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vendredi 30 septembre 2016

Paradis fiscaux, terrains de jeux des grandes banques



Un financier québécois qui a fait de la prison aux États-Unis après avoir été reconnu coupable de complot pour blanchir de l’argent a bien peu de regrets pour ses activités passées. Il dit que le Canada s’en prend seulement aux petits poissons dans sa chasse aux évadés fiscaux.


«Le Canada est très hypocrite, beaucoup plus que les États-Unis. L’essentiel de ce qui était mon travail aux îles Caïmans, les banques canadiennes le font tous les jours», a affirmé Éric St-Cyr, dans sa première entrevue à un média du Québec depuis sa sortie de prison en 2015.
«J’ai pas l’impression d’avoir été pire que l’ensemble de l’industrie. Consciemment, je n’ai jamais fait de blanchiment d’argent», dit-il.

«Tout au plus, j’ai fermé les yeux sur une douzaine d’individus qui faisaient de l’évasion fiscale», souligne-t-il.
Éric St-Cyr est l’ancien président de la firme de gestion de fortune Clover Asset Management aux îles Caïmans, un paradis fiscal. Il a été accusé en 2014 de complot pour blanchir de l’argent aux États-Unis.
Deux agents de la justice américaine passant pour de riches clients l’ont approché en disant vouloir cacher l’argent d’une fraude bancaire.
 

Livre-choc
Notre Bureau était allé le rencontrer aux îles Caïmans quelques mois à peine avant son arrestation. Le teint bronzé et l’air décontracté, il avait vanté un style de vie aisé, sans impôt et sous les palmiers, très loin du Québec.
«Quand tu ne paies plus d’impôt, ton revenu explose!» avait-il fièrement affirmé.
«En déménageant ici, je suis passé d’un coup d’un taux d’imposition de 54 à 0 %», disait-il.
Dans un livre-choc au ton très personnel, «À l’ombre du soleil», Paradis fiscaux: démesure et déchéance, à paraître cette semaine au Québec, Éric St-Cyr revient sur son expérience en finance sous les tropiques. Il porte un regard sans fard sur les hypocrisies du système financier mondial. Il décrit son expérience dans un univers carcéral américain jugé impitoyable.


Source.:

jeudi 29 septembre 2016

Bloque les scripts ,les pop-ups et plus encore: uMatrix est meilleur que uBlock !



Comme uBlock origin,le add-on de Firefox(le meilleur navigateur),uMatrix est encore mieux et est un pare-feu à base de matrice point-and-click, avec de nombreux outils de confidentialité améliorés.

* Pour les utilisateurs avancés. *

uMatrice vous mettre en plein contrôle de l'endroit où votre navigateur est autorisé à se connecter, quel type de données il est permis de télécharger, et ce qu'il est autorisé à exécuter. Personne d'autre décide pour vous: Vous choisissez. Vous êtes en plein contrôle de votre vie privée.
  uMatrice: Un pare-feu à base de matrice point-and-click, avec de nombreux outils de confidentialité amélioration.

* Pour les utilisateurs avancés. *

uMatrice vous met en plein contrôle de l'endroit où votre navigateur est autorisé à se connecter, quel type de données il est permis de télécharger, et ce qu'il est autorisé à exécuter. Personne d'autre décide pour vous: Vous choisissez. Vous êtes en plein contrôle de votre vie privée.



Guide d’utilisation de uMatrix

 Tutoriel FR


> Pour un utilisateur lambda
uMatrix est destiné à des utilisateurs plutôt avancés (indiqué sur la page d’accueil du projet).

> Je vois a peu près ce qu'est les CSS, script et frame, mais je pense que d'autre n'ont pas du tout ces notions…
Il s’agit des différents types de requêtes faites par le navigateur (cf. tableau ci-dessous).

Petit tableau récapitulatif
Cookie
CSS
Img
Plugin
Script
XHR
Frame

Utilisé pour sauvegarder des préférences ou pister dans certains cas
Contenu visuel (Img) et mise en page (CSS, ex : userstyles.org)
requêtes faites par des scripts
Cadre (de tierce partie) pouvant contenir une vidéo.
Peut être utilisé pour diffuser des pubs.
Contient les autres types de requêtes (celles ne pouvant être catégorisées de par des restrictions du navigateur, par exemple).
Bloqué par défaut sauf pour le domaine de la page.
Autorisés par défaut pour tous les domaines.
Bloqués implicitement par défaut sauf pour le domaine de la page.
Bloqué par défaut sauf pour le domaine de  la page.
Bloqués implicitement par défaut sauf pour le domaine de la page.

> le principe en lui même est clair ( autorisation ou non avec vert et rouge et sauvegarde )
Pour clarifier les choses, il y a effectivement vert et rouge mais avec des nuances :
  • vert/rouge clair → la requête est autorisée/bloquée implicitement/héritée à partir d’une règle globale que ce soit pour le type de requête ou le domaine spécifié.
  • vert/rouge foncé → autorisée/bloquée explicitement par l'utilisateur pour le contexte actuel (clic sur la cellule de la matrice).

> j'ai suivi le tuto anglais pour autoriser YouTube partout, mais à chaque site nouveau il faut que je l'active
Pour débloquer YouTube partout, je te conseille de créer tes règles à partir de l'onglet "Mes règles" dans les paramètres car tu pourras autoriser les domaines pour tous les contextes (les domaines autorisés pour un contexte ne le sont que pour ce contexte). Les règles à créer :
- * googlevideo.com * allow
- * youtube.com * allow
- * ytimg.com * allow
- tu peux aussi ajouter * youtube-nocookie.com * allow (utile pour les lecteurs embarqués) et * ggpht.com * allow  et d’autres si nécessaire ou modifier le type de requêtes filtrées (2ème astérisque). Ex : youtube.com * cookie block pour regarder des vidéos YT sans être connecté. Pour les ajouter, boutton “Editer” sous “Règles temporaires” puis copie-colle les règles (1 par ligne) puis “Sauvegarder” et “Appliquer”.



Quelques infos utiles :
  • Les modifications faites depuis la fenêtre contextuelle ne concernent que le contexte actuelle (i.e le site actuel), ce qui explique que tu devais réautoriser à chaque site mais en cliquant sur le nom du domaine en haut à gauche tu peux choisir le contexte.
  • La syntaxe est source destination type action. De plus les règles créées pour un domaine (comme exemple.com) s’appliquent également aux sous-domaines (i.e www.exemple.com ou serveur1.exemple.com). Donc il faut faire attention quand on autorise google.com (ou d’autres) car certains domaines (qui pistent les utilisateurs comme gg.google.com il me semble) seront autorisés par la même occasion.
  • Certains noms de domaines ont des variantes comme certains CDN (ex : cloudfront.net). img.com est un bon exemple :
    • twimg.com correspond à des images hébergées par Twitter.
    • ytimg.com correspond à des images (comme les miniatures) hébergées par YouTube.
    • Autre exemple : *.cloudfront.net utilisé pour auto-héberger certaines données (CDN).
  • La documentation de HTTPSB est également valable sauf pour certaines différences.





lundi 19 septembre 2016

L'inventeur de Drummondville : Jean St-Germain,retour vers le futur !

L’homme qui a transformé le monde des biberons et du parachutisme, le «patenteux» Jean St-Germain, s’est éteint cette fin de semaine, laissant un impressionnant héritage.
Naissance :
 
Décès le


«Il était sans cesse en train de penser aux façons d’améliorer ce qui l’entourait. Il était capable de tout réparer», raconte Gina St-Germain, une des filles de l’inventeur.
À l’âge de 16 ans, après avoir recommencé trois fois sa quatrième année du primaire, le jeune homme avait eu la brillante idée de remplacer la bouteille de verre d’un biberon par un sac en plastique qui s’aplatit à mesure que le bébé boit.

Jean St-Germain : Retour vers le futur

JEAN ST-GERMAIN a mis sur pied plus d’une centaine d’inventions. Certaines à vocation pratique comme le biberon anticolique, d’autres carrément ésotériques comme sa pyramide d’énergie. Patenteur de pacotille ou Léonard de Vinci québécois? Nous avons rencontré le singulier personnage.



Si, d’aventures, vous avez emprunté l’autoroute 20 dans les environs de Saint-Hyacinthe, vous avez sans doute remarqué le petit village de Saint-Simon-de-Bagot. Petite bourgade dortoir aussi sympathique que ses voisines, elle abrite quelques-unes des insolites inventions de Jean St-Germain, visibles depuis l’autoroute: une pyramide, une immense croix érigée pour l’an 2000, un restaurant robotisé et un aérodium.
Les lieux n’appartiennent plus à Jean St-Germain, mais l’inventeur aime bien errer dans les parages, rêvassant à une quelconque invention. Avec sa longue barbe poivre et sel qui lui dévore le visage et qui retombe à mi-torse, l’homme de 64 ans arbore un look qui n’est pas sans rappeler celui de De Vinci. "J’ai toujours eu l’imagination fertile, raconte-t-il. Quand je vois un besoin, mon cerveau s’active et j’essaye toujours de trouver une solution. C’est comme ça que j’ai gagné ma vie et que je la gagne encore aujourd’hui."
Du biberon à l’aérodium
C’est à l’âge de 16 ans que Jean St-Germain crée sa toute première invention, le biberon anticolique. Intrigué par sa belle-soeur qui tapotait le dos de son bébé pour faire passer ses coliques, il songe à un biberon qui serait exempt d’air: "Quand j’ai compris que les rots et les coliques des bébés étaient dus à l’air, j’ai pensé à mettre le lait dans une balloune et à faire un trou au fond de la bouteille, mais la balloune ne fonctionnait pas bien, alors j’ai utilisé un condom et ça a bien marché!"
Ce qui devait être la première d’une série d’inventions lui rapportera bien peu au regard des millions qu’elle génère encore aujourd’hui chez la compagnie Playtex: un chèque de 1000 $. Mais l’homme est lancé et dès lors il multiplie les créations. "Travailler à l’heure pour moi, ce n’était pas suffisant pour nourrir ma femme et mes 12 enfants, alors il fallait toujours que je crée."
L’aérodium est l’une des inventions les plus marquantes de St-Germain. Mise au point en 1980, la machine – espèce de silo au fond duquel une immense hélice souffle de l’air – simule l’état de la chute libre auquel sont confrontés les parachutistes. Particulièrement populaire, l’aérodium a été l’hôte d’une scène de la série Lance et Compte. Un second aérodium, à ciel ouvert celui-là, a vu le jour en 1990. C’est celui que l’on peut voir sur le site voisin de la pyramide et qui s’apparente à une gigantesque piscine hors terre.
Le resto-robot
Insatisfait de jouer les inventeurs, St-Germain s’est fait le plus insolite des restaurateurs en bâtissant l’Extra-terrasse, un restaurant où le service était assuré par un robot. "L’idée était de mettre sur le marché l’équivalent d’un Valentine ou d’un McDonald qui aurait l’apparence d’une soucoupe volante", résume-t-il. Construit en 1992 sans les moindres plans sinon ceux imprimés dans son cortex, le fameux restaurant avait tout pour séduire jeunes et moins jeunes: véritable soucoupe de verre avec antennes sur le toit, on y prenait place en s’asseyant sur des banquettes roses émergeant d’improbables météorites. On y trouvait des extraterrestres et bien sûr un robot se déplaçant sur rails. "Le robot allait porter la commande et parlait aux gens, se remémore l’inventeur. À l’intérieur du restaurant, il y avait une personne qui s’occupait uniquement du robot. Elle entendait ce que les gens disaient et elle leur répondait à travers le robot."
Populaire, le fameux concept? Pensez-vous! À l’intérieur de deux mois, l’inventeur dit avoir amassé pas moins de 280 000 $. Oubliez les Planet Hollywood et autres Burger King, c’est à l’Extra-terrasse que l’on se rassemblait. Les files d’attente pour le restaurant étaient interminables, on patientait parfois jusqu’à deux heures avant de goûter à son hamburger venu d’une autre galaxie ou à ses poutines aux objets fondants non identifiés. Pourtant, St-Germain a fermé les portes de la soucoupe moins de six mois après l’ouverture, débordé par la gestion de 21 employés et d’un robot dont les circuits faisaient parfois la grève. "J’aime inventer, mais je n’aime pas opérer les commerces, indique-t-il. Lorsque la tête est occupée à l’administration, le cerveau n’est plus libre pour inventer."
L’Extra-terrasse a connu un second souffle l’espace de quelques années, mais a de nouveau fermé ses portes aux terriens il y a deux ans. Racheté selon les dires de M. St-Germain par un politicien municipal membre de l’équipe de Pierre Bourque, le restaurant devait donner naissance à une foule de franchises, mais quelqu’un se serait sauvé avec l’argent de la caisse. Si vous arrêtez à Saint-Simon, vous verrez tout de même que derrière son mur de vitre, le resto est encore prêt à servir ses spout-frites et ses comètes-burger. "Maintenant, ça ne me fait plus rien de voir ça inactif, confie l’inventeur avec un léger pincement de coeur. J’aurais bien voulu que quelqu’un fasse quelque chose de beau avec ça… Mais un jour, ça rouvrira, j’en suis certain."
Du physique au spirituel
Jean St-Germain ne s’est pas contenté de mettre au point des inventions terre à terre, pratiques ou amusantes. Il s’est aussi aventuré en territoire ésotérique et spirituel, ayant été lui-même, selon ses dires, en proie à diverses expériences mystiques. Ainsi a-t-il érigé tour à tour une pyramide, un anneau transitionnel et un cylindre géomagnétique, la première ressourçant l’énergie de l’individu, le deuxième ses émotions et le dernier, son physique. Le petit bâtiment adjacent à sa pyramide, où sont situés les bureaux de Pyra-croix (la compagnie gestionnaire des lieux), donne accès à ces inventions. Au fil des ans, l’immeuble est devenu un véritable centre de santé ésotérico-spirituel.
Vous croyez que St-Germain a mal digéré l’un des hot dogs-fusées de l’Extra-terrasse? Que du génie à la folie il n’y a qu’un pas et qu’il l’a franchi? Il vous assurera qu’il n’en est rien, bien que peu enclin à expliquer le fonctionnement et les théories de ses inventions. "C’est toutes des affaires flyées, maugrée-t-il. Je ne suis pas sûr que tu doives expliquer leur fonctionnement à tes lecteurs parce que c’est vraiment difficile à comprendre." Puis il se ravise et explique les principes qui régissent sa pyramide: "On se demande encore aujourd’hui pourquoi et comment les Égyptiens ont fait les pyramides. S’ils ont bâti dans le désert plutôt qu’au Caire, c’est pour que la masse de la pyramide soit isolée du sol et pour qu’il y ait un champ magnétique. Le sable a servi d’isolant. Alors moi, j’ai fait une pyramide avec les moyens d’aujourd’hui: elle est isolé du sol par huit pieds de styromousse. Quand tu vas à l’intérieur de la pyramide, tu t’aperçois qu’il y a un contact qui se fait avec tes ancêtres, même si tu n’y crois pas. C’est comme si, dans la pyramide, le cerveau humain s’amplifiait et ressentait ce contact-là."
Vous êtes sceptiques? Sachez qu’ils sont plusieurs à avoir été confondus, à commencer par Lucie Lacharité, l’une des propriétaires de Pyra-croix. "J’ai acheté parce j’y crois, explique-t-elle. J’aimerais que tout le monde passe seulement une fois dans la pyramide, car tant et aussi longtemps qu’on n’est pas allé à l’intérieur, on ne peut pas s’imaginer ce que l’on peut aller chercher." Selon Mme Lacharité, la pyramide compte de nombreux fidèles qui reviennent année après année depuis son ouverture, en 1982. Ces derniers temps, la popularité des lieux est même à la hausse. "Les gens ont besoin de s’accrocher à quelque chose et d’aller chercher de l’énergie parce que tous les événements des États-Unis les ont vidés de leur énergie", explique-t-elle.
Le chemin de croix
Dernière invention marquante de Jean St-Germain, la croix de Saint-Simon a été érigée en 2000, après quatre années de travail. Juchée sur un petit immeuble de trois étages qui relate de façon iconographique le parcours du Christ, l’immense croix, un "hommage à nos ancêtres" selon St-Germain, est devenue pour plusieurs un lieu de recueillement. On allume parfois ses 2000 lumières et certains s’y sont même mariés.
Au troisième étage du petit bâtiment sis en dessous de la croix, on trouve un autel où est disposée une statue de cire de Jésus-Christ. Sur le sol, de la terre sainte importée d’Israël, documents à l’appui. Et entre les visiteurs et la statue, une pierre que tous sont invités à toucher. "C’est incroyable tout ce que les gens ont ressenti là et tout ce qui s’est passé là, commente St-Germain. C’est une question de physique et de spiritualité. Avec mon intention matérielle et en faisant venir les matériaux, j’ai posé un acte physique. Et les gens qui se déplacent pour venir poser le geste, toucher à la roche, ça aussi, c’est physique. Alors même si les gens n’y croient pas, il y a quelque chose qui se passe et ils le ressentent."
Après plus de 50 ans d’une carrière ponctuée de hauts et de bas, de réussites et d’échecs, St-Germain continue d’inventer. Déçu que le gouvernement n’ait jamais accepté son projet de mégapyramide funéraire avec laquelle il aurait voulu éponger les dettes des deux paliers de gouvernement, il continue d’aller de l’avant. Ces jours-ci, il travaille à de petits coffrets hermétiques en acier inoxydable qui pourraient contenir quelques souvenirs des gens et qui seront fixés à sa fameuse croix. "Même si je n’ai plus rien, je suis content de ma vie, dit-il. J’ai créé des milliers d’emplois à travers le monde et c’est ma fierté."





 On étaient servit par un Robot !



Ses inventions:
 Le biberon sans air, en 1953

♦ L’avion moto-plane, en 1970
♦ L’Aérodium, en 1980
♦ La croix illuminée de Saint-Simon de Bagot en 2000
♦ Le restaurant robotisé, Extra-terrasse, en 1992
 ♦ La pyramide d’énergie, en 1982



Source.:

jeudi 15 septembre 2016

Apple Watch Series 2 et watchOS 3 : Le Test !



Apple propose watchOS 3 pour les détenteurs d’une Apple Watch. Cette mise à jour était attendue, elle propose plusieurs améliorations à l’usage avec davantage de rapidité.
watchOS 3, disponible depuis le 13 septembre 2016
watchOS 3 Presentation Francaise
Pour mettre à jour la montre d’Apple, il faut ouvrir l’application Apple Watch sur l’iPhone relié et se rendre dans les options. watchOS 3 sera disponible au téléchargement.
Voici les principales fonctionnalités de watchOS 3 :
  • Un dock est proposé en cliquant sur le bouton latéral de l’Apple Watch, il permet de lancer de manière instantanée ses applications favorites sans délai particulier. Les informations seront déjà mises à jour
  • Un nouveau balayage vers le haut donne un accès au centre de contrôle pour activer/désactiver certains éléments, comme le mode avion ou le mode Ne pas déranger
  • Des nouveautés dans iMessage, dont la possibilité d’écrire à la main en dessinant chaque lettre et d’autres nouveautés liées aux Emojis, à l’encre invisible et plus que l’on retrouve dans iOS 10 sur iPhone/iPad
  • Possibilité de déverrouiller un Mac sous macOS Sierra, plus besoin d’entrer le mot de passe de sa session
  • De nouveaux cadrans
  • La possibilité de partager ses activités avec ses proches
  • Un mode optimisé pour ceux en fauteuil roulant, notamment pour les activités physiques
  • Une nouvelle application Respiration qui propose une série de respirations profondes pour mieux gérer le stress
  • Un mode SOS qui appelle les secours et envoie un message à un contact désigné pour l’alerter


Après une première Watch, intéressante mais perfectible, Apple a repris son ouvrage et propose désormais une nouvelle montre connectée plus autonome et performante, qui mérite qu’on s’y arrête.

L'avis de 01net.com
Apple Watch Series 2:

Les plus
  • + La puce S2
  • + L'écran plus lumineux
  • + Le GPS
  • + La résistance à l'eau
  • + watchOS 3
Les moins
  • - L'autonomie perfectible
  • - Le besoin d'usages nouveaux



Fiche technique Apple Watch Series 2

Les plus

  • + La puce S2
  • + L'écran plus lumineux
  • + Le GPS
  • + La résistance à l'eau
  • + watchOS 3

Les moins

  • - L'autonomie perfectible
  • - Le besoin d'usages nouveaux

Compatibilité :
 Avec iPhone 5 et plus récent,avec  iOS 8.2 ou plus, connectivité via Wi-Fi ou Bluetooth 4.0.

Le verdict du test

Apple Watch Series 2

En progrès mais encore imparfaite. La Series 2 ne définit pas encore son secteur et ne démontre d’ailleurs pas que les montres connectées sont indispensables, comme l’iPhone l’a fait dans son domaine et en son temps. Il lui manque encore quelques usages, une plus forte indépendance vis-à-vis des iPhone (ou d’un smartphone sous Android, on peut rêver), un peu plus d’autonomie, et pourquoi pas de puissance, pour vraiment écraser le marché. Pour autant, débarrassée des oripeaux d’un luxe incompatible avec l’obsolescence inhérente à la high tech, la Watch Series 2 séduit. Mieux, elle mérite d’être recommandée.

3,7 /5
Conception
4,5/5
Autonomie
1/5
Fonctions
4/5
Equipement
4,5/5
Note d'appréciation générale
4/5



Source.:

dimanche 11 septembre 2016

Comment fonctionne Pegasus, ce malware qui vole toutes les données de l'iPhone





 
CitizenLab

Pour espionner ses victimes, ce logiciel s'appuie sur un Jailbreak et infecte le terminal au moyen de trois failles zero-day. Il permet d'intercepter tout type de communications.