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jeudi 12 novembre 2009

Cancer du sein: Le réseau de la santé doit mette en place un programme d'assurance-qualité

Des tests erronés au Québec


Il y a moins d'un an, à Terre-Neuve-et-Labrador, la commission d'enquête Cameron révélait que 400 femmes atteintes du cancer du sein avaient reçu un traitement inutile, ou pas de traitement du tout, en raison d'erreurs sur des tests réalisés dans un laboratoire de pathologie.

Or, il semble que cette situation ne soit pas unique et qu'elle pourrait se reproduire ailleurs au pays, notamment au Québec, où, chaque année, environ 6000 femmes reçoivent un diagnostic de cancer du sein.

Le Dr Louis A. Gaboury, président de l'Association des pathologistes du Québec, a révélé à Radio-Canada les résultats d'une vaste étude de contrôle de qualité qu'il a réalisée récemment. On y apprend qu'il y a peu de différence entre la performance des laboratoires terre-neuviens impliqués dans le scandale révélé en 2005 et celle des laboratoires du Québec.

Je pense qu'on est certainement à un pas de la situation qu'on a retrouvée à Terre-Neuve, il y a quelques années.

— Le Dr Louis A. Gaboury

L'étude portait sur les tests de marqueurs du cancer du sein. Ceux-ci permettent de déterminer si le cancer d'une patiente est hormonodépendant et quel traitement on doit lui offrir: soit l'hormonothérapie ou encore l'Herceptin. Les 25 plus importants laboratoires du Québec ont participé à l'étude.

En moyenne, l'étude révèle que 15 % à 20 % des tests sur les marqueurs pour l'hormonothérapie (ER/PR) étaient erronés. Et le pourcentage grimpe à 30 % sur les marqueurs pour le Herceptin (Her-2/neu). On parle ici d'un traitement qui coûte 50 000 $ par patiente.

Des marges d'erreur aussi importantes, dans un grand nombre de laboratoires, signifient que de mauvais diagnostics de traitement ont déjà pu être établis pour des patientes. « S'il y a 10 % de variation, ce qui veut dire que ce test est fait de façon routinière, qu'il y a des milliers de patientes qui ont des cancers du sein au Québec, ça veut dire qu'il y a plusieurs centaines de patientes au Québec qui ont, peut-être, un résultat qui n'est pas correct », s'inquiète le Dr Gaboury.

Refaire les tests?

Après avoir consulté l'étude, le chirurgien-oncologue André Robidoux, du Groupe de recherche en cancer du sein, au CHUM, pense qu'il pourrait être nécessaire de refaire les tests réalisés par certains des laboratoires les moins performants, comme ce fut le cas à Terre-Neuve. Il ne peut toutefois se prononcer sur le nombre d'années qu'il faudrait rattraper.

Le Dr Gaboury croit lui aussi qu'il faut refaire les tests, bien qu'il reconnaît que cet exercice pourrait s'avérer pénible et stressant pour beaucoup de femmes. À son avis, la décision appartiendra aux autorités gouvernementales. Il estime qu'il faut, dans un premier temps, « prendre l'exacte mesure de ce qui se passe, savoir combien, exactement, il y a de patientes qui pourraient avoir eu un test qui n'est pas tout à fait exact ».

Le président de la Fédération des médecins spécialistes du Québec, le Dr Gaétan Barrette, abonde dans le même sens. « On est rendus là, et des actions doivent être prises, pour des raisons simples que les gens vont comprendre: va-t-il falloir vivre au Québec ce que Terre-Neuve a vécu pour que quelque chose se fasse? »

L'Association des pathologistes du Québec demande depuis longtemps au ministère de la Santé un budget pour mettre sur pied un programme complet de contrôle de qualité de ses laboratoires. C'est la seule façon, disent les pathologistes, de protéger les patientes contre un mauvais diagnostic. Toutefois, pour l'instant, ils n'ont pas obtenu de réponse du ministère.

Québec préoccupé

En entrevue au Téléjournal mercredi soir, le ministre de la Santé du Québec, Yves Bolduc, a déclaré que l'étude du Dr Gaboury était portée pour la première fois à son attention.

Il a ajouté qu'il la prenait très au sérieux et la trouvait préoccupante. Il entend scruter l'étude à la loupe, notamment sa méthodologie et sa rigueur scientifique.

Le ministre dit avoir mandaté l'Institut national de la santé publique (INSP) et le Collège des médecins afin de faire enquête sur la situation et de vérifier cette étude. L'INSP fera part de recommandations sur la marche à suivre, tant pour les cas passés que pour les cas actuels.

Le gouvernement compte agir rapidement dans ce dossier, a-t-il conclu.

D'après un reportage de Normand Grondin


REF.:


Veut-on un nouveau scandale comme a Terre-Neuve !

* Pour les victimes de tests médicaux erronés en matière de cancer du sein à Terre-Neuve-et-Labrador et les autorités médicales avaient concluent une entente de de dédommagement 17,5 millions de dollars.
http://www.radio-canada.ca/regions/atlantique/2009/10/30/005-TNL-reglement-cancer.shtml

* «L'étude du Dr Gaboury, de ce qu'on a pu voir, c'est quand même une étude qui est bien faite», a reconnu M. Bolduc, qui, mettait en doute la rigueur de l'étude menée par le Dr Louis Gaboury, président de l'Association des pathologistes du Québec, parce qu'elle était financée par la compagnie pharmaceutique Hoffman-Laroche, le fabricant de la molécule anti-cancer Herceptin. Mais dans les faits,c'est simplement que le Dr Gaboury est le seul a dire que les Labos ainsi que les test de Cancer,ne sont pas safe au Québec,et qu'un Scandale comme Terre-Neuve nous guettent!!!

* Des contre-tests fait au USA ,au moins 5 patientes Québécoises auraient eu des tests erronnés.

Nota: Et la,on ne parle pas d'appareils désuets dans les hôpitaux,comme les rayons-X,autoclave,etc.........

mercredi 11 novembre 2009

Un pavé dans la mare?


En lançant un livre sur la souveraineté du Québec, l'ex-premier ministre du Québec Jacques Parizeau a réellement l'intention de prendre part au débat. À tel point qu'il a lui-même insisté pour lancer un blogue sur Internet afin d'échanger avec le public.

Quand on sait toute l'influence exercée par Jacques Parizeau sur le mouvement souverainiste québécois, on comprend que le lancement prochain de La Souveraineté : hier, aujourd'hui et demain est attendu avec une certaine appréhension dans les cercles politiques québécois.

Surtout que M. Parizeau, qui est âgé de 79 ans, n'a pas l'intention de lancer son livre et de se taire. Déjà, sa présence à l'émission Tout le monde en parle, dimanche prochain, est confirmée. Le bouquin, publié aux Éditions Michel Brûlé, sera lancé le lendemain, en même temps qu'un blogue qui sera en ligne pendant un mois sur le site de l'éditeur.

«C'est M. Parizeau lui-même qui a eu l'idée de ce blogue. M. Parizeau est très branché et souhaitait avoir ce moyen de discuter et d'échanger avec ses lecteurs et avec la population», explique la directrice des communications des Éditions Michel Brûlé, Dominique Spénard.

Michel Brûlé dit avoir fait savoir, il y a longtemps, à Jacques Parizeau qu'il n'avait qu'à lui faire signe s'il voulait publier un livre. Selon l'éditeur, le livre «tombe à un bon moment», alors que le Québec politique est dans un creux de vague et que les deux leaders souverainistes que sont Pauline Marois et Louise Harel «manquent de charisme».

La peur de la «belle-mère»

D'ailleurs, la chef du Parti Québécois, Pauline Marois, soutient ne pas craindre la sortie du livre de M. Parizeau, même si elle a indiqué ne pas avoir eu d'indications sur son contenu. «Je ne crains pas le livre de monsieur Parizeau. Il porte sur la souveraineté, et on a besoin de gens qui continuent de réfléchir et de nous alimenter sur la souveraineté», a-t-elle dit.

Une source au sein du Parti Québécois a quand même admis devant nous que ce n'était pas tant le livre de Jacques Parizeau que les entrevues qu'il accordera dans la foulée du lancement qui font peur à certains.

«Monsieur Parizeau a parfois le don de lancer des phrases qui portent à interprétation. C'est pour ça que certains craignent que ses déclarations puissent nuire politiquement à Mme Marois», nous a indiqué cette source.

* Le livre sera lancé en librairie officiellement le 18 novembre.

* Une édition en anglais, publiée sous le nom An Independent Quebec, the past, the present and the future sera aussi mise en vente au printemps 2010 par la maison d'édition Baraka Books. C'est l'auteur Robin Philpot qui a traduit l'ouvrage.



REF.:

Un ver qui s’en prend à Google

Un ver qui s’en prend à Google


Le ver Koobface vous dit peut-être déjà quelque chose. Il s’agit en effet d’un ver friand de réseaux sociaux, puisqu’il se répand notamment via Twitter, Facebook ou Myspace. Il a désormais trouvé un nouveau moyen de contamination, puisqu’il exploite désormais les comptes Google Reader de ses victimes.

Google reader également attaqué

Le ver se contente donc de détourner le compte Google Reader de sa victime, et se répand de cette manière en contactant d’autres utilisateurs. Concrètement, il envoie à ceux-ci une invitation à regarder une vidéo YouTube, et propose même une imitation de l’interface du site de vidéos de Google. Si l’utilisateur clique sur le lien, point de vidéo, mais à la place une invitation à installer une nouvelle version du plug-in flash, qui cache en réalité ledit ver.

Selon Trend Micro, 1300 comptes Google seraient déjà infectés par ce ver. Évidemment, une fois infecté, l’utilisateur verra son propre compte utilisé à son insu pour diffuser le fameux virus. Le ver agit de manière d’autant plus vicieuse qu’il utilise l’identité de personnes censées être fiables et qu’il propose en théorie du contenu venant d’un site connu (Google ou YouTube).



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H1N1: Bêta testeur de vaccin, a notre insus

Tout comme Microsoft nous a habitué a Tester leur Produit Windows(a fallu attendre XP pour que ça marche vraiment ,pendant que les vieux win 3.11 et le DOS 6.22 allaient très bien),pour l'améliorer(produit non fini et non fonctionnel),l'industrie Pharmaceutique ,suit la même voie.

C'est un peu ce qui dit ,Guylaine Lanctôt,l'auteur de "La Mafia Médicale" édité en 1994 et réédité en 2002.



Nos soldats en Afghanistan vaccine leurs détenus Afghans, a tour de bras :O)
Et que la Cie GlaxoSmithKline,
vient de signer un accord avec l'OMS pour faire don de 50 millions de doses de vaccin H1N1 aux pays en développement. Ce don, salué par Margaret Chan, intervient en même temps que l’homologation aux Etats-Unis, par la Food and Drug Administration (FDA) du nouveau vaccin anti H1N1 sans adjuvant de GSK et qu’une nouvelle commande du Département de la santé américain de 7,6 millions de doses.
Ça c'est du Bêta Testage !!!$$$!!! a grand échelle !

«Nous saluons ce don très généreux de GlaxoSmithKline qui permettra de protéger la santé des populations les plus démunies dans le monde. C’est un geste réel de solidarité mondiale envers ceux qui, autrement, ne pourraient pas avoir accès à ces vaccins », a déclaré le Dr. Margaret Chan.

Oui,mais pourquoi on n'est pas capable de faire pareille avec le vaccin du Sida,et autres maladies mortelles ??? ,,,,,,,,.......................Pensez-s'y :O)



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