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samedi 5 mai 2012

Le papier peint anti-WiFi, une révolution?

Électromagnétisme - Le papier peint anti-WiFi, une révolution?
 
© Shutterstock

GRENOBLE - Des chercheurs français ont présenté jeudi un papier peint décrit comme «révolutionnaire» qui permet de filtrer les ondes électromagnétiques d'un réseau local sans fil (Wi-Fi) ou d'un téléphone portable, sans perturber les ondes de la radio ou des fréquences de secours.
Développé par les chercheurs de l'institut polytechnique Grenoble (sud-est) INP et du centre technique du papier (CTP), ce nouveau produit devrait être commercialisé début 2013 par le groupe finlandais Ahlstrom qui en a acheté la licence exclusive.
D'une apparence banale, le papier peint est recouvert de motifs tracés à l'encre conductrice (contenant des particules d'argent) qui permettent de «filtrer jusqu'à trois fréquences à la fois», a expliqué Pierre Lemaitre-Auger, enseignant-chercheur à Grenoble INP, au cours du forum 4i de Grenoble.
Le papier peint a été conçu par un doctorant de Grenoble INP, aidé de trois autres chercheurs. Son premier objectif est de permettre une meilleure protection des données d'un réseau informatique connecté en Wi-Fi.
«Un réseau wifi est muni de protections qui peuvent être craquées par des petits malins. Si vous mettez du papier peint sur les murs entourant un bureau ou un appartement, votre Wi-Fi marche bien mais il ne peut plus être piraté», souligne M. Lemaitre-Auger.
Le papier peint peut aussi être utilisé par des personnes souhaitant se protéger des ondes électromagnétiques. «Beaucoup de gens sont intéressés par les problèmes d'électrosensibilité, par le fait que les ondes seraient dangereuses pour la santé», note le chercheur.
Sans se prononcer sur le fond du débat, il souligne que ce papier peint offre «aux gens qui le souhaitent la possibilité de se prémunir et d'avoir un très faible niveau d'ondes dans leur appartement».
Il pourrait ainsi être utilisé dans des hôpitaux, des salles de spectacles ou pour protéger des chambres à coucher.
Quant au prix du papier peint anti-Wi-Fi, il devrait être «raisonnable», c'est-à-dire «équivalent à celui d'un papier peint classique de moyenne gamme», selon M. Lemaître-Auger.
La technologie développée pourrait en outre aussi être utilisée sur des revêtements de sol, des plafonds ou des fenêtres, selon Guy Eymin Petot Tourtollet du CTP.


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Galaxy S3; sort aux États-Unis, au Japon et en Corée du Sud en 4G cette été ?

Un concurrent de l'iPhone - Samsung lance son nouveau Galaxy S3
Le nouveau Galaxy S3 de Samsung. 
© AFP / Samsung

Samsung a présenté à Londres, son tout nouveau téléphone intelligent haut de gamme, le Galaxy S3. Fonctionnant sous Android Ice Cream Sandwich, il se distingue de la concurrence par son intelligence artificielle puisqu'il réagit à la fois au doigt, à la voix mais aussi au regard que l'utilisateur pose sur lui. Il succède au Galaxy S2, un considérable succès de ventes sorti il y a tout juste un an.
Un équipement de plus en plus performant
C'est devant un parterre de 2000 invités que Samsung a présenté, en grande pompe, le Galaxy S3. Un peu plus grand (écran Super Amoled HD de 4,8 pouces), plus épais (8,6mm) et plus lourd (133g) que le Galaxy S2, le S3 est équipé d'un processeur à quatre coeurs cadencé à 1,4 GHz qui le rend bien plus rapide à l'exécution.
Le téléphone intelligent est capable de prendre simultanément une photo et une vidéo, grâce à ses deux capteurs, placés en façade et au dos. Ce dernier propose des prises de vues photo/vidéo jusqu'à 8 mégapixels (1080p) avec de nouvelles fonctionnalités comme par exemple la reconnaissance faciale qui permet de taguer ses amis. Il est également possible de prendre plusieurs photos en rafale avant de n'en conserver que la meilleure.
Il intègre également la technologie NFC qui permet notamment le paiement ou l'échange de données sans contact. Enfin, plusieurs accessoires ont été présentés parmi lesquels un chargeur sans fil.
Un assistant vocal intelligent qui rivalise avec Siri
À l'image de l'iPhone 4S et de Siri, le Galaxy S3 est lui aussi équipé d'un assistant vocal intelligent, baptisé S Voice. Celui-ci comprend le langage naturel, aussi bien pour répondre à des questions pratiques que pour lancer des applications puis s'en servir. De même, un simple «bonjour» sort l'appareil de son mode veille. S Voice reconnait d'ores et déjà huit langues, parmi lesquelles le français.
Mais la grande innovation du Galaxy S3, c'est qu'il réagit directement aux yeux et à certains mouvements. Ainsi, ce téléphone ne se mettra jamais en veille tant que son utilisateur le regardera. Autre exemple: placer le téléphone à côté de son oreille après avoir sélectionné un contact ou pendant que l'on tape un texto suffit à passer un appel directement à la personne concernée.
Le Samsung Galaxy S3 sera disponible de 16 Go à 64 Go de mémoire interne, en blanc ou en bleu, à partir du 29 mai en Europe en version 3G, puis aux États-Unis, au Japon et en Corée du Sud en 4G un peu plus tard cet été. Samsung annonce une disponibilité totale dans 145 pays à travers des accords passés avec 296 opérateurs mobiles.
Les futurs propriétaires du Galaxy S3 pourront tous bénéficier de 50Go d'espace de stockage dans le nuage offerts par Dropbox.
Pour la première fois de son histoire, Samsung est devenu au 1er trimestre 2012 le plus grand vendeur de téléphones portables au monde, devant Nokia, selon une étude d'ABI Research.


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vendredi 4 mai 2012

Livre: «Au coeur d'Apple», d'Adam Lashinsky

Entrevue avec l'auteur - «Au coeur d'Apple»: la face cachée de la pomme
Adam Lashinsky, l'auteur du livre «Au coeur d'Apple» qui sera sur les tablettes dès mercredi le 2 mai. 
© Courtoisie

Que l'on soit pro ou anti-Apple, tout le monde s'accorde pour dire que l'entreprise est unique et fascinante.
Adam Lashinsky, rédacteur en chef du magazine Fortune, spécialiste de la techno et de la finance, a voulu lever le voile et a investigué pendant plus d'un an dans les coulisses d'Apple.
Son travail fouillé est consigné dans un livre fascinant intitulé «Au coeur d'Apple». Rencontre avec l'auteur.
Comment est venue l'idée d'écrire ce livre?
Tout a commencé en 2008, quand j'ai rédigé le portrait de Tim Cook. Je me suis rendu compte que je lui posais des questions différentes de celles des autres journalistes, notamment en ce qui concernait la façon dont Apple fonctionnait. Mais c'est seulement en 2010 que mon éditeur a suggéré l'idée de faire un livre entier sur le sujet.
Qu'est-ce que vous vouliez savoir exactement?
Apple est une entreprise qui est entourée d'une image un peu magique, en raison de ses produits, la façon dont elle communique. Et comme c'est le cas en magie, il y a des secrets que j'ai essayé de comprendre et de révéler. Finalement, je n'ai fait qu'essayer de comprendre comment fonctionnait l'entreprise.
Les gens d'Apple savaient-ils que vous prépariez ce livre?
Oui, depuis le début je leur ai fait part de mes intentions, j'ai toujours été transparent et je leur ai laissé toutes les occasions de coopérer.
L'ont-ils fait?
Non, aucunement. On m'a fait savoir qu'Apple ne m'accorderait aucune entrevue, ni avec les dirigeants, ni avec aucun employé.
Dans ce cas, comment écrit-on sur les coulisses d'une entreprise qui nous en refuse l'accès?
Il y a d'autres façons de procéder, mais cela reste un travail de journalisme d'investigation classique, la différence, c'est que pour obtenir une information, il faut poser beaucoup plus de questions à beaucoup plus de monde pour ensuite regrouper les morceaux. Écrire sur Apple peut s'approcher dans la méthode de travail d'une enquête sur l'armée ou sur les services secrets.
Quelles ont été vos sources d'information?
N'ayant pas l'autorisation d'avoir une interaction directe avec Apple, j'ai donc interviewé d'anciens salariés d'Apple issus de tous les niveaux de l'entreprise et qui étaient employés après 2007, car je voulais un portrait d'Apple dans sa version moderne; j'ai également parlé avec des gens qui faisaient des affaires avec eux. Vous savez, il y a toujours quelqu'un qui est prêt à parler, le plus difficile c'est de trouver cette personne.
Est-il raisonnable de faire confiance à d'anciens employés? S'ils ne travaillent plus pour Apple, c'est peut-être que les choses se sont mal passées, qu'ils nourrissent de la rancœur?
La plupart des anciens employés que je cite dans le livre le sont sous leur vrai nom. Dans la grande majorité des cas, ils sont très fiers d'avoir travaillé pour cette entreprise et n'ont pas d'amertume vis-à-vis d'Apple. Ils ont au contraire un sentiment d'accomplissement dans leur carrière. Et ils ont quitté leur emploi pour différentes raisons, pas uniquement de façon négative.
Vous avez eu des pressions de la part d'Apple?
Non, absolument aucune pression.
Êtes-vous néanmoins sur leur liste noire désormais?
Non plus. La preuve est que j'ai été récemment invité à la présentation de la nouvelle version de l'iPad. Je qualifierai ma relation avec Apple de cordiale.
Qu'est-ce qui vous a le plus surpris au cours de votre enquête?
C'est sans aucun doute le fait que le culte du secret est omniprésent. Non seulement vis-à-vis du grand public, nous en savons tous quelque chose, je crois, mais aussi au sein même de l'entreprise. Les employés ne savent pas ce sur quoi leurs collègues travaillent.
Autre chose qui m'a surpris: les employés ne considèrent pas ce qu'ils font comme du travail, mais comme une passion. Ils sont ultramotivés, c'est presque religieux.
Est-ce que cet état d'esprit va changer à la suite de la mort de Steve Jobs?
C'est la question la plus importante à se poser, je crois. Steve Jobs a ancré très solidement dans Apple une forme de management très moderne, un esprit d'entreprise très fort. L'entreprise va continuer à être excellente selon moi, mais sera-t-elle aussi excellente? C'est ça la question.
Si vous aviez Steve Jobs en face de vous, quelle question lui poseriez-vous?
Je lui demanderais justement si lui pense qu'Apple pourra être aussi géniale sans lui. Je crois, mais ce n'est que pure spéculation de ma part, qu'il serait partagé. D'un côté, il souhaiterait évidemment qu'Apple continue à avoir autant de succès, mais de l'autre, son égo le pousserait à penser que sans lui, les choses ne se passeront pas si bien.

Le livre «Au coeur d'Apple», d'Adam Lashinsky, publié aux Éditions de l'Homme, sera sur les tablettes dès le 2 mai prochain.


























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mercredi 25 avril 2012

Skype s'invite sur la console PS Vita de Sony

Console portative - Skype s'invite sur la console PS Vita de Sony
 
© Courtoisie

MONTRÉAL - L'application de VOIP Skype, permettant d'effectuer des conversations audio et vidéo sur le web, est maintenant accessible sur la console portative PS Vita de Sony.
Offerte gratuitement à titre de logiciel social au sein du magasin en ligne PlayStation, l'application Skype pour PS Vita permet aux joueurs de s'y connecter en tout temps. En effet, le multitâche de la console permet de la laisser activée en tâche de fond.
De cette façon, Skype pourra être ouverte en même temps que d'autres applications et le joueur peut aussi faire un appel vidéo même au beau milieu d'une séance de jeu. À ce moment, le jeu sera mis en pause et le joueur pourra le reprendre dès que l'appel est terminé.
Les joueurs sont avertis d'un appel entrant au moyen d'une fenêtre apparaissant en haut et à droite de l'écran de la console. La console de Sony est dotée de deux caméras, une à l'avant et l'autre à l'arrière.
Pour rappel, les conversations entre deux utilisateurs de Skype sont gratuites, mais elles deviennent payantes si un usager est joint sur son téléphone filaire, par exemple.
L'application est offerte sur la PS Vita avec les mêmes options et fonctionnalités que la version sur PC. Comme en fait foi le communiqué, c'est la première fois que Skype est porté sur une console de jeu portative. La PS Vita a été lancée au début de l'année.
Les intéressés n'ont qu'à télécharger l'application Skype sur leur console, depuis le PlayStation Store. Elle est compatible avec les réseaux Wi-Fi et 3G. La PS Vita se vend 249$ en version Wi-Fi et 299$ en version Wi-Fi et 3G.

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Les DVD et disques Blu-ray protégés par des zones géographiques


Les DVD et disques Blu-ray protégés par des zones géographiques
La majorité des DVD et disques Blu-ray sont protégés par un système d'encodage de zones et de régions géographiques faisant en sorte qu'un DVD produit pour une zone ne peut être lu que par les lecteurs compatibles avec cette zone.
C'est une méthode qu'utilisent les distributeurs de films pour mieux contrôler la mise en marché des contenus sous forme de DVD et Blu-ray.
Par contre, il faut savoir que ce n'est pas une loi en tant que telle, mais plutôt une manière de faire de l'industrie.
Ce n'est donc pas illégal de lire un DVD qui est destiné à une autre zone ou région. Pour ce faire, on peut utiliser un lecteur qui est multizone ou encore, visionner le contenu sur un ordinateur avec un logiciel capable de lire plusieurs zones.

Différentes zones et régions géographiques

D'abord, il faut mentionner que les DVD sont divisés en zones représentées par un chiffre alors que les Blu-ray sont divisés en régions représentées par une lettre.
Les différentes zones des DVD
  • Zone 0: pas de restrictions, toutes les zones
  • Zone 1: Amérique du Nord (États-Unis, Canada)
  • Zone 2: Japon, Europe, Afrique du Sud et Moyen-Orient
  • Zone 3: Asie du Sud-Est, Asie de l'Est
  • Zone 4: Australie, Nouvelle-Zélande, îles du Pacifique, Amérique centrale, Amérique du Sud
  • Zone 5: Russie, Afrique, Corée du Nord, Mongolie, Inde
  • Zone 6: Chine
  • Zone 7: Réservés
  • Zone 8: Aviation, Marine
Les différentes régions des Blu-ray
  • Région A: Amérique du Nord, une partie de l'Asie du Sud-Est, Japon
  • Région B: Europe, Afrique, Australie
  • Région C: Russie, Chine, Inde, Asie
Les distributeurs intègrent cette protection numérique au DVD et Blu-ray pour mieux gérer les aspects de la commercialisation qui varient parfois d'une zone à une autre.
Mais sur le plan légal, il n'est pas interdit pour les consommateurs d'acheter ou de lire des disques d'une autre zone.
Même chose pour les lecteurs, que ce soit ceux qu'on utilise avec la télé ou ceux pour l'ordinateur, il est possible de changer la zone ou de régler les paramètres pour lire le contenu d'une autre région sans enfreindre de règlement.

Lire les DVD et Blu-ray d'une autre zone avec l'ordi

Avec l'ordinateur, c'est souvent facile de lire les contenus prévus pour une autre région puisque la majorité des lecteurs intégrés aux nouveaux modèles sont multizones. Ils lisent automatiquement le DVD ou, sinon, il faudra modifier manuellement ce paramètre dans les préférences.
Si ce n'est pas le cas, il est toujours possible de télécharger un lecteur multimédia qui permet de le faire. Comme par exemple le lecteur média VLC, qui est gratuit et disponible en version Windows et Mac.


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