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mercredi 19 juin 2013

Puce a Lumière «Silicon nanophotonics» d'IBM

5 technologies qui vont tout changer - Puce à lumière
Vue en coupe d'une puce «Silicon nanophotonics» d'IBM combinant circuits optiques et électriques.
Photos IBM

Le plus grand problème des ordinateurs et des infrastructures comme les serveurs vient de la transmission des informations dans les composants.
Elle est y échangée de manière électrique, ce qui dégage énormément de chaleur et limite ainsi les débits. Ainsi, les équipements électroniques fonctionnent moins vite qu'ils ne le devraient.
Heureusement, le problème vient enfin d'être résolu par IBM grâce au «Silicon Nanophotonics». Dans ces puces (photo du bas), l'information est transmise par la lumière. Résultat: elle circule sans aucune contrainte physique, et à une vitesse bien plus élevée que celle du courant électrique.

IBM est déjà capable de produire ces puces. La compagnie vise leur arrivée d'ici deux ans dans les équipements réseau. Les débits seraient alors des dizaines de fois supérieurs à ceux de maintenant, de l'ordre de plusieurs dizaines de Go/s, alors qu'elles ne sont que d'environ 100Mb/s au mieux.
De quoi télécharger un film en HD en quelques secondes, mais surtout, d'entrer dans une nouvelle ère de très haut débit qui ouvrira la porte aux émissions de télévision en 8K et à la 3D sans lunettes.



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Projet Google Loon : des ballons pour se connecter à Internet



Projet Google Loon : des ballons pour se connecter à Internet


Google veut décrocher la Loon ! C'est la dernière lubie du géant américain : lancer des ballons stratosphériques pour fournir de l'Internet haut-débit aux pays du sud.

Google veut décrocher la Loon ! C'est la dernière lubie du géant américain : lancer des ballons stratosphériques pour fournir de l'Internet haut-débit aux pays du sud. Baptisé Loon, ce projet  un peu fou, sorti tout droit du labo Google X, n'en n'est qu'à ses débuts. Une trentaine de ballons ont été lancés depuis la Nouvelle Zélande. Cela pourrait permettre, à terme, de couvrir plusieurs pays au sud du 35e parallèle avec une connexion équivalente à de la 3G. Projet sérieux ou fantaisiste ? Jérôme Colombain et François Sorel font le point depuis Mountain View, en Californie, au siège de Google.
REF.: 
 

Alphabet met fin à Loon, car son projet n’est pas viable

Loon devrait mettre fin à son service au Kenya, et les employés transférés vers d’autres entreprises d’Alphabet telles que Google. Selon le PDG de Loon, les ballons à hélium pouvaient rester des centaines de jours dans le ciel. De plus, les équipements de communication étaient capables d’assurer une couverture cellulaire sur une zone 200 fois plus grande que celle d’une antenne relais classique.

Cependant, un opérateur aurait dû acheter plusieurs ballons, chacun d’eux coûtant des dizaines de milliers de dollars, alors que ceux-ci n’ont qu’une durée de vie d’environ cinq mois. L’investissement était alors beaucoup trop élevé, et son intérêt remit en question par des projets comme Starlink.

L’intérêt croissant de SpaceX pour fournir un accès à Internet depuis l’espace a peut-être influencé la décision d’Alphabet d’abandonner Loon. En effet, Starlink est déjà disponible en bêta à 99 dollars par mois aux États-Unis. Le projet est ambitieux, puisque SpaceX compte envoyer environ 12 000 satellites dans l’espace, à un rythme de 120 par mois. L’entreprise américaine souhaite fournir une connexion de 100 Mbps à tous les utilisateurs.

Loon n’aura pas été un projet inutile, puisque selon Google, une partie de la technologie développée par Loon est déjà utilisée dans le projet Taara. Celui-ci vise à apporter une connexion Internet rapide et abordable à l’Afrique subsaharienne. Les ballons Loon avaient aussi pu être déployés au Peru après un tremblement de Terre de magnitude 8,0. Il avait coupé du monde certaines zones rurales.

Source : medium

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Google Anti-Pédo: La Reconnaissance d’images a contenu pédophile lui permet de les détecter et les enlever du Web

Google veut aider à éradiquer la pédopornographie de l’Internet

En pleine affaire PRISM, Google veut montrer que ses capacités technologiques peuvent aussi lui permettre d’aider à éradiquer un fléau qui s’est, hélas, épanoui sur le web.

Pour The Internet Watch Foundation (IWF), la traque des pédophiles sur la toile est comparable au nettoyage des écuries d'Augias. Cette association scrute patiemment le web pour accélérer le retrait de photos et de vidéos pédopornographique de la toile.
Incité par David Cameron à donner un coup de main dans cette lutte, Google propose sa contribution. Le Premier Ministre britannique a interpellé les sociétés de l’internet pour qu’elles apportent leur aide dans ce combat. Il leur demande d’« utiliser leurs extraordinaires capacités techniques pour nous débarrasser de ces images abjectes ». Il ne s’agira pas de scruter les données personnelles des internautes, mais de donner des moyens à l’association dans sa tâche.
Selon « The Telegraph », la société californienne devrait verser une somme de 1,2 million d’euros sur quatre ans. Ces fonds serviront entre autres à recruter de nouvelles personnes pour fouiller le web afin de trouver et de supprimer les contenus illicites. Cette enveloppe permettra aussi de soutenir le développement de nouveaux outils dans des projets indépendants.
Le journal britannique indique aussi que Google se penche aussi sur une technologie qui permettra l’ensemble des acteurs de cette lutte à faciliter l’élimination définitive de ces contenus. Comme le précise le quotidien, Google œuvre déjà dans ce domaine. Elle utilise depuis 5 ans une technologie de reconnaissance d’images qui lui permet de détecter les contenus pédophiles et les bannir de la toile.


REF.:

vendredi 14 juin 2013

NON a l'espionnage secret au Canada: nous devons savoir quelles données confidentielles sont interceptées et stockées, et surtout pourquoi.

Une agence secrète d’espionnage canadienne a été accusée d’espionner nos données personnelles privées, sans supervision. Nous devons insister pour que le gouvernement y mette un terme et dise aux Canadiens ce qui se passe vraiment. Défendez votre vie privée en vous exprimant maintenant, tandis que nous avons l’attention du gouvernement.

Vous avez probablement entendu parler de l’agence gouvernementale américaine accusée d’espionner secrètement les communications privées de millions de personnes comme vous, à partir de leurs téléphones cellulaires1 et de services en ligne populaires tels que Google, Facebook et Skype.2
Maintenant, le Globe and Mail signale que le Canada possède sa propre agence agissant dans un secret quasi total et qui semble faire la même chose : recueillir et stocker impunément nos renseignements les plus confidentiels dans des bases de données colossales.3
La principale agence récupérant nos données personnelles se nomme le Centre de la sécurité des télécommunications Canada (CSTC), que le Globe and Mail décrit comme une « agence de surveillance électronique canadienne ultra-secrète ».4
Selon l’expert en surveillance en ligne Ron Deibert, l’espionnage du CSTC lui confère le pouvoir de «déterminer non seulement qui vous êtes, mais qui vous rencontrez, à quelle fréquence, dans quels endroits et pour combien de temps. »5
Même le propre Commissariat à la protection de la vie privée du gouvernement a déclaré de façon inquiétante : « Nous avons très peu d’informations spécifiques pour le moment, mais nous voulons en savoir plus. »6
Nous devons utiliser ce moment – alors que les questions de confidentialité sont sur toutes les lèvres – pour obtenir des réponses. Dites au gouvernement que nous avons le droit de savoir si nos renseignements confidentiels sont interceptés et stockés dans des bases de données colossales et non sécurisées.
Qu’il s’agisse de repousser les plans de censure des droits d’auteur, les prix abusifs des géants des télécommunications ou les menaces à notre vie privée, nous savons qu’en travaillant ensemble, il n’y a rien que nous ne puissions accomplir.
Pour notre avenir,
Steve et Lindsey, de la part de votre équipe OpenMedia.ca
P.-S. La lutte pour notre vie privée est un travail de longue haleine, mais nous sommes fiers que les Canadiens comptent sur nous pour veiller au grain et amplifier leur voix lorsqu’il le faut. Notre petite équipe serait extrêmement reconnaissante si vous pouviez verser une modeste contribution. Si vous croyez vraiment en nos efforts, veuillez penser à soutenir nos campagnes continues en offrant des contributions récurrentes en tant qu’Allié spécial d’OpenMedia.ca.
P.-P.-S. Ceci est un problème d’envergure internationale. OpenMedia s’allie à d’autres groupes pour exiger du gouvernement américain qu’il mette fin à son espionnage des activités en ligne des citoyens du monde entier, incluant les Canadiens. Lorsque vous aurez agi pour le Canada, nous espérons que vousparticiperez également à la campagne internationale.

Notes:
[1] La NSA conserve un registre des appels de millions de clients Verizon chaque jour. Source : The Guardian.
[2] Un programme secret donne à la NSA et au FBI un accès dissimulé aux données d’Apple, Google, Facebook et Microsoft. Source : The Verge.
[3] Le Globe and Mail signale que le CSTC a « reconnu que certaines communications canadiennes étaient interceptées par ce filet. » Source : The Globe and Mail.
[4] Les protecteurs de la vie privée, au sujet de l’interception des données par l’agence d’espionnage : « Nous voulons en savoir plus. » Source : The Globe and Mail.
[5] Des agences d’espionnage ont chamboulé nos vies numériques. Nous devons les surveiller. Source :The Globe and Mail.
[6] Note 4 ci-dessus.
Supportez OpenMedia.ca
REF.:  OpenMedia.ca est une organisation à but non lucratif qui opère grâce aux dons de personnes comme vous. Notre petite équipe dévouée s’assure que même la plus petite contribution soit utilisée pour faire entendre votre voix. S’il vous plait, faites un don aujourd’hui.



jeudi 13 juin 2013

Comment vous protéger contre Prism, et d'autres écoutes

Un autre programme secret, Informant illimité, suivi des quantités massives de données.  Cette heatmap montre recueillir plus de 3 milliards de données des États-Unis en seulement un mois

Si vous voulez rester en dehors de l', œil omniprésent coléreux des gouvernements américain et autre, Prisme, et les nombreuses écoutes téléphoniques qui existent sans aucun doute tout au long de l'internet dans le monde et les réseaux de téléphonie, voici quelques conseils.
  • Arrêtez d'utiliser les réseaux sociaux. S'il s'avère que le gouvernement américain a un accès direct à Facebook, Microsoft et les serveurs de Google, vous devriez vraiment arrêter d'utiliser leurs services. Vous pouvez essayer d'utiliser un autre réseau social qui est en dehors de la zone de chalandise de Prism, mais vraiment vous êtes juste retarder l'inévitable.
  • Surfez en utilisant le protocole HTTPS . Si vous utilisez Chrome ou Firefox, vous devez installer le les HTTPS Everywhere de l'EFF add-on . HTTPS est une forme cryptée du protocole HTTP, le protocole utilisé par votre navigateur pour télécharger les pages Web à partir de serveurs distants. HTTPS devrait empêcher la NSA d'intercepter vos communications - mais, évidemment, si la NSA / FBI a déjà accès au serveur distant avec qui vous communiquez, HTTPS ne sera pas vous faire beaucoup de bien.
  • Créer une autre identité, puis naviguer avec un proxy / VPN. L'une des meilleures façons de prévenir le gouvernement de suivi vous est d'assumer une autre identité pour toutes vos communications - ou au moins toutes vos communications numériques - et ensuite utiliser un proxy ou VPN pour masquer votre emplacement physique .
  • Crypter vos appels téléphoniques, ou d'utiliser un téléphone brûleur. Si vous voulez faire des appels téléphoniques qui ne peuvent pas être suivis à vous, notre site de soeur PC Magazine a compilé une longue liste de services téléphoniques cryptées et brûleur . Gardez à l'esprit que certains de ces services pourraient être réduits à néant par une backdoor NSA, et l'analyse de la voix pourrait être utilisé pour relier vos appels vers votre identité.
En fin de compte, comme vous l'avez probablement deviné, il est presque impossible de garder votre identité et les actions cachées de votre gouvernement. La seule vraie solution est d'obtenir votre gouvernement pour arrêter l'espionnage sur vous en premier lieu, mais les chances que cela se produise sont proches de zéro. Vraiment, nous avons juste à prier pour que le gouvernement n'utilise pas ses pouvoirs pour le mal - et qu'il ne plaisante pas et permettre à des pirates dans ses bases de données massives.