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lundi 13 mai 2013

Hackers: Cybervol de plus de 45 millions arprès des banques


Fraude mondiale

Des pirates détournent 45 millions de comptes bancaires





NEW YORK -
Des pirates informatiques du monde entier ont retiré, entre fin décembre et fin février, environ 45 millions de dollars au total, après avoir détourné des comptes bancaires dont ils supprimaient la limite des retraits possibles, a indiqué la justice américaine jeudi.
Les vols se produisaient «en l'espace de quelques heures», a précisé le bureau de la procureure de New York Loretta Lynch.
Huit personnes ont été inculpées à New York mais le complot s'étendrait au total à vingt-six pays.
Sept de ces personnes ont été arrêtées à New York, où elles auraient retiré 2,8 millions de dollars, pour avoir usurpé des dispositifs (bancaires) et blanchi de l'argent.
La huitième personne, Alberto Yusi Lajud-Pena, surnommé «Prime» ou «Albertico», aurait été tuée le 27 avril, selon le bureau de la procureure.
Les prévenus et leurs complices "ont participé à un énorme braquage de banque du XXIe siècle par l'intermédiaire d'internet, qui concerne le monde entier», a souligné Mme Lynch dans un communiqué.
«Au lieu d'utiliser des armes et des masques, cette organisation criminelle informatique a utilisé des ordinateurs et internet», a-t-elle insisté.
Les membres du gang new-yorkais ont d'abord piraté les réseaux informatiques de grands groupes, puis ils sont venus dans le quartier de Manhattan pour retirer «en l'espace de quelques heures» des millions de dollars, à partir de centaines de distributeurs automatiques.
Plusieurs opérations similaires se sont produites dans le monde, le 22 décembre 2012 et les 19 ou 20 février cette année.
Le bureau de la procureure a relevé «la précision chirurgicale» avec laquelle les pirates ont opéré et la «vitesse et la coordination (de) leurs opérations sur le terrain». «Ces attaques relèvent d'un piratage hautement sophistiqué et de cellules criminelles organisées, dont le rôle était de retirer de l'argent aussi vite que possible».
Dans un premier temps, les pirates détournaient les cartes prépayées de comptes bancaires, sur lesquelles ils supprimaient la limite des retraits possibles. Puis, avec l'aide de complices, ils venaient retirer l'argent aux distributeurs.


dimanche 12 mai 2013

L'UPAC recherche au moins 15 millions $ cachés entre autres dans des paradis fiscaux,............des peanut$ ?


Des millions $ à trouver
PHOTO LE JOURNAL DE MONTRÉAL, BEN PELOSSE
L'UPAC serait toujours à la recherche de plusieurs millions de dollars cachés dans des banques étrangères.
Les forces de l’ordre n’ont pas fini de déboulonner l’organisation criminelle qui aurait été dirigée par l’ex-maire de Laval Gilles Vaillancourt. Elles sont sur la piste d’au moins 15 millions de dollars cachés entre autres dans des paradis fiscaux, et une autre vague d’arrestations est à prévoir dans les prochains mois.
Selon les informations recueillies par notre Bureau d’enquête, le travail des enquêteurs de l’UPAC dans le cadre du projet «Honorer» pourrait les amener jusqu’en Suisse et en Amérique centrale, dont au Panama, pour retrouver la trace de plusieurs millions de dollars.
Entre-temps, les juges et les procureurs ont du pain sur la planche à la suite de la rafle policière d’hier, la plus importante de la jeune histoire de l’UPAC.
Plus de 120 agents de police étaient sur le terrain dès l’aube. En tout, 37 personnes ont été visées par des mandats d’arrestation, dont Vaillancourt, ainsi que l’ancien directeur général de la Ville de Laval, Claude ­Asselin, de même que le directeur de l’ingénierie Claude Deguise.
Ces trois hommes, les seuls à avoir comparu hier, sont considérés par la police comme les têtes dirigeantes d’un vaste réseau de collusion et de corruption «organisé et structuré», qui aurait sévi entre 1996 et 2010.
«Preuve en béton»
Leur machine aurait été si bien huilée que les enquêteurs ont réussi à obtenir contre eux le dépôt de graves accusations de gangstérisme, totalement inusitées dans un cadre d’affaires municipales.
«La preuve est en béton. Quand le procès va commencer, les bras vont vous tomber», a confié hier une source très près du dossier.
Vaillancourt, Asselin et Deguise auraient bénéficié de pots-de-vin de la part de plus d’une vingtaine d’entrepreneurs en construction et d’ingénieurs qui obtenaient des contrats publics.
Parmi eux, on retrouve l’homme d’affaires très connu Tony Accurso, arrêté pour la troisième fois en un an, ainsi que Rosaire Sauriol, ex-dirigeant de Dessau, et les entrepreneurs Anthony Mergl, Marc Lefrançois et Claude Desjardins.
Les comparses à l’Hôtel de Ville auraient été aidés par une troisième catégorie de gens. Trois avocats, un notaire et un des frères du maire Vaillancourt auraient agi comme «facilitateurs», selon la police. Leur rôle aurait consisté à acheminer des pots-de-vin aux dirigeants.
À lui seul, Gilles Vaillancourt est visé par 12 chefs d’accusation. À sa sortie du Palais de justice, en fin d’après-midi, l’ex-maire a juré qu’il était innocent et qu’il allait se défendre avec énergie (voir autres textes).
Message clair
Plus généralement, la plupart des individus épinglés hier devront comparaître le 10 juillet et sont soupçonnés de fraude, fraudes envers le gouvernement, complot, abus de confiance, corruption dans les affaires municipales, recyclage des produits de la criminalité.
«Les chefs d’accusation qui ont été déposés sont extrêmement sérieux. Le message est clair, l’UPAC n’hésitera pas à épingler les corrupteurs et les corrompus, qui ils soient et où ils se trouvent», a martelé le commissaire à la lutte contre la corruption, Robert Lafrenière, en point de presse.
D’autres personnes pourraient bientôt se faire passer les menottes en raison de leur complicité présumée.
En effet, au cours des dernières semaines, un des accusés, inscrit par les autorités dans la catégorie des facilitateurs, est allé cacher des boîtes de documents chez un membre de sa famille, a-t-on appris de source sûre.
Hier, les réactions ont fusé de toutes parts devant cette frappe sans précédent qui vise la troisième ville en importance au Québec.
Deux des individus épinglés hier peuvent être liés au cabinet d’avocats Dunton Rainville. Pierre Lambert y était associé, tandis que Jean Bertrand, représentant officiel du PRO des Lavallois, le parti du maire, y agissait simplement comme conseil.
«Le conseil des associés s’est engagé auprès de tous les membres du cabinet à vérifier les faits dans cette affaire et à recommander toutes les dispositions appropriées dans les circonstances», a déclaré le cabinet dans un communiqué émis en fin de journée.

REF.:  - Avec la collaboration d’Eric Thibault

samedi 11 mai 2013

La Chine ou le Japon pour atteindre l'exaflop dès 2020 ?

 Exaflop - Le Japon se lance dans la course aux super-ordinateurs
 
Photo Justin Sullivan / Getty Images / AFP


TOKYO - Le Japon, qui ne veut pas être exclu de la compétition des super-ordinateurs, a décidé mercredi de développer à partir de 2014 un nouvel engin 100 fois plus puissant que son actuel champion «K», qui soit capable d'atteindre vers 2020 une puissance de calcul de l'ordre de l'exaflop (1 milliard de milliards d'opérations par seconde).

Un budget de l'ordre de 100 milliards de yens (environ 1 milliard de dollars) devrait être consacré à la conception d'un tel calculateur destiné notamment à des simulations médicales ou terrestres, utiles par exemple dans le développement de médicaments ou les prévisions de dégâts de catastrophes naturelles, justifie le ministère de la Science.

Cette décision s'inscrit dans la volonté du Japon de continuer d'être en pointe dans les domaines techniques et scientifiques, alors que les États-Unis, l'Europe et désormais la Chine ont déjà défini des programmes pour atteindre l'exaflop dès 2020.

«Il y a une grande différence entre les technologies qui visent la première place et celles qui se contentent de la deuxième. Il est important pour la science de viser le premier rang», a insisté le président d'une commission d'experts mandatés par le ministère de la Science.

Le Japon a déjà plusieurs fois fait la course en tête avec divers super-ordinateurs.
Le modèle nippon «K» avait ainsi pris la première place dans le 37e classement mondial TOP500 révélé en juin 2011 et l'avait conservée dans le hit-parade établi en novembre suivant.

Il a cependant été dépassé mi-2012 par l'exemplaire américain Sequoia, conçu par le géant de l'informatique IBM et installé au laboratoire Lawrence Livermore du département de l'Énergie des États-Unis.

Sequoia (20,13 petaflop/s) a ensuite été relégué en 2e position en novembre par un autre américain, Titan, d'un autre laboratoire du département de l'Énergie aussi, qui a atteint une puissance de calcul de 27,11 pétaflop/s, laissant loin derrière «K» avec ses 11,28 petaflop/s.

«K», entièrement fabriqué au Japon, avait cependant remotivé les industriels japonais.
Il avait marqué les esprits et renforcé la fierté nipponne.

C'était en effet la première fois depuis juin 2004 qu'un supercalculateur japonais était premier.
Il avait battu un rival chinois (Tianhe-1A) et un américain (Jaguar).

L'émulation qui naît de la volonté de reconquête de la première place pousse les Japonais à mettre les bouchées doubles sur les futures générations.


REF.:

mardi 7 mai 2013

Pirates informatiques chinois, pour la vente d'armes ?


Le Pentagone dénonce des cyberattaques chinoises visant la défense américaine

Un rapport du Pentagone incrimine des tentatives d'intrusion informatique venues de Chine, visant les programmes de défense du gouvernement américain.

Il n'y a pas que les entreprises privées américaines qui sont visées par les cyberattaques chinoises. La Chine aurait mené des campagnes d'espionnage informatique pour collecter des renseignements sur les programmes de défense du gouvernement américain, affirme un rapport officiel du Pentagone.
« Les pirates informatiques chinois ont tenté en 2012 d'atteindre les ordinateurs du réseau gouvernemental, qui auraient pu offrir à Pékin un meilleur aperçu des capacités militaires et des délibérations politiques aux Etats-Unis, ajoute ce document. Celles-ci aurait pu être exploitées en temps de crise » souligne ce document.
Cet espionnage informatique s'inscrit plus largement dans le cadre d'un vaste espionnage industriel des Chinois qui tentent de réduire la part des fournisseurs d'armes étrangers en s'appropriant la technologie militaire américaine et occidentale, selon le rapport.
Ce document du Pentagone constitue la mise en cause la plus directe à ce jour par les Etats-Unis visant des pirates informatiques chinois ayant ciblé le gouvernement américain et des entreprises travaillant pour le secteur sensible de la défense nationale.
Ces révélations confortent les Etats-Unis dans leurs accusations contre l'espionnage informatique fomenté par la Chine, qui les a toutes rejetées par la voix officielle, jusqu'à présent.
Source :
-"Military and security developments involving the People 's Republic of Chine 2013" (Département de la Defense)
Lire aussi :
Une unité spéciale de l'armée chinoise serait derrière les cyberattaques contre les USA(publié le 19 février 2013)
Barak Obama : certaines cyberattaques chinoises sont "soutenues par l'Etat" (publié le 13 mars 2013)

REF.:

dimanche 5 mai 2013

Widi,Airplay, Miracast…DLNA , lequel choisir ?


Widi : La télé sans fil par Intel

Airplay, Miracast…la bataille des standards de transmission sans fil de flux vidéo fait rage ! Gros plan sur une autre techno conçue par Intel, le Widi (Wireless Display).






Airplay, Miracast…la bataille des standards de transmission sans fil fait rage ! Gros plan sur une autre techno conçue par Intel, le Widi (Wireless Display). Le Widi permet d’afficher n’importe quelle vidéo d’un PC ou d’un smartphone équipés de puces Intel, à la TV en temps réel et en HD.


REF.: