantage et plus vite, en récompensant un comportement souhaité, plutôt qu’en punissant le comportement non désiré.



REF.:

Chien : "Communiquez avec votre chien"



La communication avec le chien: essentiel à la vie avec un chien

Communiquer avec votre chien est une chose essentielle afin d'établir une compréhension, une relation et une entente mutuelles. La communication est un outil indispensable lors de l'éducation du chien, pour que celui-ci assimile les règles de conduite à observer dans sa vie de tous les jours, une relation entre le maître et l'animal l'aide à apprendre de plein gré ce qui pourrait lui paraître contraignant par des méthodes plus agressives.

Comprendre le langage des chiens

Les êtres humains communiquent par le verbal (les mots), le non-verbal (les gestes) et le para-verbal (les intonations). Puisque les chiens ne sont pas doués de la parole, ils n'utilisent que le non-verbal et le para-verbal.

Ils communiquent donc par des attitudes, des positions du corps, de la tête et des yeux ou en émettant des sons sous forme de jappements, aboiements, grognements, etc. Ils forment ainsi une vaste gamme gestuelle et sonore. Chaque signe correspond à un vocabulaire de son propre langage. C'est avec l'habitude que l'on apprend à le comprendre et ce sont ces deux modes de langage que l'on possède en commun avec eux qu'il faut privilégier. Les chiens ne comprennent en effet pas vos mots, ils perçoivent uniquement une différence de ton et d'intonation. Pensez donc à faire une gestuelle très démonstrative pour les compléter.

Lorsque vous constatez l’incompréhension d'un de vos messages, au lieu de gronder votre toutou, il vaut mieux s'interroger. Vous êtes-vous bien fait comprendre ? Le message était-il compréhensible pour lui ?

Pour avoir encore plus de bons trucs sur comment éduquer votre chien de façon douce et efficace, jetez aussi un coup d'oeil sur les livres suivants:


Le site web Communicanis met en ligne un article publié dans le magazine « Molosses news » en 2003 : « Bien communiquer pour bien cohabiter avec son chien ». Cet article présente les points essentiels à respecter pour une bonne communication avec votre chien. Celle-ci nécessite tout d'abord une connaissance des conduites sociales et de communications canines, ensuite une connaissance des techniques de base de l’apprentissage et enfin l’autorité et la fermeté des maîtres pour imposer les règles nécessaires pour de bonnes relations de groupe.

Sur la page « Communication : Langage du Chien » du site web LeChien.com, vous trouverez comment repérer les comportements typiques d'une tentative de communication avec vous :

Description détaillée des principaux comportements des chiens

L'aboiement est certainement l'action la plus caractéristique d'un désir de communication du chien. Si entre eux ils peuvent ainsi se comprendre, il est plus difficile pour nous de détecter la nature et la signification du son. Il peut exprimer la joie, un désir de jouer, une peur, ou encore une alerte quand un inconnu arrive devant la maison. Apprenez avec le temps à identifier les petits signes accompagnant l'aboiement et permettant d'en comprendre le sens.

Lorsqu'il remue énergiquement la queue c'est signe qu'il est heureux ou tout simplement excité. Au contraire, s'il la remue d'une manière lente avec une mine déconfite, c'est qu'il ressent un malaise. Entre deux chiens de sexe différents, la chienne aura un geste de la queue spécifique pour montrer son accord à entrer en relation.

Plusieurs signes peuvent signifier une soumission : s'il se couche sur le dos (souvent pour des caresses) ; lorsqu'il est couché sur ses quatre pattes avec la queue et la tête baissées et les oreilles en arrière ; ou encore en étant couché sur le côté.

Les signes exprimant la domination se concrétisent par un regard fixe et le poil hérissé. Le chien dominant pose sa patte sur l'adversaire soumis. Si le chien dominé se couche sur le dos en expression de sa soumission, le dominant n'attaquera pas, son ennemi s'étant soumis à lui.

Si un chien met la patte sur votre cuisse c'est qu'il réclame un peu d'affection. Quand il met son derrière en l'air, accroupi sur ses pattes avant, ou encore qu'il fait de petits sauts sur place en aboyant, il réclame alors de jouer.

Le grognement est un signe avant coureur d'une attaque, ne vous approchez pas du chien et ne le provoquez pas, ne partez pas non plus en courant, il risquerait de vous poursuivre.

L'odorat est le sens le plus développé chez les chiens. Ils sécrètent des substances odorantes appelées « phéromones » par leurs urines ou leurs excréments. Le mâle urine pour informer les autres chiens passant par là sur son identité, son sexe, etc. La femelle quant à elle, lorsqu'elle est en chaleur, urine un liquide dont l'odeur attire les mâles à une longue distance.

L'ouïe s'utilise pour les nombreux sons émis par les chiens sous forme de jappements, aboiements, grognements, gémissements, etc. Ils ont chacun une signification dans le langage canin : la peur, la faim, la menace et bien d'autres encore. C'est le langage para-verbal.

La vue se concrétise par des gestuelles, des positions corporelles ou des mimiques. C'est le langage non-verbal. Nous en avons vu des exemples précédemment dans ce texte.

Le toucher intervient lors des rencontres entre chiens du même sexe ou de sexes différents : une chienne acceptant d'entrer en relation avec un chien ou au contraire le repoussant, deux chiens se frottant l'un à l'autre pour se réchauffer, deux chiens se frottant la truffe, etc.

Pour en savoir plus, liens externes

Parallèlement à la communication avec votre chien, nous savons que les chiens communiquent entre eux. Pour ce faire, ils utilisent leurs sens : l'odorat, l'ouïe, la vue et le toucher. Le site web Communicanis nous présente un texte intitulé « La communication : du latin "communicare" : être en relation avec » qui donne l'explication des modes de communication canine non-verbal et para-verbal (voir plus haut) ainsi que la communication par les sens.



REF.:

Activités pour chien,voici des adresses !

http://www.coeurcanin.com/index.htm
http://www.dogzworth.com/
http://www.sortiedechien.ca/