Powered By Blogger

Rechercher sur ce blogue

samedi 9 octobre 2010

Industrie de la construction Fraude: une escouade spéciale

Fraude: une escouade spéciale

Agence QMI Éric Thibault
05/10/2010 23h24

Partager

QUÉBEC – Promise il y a presque un an par le gouvernement Charest, la nouvelle «escouade tactique d’intervention» de la CCQ vient de plonger dans les eaux troubles de l’industrie de la construction.

À LIRE ÉGALEMENT:

375 millions $ de moins «au noir»

Cette brigade d’une quarantaine d’«investigateurs d’élite» – d’ex-policiers, des avocats, des juricomptables et des inspecteurs d’expérience au sein de la CCQ − a discrètement commencé son travail depuis quelques semaines, et ce, bien qu’il manque encore une dizaine de joueurs pour compléter l’équipe. «Les effectifs seront complets d’ici les prochaines semaines. Mais l’escouade fonctionne déjà. On est sur le terrain», a indiqué André Martin, porte-parole de la CCQ.

L’escouade tactique de la «police de la construction» a le mandat de s’attaquer au blanchiment d’argent et à la fausse facturation, en plus d’appuyer les efforts déjà entrepris pour contrer l’évasion fiscale dans ce secteur.

En marge de la mise sur pied de l’opération Marteau (l’escouade policière chargée de réprimer la corruption et la malversation), le gouvernement avait annoncé, à l’automne 2009, que la nouvelle unité d’enquête de la CCQ serait surtout présente dans les régions métropolitaines de Montréal et de Québec.

L’escouade tactique a rapidement amorcé une «collaboration très active» avec le ministère des Transports et son unité anti-collusion, dirigée par l’ex-directeur du SPVM Jacques Duchesneau, au sujet de l’attribution des contrats publics d’infrastructures routières. Des travaux qui coûteront plus de 3 milliards $ à Québec au cours du présent exercice financier.

«On s’assure entre autres que la probité des entrepreneurs est vérifiée, tant au niveau des antécédents judiciaires que des antécédents fiscaux. On veut responsabiliser les grands donneurs d’ouvrage public», d’après M. Martin.

La CCQ dit avoir intensifié les échanges d’informations avec la Sûreté du Québec, le ministère du Revenu et le Directeur des poursuites criminelles et pénales afin de mieux traquer les illégaux. Elle compte également sur la coopération des «honnêtes» travailleurs et employeurs pour dénoncer les pratiques louches dont ils sont témoins. «C’est un travail que la Commission ne peut faire seule», a fait valoir M. Martin.


REF,:canoe

Prix du logement en hausse de 29% ,pire que le taux d'inflation Canadienne

Logements - Le RCLALQ réclame un registre des baux
Ce registre permettrait de connaître le loyer antérieur appliqué à un logement, ce qui aiderait les nouveaux locataires à contester les augmentations abusives.
© Archives

Agence QMI ST-HYACINTHE - Le Regroupement des comités logement et associations de locataires du Québec (RCLALQ) a réclamé la mise en place d’un registre des baux, lundi, à l'occasion de la Journée mondiale de l'habitat.

Ce registre permettrait de connaître le loyer antérieur appliqué à un logement, ce qui aiderait les nouveaux locataires à contester les augmentations abusives.

«Pour garantir le droit fondamental au logement, le gouvernement a l'obligation de protéger les locataires contre les hausses abusives de loyers», a déclaré France Emond, porte-parole du RCLALQ.

L’organisme a rappelé que le loyer est la dépense principale d'un ménage locataire. Le nombre de locataires qui déboursent plus de 30 % de leurs revenus pour se loger se chiffrait à 448 840 selon les dernières données de Statistique Canada. Les loyers ont augmenté de 145 $ entre 2000 et 2009, ce qui représente une hausse de 29 %.

Une pétition de plus de 12 000 signataires a déjà été déposée en juin dernier à l'Assemblée nationale pour revendiquer la création d’un tel registre. Deux cent quatre-vingt-dix organisations et 31 députés ont aussi demandé au gouvernement de mettre ce registre en place.

«D’un point de vue technologique, ce serait facile à instaurer, ça ne coûterait pas très cher et les locataires disposeraient d'un outil pour faire respecter leurs droits», a affirmé France Emond.REF.:

Le Test du HTML5



Historique de HTML et XHTML



HTML5,c'est un nouveau standard des des navigateurs du web,ce qui permettra des animations spectaculaires sans ajout des différents désuets plug-ins,comme le flash.


tester votre fureteur:(09 Oct 2010)
Chrome 7,0 : 231
Safari 5,0 : 207
Opera 10,62 : 159
Firefox 3,6 : 139
IE 8: 37
IE 9,0 : .....(ne roule pas sur win XP)
*sauf que le IE9 en Bêta donne comme résultat : 106 et de 96 (après la mise a jour 9.0.79)



au 14 Fev 2011:

Chrome 9,0,597 : 242
Safari 5,0,3 : 207
Opera 11,01 : 177
Firefox 3,6,13 : 139
IE 9,0,8080 : 116


16 Mars 2011 :

Chrome 10,0 : 288
Opera 11,01 : 234
Safari 5,04 : 228
Firefox 3,615 : 155 (score 255 , avec version 4.0 RC1)
IE 8: 37
IE 9,0 : 130
** mise a jour IE 9 ( final 9.0.8112)score de 130(c'est vraiment décevant !)en Mars 2011.


Mais IE9 , serait en teste préliminaire environ 30% plus lent que chrome 6 dans le benchmark SunSpider JavaScript - et environ 10% plus rapide que Firefox 3.7.(Mais selon mes résultats de Mars 2011 ,c'est vraiment faux !)
Sauf la video ICI ,(IE9 est a gauche dans ce video,ayant pour but d'avoir une animation fluide sans ralentissement ,malgré le nombre fabuleux de poissons ajoutés) en teste vraiment la différence et serait plus rapide que Chrome !

HTML5 (HyperText Markup Language 5) est la dernière révision du principal langage du web, HTML. HTML5 spécifie deux syntaxes d'un modèle abstrait défini en termes de DOM : HTML5 et XHTML5. Le langage comprend également une couche application avec de nombreusesAPI, ainsi qu'un algorithme afin de pouvoir traiter les documents à la syntaxe non conforme. Le travail a été repris par le W3C en mars 2007 après avoir été initié par le WHATWG. Les deux organisations travaillent en parallèle sur le même document afin de maintenir une version unique de la technologie.


Si Avez-vous entendu parler du tout dernier langage du web appelé HTML5? Il permet aux programmeurs de créer des fonctionnalités fort intéressantes et crée une expérience interactive et unique pour les internautes.

Une expérience HTML5 très populaire dernièrement intitulée The Wilderness Downtown a été présentée par Chris Milk en collaboration avec Google Chrome. On y présente une chanson du groupe de musique rock montréalais Arcade Fire. Google affirme que c’est la meilleure utilisation du HTML5 vue à ce jour. Pour voir l’expérimentation, cliquez ici.

Notons cependant que ce ne sont pas tous les navigateurs qui supportent l’expérience. Google Chrome sur PC et Safari et Chrome sur Mac sont les navigateurs qui vous permettront le visionnement.

Plusieurs passionnés de la programmation s’en donnent à cœur joie dans la création de nouvelles expériences utilisant le HTML5. En voici quelques exemples :

  • Chaque bulle contient un Tweet contenant le mot « water » (eau en français). Cliquez sur la bulle pour lire le Tweet.
  • Dépendamment où l’on clique, une note de musique y est associée. Il suffit de double-cliquer n’importe où dans l’écran pour créer une mélodie.
  • Cliquez ici pour voir d’autres expériences HTML5.

Plusieurs utilisateurs de Twitter s’échangent une panoplie de liens menant à une nouvelle expérimentation utilisant ce type de langage web. Pour voir ce qui ce dit sur Twitter à ce sujet en temps réel, cliquez ici.


Cependant, dès que les spécificités du langage HTML5 seront achevées et qu'il sera considéré comme un standard, les sites web abandonneront progressivement l'usage de Flash. Pour l'instant, le HTML5 n'est pas encore prêt pour une mise en production.

Dans ce contexte, l'engouement suscité pour le HTML5 peut donc paraître un peu précipité. L'intérêt de ce langage a été marqué à la suite de l'arrivée de la balise vidéo, permettant de lire des vidéos directement dans le navigateur, plutôt que d'avoir à installer un logiciel d'extension.

Bien que le HTML5 devrait être finalisé vers la moitié de 2011, il faudra attendre encore deux ou trois ans avant qu'il devienne une norme.


Après avoir suscité l'intérêt pendant des mois sur le web, le standard HTML5 vient tout juste de se faire accorder son logo officiel par le World Wide Web Consortium (W3C).

Le logo du HTML5 a été conçu par Michael Nieling de l'agence Occupop, spécialisée dans la promotion de grandes marques, le design web et autres facettes du marketing. Le designer explique son choix de logo en précisant que le HTML5 est «un standard qui avait besoin d'un standard», qui nécessitait un «vocabulaire visuel standardisé» car il est devenu «le point de convergence du mouvement technologique actuel».

En effet, le HTML5 est souvent perçu comme étant le remède de tout ce qui touche au développement web et est déjà supporté par les plus grands acteurs sur Internet, comme Google. Le nouveau logo, reprenant l'allure d'un badge, est destiné à être utilisé par a communauté de développeurs et de designers ayant adopté le HTML5: «Prenez le contrôle - votre web, votre logo», est-il écrit sur le site de l'agence.
.

Les intéressés peuvent aussi se procurer gratuitement des autocollants ou des T-shirts arborant le logo du HTML5 sur le site web d'Ocupop, moyennant la somme de 22,50$US. Le logo HTML5 y est aussi disponible pour les téléchargements.


Le phénomène FailQc, parce qu'au Québec aussi on FAIL!

FailQc en résumé

FailQc est un blog qui s’inspire du mème internet largement connu du FAIL. Le principe est simple: on remarque ce qui cloche ici chez nous et on le dénonce, que ce soit en photo, vidéo ou texte. Tous peuvent y participer!

Qu’est-ce qu’un Fail?

Fail se traduit en français par les mots échoué, manqué ou bien raté. On dit donc d’un Fail qu’il s’agit d’un événement, d’un élément ou d’un personnage tellement aberrant et pathétique que finalement, il sort de l’ordinaire et on en rit. Promenez-vous sur le blog, en quelques pages vous aurez vraiment bien maîtrisé le concept.REF.:

EF

« Pour comprendre la vie, il faut comprendre la mort »


Convaincus que la peur de la mort résulte d’un manque de connaissances, les docteurs Richard Béliveau et Denis Gingras ont décidé d’affronter la bête en écrivant La mort, un livre destiné au commun des mortels avec l’objectif de démystifier la mort pour mieux apprécier la vie.

Après avoir écrit Les aliments contre le cancer, Cuisiner avec les aliments contre le cancer et La santé par le plaisir de bien manger, vendus à plus de 400 000 exemplaires au Québec, le tandem a décidé, en quelque sorte, de présenter une recette d’un tout autre type, vieille comme le monde : expliquer le processus qui entraîne la mort.

« Pour comprendre et apprécier la vie, il faut comprendre la mort, qui fait suite à une cascade d’événements précis. Une fois qu’on a fait tout ce qu’on pouvait pour prévenir la mort physiologique en mangeant mieux et en se tenant en forme, il faut néanmoins savoir que la mort est naturelle. Elle est inscrite dans nos gènes et surviendra tôt ou tard », explique Richard Béliveau, de passage à Québec récemment pour parler de son dernier livre, celui dont il dit être le plus fier parce qu’il vient de son âme.

À la portée de tous

« Toutes les citations, toutes les illustrations et les photos, je les ai choisies parce qu’elles sont proches de moi. La peur de la mort résulte d’un manque de connaissances. C’est un peu comme le racisme. Une grande part tient à l’ignorance de l’autre. Quand on côtoie des étrangers et qu’on apprend à les connaître, il y a beaucoup de préjugés qui tombent », ajoute le scientifique, que l’on peut voir toutes les semaines à l’émission Kampaï! animée par Mitsou.

Sa popularité ne fait aucun doute, à voir les gens qui viennent lui serrer la main en le reconnaissant sur leur passage.

« Des livres à caractère philosophique sur la mort et la vie après la mort, il y en a des milliers. Ça ne nous intéressait pas du tout d’en faire un autre. En tant que scientifiques et chercheurs en cancérologie, nous sommes confrontés à la mort tous les jours et, comme dans nos livres précédents, nous avons choisi une approche scientifique à la portée de tous. »

L’ouvrage compte entre autres un chapitre sur le caractère naturel de la mort, un autre sur la vieillesse et l’usure du temps, encore un autre sur les infections puis les poisons, les morts violentes par accident ou traumatismes extérieurs comme la guerre, etc. Le tout, avec de nombreuses illustrations, dont des tableaux explicatifs, mais aussi des œuvres d’art et des photographies très éloquentes.

Un privilège

« J’ai un immense respect pour la beauté et la complexité de la vie. Il y a une dame atteinte de cancer qui est venue me voir un jour en me disant qu’elle avait commencé à vivre le jour où elle a reçu son diagnostic du cancer. Ça prend souvent un événement traumatisant pour prendre conscience de la vie.

« C’est un privilège d’avoir la conscience d’être vivant, on ne savoure pas assez ce privilège-là. Pourquoi attendre? Pourquoi ne pas en profiter le plus tôt possible? » interroge Richard Béliveau. « Si le livre réussissait à amener un jeune de 20 ans à prendre conscience de l’importance et la beauté de la vie, à devenir plus empathique envers les autres, plus sensible, plus conscient de sa propre existence, comme chercheur je serai content », conclut-il.REF.: