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mercredi 9 juillet 2014

smartphone: Qualcomm dévoile les Snapdragon 410, 615, 805 et 810



Qualcomm vient de dévoiler en vidéo quatre nouvelles gammes de SoC dont la sortie sera échelonnée de la fin de l’année 2014 au début de l’année 2015. Quatre gammes visant à étoffer les séries de Snapdragon 400, 600 et 800, de quoi donc contenter aussi bien le milieu que le haut de gamme. Une potentielle réponse à Mediatek après la révélation hier de la sortie pour la fin de l’année du MT6795, premier processeur octocore 64 bits qui équipera les smartphones haut de gamme?

Snapdragon 410, le 64 bits de milieu de gamme

Le plus modeste du lot, le Qualcomm Snapdragon 410 sera l’évolution du 400 qui équipe encore actuellement le Moto G ou le Galaxy S4 Mini. Contrairement à ce dernier, le 410 sera un quadricoeur qui introduira qui plus est une architecture 64 bits-ready sur des processeurs non haut de gamme. Constitué de quatre Cortex A53 cadencés à 1,4 GHz, il sera équipé d’origine d’un GPU Adreno 306 et supportera des capteurs photo jusqu’à 13,5 megapixels.

Snapdragon 610/615, H.265 et 4K au programme

La gamme 600 sera quant à elle complétée par deux nouveaux processeurs : le 610 et le 615, qui avaient déjà fait parler d’eux au Mobile World Congress au mois de février. Ce dernier est un octocoeur construit sur l’alternance de quatre Cortex A53 cadencés à 1,7 GHz et de quatre autres à 1 GHz, tandis que le premier ne sera qu’un quadricoeur.
Au-delà de cette différenciation, tous deux supporteront le 64 bits et seront équipés d’un GPU Adreno 405 et pourront lire les fichers encodés en H.265. Ils assureront également l’affichage en 4K sur les téléviseurs équipés.

Snapdragon 805, l’accent sur les performances graphiques

Le Snapdragon 805, qui équipe déjà le Galaxy S5 LTE-A en Corée, s’inscrit dans la continuité du 801 en misant avant tout sur des performances graphiques maximisées. Équipé du nouveau GPU Adreno 420 à 600 MHz, il sera capable d’assurer l’enregistrement et la lecture de vidéos 4K sur le terminal, gérera des capteurs photo jusqu’à 55 mégapixels et décodera lui aussi le nouveau standard H.265.

Snapdragon 808/810, le très haut de gamme Qualcomm


Le sommet du haut de gamme de Qualcomm sera occupé par les Snapdragon 808 et 810, ce dernier ayant déjà lui aussi fait forte impression lors de son annonce au mois de janvier dernier. Si ces derniers ne seront pas disponibles avant début 2015, leurs spécifications semblent bien alléchantes. Le 810 sera ainsi constitué de quatre Cortex A57 64 bits et quatre Cortex A53. Son GPU, l’Adreno 430, sera 30% plus rapide et 20% moins énergivore que son prédécesseur, le 420.
Moins puissant, le Snapdragon reste tout de même très intéressant dans ses caractéristiques puisque cet hexacoeur composé de deux Cortex A57 64 bits et quatre Cortex A53 supportera l’affichage en WQXGA (2560 x 1600 pixels) et disposera lui aussi de la mémoire LPDDR3.


mardi 8 juillet 2014

Smartphone: cpu 8 cores et le LTE en 2014-2015


Mediatek MT6795, le futur octo-core 64 Bits haut de gamme

Une photo du planning des sorties des nouveautés Mediatek a révélé la sortie dans les prochains mois d’une nouveau processeur, le MT6795, qui devrait succéder au MT6595, lui-même encore en phase de déploiement, et ainsi équiper les futurs smartphones de haut de gamme. Ils succèdent eux-même au MT6592, premier vrai SoC à huit coeurs.

Planning de la sortie du Mediatek MT6795

Contrairement à son prédécesseurs, le MT6795 embarquera huit coeurs 64 bits au lieu de 32 pour une cadence maximale de 2.2 GHz. On ne sait pas encore avec exactitude quel sera la nature de ces huit coeurs, mais il semblerait que l’architecture du processeur soit construite autour de Cortex A53, dont on ne sait pas encore s’ils alterneront avec un autre modèle. Pour information, le MT6595 est quand à lui composé de quatre Cortex A-7 et de quatre Cortex A-17, ce qui laisse à croire à l’hypothèse d’une architecture big.LITTLE dans le cas du MT6795.

Il sera par ailleurs capable de gérer des capteurs photo de 20 mégapixels et de filmer en Ultra HD tout supportant le codec 4K H.265, deux fois plus léger que le H.264 (ce qui signifie pour une qualité identiques, un fichier codé en H.265 sera deux fois plus léger) auquel il devrait à terme succéder. Il permettra également l’affichage de la définition WQXGA dont la résolution maximale sera de 2560 x 1600 pixels.

On s’étonnera cependant qu’au niveau des caractéristiques réseau, le processeur ne puisse supporter que la 4G (avec une vitesse de download maximal de 150 Mbps et d’upload de 50Mbps), alors que la 4G+ commence à faire son apparition et devrait se démocratiser assez rapidement dans les grandes villes.

Comme le laisse suggérer le planning de Mediatek, le MT6795 devrait faire son apparition dans les premiers smartphones à la fin de l’année 2014, même si on peut s’attendre à le voir faire son apparition au début de l’année 2015. Et pourquoi pas notamment sur la prochaine gamme de Nexus, au vu de la bonne entente entre Mediatek et Google?



lundi 7 juillet 2014

Signaler un courriel qui contrevient à la loi anti-pourriel C-28



Si vous recevez un courriel qui contrevient à la loi C-28, vous pouvez le transmettre au centre de notifications des pourriels qui se chargera d'effectuer un suivi auprès de l'entreprise fautive.
Vous pouvez signaler:
- les messages électroniques commerciaux envoyés sans le consentement du destinataire,
ainsi que
- les messages électroniques commerciaux dont le contenu est mensonger ou trompeur.


Depuis le 1 juillet 2014, la Loi canadienne anti-pourriel C-28 est en vigueur dans tout le pays.
Celle-ci vise à éliminer l'envoi de courriels non-sollicités et oblige les entreprises à respecter certains règlements pour être légalement en mesure de communiquer avec les internautes canadiens.

2 options pour signaler un pourriel

Il existe 2 options pour soumettre des renseignements au centre de notification des pourriels.
La première consiste à remplir un formulaire sur le Web dans lequel vous indiquez vos coordonnées, le type de message reçu (courriel, texto, message privé via un site Web comme Facebook), des précisions sur l'expéditeur et les motifs qui vous poussent en envoyer le signalement.
La seconde est plus rapide et consiste à transférer le pourriel à l'adresse dédiée: pourriel@combattrelepourriel.gc.ca
Dans les 2 cas, si l'un des organismes chargés de l'application de la LCAP (le CRTC, le Bureau de la concurrence et le Commissariat à la protection de la vie privée du Canada) a besoin de renseignements supplémentaires quant à la nature et aux détails de votre soumission, on pourrait communiquer avec vous.
Il se peut aussi que vos renseignements personnels soient partagés avec d'autres parties dans le but de bien mener l'enquête.
L'énoncé de confidentialité que vous devez accepter avant de remplir le formulaire fournit tous les détails au sujet des informations collectées et ce à quoi elles pourraient servir.

REF.:

dimanche 6 juillet 2014

Poème: Les moments de silence

Les moments de silence,shuuuut !
Écoute,.....non pas ça!
Écoute la vie,le silence de la vie.
Rien ! Nonnnn,ta pas compris,c'est pas physique
c'est simplement l'absence du son.
Oui, fait comme quand tu médite, tu ferme les yeux au monde physique
Ah! ,la concentration apparaît,le focus change pour les vraies valeurs

Alors ,le moment de silence ,c'est quand tu ferme la radio
ahhhh peut-être,mais c'est quand tu retiens tes mots juste avant de parler.
C'est quand tu écoute le silence entre les notes de musique ,
Oui,c'est comme écouter la même chanson 1,000 fois
Il vient un temps que tu n'entend que les silences de la chanson
Musique de Noel ,en plein mois de juin ,.....aucune différence!
Un silence ,c'est un silence !

Mais,le silence fait peur,.....avez vous peur ?
Ne créer pas votre peur,mais respirer  l'énergie de cet instant de silence.
La vibration de l'énergie vous atteindra bien avant le son
et c'est de ça que vous avez de besoin !
Vous vous rendrez compte ,que tout est dans l'absence de: !

De,.......son,.........c'est un des derniers sens a partir,avant votre grand départ.
Du son ,...............de la personne qui parlait !
La présence du son disparaît avec la personne aimée,mais pas le silence !
En réalité ,on en n'a pas de besoin de son !
Ou plutôt,on doit écouter le silence entre les notes de musique.
Le temps passé entre le son et le silence ,nous permet de ressentir la présence de l'Énergie!

Alors,si le silence vous apporte ,la présence de cette chose intouchable,du passé.
Et que la sérénité,la paix ,vous envahi ,c'est que ça marche !
C'est par l'amour des autres que vous connaîtrez cette proximité de l'Énergie !
Que tous font un seul corps !




REF.:Té0,

Ce sont les parents qui ont créés l'Enfant Roi

L’enfant “roi” ?



Il met les autres en boîte, comme Pierre Richard dans le film «Le Jouet», pour satisfaire ses envies les plus égoïstes. Personnage redouté et redoutable, enfant-roi, qui es-tu ?



Même pas peur !

Il semble sûr de lui et sait se faire entendre et surtout obtenir tout ce qu’il veut. Fille ou garçon, cet enfant a la toute-puissance sur son entourage. Personne ne l’impressionne. Il règne sur sa famille, ses amis et même sur ses professeurs, qu’il arrive à pousser à bout. Ce qui lui importe, c’est son plaisir immédiat. Il sait très bien comment l’obtenir et surtout comment faire en sorte qu’on ne le lui refuse pas ! Intolérant à la frustration, la satisfaction de ses envies est son seul but, le poussant à un égocentrisme extrême. La discipline et l’autorité lui sont méconnues. Incapable de composer avec les frustrations et de reporter la satisfaction de ses envies, il a souvent des comportements agressifs. Son mode principal d’action est l’impulsivité. Mais méfions-nous des apparences, malgré un caractère très fort et une attitude «je suis le meilleur», cet enfant est en souffrance. La tendance actuelle de mettre chaque enfant en difficulté dans une case : «hyperactif», «haut potentiel», permet certes d’essayer de trouver des solutions adéquates mais aussi de défaire les parents d’une partie du poids de leur responsabilité. «Mon enfant est insupportable, c’est un enfant-roi !» En y regardant de plus près, ce n’est pas lui le problème. N’est-il pas le fruit de son éducation [hormis les véritables pathologies dont certains sont atteints] ? Sandro Costa Sanseverino de l’espace «Parents Conscients©» insiste sur la notion suivante : «un enfant-roi, comme tout roi de nos jours, n’est au pouvoir que parce qu’on le lui donne». [voir témoignage].



On ne naît pas enfant-roi

Un enfant-roi n’est, à la base, pas différent d’un autre, rien ne le prédispose à la naissance à le devenir. Dans toutes les familles, dès sa venue au monde, le bébé est l’objet de toutes les attentions. Ne connaissant que des besoins primaires de nourriture, sommeil et amour, il se manifeste quand il a besoin de l’un ou de l’autre. Même si certaines fois les parents n’arrivent pas tout de suite à déceler la demande de leur enfant, ils y répondent au plus vite, permettant ainsi à l’enfant de vivre dans le plaisir.
A partir de 2 ans, «les terribles deux ans», vient le «non». L’enfant sort de son monde de «besoins » et commence aussi à avoir des «envies». Il comprend que sa façon d’agir va entraîner l’une ou l’autre réaction de la part de son entourage. Le rôle des parents connaît alors une nouvelle phase, celle des limites. Apparaissent les règles qui doivent être respectées. A ce stade du développement de l’enfant, il est primordial de mettre fin à sa toute-puissance. Si ses besoins fondamentaux doivent continuer à être respectés, ses envies vont inéluctablement ne pas être satisfaites à chaque fois. Fait son entrée sur la grande scène de la vie : la frustration, cette grande dame qui l’accompagnera très longtemps. A cet âge charnière, les parents doivent commencer à dire «non», mais voilà que l’enfant aussi s’y met ! La situation devient tout d’un coup plus complexe ! Si les parents continuent à répondre aux envies de leurs petits trésors sans leur apprendre à en reporter la satisfaction ou à gérer la frustration d’un désir non satisfait, l’enfant restera dans la toute puissance qu’il connaissait avant, toute puissance antérieurement nécessaire à sa survie et à son développement.

C’est la faute à Dolto ?

Fin des années ‘60, la société s’est trouvée à un grand tournant de son évolution. Mai ‘68 et son slogan «il est interdit d’interdire» eurent des répercussions dans de nombreux domaines. Toute une génération rejette la répression et l’autoritarisme. Avec l’égalité des sexes, les femmes revendiquent le droit de travailler et c’est le modèle familial dans son entièreté qui s’en trouve chamboulé. Plus rien ne sera comme avant.
Dans le monde de l’enfance, la célèbre psychanalyste Françoise Dolto donne une nouvelle place à l’enfant au sein de la famille. Elle parle de compréhension, d’être à part entière que l’on ne doit pas considérer comme un individu inférieur. L’enfant-roi serait le résultat d’une mauvaise interprétation du message de Dolto et du slogan de mai ‘68. Le «tout comprendre » est devenu «tout permettre». Dolto dit que «l’enfant est un être humain à part entière qui a le droit à autant de respect qu’un adulte, mais il n’a pas la place de l’adulte, c’est un être en construction qui a besoin de limites pour se construire». Elle insiste sur un cadre solide nécessaire au bon développement de l’enfant et surtout aux limites qu’il faut lui imposer et qui doivent être intégrées à l’âge de 8 ans. Pour ce faire, la discipline est indispensable.
Si Dolto a mis les parents et futurs parents en garde contre une éducation stricte et répressive elle n’a jamais cautionné un laxisme éducatif. Malheureusement, pour de nombreuses personnes, «interdire» devient synonyme de «brimer». D’un totalitarisme autoritaire, le monde de l’éducation infantile évolue vers un «tout est permis». Apparaissent alors les «parents copains» qui, de peur de ne plus être aimés de leurs progénitures, acceptent tout. L’épanouissement à n’importe quel prix de l’enfant devient le but premier. Et depuis, ça ne tourne plus très rond dans certaines familles. Le modèle parental étant à nouveau en pleine mutation avec les familles monoparentales ou recomposées, les enfants et les limites demeurent un réel problème de société.



L’univers des limites

Les limites, voilà un mot tout court qui pourtant a un rôle prépondérant dans l’évolution de chaque adulte en devenir. Avoir un enfant est aujourd’hui plus que jamais un véritable choix que l’on tente de plus en plus de maîtriser. Beaucoup d’enfants sont devenus un faire-valoir narcissique pour les parents, une prolongation d’eux-mêmes, de leurs espoirs cachés ou ratés.
Dans la problématique de l’enfant-roi, c’est vers les parents que le regard devrait se tourner.
Beaucoup d’entre eux ne ressentent malheureusement pas la légitimité de leur rôle, ils n’en sont pas convaincus. Pour eux, la limite n’a pas de sens. Voulant à tout prix le bienêtre de leur tête blonde, ils en oublient que l’autorité est la condition sine qua none de l’épanouissement. Elle est pourtant essentielle et permet de définir un cadre. N’oublions pas que c’est en s’opposant que l’enfant forme sa volonté. Après il est toujours temps de se pencher sur les émotions, le bien-être… Les limites ne permettent pas seulement à l’enfant de savoir «ce qui est permis», comment se comporter avec les autres mais aussi comment se comporter avec lui-même. Evoluer dans un cadre solide permet de développer un «policier intérieur», cette petite voix permettant de se tenir hors de certains dangers. Sans cadre, le processus de prise de décision n’est pas abouti. C’est de cela que les enfants-rois souffrent. Ceux dont les parents ont été trop laxistes et n’ont pas su garder leur place légitime, n’ont pas développé de système d’auto-protection, n’ayant aucune notion des conséquences de leurs comportements impulsifs. Cette absence de cadre éducatif entrave le développement de la morale. L’enfant ne distingue pas ce qui est bon pour lui. De la sorte, il n’a pas accès à la culpabilité et aux remords. Cela explique pourquoi certains enfants, adolescents ou même adultes vont chercher le danger là où il se trouve. Leur équilibre personnel est en déséquilibre. La question des limites est le défi majeur des familles et surtout des familles recomposées qui doivent trouver des règles communes pour des enfants n’ayant pas bénéficié du même cadre.



Même les médias s’en mêlent

Le monde de l’audio-visuel et plus particulièrement de la télé-réalité, a su prendre la balle au bond. Voilà que sont apparues des émissions comme «Super Nanny» et «Le Grand Frère». D’un côté, une dame aux allures très strictes vient «mettre de l’ordre» dans le laxisme parental. De l’autre, un adulte à l’attitude très décontractée apporte son aide à des ados en mal de repères. Ces [pseudo] spécialistes répondent aux cris de détresse de parents dépassés par le comportement de leur enfant. Les problèmes de personnes «lambda» deviennent spectacle. Pour Sophie Jehel, sociologue des médias, dans «Le Grand Frère», la violence des ados est montrée comme quelque chose qui ne s‘explique pas. La télévision présente ces enfants comme des monstres alors qu’ils sont normaux [tvmag.lefigaro.fr].



Et quand l’enfant-roi deviendra grand ?

Le chemin de vie d’un enfant-roi est parsemé de moments difficiles, de recherche de cadre. Cela engendre bien souvent des problèmes de comportement et de conformisme social. Evoluant dans son monde à lui, il n’a pas de perception du monde extérieur. Sa réalité est la seule qui soit juste. Finalement, ces individus ne sont qu’à la recherche d’une limite qui, malheureusement dans la plupart des cas, ils finiront par trouver chez le juge et pour certains en prison. Enchaînement d’expériences néfastes, ils vont là où leur sécurité est en danger. Mais tout n’est pas perdu ! De nombreuses personnes, que ce soient des associations, des professionnels de la psychologie ou des praticiens de méthodes alternatives peuvent, fournir aux parents des outils pour permettre à leur enfant de sortir de la case «enfant-roi». La première prise de conscience doit venir des parents qui réalisent l’importance de leur rôle et acceptent qu’ils puissent faire autrement pour offrir un meilleur milieu de vie à leur progéniture. Cette première étape est aussi la plus difficile. De nombreux parents ne voient pas la différence entre exiger et demander. Le changement devient possible uniquement si l’adulte se pose des questions sur sa façon d’agir. Il devra se questionner sur son rapport à l’autorité, sur son modèle parental et l’éducation reçue. Le travail demande du temps et de l’énergie, mais est réalisable. Malgré tout, il faut néanmoins accepter la dure réalité qui veut que, pour certains, il sera difficile d’inverser la tendance. Auprès d’un ado de 15 ou 16 ans n’ayant jamais connu de limites, il n’y a parfois rien à faire, à part essayer de l’accompagner au mieux. Heureusement, les jeunes professeurs sont de mieux en mieux formés et préparés à faire face aux situations difficiles. Sur ce long et sinueux chemin de l’éducation infantile, montrons à nos enfants que le ciel est la seule limite à leurs rêves tout en leur faisant le cadeau de limites leur permettant d’atteindre les étoiles.


REF.: