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samedi 20 février 2010

Le Livre "Coca Cola l’enquête interdite" de William Reymond

Les Mensonges de Coca Cola

Coca Cola, l’entreprise la plus connue au monde nous raconte une version officielle de son histoire complètement faussée de ses débuts ou un pharmacien aurait trouvé par "hasard" cette recette en cherchant un médicament, en passant par l’époque de la seconde guerre mondiale ou les dirigeants de coca cola se sont alliés sans hésiter avec les nazis pour leur proposer une boisson similaire au coca cola, utilisant ainsi les travailleurs forcés dans les usines nazis et mettant en place un plan pour contourner les restrictions d’approvisionnement imposées par les pays limitrophes aux nazis jusqu’a ses récents déboires en inde, sans oublier le fait que coca cola contenait (comme son nom l’indique) de la cocaine à ses débuts et est le dérivé d’une boisson française très connue à cette époque appelée le "vin mariani". Ces articles présente les principaux aspects du livre "Coca Cola l’enquête interdite" de William Reymond et en développe d’autres comme l’affaire en Inde.


Cet article est principalement basé sur le livre "Coca Cola, L’enquête Interdite" de William Reymond dont je présente certaines grandes parties. Ce qui saute aux yeux dès le début du livre est l’ommerta et le silence de Coca Cola qui dès qu’ils ont appris que l’auteur écrivait un livre sur la marque ont reçu la consigne de ne plus lui répondre, sauf si il acceptait que la publication du livre soit supervisée et autorisée par Coca Cola, même une association d’anciens de la marque ont refusé de lui répondre, ayant visiblement reçus des consignes dans ce sens. Un tel silence ne peut qu’éveiller la curiosité et donner l’envie d’aller rechercher plus loin ce qui se cache là derrière...

La Stratégie Publicitaire

Ce qui est choquant et très visible dans ce livre (voir aussi l’interview de l’auteur) est d’abord la stratégie publicitaire de la marque de mettre les consommateurs au centre de leur spots, pour nous faire croire que leur priorité c’est nous, qu’ils font attention à nous, et non plus à leurs bénéfices [voir "coca cola, l’enquête interdite", p196] ! Ils nous font croire que nous somme au centre de leur préoccupations, alors qu’en réalité, c’est seulement l’augmentation du bénéfice qui est en cause. En fait, ils nous montrent dans ces spots que c’est grâce à nous qu’ils font plein de bénéfices...

Une de leur stratégie est donc de mettre les consommateurs / spectateurs au centre de leurs spots et de présenter comme depuis le début coca cola comme un complément indispensable à ces réussites sportives, au succès. En buvant coca cola, on a l’impression d’avoir participé à ce succès. Ce sont ceux qui boivent cette boisson qui sont mis en avant, en boire devient un symbole de réussite, de joie, qui réussit surtout aux bénéfices des patrons de l’entreprise...

Cela est très visible sur leurs spots pour la coupe du monde de 2006 :
http://cocacolawebads.online.fr/ads/fr_on_parle_tous_football_1.mpg

Ou encore l’euro 2004 :
http://cocacolawebads.online.fr/ads/coca-cola_fr_euro2004.mpg

Et aussi dans un spot qui passe en ce moment à la TV ou l’on voit des gens dans un village se réunir autour d’un repas dans la joie et la présence de la bouteille de coca cola est très peu mis en avant mais assez pour qu’on la voie, cela ressemble aux images subliminales ou l’on est influencé sans même le savoir.

On voit clairement dans certains spots leur volonté de cacher la réalité et d’inventer une jolie histoire qui évite de montrer les aspect négatifs de cette entreprise, voilà comment est fabriqué leur boisson selon coca cola qui est présenté comme une "usine à bonheur", ce qui reste une constante de la marque, faire croire qu’elle permet le bonheur, la libération, en oubliant les aspects plus sombres de son histoire et en ne présentant que les aspects positifs (comme leur engagement pour l’environnement en oubliant les dangers et les risques de certaines produits utilisés dans la fabrication du coca cola ou leur spoliation de l’eau dans certains pays ou l’usine de coca s’implante, voir plus bas), depuis le début, cette boisson à pour but de donner un "coup de fouet") à ceux qui la boivent, comme une dose de drogue (le coca cola contiendra en effet à ses débuts de la cocaine) et/ou de vin dont on ne connaissait pas à l’époque les dangers :

http://cocacolawebads.online.fr/ads/usa_coca-cola_happiness_factory_2006.wmv

Dans un article de 2003, on trouve une explication sur un changement de méthodes publicitaires de la marque ou l’on cite un dirigeant de coca cola qui dit que "Le choix américain repose sur l’idée que le consommateur souhaite aujourd’hui être plus authentique,explique André Maestrini, directeur marketing France et Benelux de Coca-Cola.", mais comme vous le verrez tout au long de l’article, ce n’est que ce que l’entreprise veut faire croire (son image de façade) et non ce qu’elle est réellement (authentique) :

"07/03/2003 - La marque mise en France sur une communication plus offensive. Publicité, produit, identité visuelle, marketing relationnel : tout y passe.

Fini les films intimistes d’Erick Zonca signés « Sourire la vie ». Adieu, la bande de jeunes attablée au café évoquant avec un brin d’optimisme des sujets très sérieux : l’amour, le premier emploi, l’avenir... Coca-Cola revient à une communication plus offensive en attaquant sur tous les fronts. Le géant des soft-drinks a d’abord décidé d’adopter, en France, un film signé McCann-Erickson Madrid. Plus festif, plus dynamique, il dépeint un monde idyllique où l’on chante de joie dans le métro et où les bouteilles de Coca-Cola tombent gratuitement des distributeurs de boisson. Plus précisément, le spot montre un guitariste, dans une rame de métro, entonnantChihuahua, un mambo des années cinquante remixé par un DJ suisse de renom, DJ Bobo. Un jeune passager lui offre une gorgée de Coca-Cola. Ragaillardi par la fraîcheur du soda, il entraîne la rame dans un mambo endiablé..."

"Ce nouveau ton publicitaire marque un tournant dans la stratégie de Coca-Cola. Aux États-Unis, où les ventes du groupe se sont tassées ces deux dernières années, le groupe vient de changer d’agence. Berlin Cameron-Red Cell a succédé à McCann-Erickson. Et le slogan « Life Tastes Good » s’est transformé en « It’s the real thing ».« Le choix américain repose sur l’idée que le consommateur souhaite aujourd’hui être plus authentique,explique André Maestrini, directeur marketing France et Benelux de Coca-Cola.Mais chaque pays doit s’interroger sur la meilleure façon d’exprimer les valeurs de la marque. Pour nous, le film " Chihuahua " est un excellent relais de dynamisme et d’innovation."

On parle même dans le livre de distributeurs de boissons dont les prix seraient ajustées automatiquement en fonction de la demande, en traduction, plus il fait chaud ou lors d’événements sportifs les distributeurs concernés pourraient voir leur prix augmenté, il semble que cet aspect ai été abandonné par la marque, mais ce n’est pas si sûr au vue des nouveaux distributeurs de boisson que la firme teste actuellement :

"Coca-Cola effectue des tests de son nouveau distributeur de boisson, qui se verra doter d’un écran tactile fonctionnant sous Windows CE. Du nom de "Freestyle", cette machine peut distribuer jusqu’à 120 différents types de soda, tracer les ventes selon le moment de la journée, et il peut être géré à distance. Coca-Cola aura toutes les informations pour que la firme puisse mieux positionner ses futurs produits au meilleur moment de la journée."

Source :

http://www.ubergizmo.com/fr/archives/2009/07/test_du_distributeur_coca-cola_sous_windows_ce.php

Mais ce n’est qu’une infime partie des mensonges de cette marque, leur plus grand mensonge tient à leur version "officielle" de leur propre histoire, on a tous entendu parlé de scientifique qui aurait découvert cette boisson "par hasard" en cherchant un médicament, mais en fait elle fut en vérité le fruit de longues recherches pour mettre au point une boisson que les gens "adoreraient" et non mise au point par un médecin recherchant des médicaments.

L’origine de la boisson est en fait une boisson française appelée "Vin Mariani" qui avait un grand succès et qui était importé aux Etats Unis à cette époque dont l’inventeur du coca cola a commencé par imiter la recette en la modifiant puis a du la modifier à nouveau pour être conforme à une nouvelle loi interdisant la vente d’alcool à Atlanta ou ils vendait son brevage, devenue depuis la capitale de coca cola, il a donc mélangé de la cocaine (qui était une substance autorisée à l’époque) avec de la caféine pour reproduire l’effet "coup de fouet" du vin, on comprend mieux alors pourquoi la marque ne nous raconte pas sa véritable histoire, mais, attention, ce n’est que le début qui est beaucoup moins glorieux que ce que l’on peut croire...

Des Débuts Scabreux

La recette de la boisson n’a sans doute pas été acquise légalement par coca cola contrairement à ce qu’elle affirme, le début de l’entreprise étant un méli mélo inextricables de non dits, de vols de recettes et autres manipulations, la société bien connue n’a jamais simplement "acheté" la recette comme le présente la compagnie dans ses discours officiels. La firme oublie de préciser que l’inventeur de la recette n’a pas grand chose à voir avec la compagnie Coca Cola car il a a fondé une autre compagnie (vendant du "Coke" qui était en fait la même recette que la boisson produite par Coca Cola), et que c’était lui en son nom propre qui avait la propriété de la recette et non ses associés du début. L’entreprise mondialement connue n’a sans doute jamais détenu légalement la recette de leur boisson qu’ils vendent pourtant depuis plus de 100 ans !

Le fils de l’inventeur de la fameuse boisson a été retrouvé mort dans des conditions douteuses [chapitre "Suicide", p.116], laissant penser à un suicide mais laissant planer un doute, étant donné que son "suicide" est arrivé à un point nommé pour éviter de sérieux problèmes à la compagnie, qui aurait peut être été coulée, étant donné qu’elle n’avait pas les moyen de prouver que la recette avait été acquise légalement et qu’elle ne l’avait sans doute pas été, tandis que le fils de l’inventeur avait des parts de la société concurrente à cette époque de Coca Cola qui avait été fondée par l’inventeur du Coca Cola et proposant exactement le même brevage que la compagnie Coca Cola, et avait sans doute la recette transmise légalement par son père avec les parts de la société, sans parler de fausses signatures présentées sur des documents de coca cola présentés à des procès pour faire croire que l’entreprise avait acquise légalement cette recette, il semble donc que l’entreprise repose sur non pas une vente légale de la recette et autres parts, mais bien de vols et de fausses signatures et de destructions de preuves parce que le président avait demandé de brûler les livres de comptes et autres documents de la compagnie que l’on connait si bien... [chap. "Faux", p. 99].

Voici un extrait de la présentation historique officielle qui est une infime partie de la véritable histoire, grossièrement simplifiée et faussée, (http://www.thecoca-colacompany.com/..., le 29/06/2009)

"Dr. Pemberton never realized the potential of the beverage he created. He gradually sold portions of his business to various partners and, just prior to his death in 1888, sold his remaining interest in Coca-Cola to Asa G. Candler. An Atlantan with great business acumen, Mr. Candler proceeded to buy additional rights and acquire complete control. "

Traduction :
"Dr.Pemberton (NDT : l’inventeur de la recette) n’a jamais réalisé le potentiel du brevage qu’il avait crée. Il a graduellement vendu des parts de son entreprise à différents partetaires et juste avant sa mort en 1888, a vendu le reste de ses parts de Coca-Cola à Asa G.Candler. Business man originaire d’Atlanta, Mr.Candler à procédés à l’achat de droits supplémentaires et à acquis le contrôle complet de la compagnie."

Voici la présentation sur le site officiel au 29/06/2009, http://www.formulesecrete.fr/FR/ :
"A la fin du XIXème siècle, on pouvait trouver des centaines de boissons qui vantaient leurs effets tonifiants.Mais il n’y en avait qu’une qui se détachait du lot. Une boisson unique à base de cola, à la fois rafraîchissante et dynamisante. Il n’y a rien d’étonnant à ce que cette boisson soit l’œuvre d’un médecin célèbre qui n’a jamais renoncé à améliorer sa formule et a constamment recherché les meilleurs ingrédients. Il répondait au nom de Dr. John Pemberton.Certains affirment que même ses propres enfants ne connaissaient pas les ingrédients exacts de la recette. D’autres prétendent qu’il commandait de grandes quantités d’extraits végétaux qu’il n’aurait jamais utilisés, juste pour tromper la concurrence. Ce dont nous sommes certains, c’est qu’un jour John Pemberton finit par concevoir la formule parfaite, et cela de manière authentique et artisanale. Les ingrédients sont bien entendu indiqués sur chaque bouteille de Coca-Cola. Mais ce qui ne figure pas sur les étiquettes c’est la formule secrète. Le mélange exact d’extraits végétaux reste jusqu’à ce jour la formule secrète la plus célèbre du monde. Nous ne vous révèlerons pas ce que contient notre formule secrète, mais nous pouvons vous dire ce qu’elle ne contient pas. Sans conservateurs ajoutés. Sans arômes artificiels. Depuis 1886 "

Il semble faux de dire que son propre fils ne connaissait pas la recette comme il la vendait par petites annonces dans les journeaux et peut être même que le fils de l’inventeur du coca cola à été tué parce qu’il détenait légalement la recette et pas l’entreprise, ce qui le mettait en danger.

Il n’est pas juste non plus de dire que la recette était artisanale, car il apparait que l’inventeur du coca cola allait publier un livre contenant ses 12000 (!) expériences chimiques et qu’il avait déjà une renommée dans le domaine des brevages redonnant "un coup de fouet" [chap. "Corse", p.57]. Il était donc surtout chimiste et non médecin comme on nous le fait croire...

On peut remarquer que Coca Cola oublie de dire que la recette originelle contenait durant des années de la cocaine et des résidus de cocaine même après son interdiction officielle, le patron de l’époque ayant apparemment réussi à empêcher la divulgation de cette information au public à l’époque, mais l’auteur ne site pas de références sur ses propos [chap "Embarras", p.71 et note de bas de page p.77].

Dominer le Monde

L’ambition de coca cola semble être depuis longtemps non pas simplement de devenir une entreprise prospère mais de "dominer le monde", ce qui semble être déjà atteint dans certains pays ou villes où des statistiques montrent que l’on en consomme plus de litres par habitants que d’eau, mais c’est une entreprise ayant acquis un très grand "savoir faire" dans les manipulations pour arriver à imposer leur marque, comme on le découvre tout au long du livre, mais la résistance Française à la sortie de la guerre à cette marque est devenu un "cas d’école", chez les commerciaux de l’entreprise et on découvre la guerre sans merci qu’elle livre à son concurrent direct : Pepsi [voir notamment Chap. "Espion", p.247].

Comment les pouvoirs publics peuvent ils laisser faire une telle entreprise au détriment de la santé des citoyens, qui veut remplacer l’eau par une boisson extrêmement sucrée et très acide, ce qui peut conduire à des problèmes de santé si elle est consommé en grande quantité à cause du sucre et de composants acides qu’elle contient ?

Après tout, la marque entretient son succès sur le mythe du pharmacien cherchant un remède et ayant découvert le Coca Cola (on associe donc facilement cette boisson à un médicament), bien sûr, on ne peut plus se permettre de dire que c’est un médicament clairement à l’heure actuelle, mais lorsqu’on en boit, on a tout de même l’impression de se faire du bien, et comme cité plus haut dans la présentation officielle, on nous présente cette boisson comme étant une sorte de médicament : "Il n’y a rien d’étonnant à ce que cette boisson soit l’œuvre d’un médecin célèbre". On sous entend clairement que c’est un médicament.

C’est toujours cette ambiguité entre le discours officiel véhiculé par les pubs et les médias traditionnels (même des journalistes dans de grands médias semblent en effet avoir utilisé comme source pour l’histoire de la marque seulement la version officielle) et ce qui se cache derrière cette façade qui n’est qu’un simple décor sans aucun fondements comme le mythe du "médecin" étant tombé "par hasard" sur cette boisson, à part que c’est un simple plaisir instantané qui n’en en rien un véritable remède, c’est simplement certains composant de la boisson qui peuvent apporter un soulagement passager (avec un effet similaire à un calmant) dans certains cas, les effets positifs de cette boisson sont largement exagérés...

Les Dangers du Coca Cola

On s’étonne que les dangers du coca cola ne soient pas plus pris au sérieux par les pouvoirs publics, notamment avec le principe de précaution, le Vénézuela à même totalement interdit la commercialisation du nouveau Coca Cola Zéro sans toufefois donner apparemment de raison.
Mais les dangers de l’acidité du coca cola à plus ou moins long terme sont reconnus dans certaines études tendant à montrer le danger d’en consommer à cause de son acidité :

"Si actuellement, il est déjà recommandé aux personnes atteintes d’une maladie rénale d’éviter le coca et les autres aliments riches en acide phosphorique comme la viande, il serait sans doute intéressant d’élargir ce conseil. En attendant les résultats d’autres études sur ce sujet, les personnes à risque de maladie rénale doivent se méfier du coca et veiller à ne pas en consommer quotidiennement. Et de façon plus générale, tous ceux qui consomment du coca tous les jours devraient le signaler à leur médecin, et discuter de la pertinence d’un dépistage de l’insuffisance rénale…"
Voir aussi :
Pour faire de vieux os, évitez les sodas

Pourtant les pouvoirs publics ne diffusent pas vraiment de messages de prévention spécifique et n’imposent pas à l’entreprise d’indiquer les risques de consommer leur boisson, ce qui serait la moindre des choses.

L’ Aspartame est un autre produit à risques, peut être dangereux, présent dans de nombreux produits dont le coca cola "sans sucres" et nombre d’autres produits qui n’était pas autorisé à la vente durant des années à cause de résultats d’étude scientifiques, encore un produit dangereux que le lobby des compagnies ont réussis à imposer malgré leur dangers reconnus par de nombreuses recherches et études, cela ressemble fort aux fabricants de cigarettes qui connaissaient les dangers des cigarettes depuis longtemps mais l’on cachés comme l’on démontré des procès à leur encontre :
"L’aspartame n’a été autorisé qu’en 1981, pour les aliments
solides. Pendant plus de 8 ans, la FDA refusa son autorisation
à cause des crises d’épilepsie et des tumeurs cancéreuses du
cerveau provoquées par ce produit sur des animaux de
laboratoire. La FDA continua à refuser cette autorisation
jusqu’à l’arrivée de Ronald Reagan à la Maison Blanche (un ami
de Searl) qui démit de ses fonctions le Commissaire de la FDA
responsable de cet état de fait. Le Dr. Arthur Hull Hayes fut
alors nommé Commissaire. Cependant, il y avait alors tellement
d’opposants à l’autorisation qu’un Commission d’Enquête fut
créée. La commission statua : "Il ne faut pas autoriser
l’aspartame." Le Docteur Hayes REJETA les conclusions de sa
propre Commission d’Enquête.
Peu de temps après, le Commissaire Arthur Hull Hayes, Jr.,
autorisa l’utilisation d’aspartame dans les boissons gazeuses."

Source :
http://www.dorway.com/badnewsf.pdf

REF.:

Les Additifs Alimentaires : Ces Poisons Qui Nous Tuent à Petits Feux

Les additifs alimentaires sont présents en grande quantité dans les produits alimentaires que l’on consomme au quotidien mais ne sont pas considérés et reconnus comme dangereux pour la plupart alors que nombre d’études devraient inciter à leur interdiction au moins par précaution, car ce n’est pas parce qu’un produit n’est pas interdit ou qu’aucune étude n’a démontré sa dangerosité qu’il ne l’est pas, sans compter sur les études qui montrent la dangerosité extrême de certains comme l’Aspartame mais qui est toujours autorisée !

Ce livre permet de voir un état des lieux des dangerosités connues des additifs les plus répandus dans notre alimentation quotidienne.


Le livre de Corinne Gouget "Additifs Alimentaires" en est à sa 10ème édition et malheureusement ni les pouvoirs publics, ni les médias n’ont décidé de dénoncer ces produits autorisés pourtant connus comme étant très dangereux pour certains comme l’aspartame qui remplace le sucre dans les produits dits "lights" par exemple.
Ce livre est une liste d’additifs avec leur effets nocifs indiqués, classés en trois groupes, verts, oranges et rouges. Mais vert ne veut pas dire que c’est sans danger, seulement qu’aucune étude à ce jour n’a montré la dangerosité du produit, les oranges sont ceux où les avis divergent et les rouges sont ceux où les études ont démontré au 3/4 d’entre elles au moins la dangerosité du produit.
Mais comme vous vous en doutez, la plupart des produits oranges ou rouges de ce livre ne sont pas interdits dans l’alimentation industrielle, ni même déconseillés, il n’existe pas non plus de campagne informant des dangers de ces produits, les pouvoirs publics considèrent comme les industriels que du moment qu’ils sont autorisés, c’est qu’ils sont sans dangers (!), et bien entendu, ces mêmes industriels oublieront de vous citer les études indépendantes qui montrent la dangerosité de tel ou tel produit. On peut consulter par exemple ce document racontant comment l’aspartame a été autorisée aux USA malgré les études défavorables démontrant sa dangerosité :
"L’aspartame n’a été autorisé qu’en 1981, pour les aliments solides. Pendant plus de 8 ans, la FDA refusa son autorisation à cause des crises d’épilepsie et des tumeurs cancéreuses du
cerveau provoquées par ce produit sur des animaux de laboratoire. La FDA continua à refuser cette autorisation jusqu’à l’arrivée de Ronald Reagan à la Maison Blanche (un ami
de Searl) qui démit de ses fonctions le Commissaire de la FDA responsable de cet état de fait. Le Dr. Arthur Hull Hayes fut alors nommé Commissaire. Cependant, il y avait alors tellement d’opposants à l’autorisation qu’un Commission d’Enquête fut créée. La commission statua : "Il ne faut pas autoriser l’aspartame." Le Docteur Hayes REJETA les conclusions de sa propre Commission d’Enquête."

REF.: Source et suite :

Toxic Food : Enquête sur les secrets de la nouvelle malbouffe


Il y a presque trois ans de cela, la sortie de Toxic marquait le début d'un combat : celui de la reconquête de nos assiettes.

Le 18 novembre prochain, les éditions Flammarion publieront Toxic Food dont les révélations vous permettront définitivement de bannir une alimentation responsable de l'essor de maladies comme le cancer.

En attendant de découvrir le livre et de poster ici plus d'informations, voici en avant première le contenu de la quatrième de couverture :

" La malbouffe n'est pas seulement ce que vous croyez ! Parce que, trompant notre vigilance et nous endormant à coups de fausses promesses et de messages tronqués, l'industrie agroalimentaire a modifié la nature de notre nourriture et colonisé nos assiettes au point de représenter l'essentiel de ce que nous mangeons.

Parce que, alors que la toxic food devenait notre pain quotidien, certaines maladies - Alzheimer, cancers - ont connu, parallèmement, une expansion sans précédant. Un lien de cause à effet ? De multiples études prouvent que oui. A nous donc de ne pas avaler tout cru, sans savoir, ce qu'on nous incite à gober.

Après le best-seller Toxic, qui dévoilait les causes de la crise mondiale d'obésité, William Reymond pousse donc plus loin encore sa plongée dans les eaux troubles et inexplorées des conséquences de l'alimentation industrielle sur la santé. Du cancer du sein touchant des millions de femmes - qui atteint désormais aussi des hommes- aux dégâts de certains ingrédients sur les cerveaux des enfants en passant par les frites cancérigènes et le poulet enrichi aux protéines de porc, Toxic Food enquête comme jamais sur les dangers qui nous menacent à chaque coup de fourchette.l'irradiation systématique des aliments afin de les conserver plus longtemps en supermarché ; la véritable composition des frites de fast-food ; la viande créée en éprouvette dans les labos du futur ; le porc aux cellules humaines, ou comment l'homme est devenu cannibale sans le savoir...

Et à l’origine de cette catastrophe, il n’y a pas seulement la responsabilité du consommateur, son manque de volonté, ou sa gloutonnerie. Les entreprises, et les intérêts capitalistes sont ici explicitement dénoncés. Des noms, des dates, des chiffres, toutes les preuves de leur culpabilité sont là. Et rien ne semble pouvoir arrêter cette spirale du profit à tout prix. Certains passages (notamment celui sur le neuro-marketing) font froid dans le dos. Il y aurait facilement de quoi ne plus jamais mettre les pieds dans un Mac Donald.


L’Acrylamide
L’un des produits méconnus de ce que l’on ingère est l’Acrylamide. William Reymond détaille comment un plastique utilisé dans des constructions se retrouve présent dans notre alimentation, et comment l’industrie agro alimentaire fait tout pour cacher son existence et sa nocivité. Une nouvelle tentative d’empoisonnement de la population par cette industrie criminelle qui s’évertue plutôt que de remédier aux causes du mal à cacher la dangerosité des produits qui lui permettent de gagner toujours plus.
L’Acrylamide, considérée comme dangereuse et suspectée de favoriser les cancers se forme à partir d’une certaine température, avec certains aliments, comme dans les chips et les frites lors de leur cuisson par friture, dans les aliments riches en amidon et en sucres. Il est donc logique que par précaution, on diminue la quantité de ce produit dans l’alimentation, mais il détaille dans le livre comment l’industrie se contente de faire croire qu’elle lutte contre ce problème, en mettant en avant de toute petites améliorations pour encore mieux faire oublier le plus gros qui est toujours là.

En premier lieu les glutamates E621 et et 623, ainsi que l’aspartame (neurotoxiques) sont à fuir absolument.


Un livre à lire absolument avant d'entamer votre prochain repas."

Toxic Food, 320 pages, 20 euros. Sortie française le 18 novembre 2009. Sortie québécoise fin janvier 2010.



REF.:http://www.amazon.fr/Toxic-Obésité-malbouffe-maladie-coupables/dp/2080687638

vendredi 19 février 2010

La tablette Notion Ink Adam, face a L' iPad d'Apple





La tablette tactile Adam de Notion Ink était présentée au MWC… Le prototype présenté semble encore plus aboutit que celui aperçu lors du CES mais malheureusement il n’y a toujours aucune date exacte quant à sa disponibilité même on parle de juin, pour un prix compris en 350 et 800$. Cette tablette offre un écran tactile Pixel Qi de 10,1″ (1024×600), le WiFi, le Bluetooth 2.1, la 3G, un GPS, une sortie HDMI, un accéléromètre, trois ports USB, un slot SD, une capacité de 16Go ou 32Go, une caméra de 3MPx ou encore un trackpad. Le tout tournerait sous Android, Chome OS ou Ubuntu, avec la puce Nvidia Tegra 2 dual-core 1Ghz + chipset graphique (flash, 1080p supportés, multitâche…). Son autonomie est de 16h et ses dimensions sont de 160×250×15mm pour 770g.

Mass Effect 2

Ce qui suit dévoile des moments clés de l’intrigue.

Peu de temps après les évènements du premier opus, le SSV Normandy est en patrouille à la recherche des Geths. Mais cette patrouille finit par une catastrophe puisque le SSV Normandy se fait attaquer par un vaisseau inconnu. Lors de cette attaque, le SSV Normandy est entièrement détruit et le Commandant Shepard y perd la vie.

Deux ans après cet événement, Shepard est ramené à la vie par l'organisation Cerberus. Il reprend connaissance lors d'un raid sur la base de Cerberus où il était en soins intensifs. Il y rencontre Jacob Taylor et Miranda Lawson qui lui expliquent que son corps a été totalement reconstruit à la demande de l'Homme Trouble, dirigeant de Cerberus, dans le cadre du projet Lazare.

Par la suite, Jacob et Miranda conduisent Shepard à l'Homme Trouble. Ce dernier lui explique que son corps a été totalement reconstruit car il est le seul à pouvoir affronter la nouvelle menace qui plane sur l'Humanité : les Récolteurs. Les Récolteurs seraient, à priori, des alliés des Moissonneurs. Cette nouvelle espèce s'attaque à des colonies humaines pour les récolter. D'où leur nom de Récolteurs. L'Alliance Interstellaire (l'entité représentant l'humanité au Conseil de la Citadelle) ignore ces enlèvements et préfère étouffer l'affaire. Shepard est donc l'homme du moment.

Pour faire face à cette nouvelle menace, le Commandant Shepard doit faire équipe avec Cerberus et recruter les meilleurs hommes de la Galaxie pour constituer une équipe d'élite afin de sauver l'Humanité.


Conçu comme une trilogie depuis le début, Mass Effect a pour ambition d'embarquer le joueur dans une aventure de proportions épiques au sein de laquelle, chaque volet vient simplement s'ajouter au précédent, formant au final un tout cohérent. Il n'y a donc rien de surprenant au fait que Mass Effect 2 soit capable de prendre en charge les sauvegardes issues du premier volet, votre personnage, vos choix au cours de l'aventure, les personnages morts ou vivants et d'en tenir compte dans votre nouvelle partie. Pour autant, les nouveaux venus ne seront pas chassés avant d'avoir franchi la porte. D'après Bioware, il sera tout à fait possible de découvrir l'univers de Mass Effect à partir de sa suite, par la magie de l'introduction détaillée.


La cote du grand TÉ0 : Un 10.8/10 ;o)

REF.:http://masseffect.bioware.com/

http://www.jeuxvideo.com/articles/0001/00010963-mass-effect-2-e3-2009-preview.htm