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samedi 19 septembre 2015

Tor : anonymat ultime ?




Tor : anonymat ultime ?

Messagepar Malekal_morte » 19 Sep 2015 12:18
TOR (Tor Onion Routing [le routeur oignon]) est un réseau décentralisé qui a été créé afin de garantir un certain niveau d'anonymat. TOR est présenté comme une alternative permettant de contribuer, à sa manière, à la protection des utilisateurs du réseau, notamment contre les méthodes d'écoutes classiques.

TOR est un projet libre et son utilisation est gratuite.


Principe et fonctionnement de TOR

Lorsque vous surfez sur la toile, le traffic transmis vers un serveur WEB, peut parfois prendre le même chemin, surtout entre votre ordinateur et le réseau de votre Fournisseur d'Accès à Internet. Ce chemin peut-être écouté, par exemple, par votre FAI. Exemple de traceroute où l'on voit les routeurs du FAI.

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TOR n'est ni plus ni moins qu'un réseau de routeurs. Les routeurs utilisés sont des nœuds TOR. Lorsque vous utilisez ce réseau, le traffic va transiter par ces routeurs et le chemin va ainsi changer périodiquement afin de rendre la traçabilité et l'analyse plus difficile. L'image suivante issue de la Fiche TOR de Wikipedia, vous explique le fonctionnement. On voit le chemin emprunté par la requête en haut à gauche afin d'atteindre le serveur en bas à droite. Le traffic est chiffré. Ce chemin va changer périodiquement. Le dernier saut en rouge entre le nœud TOR de sortie et le serveur est en clair (à d'utiliser HTTPs).

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En utilisant TOR sur le site malekal.com on constate que les IPs sont assez aléatoires. Par conséquent, remonter l'historique complet des pages visitées par un internaute devient moins facile. On remarque l'user-agent "Mediapartners-Google" qui vient effectuer en douceur la même requête, un coups de Google via Adsense ?

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Le site https://onionview.com/ offre une visualisation de la localisation des nœuds TOR.

Nœuds TOR dans le Monde :

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Nœuds TOR en Europe :

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Nœuds TOR aux USA :

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Comment utiliser TOR ?

Télécharger TOR

Au premier démarrage, indiquer le type de connexion que vous avez.

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Le navigateur par défaut de TOR nommé "Tor Browser Bundle" est basé sur Mozilla Firefox.
À ce stade, seules vos requêtes WEB depuis ce navigateur passeront par TOR.

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TOR installe un serveur SOCKS sur le port 9150.

Pour que vos applications et notamment vos navigateurs WEB utilisent le réseau TOR:
  • Lancer le navigateur TOR
  • Configurer le serveur SOCKS sur vos applications ou Microsoft Windows.

Exemple, dans le "Panneau de configuration", "Options Internet".
Allez dans l'onglet "Connexions", "Paramètres Réseau"
cliquez sur "Avancé" en bas à droite.

Indiquer l'hôte localhost et le port 9150.

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Le site http://adresseip.com/ permet de visualiser votre adresse IP.
La capture d'écran ci-dessous montre que Google Chrome utilise bien le réseau TOR.

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Limites et problèmes relatifs à TOR

Si TOR prétends protéger contre l'analyse de traffic, il ne protège en rien contre les méthodes avancées de pistages (tracking WEB) ainsi que les autres types de pistages liés aux applications installées. De plus, TOR ne protège pas contre les techniques de prises d'empreintes uniques comme le "Browser FingerPrinting". La situation a même empirée depuis l'inclusion forcée de Cortana dans Windows 10.

En ce qui concerne les méthodes de surveillances gouvernementales, il est tout à fait possible d'écouter une portion du traffic simplement en créant des nœuds contrôlés, on peut aisément imaginer que les services étatiques disposent de nœuds positionnés sur le réseau TOR. Bien sûr, il reste difficile de pister dans son intégralité un internaute en particulier. Le maillon faible étant notamment le dernier saut entre le nœud de sortie TOR et le serveur où le traffic peut apparaitre en clair. Les cybercriminels aiment TOR, aussi bien pour l'ajout de "couches" à leurs pratiques existantes que pour en exploiter les faibles. Il est donc aussi possible pour des cybercriminels de récupérer des mots de passe si ces derniers passent en clair, dans le même cas que l'utilisation de proxy : Anonymisation sur internet avec Proxy WEB. Pour éviter le passage en clair, TOR utilise l'extension "HTTPs Everywhere". Faire passer "proprement" tout le traffic (de toutes ses applications) par TOR nécessite de sérieuses connaissances en informatique.

TOR génère à lui seul une base d'IPs assez importante. Des attaques automatisées sont régulièrement effectuées à partir du réseau TOR. Cela peut aller d'attaque DoS à des scans et autres permettant de se cacher. Dès lors certains sites, services, personnes, peuvent tout simplement bloquer l'accès aux ressources depuis TOR. Par exemple, Wikipedia autorise la consultation mais empêche la modification d'articles depuis TOR.


Conclusion

TOR est un bon moyen pour renforcer l'anonymat mais reste compliqué à utiliser correctement car la moindre faiblesse, aussi petite soit elle fera tomber le masque de manière définitive. Et bien entendu, comme tout système, le zéro risque n'existe pas.

Source.:

jeudi 17 septembre 2015

Les principales nouvelles fonctions d'iOS 9



Siri améliore et remplace Spotlight

Dans iOS 9, Spotlight, le moteur de recherche d’iOS (et de Mac OS X), perd son nom mais ne disparaiît pas. Au contraire, il se voit dopé par Siri. Glissez votre doigt vers le bas sur un des écrans d’accueil et vous pouvez saisir une requête dans le champ de texte ou entrer votre recherche vocalement. Il est ainsi possible de demander à Siri d’afficher les photos prises avec votre iPhone entre le 15 et le 20 d’un même mois, etc.
Grâce aux liens profonds, Siri peut désormais mener pour vous des recherches dans certaines applications, comme AirBnB par exemple.
Vous pouvez également voir les résultats de votre club de foot préféré en tapant son nom dans le champ de recherche. S’affiche alors le score de son dernier match joué! 

Siri est désormais plus proactif

Siri est également plus intelligent. L’assistant est désormais non seulement capable de réaliser des calculs complexes mais s’avère surtout beaucoup plus proactif.
Ainsi, en affichant la page de recherche qui s'ouvre par le biais d'un balayage vers la droite sur la page d’accueil, vous verrez que Siri propose une liste de contacts récemment joints ainsi qu’une sélection des applications utilisées il y a peu. En dessous de ses  suggestions, Siri propose également une sélection de quatre ou cinq sujets d’actualité, choisis en fonction de vos recherches et de vos goûts...


Mail aussi vous facilite la vie...

La proactivité est également présente un peu partout dans iOS 9. Vous avez l’habitude de courir en musique le matin vers 7h ? L’application Musique vous sera proposée depuis l’écran de verrouillage de votre iPhone à cette heure-là. Mais cette proactivité, qui repose sur l’apprentissage de vos habitudes, s’intègre également dans des applications comme Mail ou Plans. Dans Mail, commencez à saisir des adresses de destinataires et l’application vous proposera automatiquement d’ajouter les personnes qui sont généralement en copie des courriels expédiés à ce contact, par exemple.


Plans, pour tout trouver à proximité et prendre les transports en commun

Plans bénéficie également d’une touche de proactivité dans iOS 9 – qui est toutefois pour l’instant limité à certains lieux seulement. Ainsi, quand on active le champ de recherche de Plans dans certaines villes, deux rangées d’icônes s’affichent. Elles varient en fonction de l’heure du jour et de la nuit et proposent de trouver un bar, un restaurant, un cinéma, une salle de sport, etc. à proximité de là où vous vous tenez. L’autre nouveauté de Plans est l’option de « navigation » dans les transports en commun. Une fois encore, cette fonction n’est pas active dans toutes les villes du monde. Si elle est opérationnelle à San Francisco, New York, Londres ou Berlin, elle ne fonctionne en revanche pas encore à Paris. Mais de nouvelles villes devraient être ajoutées rapidement.



Multitâche : un peu sur l’iPhone, beaucoup sur l’iPad

Le multitâche sur le smartphone d’Apple consiste essentiellement en une nouvelle manière de naviguer entre les applications ouvertes, qui rappelle un peu Cover Flow. En revanche, sur l’iPad, le multitâche prend une tout autre dimension, même si les trois principales nouveautés ne sont pas accessibles à tous les iPad. Slide Over est un bon moyen d’accéder rapidement au contenu d’une application lorsqu’une autre est ouverte, en l’affichant sur le côté droit de l’interface de la tablette. On voit alors, sur environ un tiers de la largeur de l’écran, les infos désirées et on peut les cacher à nouveau en glissant le doigt vers la droite. Split View permet d’équilibrer l’espace accordé à deux applications en les affichant équitablement. Cette vue est très pratique pour travailler avec un navigateur ouvert et un traitement de texte en même temps, par exemple. Enfin, dernière nouveauté, la fonction Picture in Picture (Image dans l’image), qui vous offre de regarder une vidéo dans une petite vignette, afin de continuer à regarder votre série préférée tout en jetant un œil à vos mails.


Un clavier enrichi

Avec iOS 8, Apple a ouvert son clavier à la concurrence, avec iOS 9, le géant de Cupertino l’améliore un peu. Une fois encore, le progrès se ressent surtout sur iPad, même si on apprécie vraiment que toutes les lettres du clavier s’affichent en capitales quand la majuscule est activée, ou en minuscule quand elle ne l’est pas. Plus besoin de regarder la touche « Shift » pour savoir… Sur tablette, les changements concernant le clavier sont bien plus consistants. Placez deux doigts sur le clavier virtuel, et vous pourrez alors déplacer précisément le curseur de saisie ou sélectionner le texte facilement. Lorsque vous tapez du texte, il est désormais possible de mettre le texte en gras, en italique ou de le souligner grâce à des raccourcis présents en haut à droite du clavier. La bonne nouvelle est qu’Apple continue d’ouvrir son clavier et que des raccourcis personnalisables en fonction d’applications tierces seront disponibles. De même les claviers physiques connectés permettent désormais de naviguer d’une application à une autre, par exemple.


Un outil de prise de notes qui prend corps

Et pour bien profiter du nouveau clavier, Apple a largement amélioré Notes, son petit traitement de texte, disponible sur iPhone ou iPad. Outre qu’il intègre désormais des pièces jointes qui peuvent être des photos prises avec votre smartphone ou provenir d’autres applications, comme Safari ou Maps, Notes offre désormais des fonctionnalités de mise en forme plus avancées. Elles permettent de créer des titres ou de transformer une série de lignes en une todo list avec des cases cochables, par exemple. Il est même possible de réaliser de petits croquis ou dessins pour illustrer une idée ou un propos.


Mode économie d’énergie et suivi de la batterie

Les switchers qui viennent du monde Android ne seront pas perdus, Apple a amélioré le suivi de la consommation électrique de ses appareils. On voit désormais quelles sont les applications qui consomment le plus à l’instant ou sur les trois derniers jours. iOS 9 introduit également un nouveau mode d’économie d’énergie qui va réduire la voilure dès que la batterie n’affichera plus que 20% et se désactivera une fois passé les 80% rechargés. Vous pouvez évidemment modifier ces limites.



iCloud Drive, rendre visible le stockage dans le nuage...

Pendant longtemps, Apple a voulu « cacher » iCloud en l’intégrant directement dans les applications. Ainsi, pour accéder aux fichiers de Pages, fallait-il lancer Pages.  iOS 9 propose l’installation d’une application iCloud Drive, qui permet de naviguer dans ses documents stockés dans le cloud d’Apple via des répertoires, comme dans un Finder classique. Et c’est franchement un mieux…



iOS 9 ou la sécurité renforcée

Pour iOS 9, Apple a renforcé la sécurité. Désormais, le code de déverrouillage de l’iPhone ou de l’iPad n’est plus de quatre chiffres, mais de six – on le tape de toute façon bien moins souvent si on possède un appareil équipé d’un lecteur d’empreintes, Touch ID. Par ailleurs, le géant américain a intégré un système de double authentification. Quand on se connecte pour la première fois à un appareil avec un compte iCloud, le smartphone ou la tablette demande de saisir un code ou propose d’envoyer une autorisation à un des appareils considérés comme sûrs sur lequel le compte iCloud en question est déjà activé. Un moyen d’éviter les usurpations d’identité.



vendredi 11 septembre 2015

Li-Fi : Internet à haut débit par la lumière, c'est pour demain


Lifi
 
Lucibel

Un premier prototype de luminaire Li-Fi bidirectionnel et haut débit vient d’être dévoilé au siège du constructeur immobilier Sogeprom. Il pourrait bientôt équiper écoles, hôpitaux et agences bancaires pour assurer une connexion Internet sans fil, sécurisée et sans risque pour la santé.

jeudi 10 septembre 2015

Quand Apple fait Peek et Pop

iPhone 6s : Peek et Pop piquent la curiosité



Peek et Pop, ce sont les drôles de noms de deux fonctions liées à l'écran 3D Touch des iPhone 6s. D'une pression légère, on active Peek, qui, comme son nom l'indique en anglais, sert à jeter un coup d'œil à un lien dans Messages, par exemple. Si on appuie plus fort, Pop ouvre la page complète dans Safari. Il y a aussi les Quick Actions, des raccourcis quand on fait une pression sur l'icône d'une application.
Est-ce que c'est pratique ? Oui, répondent très clairement les journalistes qui ont pu avoir les nouveaux iPhone entre les mains au sortir du keynote.
Avant l'essai, Dieter Bohn de The Verge s'attendait à tomber sur des menus et options cachés, mais c'est plus « intelligent » que cela, selon lui. On a véritablement un aperçu du contenu quand on fait un Peek, raconte-t-il.
David Pierce, de Wired, note que l'on peut totalement se passer de Peek et Pop si l'on veut. « Mais une fois que vous avez découvert cela, tout semble aller plus vite et être plus direct. D'une simple collection d'apps, l'iPhone devient quelque chose de cohérent », explique-t-il.
Même son de cloche enthousiaste pour Chris Velazco d'Engadget. Depuis qu'il a vu qu'il pouvait mettre à jour son statut sur Facebook ultra rapidement grâce à une Quick Action, il espère que toutes les apps prendront en charge l'écran 3D Touch afin de faire gagner du temps.
David Pierce souligne tout de même un écueil : à l'instar de la fonction Force Touch sur Apple Watch, impossible de savoir quand une fonction 3D Touch est disponible. Il faut littéralement tâtonner pour repérer les apps et les éléments sensibles à Peek et Pop.

  Facebook et Instagram ont annoncé le support de 3D Touch dans leurs apps, et les jeux seront également de la partie.

Source.:

mercredi 9 septembre 2015

iPhone 6s et iPhone 6s Plus ,iOS 9



iPad Pro, Apple TV, Apple Watch… Tout cela, c’est bien gentil, mais cela reste de l’argent de poche face à ce que représente l’iPhone pour Apple. Les smartphones représentent en effet 70% du chiffre d’affaires du constructeur, qui mise une fois de plus sur la gamme 2015 pour garnir ses bas de laine. Apple a présenté, comme prévu, ses nouveaux iPhone durant le special event.
Sans trop de surprise pour cette gamme intermédiaire, le design des iPhone 6s et iPhone 6s Plus ne change guère de leurs prédécesseurs. On compte un nouveau coloris en or rose (qui n’est pas du « vrai » or, évidemment), et ces fichus appareils photo qui débordent au dos des terminaux ; en revanche, le châssis est aluminum 7000. Pour le reste, « la seule chose qui a changé, c’est tout », comme l’a affirmé Tim Cook.






Cliquer pour agrandir
La première nouveauté mise en avant est la technologie 3D Touch, qui est l’équivalent de Force Touch inauguré sur l’Apple Watch et les trackpads des MacBook et MacBook Pro. Les écrans des nouveaux iPhone reconnaissent la pression du doigt, ce qui autorise de nouvelles interactions (baptisées Quick Actions). Apple en a présenté quelques unes, permettant par exemple de consulter un coup d’œil du document (Peek pour un aperçu, Pop pour ouvrir le fichier), tandis qu’un appui prolongé sur une icône affichera un menu contextuel. Il n’est même plus utile d’ouvrir une application pour générer une action.
Pour parvenir à ce miracle, Apple a mis au point une technologie qui mesure la distance entre le verre de l’écran et le rétro-éclairage. Le constructeur y a ajouté un actuateur linéaire, le Taptic Engine, que l’on connaît dans l’Apple Watch. Ce dernier permet de « ressentir » les conséquences des appuis prolongés par de petites tapes sous le doigt.






Cliquer pour agrandir
C’est « la nouvelle génération du multi-touch », comme l’a explique Jony Ive dans la vidéo de présentation, et il est vrai que mixer les gestes classiques avec les appuis 3D Touch offre d’intéressantes combinaisons. Mais visiblement, il faudra tenter sa chance un peu partout car à l’instar de l’Apple Watch, rien n’indique qu’un élément peut être « appuyé » profondément. Les développeurs auront accès à 3D Touch pour leurs applications. Les jeux devraient notamment en profiter.
Les iPhone 6s et 6s Plus embarquent un processeur A9 64 bits, qui bénéficie d’une nouvelle architecture (SiP ?), il est 70% plus rapide que l’A8 et le GPU est 90% plus véloce (« niveau console »). Surtout, ce CPU se présente comme « optimisé pour un usage dans le monde réel » — peu importe ce que cela signifie.

Le SIP:SiP (system in package), C'est  ... des différences majeures avec les SoC (system on chip) tels que les Ax mis au point par Apple pour l’iPhone et l’iPad, est que les puces SiP (comme dans l'Apple Watch)peuvent intégrer sur un même circuit intégré des composants gravés en différentes tailles (28 nm pour le CPU, 14 nm pour la mémoire, etc.). De son côté, le SoC est un die (circuit intégré) unique gravé selon un seul processus de fabrication. Apple s'est s’inspirer de ce type de conception pour ses iPhone 6s.(on dirait bien qu'Apple miniaturise son iPhone jusqu'a ce qu'il se retrouve dans une Apple Watch ? va t'il devenir un bracelet de communication ? )

L’A9 s’accompagne d’un coprocesseur, M9, qui est toujours actif et qui permet d’utiliser la fonction « Dis Siri » en tout temps, plus uniquement quand l’iPhone est branché au courant. L’iPhone 6s et 6s Plus proposent également un capteur Touch ID de seconde génération qui se veut deux fois plus rapide.






L’appareil photo iSight, de 12 mégapixels, offre 50% de pixels supplémentaires par rapport au capteur de 8 mégapixels des précédents modèles (cela reste toujours en-deçà des 23 mégapixels d’un Xperia Z5…). L’autofocus est présenté comme plus précis, le capteur est aussi censé réduire le bruit et les artefacts magnétiques. L’idée, martelée par Phil Schiller, est d’offrir un rendu « fantastique » des couleurs, notamment pour les peaux.
À l’avant, l’appareil photo FaceTime HD passe à 5 mégapixels. Des égoportraits plein pot sont à prévoir. Ce capteur à selfie s’accompagne d’un Retina Flash (en fait, l’écran s’illumine 3 fois plus fort qu’à l’accoutumée grâce à une puce spécifique). L’enregistrement vidéo est proposé en 4K ; épatant si on possède en plus un téléviseur UHD…
Parmi les nouveautés inattendues, Apple a lancé avec les Live Photos : en maintenant le doigt sur l’écran durant une prise de vue, on enregistrera une séquence avec l’audio. Grosso modo, c’est… une vidéo, en somme.
Au rayon réseau, les nouveaux iPhone proposent la prise en charge d’une LTE Advanced : jusqu’à 23 réseaux 4G sont désormais supportées (avec des performances pouvant aller jusqu’à 300 Mbit/s). 
Bien que l’iPhone 6 prenait techniquement en charge la « vraie » 4G, la 4G LTE-A, Apple avait préféré communiquer sur les débits plutôt que sur les technologies. Les choses sont plus simples cette année : comme l’iPhone 6s est doté d’une puce de catégorie 6, permettant d’atteindre jusqu’à 300 Mb/s, il sera sans doute présenté par les opérateurs comme « un appareil 4G+ ».

Le Wi-Fi est lui deux fois plus rapide. Parmi les accessoires, Apple propose de nouveaux docks aux quatre couleurs des iPhone, de nouveaux coloris pour les étuis maison.






Malgré les Live Photos et l’enregistrement 4K, il faudra se contenter d’un modèle d’entrée de gamme de 16 Go, ce qui est franchement rachitique. Les tarifs ont été annoncés en dollars avec un abonnement de deux ans, les tarifs étant de 199$/299$/399$ pour l’iPhone 6s de 16, 64 et 128 Go, et de 299$/399$/499$ pour l’iPhone 6s Plus de mêmes capacités.






La gamme comprend l’iPhone 5s (« gratuit »… avec un abonnement), l’iPhone 6 (à partir de 99$) et l’iPhone 6 Plus (à partir de 199$). Aux États-Unis, Apple inaugure un programme de renouvellement annuel de l’iPhone à base de location du smartphone (les tarifs débutent à 32$). La France fait partie de la première vague de lancement des iPhone 6s, le 25 septembre.
Les prix en France ont malheureusement augmenté, comme on pouvait le craindre. Pour l’iPhone 6s : 749 € (16 Go), 859 € (64 Go) et 969 € (128 Go). Pour l’iPhone 6s Plus : 859 € (16 Go), 969 € (64 Go) et 1 079 € (128 Go). Les précommandes débutent le 12 septembre.


Et iOS 9 sortira le 16 septembre !
Mais ,si vous voulez vous transformer en bêta-testeur,voila l'iOS 9 en pre-release iOS 9 GM(golden master) sorti le 9 septembre pour vous, ICI !
(iOS 9 devrait vous faire gagner plus de 3 Go de d'espace dans votre iPhone,car il deviendra réduit a bien moins qu' 1.3 Go.)
  iOS 8 pesait 4.58GB tandis qu' iOS 9 est réduit a 1.3GB.

-Et bien sûr le livre "Les nouveautés d’iOS 9"
en pré-commande sur itunes : iOS9 ,Voila !

Pour tout savoir d' iOS 9 :  https://developer.apple.com/library/prerelease/ios/navigation/
allez sur le site du développeur !

Source.: