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jeudi 29 août 2013

Google sur une balloune: Le projet Loon,l'internet aux pauvres


Internet dans la stratosphère: Loon, projet «dingue» de Google

Après ses lunettes futuristes connectées au web, Google a annoncé samedi le lancement expérimental dans la stratosphère de gros ballons gonflables pouvant relayer une connexion internet vers des zones difficiles d'accès, un projet «fou» issu de son laboratoire secret californien.
Baptisé «Loon» - un raccourci de «balloon» (ballon en anglais), qui signifie aussi «dingue» - le projet «a en effet l'air, à première vue, complètement fou!», a reconnu l'Américain Richard DeVaul, un des directeurs du laboratoire GoogleX.
Mais «Loon» repose aussi, selon lui, sur «des bases scientifiques solides» qui ont permis cette semaine d'établir avec succès de premières connexions au sol, en provenance d'une trentaine de ballons flottant à une vingtaine de kilomètres d'altitude au-dessus de la Nouvelle-Zélande.
«Nous travaillons au sol en partenariat avec un fournisseur de services internet: des faisceaux de signaux sont envoyés vers le ballon, qui les renvoie vers le sol en direction d'antennes ou boîtiers (placés par exemple sur les toits de maisons). Le ballon a en quelque sorte une fonction de miroir» réfléchissant, explique M. DeVaul.
L'électronique embarquée est alimentée en énergie par un panneau photovoltaïque.
Les débits proposés «sont équivalents à de la 3G, et chaque ballon (de quinze mètres de diamètre) permet une connexion sur 40 kilomètres autour de lui», précise le Français Johan Mathe, un des ingénieurs en charge du projet.
La principale difficulté est de pouvoir contrôler la trajectoire des ballons pour éviter qu'ils ne soient ballottés au gré des vents, et de les positionner au-dessus des zones souhaitées.
«Il y a plusieurs couches dans l'atmosphère : en fonction des vents et de leur force, on regarde les données météorologiques pour savoir à quelle altitude on doit placer le ballon pour qu'il aille dans telle direction», souligne M. Mathe.
Et aucun risque qu'un avion se retrouve nez-à-nez avec des ballons: ceux-ci évoluent «de façon très sécurisée, deux fois plus haut que les avions de ligne» et leur position est signalée aux autorités aériennes, précise Richard DeVaul.

LE GOOGLEX LAB, UN SECRET BIEN GARDÉ

Après la Nouvelle-Zélande, l'idée est d'élargir l'expérimentation à des pays se trouvant également le long du 35e parallèle sud, comme l'Afrique du sud, l'Uruguay, l'Australie ou encore le Chili.
«L'idée est d'avoir un 'anneau' de ballons sur cette même latitude afin de proposer une couverture continue: nous pensons que 300 ou 400 ballons pourraient être nécessaires pour cela», ajoute M. DeVaul.
Mais le projet est encore à un stade «beaucoup trop expérimental pour déjà penser à une couverture de la planète entière!», s'exclame-t-il.
Très difficile aussi d'en savoir plus sur ce fameux laboratoire GoogleX, centre de recherche consacré aux projets «spéciaux» implanté à Mountain View en Californie, et placé sous la direction de Sergey Brin, l'un des co-fondateurs de Google.
Ce laboratoire qui travaille dans le plus grand secret a déjà développé le projet Google Glass (les lunettes connectées à Internet) ou encore des modèles de voitures sans conducteur, mais peu de choses filtrent sur les expérimentations qui y sont menées.
«C'est très secret, et nous ne parlons des projets qu'une fois qu'ils sont prêts», résume Richard DeVaul.
«Si vous voulez faire de l'innovation, il est très important d'avoir la liberté et la possibilité de se tromper. Enormément de choses que nous essayons ne marchent pas. Et nous essayons, parce que cela vaut toujours la peine d'essayer. Mais je ne peux absolument pas vous dire sur combien de projets de ce type nous travaillons actuellement!», sourit-il.
Google rappelle samedi que deux tiers de la population mondiale n'a «toujours pas accès à une connexion rapide et bon marché, et qu'il reste beaucoup de chemin à parcourir dans ce domaine».

Alphabet met fin à Loon, car son projet n’est pas viable

Loon devrait mettre fin à son service au Kenya, et les employés transférés vers d’autres entreprises d’Alphabet telles que Google. Selon le PDG de Loon, les ballons à hélium pouvaient rester des centaines de jours dans le ciel. De plus, les équipements de communication étaient capables d’assurer une couverture cellulaire sur une zone 200 fois plus grande que celle d’une antenne relais classique.

Cependant, un opérateur aurait dû acheter plusieurs ballons, chacun d’eux coûtant des dizaines de milliers de dollars, alors que ceux-ci n’ont qu’une durée de vie d’environ cinq mois. L’investissement était alors beaucoup trop élevé, et son intérêt remit en question par des projets comme Starlink.

L’intérêt croissant de SpaceX pour fournir un accès à Internet depuis l’espace a peut-être influencé la décision d’Alphabet d’abandonner Loon. En effet, Starlink est déjà disponible en bêta à 99 dollars par mois aux États-Unis. Le projet est ambitieux, puisque SpaceX compte envoyer environ 12 000 satellites dans l’espace, à un rythme de 120 par mois. L’entreprise américaine souhaite fournir une connexion de 100 Mbps à tous les utilisateurs.

Loon n’aura pas été un projet inutile, puisque selon Google, une partie de la technologie développée par Loon est déjà utilisée dans le projet Taara. Celui-ci vise à apporter une connexion Internet rapide et abordable à l’Afrique subsaharienne. Les ballons Loon avaient aussi pu être déployés au Peru après un tremblement de Terre de magnitude 8,0. Il avait coupé du monde certaines zones rurales.

Source : medium


L' internet au tiers-monde: Facebook lance «Internet.org» avec des partenaires

 «Chacun mérite d'être connecté», a estimé mercredi sur CNN le patron de Facebook Mark Zuckerberg, qui lance avec d'autres groupes technologiques un partenariat mondial pour rendre internet accessible aux plus pauvres.
Ce projet baptisé Internet.org vise à élargir l'accès à internet à 5 milliards de personnes, en réduisant drastiquement le coût des services internet de base sur les téléphones mobiles dans les pays en voie de développement, indique Facebook dans un communiqué publié mercredi.
Aujourd'hui seules 2,7 milliards de personnes, soit un peu plus d'un tiers de la population mondiale, ont accès à internet, et le nombre de nouveaux connectés chaque année reste faible.
«Tout ce que Facebook a fait jusqu'à présent est de donner aux gens à travers le monde l'opportunité de se connecter», a estimé Mark Zuckerberg, cité dans le communiqué.
«Il y a de gros freins dans les pays en voie de développement pour se connecter et rejoindre l'économie du savoir. Internet.org est un partenariat global destiné à résoudre ces défis, dont rendre internet accessible à ceux qui ne peuvent pas se l'offrir», a ajouté le fondateur et principal actionnaire de Facebook.
Parmi les partenaires du projet figurent les fabricants d'équipements de télécommunication Nokia (Finlande) et Ericsson (Suède), le géant sud-coréen de l'électronique Samsung, les concepteurs de composants américain Qualcomm et taïwanais MediaTek et le navigateur internetnorvégien Opéra. S'ils ne sont pas partenaires à part entière, les réseaux sociaux Twitter et LinkedIn vont aussi collaborer.
«Le but d'Internet.org est de rendre internet accessible aux deux-tiers de la population mondiale qui n'en disposent pas encore», souligne le texte.
Pour y parvenir, les sept groupes partenaires vont développer des projets communs, partager leurs connaissances et mobiliser industriels et gouvernements.
Concrètement, ils veulent simplifier les applications mobile pour les rendre plus efficaces et améliorer les composants des téléphones et des réseaux afin qu'ils soient plus performants, tout en consommant moins d'énergie.
Ils envisagent aussi de développer des téléphones intelligents à bas coûts mais de «haute qualité» et des partenariats pour déployer largement l'accès à internet à des zones non encore desservies dans le monde.
De nouveaux modèles d'appareils seront fabriqués pour inciter les opérateurs télécoms à prendre part à l'initiative. Les portables intégreront aussi de plus en plus des langues locales.
Le partenariat Internet.org est calqué sur un autre projet déjà mené par Facebook, Open Compute Project, lancé en avril 2011 et visant à démocratiser et améliorer les matériels utilisés dans les centres de données, tout en les rendant moins gourmands en énergie. Accueilli avec scepticisme au départ, ce projet a séduit petit à petit les géants de l'industrie de l'informatique.
Cette initiative intervient à un moment clé pour les groupes technologiques: les marchés matures sont saturés et ne présentent donc plus de potentiel de croissance important, alors que les zones pauvres comme l'Afrique, l'Amérique latine et certains pays d'Asie sont des réservoirs de nouveaux clients.


vendredi 23 août 2013

Apple intègre sa suite bureautique en bêta sur iCloud

La suite iWork fait son apparition, dans une version bêta gratuite, sur la plateforme dématérialisée iCloud. De cette manière, il devient possible de stocker, modifier et partager ses documents texte, ses feuilles de calcul et ses présentations.
Le service est par ailleurs compatible avec les outils de la suite Office de Microsoft.
De cette manière, il devient possible de créer de nouveaux documents, mais également d'en modifier d'autres existants. Dans ce cas, les modifications apparaissent automatiquement sur le Mac, l'iPad, l'iPhone et l'iPod touch. Le service est d'autre part entièrement compatible avec Word, Excel et PowerPoint.
Les programmes sont pour l'instant accessibles uniquement en anglais, avec la majorité de leurs principales fonctionnalités, sans être pour le moment complètement comparables aux applications vendues par Apple. Cela démontre néanmoins une volonté de dématérialiser davantage encore ses programmes et peut-être de tendre vers une offre gratuite alternative.
Il faut enfin noter qu'Apple conseille d'utiliser comme navigateur Safari (à partir de la version 6.0.3), Internet Explorer (au moins 9.0.8) et Google Chrome (au moins 27.0.1) pour avoir accès au service le plus fiable et complet possible.
Malgré ces recommandations, il fonctionne aussi sous Firefox.
Découvrir iWork dans iCloud: icloud.com


lundi 19 août 2013

Concours Kelloggs.ca : Céréales VECTOR

Attention quand vous validez vos codes céréales VECTOR sur le site web,les uns sont difficilement inscrits,ils ressemble a des j ou t ou x ou 4 ,alors que ce sont tous des uns !

regarder:


alors Bonne Chance ! pour les sacs VECTOR !


REF.: Snoro.comme,

jeudi 15 août 2013

Suivez la qualité de votre sommeil

Beddit - Que se passe-t-il durant votre sommeil?
Le Beddit Sleep Tracker n'est encore qu'un projet, soumis au financement des internautes sur Indiegogo. 
Photo Beddit sleep tracker

Que se passe-t-il durant votre sommeil?

Vous souhaitez contrôler votre sommeil sans être obligé de porter un appareil ou de mettre votre portable sous votre oreiller pour que l'application soit efficace? L'entreprise californienne Beddit tente d'apporter une réponse à ce problème avec un projet de capteur Bluetooth ultrafin à glisser sous vos draps.

Aussi sur Canoe.ca:
Des applications mobiles pour mieux dormirSommeil perturbé: soucis des vols habités vers Mars
Montre de monitorage de sommeil

Tandis que l'entreprise crée des capteurs de sommeil pour les entraîneurs personnels et les kinésithérapeutes depuis 2006, ce nouvel appareil est destiné au client lambda. Semblable à un ruban, le capteur Bluetooth génère un compte-rendu complet sur l'évolution de votre sommeil grâce à l'application associée.
Vous pourrez suivre la qualité de votre sommeil, votre rythme cardiaque, votre rythme respiratoire, vos mouvements, vos cycles de sommeil, vos ronflements et votre environnement, comme le bruit et la lumière. Le dispositif propose aussi un accès à des conseils de bien-être personnalisés, à l'historique de sommeil et permet de partager ces données sur les réseaux sociaux.
D'après l'entreprise, le capteur utilise la balistocardiographie pour détecter les rythmes cardiaque et respiratoire, ce qui pourrait bien être une étape technologique supérieure face aux appareils de suivi de sommeil basiques comme Jawbone UP et Fitbit Flew, qui fonctionnent via un accéléromètre.
Beddit a lancé une campagne de financement participatif sur Indiegogo.com pour récolter les fonds, et les supporteurs pourront recevoir le capteur Beddit pour 99$ en novembre. Le prix normal de l'appareil sera de 149$.

Le site Mobihealthnews.com annonce que Bam Labs fabrique également un tracker de sommeil similaire en utilisant la même technologie dans un surmatelas. En plus de surveiller le rythme cardiaque, la respiration et
les mouvements durant le sommeil, l'entreprise explique que l'appareil peut aussi diagnostiquer l'apnée du sommeil.

REF.: