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vendredi 25 février 2011

Pixwoo, un réseau social consacré au jeu vidéo

France - Pixwoo, un réseau social consacré au jeu vidéo
Comme sur n'importe quel réseau social, l'internaute peut se constituer une liste d'amis, créer des groupes ou débattre autour d'une question.

PARIS - Développeurs, éditeurs, critiques ou joueurs: le réseau social Pixwoo, lancé mardi, espère fédérer et mettre en relation les différentes composantes du monde du jeu vidéo avec une plate-forme spécifiquement pensée pour cette industrie.

«Il fallait pouvoir rassembler le jeu vidéo sur un même réseau et permettre le partage de vidéos, infos, records,etc. Le site a été développé en intégrant tous ces paramètres», explique Pascal Vielhescaze, directeur associé de Spidergames, le groupe à l'origine du projet.

Comme sur n'importe quel réseau social, l'internaute peut se constituer une liste d'amis, créer des groupes ou débattre autour d'une question. Mais Pixwoo cherche aussi à créer une passerelle avec les professionnels du jeu vidéo, qui pourront gérer les pages de leurs jeux ou proposer des emplois.

«Nous avons une quarantaine de partenaires qui sont d'accord pour participer à Pixwoo», se réjouit M. Vielhescaze, citant notamment Ubisoft ou Sony.

Pixwoo ne permet pas, toutefois, de jouer à des jeux sur ses pages, contrairement à Facebook par exemple, car cela «dénaturerait son concept qui est de mettre en relation les gens autour du jeu, pas de les faire jouer», souligne le directeur associé.

D'autres réseaux sociaux parlant du jeu vidéo existent, à l'image de Gamersband qui veut faire se rencontrer des joueurs habitant à proximité l'un de l'autre.


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Amazon inaugure un service de film en forfait illimité

États-Unis - Amazon inaugure un service de film en forfait illimité
Les abonnés au service Prime d'Amazon ont désormais accès à un catalogue de 5000 films et séries télévisées.
© AFP/Karen Bleier

SAN FRANCISCO - Le groupe américain de distribution sur internet Amazon a lancé mardi un service de diffusion de films en flux sur internet (streaming) le plaçant en concurrence directe avec Netflix.

Les abonnés au service Prime d'Amazon, qui moyennant un forfait annuel de 79 dollars ont droit à des livraisons gratuites pour tous leurs achats sur le site, ont désormais accès également à un catalogue de 5000 films et séries télévisées diffusés via internet sans téléchargement.

Ces internautes peuvent regarder autant de programmes qu'ils le veulent sans supplément de prix.

Ce service est annoncé un mois après qu'Amazon eut annoncé qu'il détenait la totalité de la société européenne des services de vidéo en ligne Lovefilm, spécialiste de ce mode de diffusion.

Par ailleurs plus de 90 000 programmes sont disponibles sur le service payant de vidéos à la demande d'Amazon, baptisé «Instant Video».


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mardi 22 février 2011

L'exercice et la mélatonine pour des seins en santé

L'exercice semble protéger contre le cancer du sein, même si l'on ne sait pas trop pourquoi.

La réponse réside peut-être dans une hormone appelée mélatonine, qui semble ralentir la croissance du cancer et renforcer l'immunité.
Lors d'une étude menée auprès de 213 femmes, des chercheurs canadiens ont découvert que plus une femme s'entraîne longuement, peu importe l'intensité de l'exercice, plus son niveau de mélatonine augmente la nuit suivante. « Nous savons que l'exercice contribue à un meilleur sommeil. Nous savons qu'il aide à prévenir le cancer du sein. Maintenant, nous croyons que tout est relié » dit l'auteur de l'étude. L'exercice pratiqué après 16 heures a élevé significativement le niveau de mélatonine des participantes à cette étude.

Le FMI va t'il s'intéresser a l'envolée des prix alimentaires ?

G20 - Plus de précautions que jamais pour les grandes banques
Le directeur général du FMI, Dominique Strauss-Kahn a pour sa part observé que peu de progrès avaient été faits en matière de surveillance des banques.
© AFP / Fred Dufour

PARIS/LONDRES - Les grandes banques de la planète doivent s'entourer d'encore plus de précautions pour leurs fonds propres et les superviseurs y veilleront plus que jamais, ont fait savoir samedi les grands argentiers du G20.

Les ministres des Finances et banquiers centraux réunis à Paris vendredi et samedi dernier ont également dit qu'ils pourraient éventuellement agir pour tempérer l'envolée des prix alimentaires et d'autres matières premières sans aller jusqu'à parler d'un contrôle des prix.

Ils estiment qu'il faut étudier la question plus en profondeur dans la mesure où des divergences subsistent sur les causes de cette flambée des prix.

Le G20 a par contre fait une avancée dans le domaine réglementaire en réclamant d'ici octobre des règles internationales de protection du consommateur.

La réunion a révélé aussi une détermination nouvelle en vue d'éviter que l'Etat soit à nouveau mis à contribution pour renflouer les banques dans l'éventualité d'une prochaine crise.

Les pays du Groupe des Vingt n'étaient pas parvenu l'an dernier à se mettre d'accord sur une nouvelle batteries de règles de fonds propres pour les établissements financiers d'importance systémique (Sifi) mais ils comptent remédier à cela à l'occasion d'une réunion en novembre prochain.

Cet ensemble de nouvelles règles prudentielles s'appliquera d'abord aux banques les plus grandes mais tout établissement dont la chute perturberait les marchés est visé.

«C'est bien que nous ayons à présent un calendrier clair...», a dit le ministre des Finances britannique George Osborne. «Ce qui est aussi significatif c'est que le nouveau régime évoluera rapidement pour s'appliquer à l'ensemble des Sifi», a-t-il ajouté.

PROPOSITION DU CSF

Londres voulait des règles contraignantes pour obliger les banques à constituer une nouvelle couche de fonds propres - en sus des dispositions de constitution des fonds propres de Bâle III qui doivent s'appliquer à toutes les banques à partir de 2013 - mais Paris et Berlin s'y sont fermement opposés.

Les ministres sont d'accord sur le principe suivant lequel les banques devront constituer un nouveau matelas de fonds propres destiné à amortir leurs pertes éventuelles mais ce matelas pourra être constitué, le cas échéant, de titres de dette convertibles en action, une alternative moins onéreuse qu'une augmentation pure et simple des fonds propres.

«Nous nous sommes assurés mutuellement qu'il faudra plus de fonds propres pour ces banques», a dit Axel Weber, le président de la Bundesbank. «Nous discutons encore des instruments concrets à cette fin mais je pense que nous en viendrons à une approche large».

Le directeur général du Fonds monétaire international Dominique Strauss-Kahn a pour sa part observé que peu de progrès avaient été faits en matière de surveillance et de liquidation transfrontalière des banques.

Les ministres ont demandé au Conseil de stabilité de financière (CSF), soit le groupe de travail du G20 sur la régulation, de présenter d'ici avril des propositions sur les moyens de renforcer sa gouvernance, ses ressources et son influence.

Enfin, les ministres du G20 se sont intéressés au versant occulte du secteur bancaire, constitué de fonds mutuels monétaires, de véhicules hors bilan et de fonds spéculatifs.

«Il tombe sous le sens que réglementer le secteur bancaire ne suffit pas. Il nous faut également voir du côté du secteur bancaire occulte; une régulation indirecte ne suffit pas», a noté Axel Weber.

A cet égard, le CSF soumettra d'ici la fin du premier semestre des recommandations en matière de surveillance et de réglementation pour «traiter les risques, en particulier d'arbitrage, associés avec la banque occulte et ses interactions avec le système bancaire réglementé».

HAUTE FREQUENCE, GAZ, CHARBON

Le G20 veut également des propositions d'ici le milieu de l'année sur une surveillance internationale du trading informatisé, type trading haute fréquence. Ce type de transactions se faisant à une vitesse vertigineuse, le régulateur a le plus grand mal à remonter les pistes si quelque chose tourne mal.

Quant aux ambitions françaises de tempérer la flambée des prix des matières premières elles n'ont guère eu d'écho.

Le communiqué du G20 se borne à prendre acte des répercussions d'une «volatilité potentiellement excessive des prix des matières premières», sans trancher entre ceux qui pensent qu'elle résulte d'une spéculation effrénée et ceux qui l'attribuent à la simple loi de l'offre et de la demande.

Les ministres ont commandé une étude sur les causes de fonds du phénomène et ses conséquences pour le consommateur et les producteurs tout en envisageant «d'éventuelles actions».

Enfin, les études du G20 sur la volatilité des prix pétroliers seront étendues au gaz et au charbon.

«Il est évident qu'il faut mettre en évidence les moteurs des marchés des matières premières... Améliorons la transparence du marché physique, améliorons la réglementation des dérivés de «commodities»... et enfin, il faut s'attaquer à la sécurité alimentaire», a dit Gyorgy Matolcsy, le ministre hongrois des Finances.


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Le Flash Crash de 2010

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Le Flash Crash de 2010, parfois nommé tout simplement Flash Crash1, fait référence au krach arrivé le 6 mai 2010 aux États-Unis. À ce moment, l'indice Dow Jones a perdu plusieurs centaines de points en quelques minutes, pour les recouvrer quelques dizaines de minutes plus tard2.

Enquête de la SEC et de la CFTC

Après presque 5 mois d'enquête, la Securities and Exchange Commission (SEC) et la Commodity Futures Trading Commission (CFTC) déposent un rapport conjoint le 30 septembre 2010 et intitulé "Findings Regarding the Market Events of May 6, 2010", retraçant la séquence des événements ayant menés au Flash Crash3.

Le rapport présente le « portrait d'un marché si fragmenté et fragile qu'une seule grande transaction pouvait faire partir les actions en spirale »trad 1,4. Il présente en détail comment une grande firme de fonds mutuel, vendant une quantité inhabituellement grande de contrats E-Mini (en) S&P 500, a, dans un premier temps, épuisé les acheteurs disponibles, et comment les algorithmes effectuant les transactions à haute fréquence (HFT) ont commencé à vendre de manière agressive, accélérant l'effet de vente du fonds mutuel et contribuant à la forte baisse de la valeur4,5.