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dimanche 21 novembre 2010

Smarthphone:Nouveaux Processeurs,compatible avec les réseaux mobiles de dernière génération LTE

Technologie - Qualcomm a livré quelques détails sur sa nouvelle puce qui sera compatible avec les réseaux mobiles de dernière génération LTE.

Qualcomm ne veut pas se faire distancer dans la course aux smartphones et proposera pour cela un nouveau processeur Snapdragon en 2011. S'agit-il dumodèle double coeur 1,5 GHz qui doit sortir ce trimestre mais dont on n'a toujours pas entendu parler ?

Steve Mollenkopf, le vice-président exécutif, a précisé que cette puce intègrera directement les connexions Bluetooth et WiFi, le GPS et offrira de meilleures performances graphiques tout en étant bien sûr plus véloce. Le nouveau Snapdragon sera également prêt pour les réseaux mobiles LTE.

Il devra faire face à une concurrence accrue avec les processeurs double coeur alignés par Nvidia (Tegra 2), Samsung (Orion) Texas Instruments (OMAP4430) sans parler du SoC Armada 628 triple coeur de Marvell et de l'Atom Z600 d'Intel. (Eureka Presse)


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Explosion du trafic data fixe et mobile : qui paiera la facture ?

Analyse - Déployer des réseaux très haut débit, c'est bien. Mais pour les opérateurs, le retour sur investissements n'est pas évident. Qui devra payer : les utilisateurs, les éditeurs de contenus ? Faudra-t-il brider les réseaux en fonction des usages ? Au DigiWorld 2010 de l'Idate, les avis sont partagés.

Montpellier, envoyé spécial - Ce n'est pas un scoop, qu'il soit fixe ou mobile, le trafic data explose dans le monde, et les derniers chiffres donnent le tournis.

"Le trafic sera multiplié par 4,3 entre 2009 et 2014 et atteindra à cette date 0,75 zettabyte, soit 1 puissance 12 gigabytes. 95% de ce trafic sera généré par la vidéo. Aujourd'hui Netflix, le service star de films en streaming aux USA, représente 20% du trafic du Web américain aux heures de pointe", souligne Marc Latouche de Cisco lors du DigiWorld Summit de l'Idate 2010.

Comment faire pour que les réseaux tiennent une telle charge ? Les opérateurs sont en première ligne en investissant massivement sur la modernisation, l'optimisation ou la création de nouveaux réseaux (ADSL,fibre optique, LTE).

Mais ces acteurs sont dans une situation délicate : ils ne profitent pas vraiment de la chaîne de valeur créée, les éditeurs de contenus étant les premiers à profiter de la bande passante. Résultat, les prévisions d'investissements des opérateurs (en % du chiffre d'affaires) sont en baisse partout dans le monde entre 2011 et 2012, prévoit HSBC.

Déséquilibre entre hausse du trafic et revenus des opérateurs

"Il y a un vrai décalage entre la hausse du trafic et les revenus des opérateurs. Les coûts de réseau flambent mais les revenus associés ne sont pas suffisants", souligne Vincent Bonneau de l'Idate. "Il faut trouver le juste équilibre".

En parlant d'équilibre se pose en fait la question suivante : qui paiera la facture ? Comment transférer une partie de la valeur vers les opérateurs ? Les avis sont évidemment partagés selon le point de vue où on se place.

Les éditeurs de contenus sont dans la ligne de mire. "Une solution consiste à les faire payer en fonction du trafic généré. Cela se fait, de manière discrète, notamment aux Etats-Unis par Comcast", explique Marc Latouche.

"On peut également les pousser à investir dans la qualité de service à travers les acteurs du CDN (Content Delivery Network) qui proposent des solutions d'optimisation et qui permettent donc d'obtenir de meilleures performances sur le réseau". La hausse sensible du marché du CDN tendrait à prouver que cette approche a le vent en poupe.

L'optimisation des réseaux grâce aux solutions CDN insuffisante

Les fournisseurs de contenus préfèrent bien sûr cette solution à celle d'une rétribution faite aux opérateurs. "Nous payons déjà pour gérer les pics de trafic mais nous estimons que la vision des opérateurs, celle d'un réseau au bord de la rupture est alarmiste", tonne Martin Rogard, General Manager de Dailymotion. Reste que la star française de la vidéo en ligne a pris les devants pour soulager ses serveurs.

"Nous avons créé notre propre CDN qui permet d'équilibrer notre trafic en fonction des fuseaux horaires et nous avons passé des accords de peering. Notre trafic est ainsi optimisé ce qui conditionne notre développement. Les effets sont tellement positifs que nous avons 'récupéré' de la capacité nous permettant de vendre une solution de diffusion de vidéo en marque blanche et en cloud.", poursuit Martin Rogard.

Une approche partagée par Cisco : "La vidéo bouscule tout, le rôle des spécialistes du CDN devient critique et pourrait transformer la chaîne de valeur", souligne Marc Latouche. Reste que l'influence des CDN est encore marginale.

La technique est donc viable mais demeure insuffisante pour certains opérateurs qui peuvent être tentés de faire payer les gros consommateurs, de brider l'accès au réseau ou encore de hiérarchiser les contenus disponibles (gestion du trafic), mettant de fait en danger la neutralité du Net, c'est-à-dire l'égalité de tous les services sur le réseau.

La neutralité du Net remise en cause d'abord sur le web mobile ?

"Attention, le marché ne comprendrait pas cette approche, surtout au regard du respect de la neutralité", prévient Vincent Bonneau de l'Idate. Mais si une telle vision est encore lointaine pour le Web fixe, elle devient palpable pour le haut débit mobile où la ressource (les fréquences) sont beaucoup plus rares.

Michel Combes, P-DG de Vodafone Europe en est d'ailleurs convaincu depuis plusieurs années déjà. "Il faut revoir les logiques de facturation de l'Internet mobile afin de répartir de façon plus équilibrée les revenus tout au long de la chaîne de valeurs.".

Et de poursuivre : "Plusieurs niveaux de prix sont envisageables, l'abonné paye ainsi pour le débit dont il a besoin. Du best-effort pour celui qui regarde de la vidéo le week-end ou du Premium à accès garanti en semaine pour les autres. Chacun doit pouvoir choisir en fonction de ses besoins. Cela permet également de faire baisser le ticket d'entrée avec des petits forfaits pour une consommation occasionnelle".

Vodafone passe aux actes avec des niveaux de prix en fonction des besoins

En matière de forfaits Premium, Vodafone est passé de la parole aux actes en Espagne, aux Pays-Bas et en Grande-Bretagne. "L'accueil des clients est bon", assure Michel Combes. Quant aux risques sur la neutralité, le CEO estime qu'en étant transparent, les opérateurs pourront convaincre les utilisateurs.

France Télécom n'est pas du même avis. "Multiplier les offres en fonction de x besoins ou facturer au Mo serait très mal compris par les consommateurs car il n'a pas les cartes en main pour réguler une consommation qui n'est jamais la même", souligne Olivier Ondet, responsable de la régulation chez l'opérateur historique.

Même défiance envers la gestion de trafic : "C'est complexe à mettre en place et à expliquer à l'utilisateur final. Comment quantifier par exemple un service/accès minimal à l'Internet mobile ?".

Pas d'alternative autre que partager les efforts entre utilisateurs et éditeurs de contenus

Quelle serait alors l'alternative ? Pour le responsable d'Orange, les fournisseurs de contenus doivent passer à la caisse. "Le régulateur doit imposer un coût d'interconnexion ou de transit sur les réseaux surtout au moment où les éditeurs de services optimisent leurs infrastructures à travers les NCN. Ce coût serait proche du coût réel d'interconnexion. Il serait généralisé pour éviter une distorsion de la neutralité entre ceux qui paieraient et ceux qui ne paieraient pas".

On connaît depuis longtemps les positions de France Télécom sur la question : les géants du Web doivent payer. Reste que pour Vincent Bonneau de l'Idate, il n'y aura pas de solution miracle. Traduction, utilisateurs et éditeurs devront à terme partager les efforts.


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samedi 20 novembre 2010

Les 10 premiers supercalculateurs


Tianhe-1A

Classement Top 500 : 1er Puissance : 2,56 pétaflops Année de mise en service : 2010 Processeurs : 7 168 processeurs graphiques Tesla M2050 de Nvidia et 14 336 processeurs Xeon d'Intel. Mémoire : 229 To Système d’exploitation : Linux Constructeur : NUDT Localisation : Chine

Le dernier classement Top 500 des supercalculateurs paru en novembre est bouleversé par rapport à sa précédente édition de juin. Les informations de ces derniers mois dans l’univers du HPC se sont confirmées et la Chine fait une entrée remarquée, et symbolique, en détrônant les Etats-Unis de la première place (symbolique puisque les US classent 274 supercalculateurs parmi les 500 plus puissants au monde, contre 41 pour la Chine, et disposent d’une puissance de calcul 4 fois supérieure).



Jaguar

Classement Top 500 : 2eme Puissance : 1,75 pétaflops Année de mise en service : 2009 Processeurs : AMD x86_64 Opteron Six Core 2600 MHz Mémoire : 299 To Système d’exploitation : Linux Constructeur : Cray Localisation : Etats-Unis



Nebulae

Classement Top 500 : 3eme Puissance : 1,27 pétaflops Année de mise en service : 2010 Processeurs : Intel X5650 et NVidia Tesla C2050 GPU Système d’exploitation : Linux Constructeur : Dawning Localisation : Chine



Tsubame 2.0

Classement Top 500 : 4eme Puissance : 1,19 pétaflops Année de mise en service : 2010 Processeurs : Xeon 6C X5670 et Nvidia GPU M2050 Système d’exploitation : Linux/Windows Constructeurs : Nec et HP Localisation : Japon



Hopper

Classement Top 500 : 5eme Puissance : 1,05 pétaflops Année de mise en service : 2010 Processeurs : AMD Opteron 12 cœurs Mémoire : 217 To Système d’exploitation : Linux Constructeur : Cray Localisation : Etats-Unis



Tera 100

Classement Top 500 : 6eme Puissance : 1,05 pétaflops Année de mise en service : 2010 Processeurs : 17 480 processeurs Intel Xeon 7500 Mémoire : 300 To Système d’exploitation : Linux Constructeur : Bull Localisation : France



Roadrunner

Classement Top 500 : 7eme Puissance : 1,04 pétaflops Année de mise en service : 2009 Processeurs : IBM PowerXCell 8i cadencés à 3,2 Ghz et Opteron DC 1,8 GHz d’AMD Mémoire : 103,6 To Système d’exploitation : Linux Constructeur : IBM Localisation : Etats-Unis



Kraken XT5

Classement Top 500 : 8eme Puissance : 831 Tflops Année de mise en service : 2009 Processeurs : Opteron 6-core 2.6 GHz Mémoire : 129 To Système d’exploitation : Linux Constructeur : Cray Localisation : Etats-Unis



Jugene

Classement Top 500 : 9eme Puissance : 825 Tflops Année de mise en service : 2009 Processeurs : 74 000 processeurs PowerPC 450 Mémoire : 144 To Système d’exploitation : Linux Constructeur : IBM Localisation : Allemagne



Cielo Cray XE6

Classement Top 500 : 10eme Puissance : 816 Tflops Année de mise en service : 2010 Processeurs : Opteron 8-core à 2.4 GHz Système d’exploitation : Linux Constructeur : Cray Localisation : Etats-Unis



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Google Docs : les documents désormais éditables sur des terminaux Android et iOS

Application - Google a annoncé hier que les possesseurs de smartphones Android et iPhone et de tablettes iPad peuvent désormais éditer et modifier leurs documents Google Docs.

Les utilisateurs de Google Docs pouvaient déjà ouvrir et consulter des documents texte depuis leur navigateur mobile sous Android ou l'iPhone. Ils pourront d'ici quelques jourscréer ou modifier des documents (la vidéo de démo ci-dessous). La nouvelle version de l'éditeur de Google Docs supporte les navigateurs des terminaux Android 2.2 et iOS 3.0 pour l'iPhone et l'iPad.

Les modifications sont répercutées presque en temps réel et l'utilisateur peut suivre les changements apportés par un autre contributeur qui travaille sur le même document. Android a même droit à l'option de dictée vocale.

Les feuilles de calcul étaient déjà consultables et modifiables sur Android et iOS depuis l'année dernière. Cette nouvelle fonctionnalité sera d'abord disponible pour les usagers anglophones avant d'être étendue « bientôt » à d'autres langues. (Eureka Presse)

La video ici !


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vendredi 19 novembre 2010

Des films en D-Boxrama


Technologie de mouvement - D-Box: la révolution ciné par le siège ?
D-Box vient de signer une entente avec Cinéplex Divertissement pour équiper au Québec dix salles au cours des douze prochains mois.
© David Nathan

Depuis que les frères Lumière ont inventé le cinoche, il y a plus d'un siècle, l'homme s'est évertué à rendre cet art le plus réaliste possible. Le muet est devenu parlant, le noir et blanc a laissé place à de jolies couleurs puis sont apparus le son 5.1, la 3D, le numérique et aujourd'hui, les yeux des spectateurs toujours plus friands de sensations semblent se tourner vers la technologie des sièges.

La société québécoise D-Box fabrique en effet depuis un an et demi des sièges de cinéma qui génèrent des mouvements. Nous les avons testés en regardant en avant-première Harry Potter et les reliques de la mort partie 1. Plus de 2h30 de sorcellerie...en mouvements !

Comment ça marche?
Le principe est simple: les sièges équipés de la technologie D-Box bougent en synchronisation avec l'action se déroulant à l'écran. Concrètement, quand Harry fait une plongée vertigineuse dans le vide, le siège s'incline vers l'avant et nous éprouvons l'étrange sensation de tomber avec lui.

Les multiples explosions pendant les scènes de combats se traduisent par des vibrations plus ou moins fortes ; il est d'ailleurs possible de définir l'intensité des mouvements soi-même pendant le film grâce à un boitier placé sur l'accoudoir droit. Pour ceux qui sont incommodés par les mouvements, une position éteinte permet de les supprimer complètement.

Contrairement aux attractions des parcs à thèmes, pas besoin de s'attacher, les secousses restent d'intensité modérée et ne vous enverront pas au plafond. «Le but est de rendre l'expérience du film plus immersive, de faire en sorte que les spectateurs soient au plus proche de l'action et des personnages, pas de concurrencer les attractions de Disney, on est sur de la subtilité», dit Guy Marcoux, vice-président marketing de D-Box.

Verdict
C'est un peu comme avec la 3D, quand elle est employée à bon escient, la technologie est un gros plus pour le spectateur. Avec ce film, les moments de tension dramatique, les effets de surprise sont parfaitement accentués par les mouvements du siège et font vivre le film bien plus qu'ils ne le font voir. Les scènes plus contemplatives permettent d'autant plus d'apprécier les moments d'action, par contraste.

Ce nouvel opus du jeune sorcier balafré est une réussite en soi, avec ou sans siège de mouvement. Mais si on veut se faire plaisir et vivre le film différemment, ça vaut vraiment le coup de payer les huit dollars supplémentaires pour s'assoir sur l'un des 26 sièges disponibles dans la salle.

D-Box vient de signer une entente avec Cinéplex Divertissement pour équiper au Québec dix salles au cours des douze prochains mois. Pour le moment seule la salle numéro 6 du Cinéma Banque Scotia de Montréal et celle du Cineplex Odéon de Beauport sont équipées ainsi qu'une salle à Beloeil.

En attendant la généralisation de ce système, il vous faudra réserver votre siège sur place, la réservation en ligne n'étant pas encore disponible. Le prochain film disponible en D-Box sera Tron le 17 décembre.


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