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samedi 26 novembre 2016

Les hackers s'épanouissent en Russie




En juin 2016, quelques jours avant que le monde ne découvre que des pirates informatiques russes avaient espionné pendant plus d'un an les ordinateurs du parti démocrate américain, la police russe mettait fin aux activités de Lurk.
Dans le monde « underground » des hackers russophones, constitué de forums spécialisés où chacun peut proposer ses compétences et de plates-formes d'échanges pour « malwares », des logiciels malveillants faits maison, Lurk était une légende. Les pirates informatiques moins chevronnés se bousculaient pour intégrer cette équipe.
Ce groupe de cybercriminels, actif depuis 2011, est accusé d'avoir volé trois milliards de roubles (42,5 millions d'euros) à des banques ou entreprises russes. Plus de 50 pirates informatiques, la plupart originaires de la région de Iékatérinbourg (Oural), ont été arrêtés au cours de 86 perquisitions menées dans 15 régions de Russie.
Mais ce coup de filet, bien qu'impressionnant, ne sera pas suffisant pour freiner la cybercriminalité russe. Plus de 1000 hackers spécialisés dans la criminalité financière sont en activité, a estimé dans un rapport le géant de la sécurité informatique Kaspersky.
Selon Kaspersky, au moins 790 millions de dollars (710 millions d'euros) ont été dérobés par des pirates informatiques russophones sur la planète entre 2012 et 2015. Et il s'agit là d'une estimation basse, précise le géant de la cybersécurité, pour qui ce chiffre risque d'exploser dans les années à venir.
« Le nombre de "cybercriminels financiers" augmente avec le développement des banques en ligne », explique Iouri Namestnikov, à la tête du département russe de recherche et d'analyse de Kaspersky.
Autres cibles privilégiées par les pirates informatiques : les téléphones intelligents, moins bien protégés que les ordinateurs. Le monde de la sécurité informatique s'inquiète également de la montée en puissance du « ransomware », une technique consistant à voler des fichiers que le propriétaire ne peut récupérer qu'en échange d'une rançon.
Le « hacker patriote » n'existe pas
Or « la plupart des "ransomware" actuels ont des origines russes », note Kaspersky.
« Nous avons de bonnes écoles de mathématiques et les Russes savent coder correctement », ajoute Iouri Namestnikov, selon qui « la particularité des pirates informatiques russes, c'est que cela fait très longtemps qu'ils sont actifs ».
Directeur adjoint de la sécurité à la banque centrale de Russie, Artem Sytchev assure pour sa part que ces « pirates informatiques russophones ont été formés dans le système d'enseignement soviétique ». « Ce sont des gens plus inventifs, y compris et malheureusement dans le domaine de la fraude », ajoute-t-il.
Pour Ilia Sachkov, fondateur de l'entreprise russe de cybersécurité IB-Group, « 99 % des pirates informatiques cherchent à voler de l'argent ». « Il n'y a pas de hacker patriote ».
Et pourtant : les pirates informatiques sont au coeur des dernières tensions entre Washington et Moscou, dont les relations sont déjà au plus bas à cause de leur opposition sur le conflit syrien et la crise ukrainienne.
Les États-Unis accusent le Kremlin de chercher à manipuler les élections américaines en se cachant derrière les attaques informatiques de deux groupes de pirates informatiques, Cozy Bear et Fancy Bear. Le premier s'est infiltré à partir de l'été 2015 dans les serveurs du comité démocrate national pour intercepter toutes les communications du parti tandis que le second a ciblé et volé des dossiers relatifs à Donald Trump.
Selon CrowdStrike, l'entreprise de cybersécurité qui a découvert les piratages du parti démocrate, Cozy Bear est lié aux services de renseignement militaire et Fancy Bear aux services spéciaux (FSB).
Les autorités ferment les yeux
Si le Kremlin a démenti fermement les accusations des États-Unis, les autorités russes peinent à prendre la mesure du danger que posent les pirates informatiques aux réseaux financiers.
La banque centrale russe reconnaît ainsi que les cyber-attaques visant des entreprises, des banques ou des particuliers russes ont augmenté de 120 % ces trois dernières années, mais Artem Sytchev assure que les pirates informatiques russophones n'ont dérobé « que » 28 millions d'euros cette année, bien loin des chiffres de Kaspersky. « La situation est bien pire dans d'autres pays d'Europe », affirme-t-il.
Kaspersky estime pour sa part que « les conditions actuelles sont très favorables aux cybercriminels russes : les risques de poursuite judiciaire sont faibles, mais les récompenses potentielles élevées ».
Ainsi, le cybercriminel le plus recherché de la planète, le Russe Evguéni Bogatchev, a sa tête mise à prix par le FBI à 3 millions de dollars. Son réseau, qui opérait depuis l'Ukraine et la Russie avant d'être démantelé en 2014, avait dérobé plus de 80 millions de dollars (72 millions d'euros) à des victimes, dont l'immense majorité américaine.
Le hacker vit toujours libre à Krasnodar, dans le sud de la Russie.
 
 
Source.:

vendredi 25 novembre 2016

Voici les nouveaux réseaux sociaux,Finis Facebook et Instagram !



Aujourd’hui, des «social networks» d’un nouveau genre apparaissent. Moins voyeurs que Facebook, moins narcissiques qu’Instagram, ces «vrais» réseaux sociaux favorisent les rencontres dans la vraie vie. Connexion.
A l’ère du «digital first», un voyage organisé ne consiste plus seulement en une formule all inclusive, dont la souscription donne droit à un bracelet en plastique coloré à garder impérativement sur soi pour profiter de l’open bar. En plus des mojitos touillés au rhum bon marché, certains tour-opérateurs, comme Photo Trek Tour, Tricia & Co ou Island Photography aux Etats-Unis, proposent désormais les services d’un vrai photographe. Histoire de ponctuer ses vacances d’images bien exposées et savamment retouchées, à poster sur son compte Instagram ou son profil Facebook sitôt une connexion wi-fi captée.
Car voilà à quoi se résument les social networks en 2015. Une galerie d’images égocentriques où le «fish gape» succède à la «duck face», assortie d’une myriade de like, au choix: admiratifs, complaisants ou envieux. Depuis que Mark Zuckerberg a voulu cataloguer en ligne les physiques de sa promotion de Harvard 2004, Facebook n’a pas changé d’un clic. Une décennie plus tard, on y trouve moins de personnes véritablement connectées que de curieux mal dissimulés, moins de liens d’amitiés authentiques que de «friends» qui n’ont aucun lien entre eux. Aujourd’hui, des sites doublés d’applications prennent le contre-pied de ces réseaux «egotripiques» et nous proposent des alternatives vraiment solidaires, vraiment utilitaires… En somme, vraiment sociales.
Au bonheur des «peupladiens»
Lancé il y a quelques semaines dans les plus grandes villes françaises (Paris, Lyon, Marseille ou encore Grenoble), Peuplade affirme sa différence dans un slogan emblématique: ce «réseau social de quartier» entend connecter les habitants d’une zone géographique restreinte pour qu’ils se rendent service, s’échangent des adresses ou organisent des apéros entre «peupladiens.» Condition sine qua non pour devenir membre? Renseigner son adresse postale, car Peuplade donne dans l’hyperproximité.
Lire aussi: Chômeur à 50 ans? Comptez sur vos amis plutôt que sur LinkedIn
L’interface du site invite le nouvel utilisateur à dresser le portrait de ses savoir-faire et de ses pratiques de vie de quartier, puis à télécharger une photo lui permettant d’être reconnu par les autres membres. On peut ensuite visualiser, grâce à un système de géolocalisation, les adhérents les plus proches, et se greffer à un jeu de piste à Montmartre, à une visite du château de Fontainebleau, ou troquer des services. C’est ce qu’explique Emma, à Lyon: «Dès que j’ai besoin de faire garder mon chat ou que j’ai une question sur sa santé, je poste un message sur le mur d’entraide de ma peuplade. J’ai toujours plein de monde qui m’aide à trouver une solution.»
Voilà une connexion qui dissimule un véritable échange humain, et offre la possibilité d’une rencontre en chair et en os. Les personnes âgées, en particulier, se servent de ces réseaux comme d’un moteur de convivialité: alors ce soir, c’est bowling ou ciné-club? Même enjeu avec l’application Soomville: ce service de petites annonces 3.0 met en relation des «soomers» (des utilisateurs à la recherche d’une compétence) et des «soomers talentueux», qui vont pourvoir valoriser économiquement une possession, de la perceuse au robot ménager, ou une aptitude, du dog-sitting aux cours de math. Une manière élégante de parler d’offre et de demande sur des plateformes où tout est bienveillant. La preuve outre-Atlantique, avec le site américain Nextdoor, qui rassemble plus de 78 000 utilisateurs: l’expression d’opinions politiques y est interdite, pour ne froisser personne et éviter la prolifération de messages partisans.
Il faut une masse critique nécessaire pour que l’offre et la demande s’équilibrent. Peut-être ne sommes-nous pas assez nombreux en Suisse romande pour que ces réseaux soient vivants
Mauvaise connexion suisse
En Suisse, ce genre d’initiatives n’est pas encore à portée de souris. Des sites comme Ricardo ou Anibis ne s’inscrivent ni dans une logique de proximité, ni dans une philosophie de l’économie du partage. Pourtant, selon une étude menée par le cabinet d’audit et de conseil Deloitte au printemps dernier, dans les douze prochains mois, 55% des consommateurs suisses loueront une propriété, des biens ou des services via une plateforme de «sharing economy.» C’est en faisant ce constat que Giuseppe Urro a décidé de créer Freesbee.ch, un site Swiss made dédié au partage entre particuliers, en ligne depuis le mois d’octobre. On peut y échanger de l’aide, du matériel, des savoir-faire. «Pendant longtemps, la réussite individuelle a été indissociable de l’instinct de possession, explique l’entrepreneur. Aujourd’hui, on privilégie plutôt les rencontres et la mutualisation.» Néanmoins, ces projets sont encore rares sur notre territoire.
«La faute n’incombe pas à un décalage spatio-temporel, explique Olivier Glassey, sociologue spécialisé dans les nouveaux médias à l’Université de Lausanne. Il y a quelques années, quand Tinder est apparu, la Suisse a montré qu’elle n’avait pas de retard à déplorer côté réseaux.» En revanche, on peut avancer que nous pêchons par le chiffre. Ces applications se développent systématiquement dans des métropoles: «Il faut une masse critique nécessaire pour que l’offre et la demande s’équilibrent. Peut-être ne sommes-nous pas assez nombreux en Suisse, en particulier en Suisse romande, pour que ces réseaux soient vivants», analyse l’universitaire. Sans compter que la conjoncture économique plutôt favorable du pays a fait de l’Helvète un propriétaire acharné (sauf lorsqu’il s’agit d’immobilier), sans pour autant favoriser l’avènement d’une société de troc et d’entraide.
«En revanche, on a déjà tendance à utiliser Facebook comme un réseau de proximité», remarque Olivier Glassey. L’étude des relations interpersonnelles des utilisateurs, des tags aux conversations instantanées, démontre qu’ils n’interagissent qu’avec une dizaine ou une quinzaine de personnes très proches: avouons-le, le mari de la copine de la meilleure amie, vous ne lui avez jamais parlé. Et pourtant, il fait partie des plusieurs centaines de relations que compte votre profil.
Réseaux asociaux
Et si le terme de réseau social tel qu’on l’emploie depuis une décennie était une imposture? Pour l’enseignant-chercheur, c’est la sociabilité de chacun qui est mise à mal par Facebook: «Le propre de la sociabilité d’une personne est d’habiter différents rôles, explique Olivier Glassey. Je suis à la fois prof, père et copain. Un réseau généraliste comme Facebook ne peut pas restituer ces différents aspects de ma vie sociale.» Sur le réseau star, qui se situe aujourd’hui à mi-chemin entre l’espace de promotion de soi et l’organe de presse, la civilité est régulièrement bafouée et la solidarité peu concernée. En dehors d’épisodes viraux consistant à manifester son indignation au moyen de pancartes improvisées, son soutien par le partage d’un avis de recherche, les gestes de fraternité y sont extrêmement comptés.
C’est cette dérive que veulent corriger des réseaux comme Freesbee, Peuplade ou Stootie. Tous veulent reconstruire le lien social banalisé par les usines à friends. A force de vouloir connecter le plus d’internautes possible, Facebook, qui rassemblait en juillet dernier presque 1,5 milliard d’utilisateurs, attaque le ciment communautaire. La preuve en image avec le travail d’Eric Pickersgill. En effaçant de ses clichés smartphones et autres tablettes, ce photographe américain montre combien ces réseaux nous déconnectent les uns des autres, et nous poussent au «phubbing», néologisme créé en mai 2012 par une agence australienne pour désigner les personnes qui consultent leurs téléphones plutôt que de communiquer entre elles.
Sur les «vrais» social networks, chaque clic est une relation concrète potentielle. «Le principal se passe en dehors du réseau», confirme Olivier Glassey. Bienvenue dans la réalité.


Une cachette à bonheur

Des adolescents britanniques ont développé une application pour stocker les souvenirs heureux que l’on souhaite garder pour soi. Avec les réseaux sociaux, les jeunes n’ont pas toujours le rapport compulsif et impudique que l’on imagine. Les travaux de la chercheuse américaine Danah Boyd avaient déjà montré par exemple qu’ils contrôlaient, bien plus que les adultes, leur image publique sur Internet. Or une nouvelle application sort, dont la fonction montre combien les réseaux sont le lieu d’une pression à laquelle les jeunes cherchent toujours plus à échapper.
Mieux que le vin ou le chocolat
Memory Star a été développée en Grande-Bretagne par et pour des adolescents, dans le cadre d’un concours destiné aux jeunes de 14 à 16 ans. Il s’agit d’une sorte de boîte à trésors virtuelle où chacun pourra stocker les souvenirs qui lui procurent du plaisir, compliments reçus ou images de moments de bonheur, mais qu’il ne souhaite partager avec personne. Une cachette numérique où trouver du réconfort dans les moments de blues.
«Il y a sur les réseaux sociaux une telle pression pour toujours présenter une image heureuse de soi, quelque chose de très compétitif», explique Zuzia O’Donoghue, l’une des cinq lycéens du Sussex à avoir développé l’application. «Qui récoltera le plus de «like»? Qui a la vie la plus désirable? On affiche en permanence une sorte de personnage parfait, avec lequel, parfois, on se sent en porte-à-faux. Memory Star permet de relire ou revoir des choses qui nous ont fait plaisir, sans se soucier du regard des autres. C’est une collection de souvenirs pour se faire plaisir et que l’on garde pour soi.»
Une thérapie d’autant plus recommandable que le recours à un stock de souvenirs heureux s’est révélé, dans diverses études, aussi efficace pour le moral, et bien meilleur pour la santé, qu’un verre de vin ou une branche de chocolat. Pour l’heure, l’application n’est disponible que sur le territoire britannique. Et bien qu’elle vise les jeunes en priorité, sa simplicité et sa fonction, très dans l’air du temps, pourraient la rendre populaire auprès de clients de tout âge.


Selon  Richard Allan Bartle, il y a 4 sortes d'utilisateurs pour les réseau sociaux:


Types d’utilisateurs 2.0

Pour Bartle, il existerait quatre types intrinsèques de base; ACHIEVER, SOCIALISER, PHILANTHROPIST et FREE SPIRIT(Trolls). Chacun serait motivé par une valeur dominante : les relations, l'autonomie, les accomplissements et le sentiment d'être utile. Il existe deux autres types, dont les motivations sont un peu moins tranchées : les DISRUPTORS et les PLAYERS.En bref

  • Les SOCIALISERS sont motivés par les relations. Ils veulent interagir avec les autres et créer des liens sociaux.
  • Les FREE SPIRITS sont motivés par l'autonomie. Ils veulent créer et explorer.
  • Les ACHIEVERS sont motivés par leur recherche d'accomplissement. Ils cherchent à apprendre de nouvelles choses et à s’améliorer. Ils veulent des défis à surmonter.
  • Les PHILANTHROPISTS sont motivés par l'impression d'être utiles. Leur besoin est existentiel. Ils forment un groupe altruiste, qui souhaite donner et enrichir la vie des autres.
  • Les PLAYERS sont motivés par les microrécompenses. Ils feront ce qui est nécessaire pour obtenir une rétribution de la part d’un système. Ils sont là pour eux-mêmes.
  • Les DISRUPTORS sont motivés par le changement. Ils veulent généralement perturber votre système, ce pour forcer des changements qui peuvent être positifs ou négatifs.
Les PLAYERS sont heureux de participer à votre jeu, du moins tant que des points et des récompenses sont offerts. Au contraire, les DISRUPTORS ne veulent rien en savoir. Quant aux autres, ils ont besoin d’un peu plus que cela pour les garder intéressés.
Les types d’utilisateurs plus en détail:

Les SOCIALISERS (comme dans mon modèle original) sont ceux qui souhaitent interagir. Ils aiment être en relation avec les autres. Ils sont intéressés par les parties du système qui les aide à le faire : c'est leur source de motivation intrinsèque. Ils sont ceux qui vont évangéliser vos réseaux sociaux. 

Les FREE SPIRITS cherchent à agir librement. Ils ont deux sous-types, les CREATORS et les EXPLORERS. Les EXPLORERS ne veulent pas se voir limités dans la manière dont ils effectueront leur périple. Ils sont aussi ceux qui trouveront le plus de brèches dans un système. Les CREATORS désirent fabriquer de nouvelles choses. Ils auront les avatars les plus élaborés. Ce sont ceux qui produiront le plus de contenu. Ils recherchent l’expression de soi et l’autonomie.

Les ACHIEVERS veulent être les meilleurs, ou à tout le moins accomplir des choses. Ils sont prêts à s’investir dans un système. Ils font cela pour eux-mêmes et ne se soucient pas nécessairement d’aller ensuite s’en vanter. Ils compétitionneront avec les autres, mais de façon à devenir meilleurs qu’eux. Le système fournit la plateforme, les autres «joueurs» ne sont que des obstacles à surmonter et à maîtriser. Ils peuvent aussi être motivés par le statut en tant que représentation de leurs accomplissements personnels. Ils ont besoin d’un système qui les enrichira et leur permettra la maîtrise.

Les PHILANTHROPISTS veulent sentir qu’ils font partie de quelque chose de plus grand qu'eux. Ils veulent donner aux autres et n’attendent rien en retour. Ce sont ceux qui répondront aux innombrables questions sur les forums, simplement parce qu’ils ont envie d’aider. Ils veulent un système qui leur permettra d’enrichir les autres et leur donnera le sentiment que tout cela a une signification. 

Les DISRUPTORS veulent changer les choses autour d’eux, perturber le système ou les utilisateurs. Ils viennent en deux sous-groupes : les IMPROVERS et les DESTROYERS. Leurs motivations peuvent être variées. Parfois, c’est en raison du sens que prennent les choses. Ils pensent que perturber le système a une plus grande signification, que ce soit afin d’instruire les créateurs à propos de faiblesses ou pour prouver que le système est mauvais. Ce pourrait aussi être lié à l’autonomie. Chez les types intrinsèques, l’autonomie est vécue comme une motivation positive, source d’exploration et de créativité.  Cependant, ce peut tout aussi bien être pour se libérer du confinement imposé par le système : comment pouvez-vous avoir une véritable autonomie quand des règles que vous n’aimez pas sont en place? Ils peuvent éprouver un sentiment d'accomplissement lorsqu’ils apprennent comment perturber le système et de par le statut que ces actions leur procurent.

Les PLAYERS sont ceux qui aiment obtenir du succès au sein de votre système. Ils espèrent voir leur nom bien situé au classement. Ils aiment le contexte compétitif. Ils sont susceptibles de mettre à profit des failles pour obtenir un avantage. Ils sont en fait un groupe de types d’utilisateurs en eux-mêmes, comme on peut le voir ci-dessous. Ils sont là pour prendre part au jeu et les récompenses extrinsèques les rendent heureux.Approfondissement du type d’utilisateur PLAYER en 4 sous-groupes 

  • SELF SEEKERS : Cherchent à obtenir des microrécompenses pour des actions que poseraient naturellement un PHILANTHROPIST (par exemple, répondre aux questions des autres simplement pour obtenir des points.  
  • CONSUMERS : Cherchent à obtenir des microrécompenses pour des actions similaires à celles des ACHIEVERS (par exemple, quand ils accordent leur loyauté, par la compétition, etc.).
  • NETWORKERS : Cherchent à établir des liens avec les autres de manière à améliorer leur profil ainsi qu’en raison des récompenses que cela pourrait apporter.
  • EXPLOITERS : Cherchent à obtenir des microrécompenses par leur utilisation du système par tous les moyens imaginable (par exemple, en créant des choses, en en trouvant, en «aimant» des pages Facebook pour recevoir des prix, en trouvant des failles qui les aideront à gagner).

Comme vous pouvez le constater, il peut très bien y avoir certains chevauchements des motivations à l’intérieur même du type d’utilisateurs PLAYER. Les CONSUMERS et les EXPLOITERS peuvent partager de nombreuses caractéristiques. La différence, c’est que les EXPLOITERS tenteront de déterminer les limites du système et la manière dont cela peut leur profiter, les amenant souvent jusqu’à faire partie du type DISRUPTOR. De leur côté, les CONSUMERS veulent simplement obtenir des récompenses au moins d'effort possible. Comme c'est leur seule motivation, ils compétitionneront avec les autres seulement si nécessaire.

Interactions possibles

Au sein de votre système, ces différents types d’utilisateurs ont le potentiel de s'influencer.

Par exemple, les PHILANTHROPISTS sont la figure parentale. Ils sont ceux susceptibles de vouloir aider tous ceux qu’ils peuvent, sans tenir compte des motivations des autres. Les EXPLOITERS, au contraire, utiliseront autant qu’ils le peuvent chaque personne et chaque chose afin d’obtenir des gains du système.

Les SOCIALISERS et les NETWORKERS souhaiteront interagir avec les gens. Ils ne chercheront pas à obtenir quoi que ce soit d'eux. Dans le cas d’un NETWORKER, sa récompense vient du fait d’être connecté; là où la récompense du SOCIALISER est de vous connaître et d’interagir avec vous.

Les SELF SEEKERS n’ont pas vraiment d’intérêt envers les autres personnes au sein du système, celles-ci ne sont qu’un moyen pour atteindre une fin (cette fin étant les belles choses qui brillent). De la même manière, les ACHIEVERS ne sont pas là pour les gens. Ils le sont pour leur enrichissement personnel. La grande différence ici, c’est que le SELF SEEKER est celui qui voudra amasser médailles et trophées dans un système pour montrer son expertise aux autres.

Les FREE SPIRITS et les CONSUMERS sont ceux qui ont le moins d’impact sur les autres utilisateurs. Leurs intérêts sont personnels. Ils utilisent le système pour obtenir ce qu’ils veulent. Les autres utilisateurs ne représentent pas d’intérêt à leurs yeux.



 *Comment créer un système équilibré pour tous les types d’utilisateurs?

La réponse est : au prix d’énormes difficultés, et cela dépend des buts de votre système. Cependant, si vous revenez au moment où nous avions seulement cinq types d’utilisateurs, PLAYERS, PHILANTHROPISTS, SOCIALISERS, ACHIEVERS et FREE SPIRITS, les choses deviennent un peu plus claires.

Vous devriez chercher à créer un système qui suscite l’intérêt des quatre types d’utilisateurs et qui mise sur les quatre motivations de base. Rendez votre ludification sociale, donnez-lui un sens et laissez aux élèves une certaine liberté. Puis, intégrez un système de microrécompenses (points, médailles, etc.) réfléchi.

Vous voudrez avoir le plus grand nombre possible d'élèves qui agiront en fonction d'une motivation intrinsèque. Ce sont eux qui reviendront souvent et continueront à produire du contenu ou à remplir le rôle qui leur est destiné.

Anticiper les pièges

Autant les PHILANTHROPISTS que les ACHIEVERS peuvent contribuer au jeu. Les premiers veulent aider tout le monde. Ils aiment répondre aux questions et guider les joueurs. Les ACHIEVERS peuvent aussi le souhaiter. Ils souhaitent être les meilleurs – à maîtriser les choses. Ils souhaiteront donner la meilleure réponse à une question, pas tant pour aider autrui que pour savoir qu’ils sont les meilleurs. Cependant, comme leur objectif est leur enrichissement personnel, il se peut qu'ils redonnent peu à un système visant l’apprentissage – ce qui est pourtant ce que vous souhaitez!

De même, les FREE SPIRITS tendent à redonner très peu aux autres si la seule chose que le système leur permet de faire est d’explorer. S’ils sont présents en trop grand nombre, l’aspect social de votre ludification risque de mal fonctionner. Donnez aux FREE SPIRTIS la chance d’être créatifs si vous souhaitez que les autres retirent quelque chose d’eux.

Au contraire, les SOCIALISERS sont d'excellents évangélisateurs. Ils attireront plus de gens. Cependant, ils n’ajoutent pas autant de contenu que peuvent le faire d’autres types d’utilisateurs. La présence de trop d’entre eux vous laissera devant un simple réseau social.

La présence de DISRUPTORS est inévitable. Assurez-vous d’avoir des règles solides et que vous serez capables de les faire respecter. Gardez aussi à l’esprit que les DISRUPTORS peuvent être des agents d’amélioration comme de destruction.

Si le système est inondé de PLAYERS, vous courez le risque de voir surgir quantité de contenu sans intérêt, ceux-ci votant et participant simplement pour l’obtention de récompenses. L'ensemble du contenu s'en trouve alors dévalué. Garder les PLAYERS contrôlés peut s'avérer coûteux. Tâchez plutôt de créer un système qui les transformera en utilisateurs aux motivations intrinsèques!

 Conclusion:

Bref, l’avenir des univers virtuels est dans les réseaux sociaux… et inversement ! Ne pensez-vous pas que MySpace ou Facebook sont des prétendants bien plus sérieux au titre de la future plateforme sociale de référence que Second Life ou There ?
Quand on y réfléchit bien, que manque-t-il à SL ? Une petite centaine de millions d’utilisateurs ! Que manque-t-il à Facebook ? un simple module 3D gréffé à la Facebook Platform.




Source.: Par Rinny Gremaud

Guide: avec ou sans OGM ?



Qu’est-ce qu’un OGM ?

Un Organisme Génétiquement Modifié (OGM) est un organisme vivant qui a été créé artificiellement par l’Homme en manipulant son identité génétique. Les techniques très récentes du génie génétique consistent à prélever un ou plusieurs gènes de n’importe quel organisme vivant (virus, bactérie, animal, végétal ou même humain) pour le(s) insérer dans le patrimoine génétique d’un autre organisme. A la différence des techniques traditionnelles d’amélioration des variétés agricoles, le génie génétique permet de franchir la barrière entre les espèces et de construire de nouveaux organismes vivants jusqu’à présent inconnus de la nature et de l’Homme.

Que veut Greenpeace?

Greenpeace s’oppose aux disséminations d’OGM dans l’environnement! En effet:

• les risques écologiques sont irréversibles et encore très mal évalués. Parmi ces dangers, citons la perte de biodiversité, l’augmentation de l’utilisation des pesticides, le développement de souches de résistance parmi les insectes et plantes nuisibles, le transfert de gènes à d’autres espèces, l’apparition d’espèces envahissantes ou des effets non désirés sur des espèces non ciblées.

• les risques sanitaires à long terme sont méconnus et ignorés (risques d’allergie, augmentation des résistances aux antibiotiques).
Le génie génétique représente clairement la mauvaise approche pour la sécurité alimentaire du 21ème siècle!


Pour plus d’information, consultez le dossier OGM sur notre site web ou commandez-le par écrit à l'adresse ci-dessus.

Des OGM dans nos assiettes?

Actuellement, les OGM peuvent se trouver dans bon nombre d'aliments à base de soja et/ou de maïs. Ceux-ci entrent dans la composition de plus de 60% des produits alimentaires...

SOJA: farine, protéines, huile, émulgateur lécithine (E322), mono- et diglycérides (E471), etc. En outre, le soja se cache souvent derrière l’appelation "huiles/graisses végétales".

MAÏS: farines, amidon, amidon modifié de maïs*, huile, semoule, glucose, fructose, dextrose, maltodextrine, sorbitol (E420), etc.

*"amidon modifié": modification physico-chimique, sans rapport avec les OGM


L’étiquetage des aliments transgéniques: une incohérence!

Depuis septembre 1998, un Règlement européen impose l’étiquetage des ingrédients issus de soja ou de maïs transgéniques. Les fabricants ont donc l’obligation de faire figurer dans la liste des ingrédients la mention "produit à partir de soja/maïs génétiquement modifié". Depuis le 10 avril 2000, les additifs et arômes sont eux aussi soumis à l’étiquetage.

Par contre, les produits issus d’OGM mais n’en contenant plus (par exemple, les huiles) ne sont toujours pas soumis à cette loi et échappent donc à l’étiquetage, alors que leur culture présente les mêmes risques pour l’environnement! Le CRIOC (Centre de Recherche et d’Information des Organisations de Consommateurs) estime qu’à peine 30% des aliments issus d’OGM doivent effectivement être étiquetés.

Actuellement, les consommateurs ne disposent donc pas de l’information nécessaire pour choisir, en connaissance de cause, le contenu de leur alimentation. C’est pour cela que Greenpeace a contacté les fabricants en leur demandant de donner une garantie écrite en ce qui concerne leur politique en matière d'OGM. Les listes qui suivent ont été élaborées au départ de leurs réponses.

Ces listes ne sont pas exhaustives. Si vous souhaitez les reproduire, veillez à ce que l’ensemble des commentaires et remarques y figurent.

Les produits issus de l’agriculture biologique, reconnaissables au label "Biogarantie", sont exempts d’OGM.

Grâce à la pression des consommateurs, la position des fabricants évolue progressivement. Depuis la publication des listes, la grande majorité d’entre eux nous ont garanti qu’ils n’utilisaient plus d’ingrédients ni d’additifs contenant ou issus d’OGM.

Parallèlement, les OGM continuent à pénétrer à notre insu dans la chaîne alimentaire via l’alimentation des animaux d’élevage (poulets, porcs, bétail, poissons). En ce qui concerne les produits tels que lait, œufs, viande, fromage ou poisson, le consommateur ne dispose donc d’aucun moyen de savoir si les animaux dont il mange les produits ont été nourris avec des OGM.

Le secteur de l’alimentation animale concerne l’essentiel du marché des OGM. Pour s’assurer une chaîne alimentaire totalement exempte d’OGM, il faut refuser que l’industrie du génie génétique utilise l’alimentation animale pour écouler en douce ses OGM. Nos listes de produits " avec ou sans OGM " intègrent à présent la problématique des OGM utilisés pour alimenter les animaux dont nous consommons les produits. En fin de liste, nous vous présentons une première liste de producteurs nous ayant garanti la non-utilisation d’OGM dans l’alimentation animale.

Greenpeace remet dès lors régulièrement ses listes à jour. N'hésitez pas à les consulter régulièrement !


Principales plantes Bt existantes

 La bactérie Bacillus thuringiensis sécrète naturellement jusqu’à une vingtaine de toxines insecticides différentes (sous forme de cristaux nommés Cry) qui attaquent spécifiquement certaines familles d’insectes : toxines Cry1 et Cry2 pour les papillons (famille des lépidoptères, notamment la pyrale du maïs) ; toxines Cry3 pour les coléoptères (type scarabées...) ; et Cry4 pour les diptères (mouches...). Les agriculteurs, notamment ceux cultivant en agriculture biologique, utilisent cette bactérie comme insecticide, en la pulvérisant sur les cultures.

Les principales plantes Bt sont le maïs, le coton, le colza, le soja. On trouve aussi une aubergine Bt au Bangladesh. La seule PGM autorisée à la culture dans l’Union européenne, le maïs MON810, est une plante Bt qui produit un insecticide contre la pyrale (Ostrinia nubilali).
A noter que le caractère Bt est de plus en plus introduit avec un autre caractère, la tolérance à un herbicide total (type Roundup, glufosinate d’amonium, 2,4-D, etc.) (cf. Qu’est-ce qu’une plante tolérant un herbicide (Roundup Ready ou autre) ?) . En 2013, 16% des PGM commercialisées sont Bt, 27% sont à la fois Bt et tolérantes à un herbicide total [7].


 Monopole des multinationales. «La majorité des OGM sont développés par 5 multinationales, dont une, Monsanto, détient 80% du marché. Ces sociétés sont en passe de prendre en main tout l'avenir de l'alimentation et de l'agriculture. Leur seule motivation, c'est l'argent. Les firmes développent des OGM pour s'assurer un revenu à long terme!» 

OGM Mensonge et vérité :




 Le problême observer avec les cultivateurs c'est que les plante OGM perde de l'efficacité lorsque
certaine insecte développe une résistance aux plantes OGM,alors que pendant ce temps Mosento et d'autres Cie recommande d'utiliser des insecticides en surplus sur les cultures OGM ,ce qui résulte que nous consommons plus encore d'insecticides qu'avant ,comme le Glyphosate(RoundUp) dans notre assiette !
Les biologistes de l'université de l'Iowa l'ont confirmé. La chrysomèle (Diabrotica virgifera virgifera), insecte dont les larves dévorent les racines du maïs, devient résistante à la toxine Bt produite par la céréale modifiée génétiquement. Sans entrer dans le débat « pour ou contre les OGM », l'alerte fait apparaître certaines limites de cette biotechnologie.Donc les OGM ont leurs limites !

Si vous manger des OGM vous ingérez du glyphosate:
 

Le glyphosate (N-(phosphonométhyl)glycine, C3H8NO5P) est un désherbant total foliaire systémique, c’est-à-dire un herbicide non sélectif absorbé par les feuilles et ayant une action généralisée, autrefois produit sous brevet, exclusivement par Monsanto à partir de 1974, sous la marque Roundup. Le brevet est tombé dans le domaine public en 2000, d'autres sociétés produisent désormais du glyphosate.
Le glyphosate seul est peu efficace, car il n'adhère pas aux feuilles et les pénètre difficilement. On lui adjoint donc un tensioactif (ou surfactant). Ces produits sont connus pour provoquer des mortalités cellulaires (par contact direct avec une cellule ou un tégument et des irritations).



Test sur les OGM;

Il y a le projet G-TwYST ,qui est l'acronyme pour les plantes génétiquement modifiées Test de sécurité de deux ans. La durée du projet est du 21 avril 2014 au 20 avril 2018.Alors ont attend.


Le GMO90plus: Recherche de biomarqueurs prédictifs d’effets biologiques dans l’étude de la toxicité sub-chronique (3 et 6 mois) des OGM chez le rat.Ainsi, 2 maïs génétiquement modifiés ont été sélectionnés :

  • le maïs MON810, qui exprime la protéine insecticide Bacillus thuringiensis (toxine Bt), en raison de son utilisation dans le projet de recherche GRACE ;
  • le maïs NK603, résistant à l'herbicide glyphosate, du fait de son emploi dans le projet G-TwYST.

 GRACE: a publié son essai d'alimentation d'un an avec une variété de maïs GM MON810
Le maïs MON810 à un taux allant jusqu'à 33% dans l'alimentation n'a pas induit d'effets indésirables chez les rats WCC de Wistar Han mâles et femelles après une exposition chronique.



Rosita, la vache transgénique capable de produire du lait maternel humain

En savoir plus : http://www.maxisciences.com/rosita/rosita-la-vache-transgenique-capable-de-produire-du-lait-maternel-humain_art15181.html
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Animaux transgéniques:

Rosita, la vache transgénique capable de produire du lait maternel humain

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 Rosita, la vache transgénique capable de produire du lait maternel humain;Reste que si le lait de ces vaches transgéniques subit les mêmes procédés de pasteurisation que ceux en vigueur à l’heure actuelle, il y a fort à parier que cette prouesse technologique et déontologiquement dérangeante, n’apporte rien de plus aux nourrissons humains. En effet, au cours du processus de passage à ultra haute température (UHT), si les bactéries et les microbes sont éliminés, la plupart des composants nutritifs le sont aussi…
En savoir plus : http://www.maxisciences.com/rosita/rosita-la-vache-transgenique-capable-de-produire-du-lait-maternel-humain_art15181.htmlCopyright © Gentside Découverte.


"Frankenfish" : le premier saumon génétiquement modifié arrive sur le marché américainSource : notre-planete.
info, http://www.notre-planete.info/actualites/4379-saumon-transgenique-Frankenfish 
Il grandit 4 fois plus vite. Il peut ainsi atteindre sa taille adulte au bout de 16 à 18 mois, au lieu de 30 mois pour un saumon de l'Atlantique ;il nécessite 20% de nourriture en moins ;il ne nécessite aucun antibiotique ;il résiste mieux au froid et peut donc grandir toute l'année.
"Frankenfish" : le premier saumon génétiquement modifié arrive sur le marché américain
Source : notre-planete.info, http://www.notre-planete.info/actualites/4379-saumon-transgenique-Frankenfish
Reste que si le lait de ces vaches transgéniques subit les mêmes procédés de pasteurisation que ceux en vigueur à l’heure actuelle, il y a fort à parier que cette prouesse technologique et déontologiquement dérangeante, n’apporte rien de plus aux nourrissons humains. En effet, au cours du processus de passage à ultra haute température (UHT), si les bactéries et les microbes sont éliminés, la plupart des composants nutritifs le sont aussi…

En savoir plus : http://www.maxisciences.com/rosita/rosita-la-vache-transgenique-capable-de-produire-du-lait-maternel-humain_art15181.html
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Reste que si le lait de ces vaches transgéniques subit les mêmes procédés de pasteurisation que ceux en vigueur à l’heure actuelle, il y a fort à parier que cette prouesse technologique et déontologiquement dérangeante, n’apporte rien de plus aux nourrissons humains. En effet, au cours du processus de passage à ultra haute température (UHT), si les bactéries et les microbes sont éliminés, la plupart des composants nutritifs le sont aussi…

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Reste que si le lait de ces vaches transgéniques subit les mêmes procédés de pasteurisation que ceux en vigueur à l’heure actuelle, il y a fort à parier que cette prouesse technologique et déontologiquement dérangeante, n’apporte rien de plus aux nourrissons humains. En effet, au cours du processus de passage à ultra haute température (UHT), si les bactéries et les microbes sont éliminés, la plupart des composants nutritifs le sont aussi…

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Reste que si le lait de ces vaches transgéniques subit les mêmes procédés de pasteurisation que ceux en vigueur à l’heure actuelle, il y a fort à parier que cette prouesse technologique et déontologiquement dérangeante, n’apporte rien de plus aux nourrissons humains. En effet, au cours du processus de passage à ultra haute température (UHT), si les bactéries et les microbes sont éliminés, la plupart des composants nutritifs le sont aussi…

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Reste que si le lait de ces vaches transgéniques subit les mêmes procédés de pasteurisation que ceux en vigueur à l’heure actuelle, il y a fort à parier que cette prouesse technologique et déontologiquement dérangeante, n’apporte rien de plus aux nourrissons humains. En effet, au cours du processus de passage à ultra haute température (UHT), si les bactéries et les microbes sont éliminés, la plupart des composants nutritifs le sont aussi…

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Chromecast 2, Apple TV, Roku 3, Nvidia Shield : le match des boîtiers télé



GUIDE D'ACHAT - Locations de films et de séries, rattrapages d'émissions,  diffusions des contenus d'un mobile : l'Apple TV, le Chromecast 2, le Roku 3 et la Shield Android TV de Nvidia veulent enrichir notre façon de regarder la télévision.

• INSTALLATION: Chromecast 2, le plus simple

La palme de la simplicité revient au Chromecast 2. Branchez ce minuscule boîtier circulaire sur une prise HDMI du téléviseur, reliez l'alimentation au secteur (ou à une prise USB) et connectez-vous avec votre smartphone au site dédié. Seuls vos identifiants Google sont demandés. Après mise à jour et redémarrage, le boîtier est prêt à fonctionner.

Le Chromecast

Le Roku 3, plutôt discret, se relie aussi en HDMI au téléviseur et peut se configurer en Ethernet ou en Wi-Fi. L'opération est simple et rapide. Après l'inévitable mise à jour, il faut s'armer de son smartphone pour s'inscrire sur le site de Roku et fournir ses coordonnées bancaires. Impossible d'utiliser l'appareil sans cette étape. Le procédé est d'autant plus étonnant que la majorité des services proposés sont gratuits et que Roku ne fournit aucun contenu, à la différence de Google et d'Apple.
L'Apple TV nouvelle version, plus volumineuse que son prédécesseur, se branche elle aussi en HDMI et se connecte en Wi-Fi ou en Ethernet. Saisissez les informations de votre compte iTunes et le tour est joué. Mais Apple a poussé encore plus loin la simplification. Il suffit de poser son iPhone sur le boîtier TV pour que le premier transmette au second, par Bluetooth, les paramètres réseau et diverses données de connexion. Rien à saisir: tout se fait automatiquement.
La Shield peut se connecter au PC de la maison, en Wi-Fi ou en Ethernet, pour exécuter les jeux vidéo qu'il contient et permettre d'y jouer sur le téléviseur. À condition, là encore, de disposer d'une bonne liaison réseau domestique. Musclée avec son processeur quadricœur en 64 bits, elle offre une excellente fluidité et s'apprivoise très rapidement. On apprécie surtout son habilité à décoder pratiquement tous les formats vidéo existants. Son boîtier plutôt design ne dépareillera pas dans le salon, mais on regrette quand même que toutes les prises soient situées à l'arrière, ce qui complique un peu la tâche quand on veut lire le contenu d'une clé USB.

• SERVICES: Apple TV, la plus complète

Hormis l'inévitable YouTube, le Chromecast ne brille pas par la quantité des programmes proposés. On peut diffuser les films et musiques achetés ou loués sur Google Play, et quelques applications compatibles commencent à apparaître, comme la vidéo à la demande de Canal+ ou les replay de France Télévisions. Pour les autres, il faudra vérifier que le petit symbole Chromecast apparaît à l'écran du smartphone pour pouvoir profiter de l'affichage sur grand écran. Plusieurs applications permettent de transmettre sans fil le contenu de son smartphone sur le téléviseur: photos, vidéos, musique, etc.

L'Apple TV

Le Roku 3 s'accompagne d'une télécommande équipée de boutons spéciaux pour accéder à des services de vidéos comme Netflix, YouTube ou Google Play. Dans le premier cas, il faut évidemment être abonné pour profiter des films et séries proposées. On trouve aussi DailyMotion, France 24, TuneIn Radio et diverses chaînes spécialisées dans le sport, la cuisine, la santé, la musique ou les programmes pour enfants. Les contenus en anglais sont plus nombreux qu'en français.
L'Apple TV est d'abord un superbe magasin de vidéos, avec plus de 85.000 titres en location ou à la vente. Elle donne aussi accès à diverses chaînes du Web (CanalPlay, Arte, Netflix, sports, concerts, conférences, info). Cette nouvelle version permet d'exécuter des applis (réservation d'hôtel, shopping, forme et santé, etc.). La télécommande dispose d'une surface tactile qui accélère les déplacements et rend plus naturel le contrôle de la lecture des vidéos. Avec son accéléromètre et son gyroscope, elle peut s'utiliser comme une manette façon Wii dans certains jeux. Enfin, les appareils Apple peuvent transmettre sans fil leurs photos, vidéos et musiques à l'Apple TV pour en profiter sur le téléviseur.
En vidéo à la demande, la Nvidia Shield dispose d'un plus petit nombre de films que l'Apple TV. On peut profiter des séries de Netflix (sur abonnement) ou des émissions de rattrapage de France Télévision, Canal +, Arte, France 24, TF1 ou Gulli. Vevo et Google Play Music complètent l'offre pour la musique.

• UTILISATION: Chromecast 2, le plus naturel

Avec le Chromecast 2, le smartphone devient la télécommande. D'ailleurs, les vidéos ne sont pas diffusées depuis le mobile: c'est le Chromecast qui se connecte à Internet et qui télécharge les contenus. On peut créer des enchaînements de musique ou de vidéos, ou lancer la lecture immédiatement. À l'usage, une fois que l'on a visionné deux ou trois vidéos sur YouTube, on se demande si n'importe quelle box Internet ne fait pas aussi bien.

La Roku 3

L'interface du Roku 3 est déroutante et la navigation assez laborieuse. Dans certains cas, il est possible de rechercher des contenus à partir du clavier virtuel (assez peu ergonomique) ou en reconnaissance vocale à partir de la télécommande. Plus intéressant, la prise USB du boîtier permet de diffuser des films stockés sur un disque externe ou une clé USB.
Apple nous a enthousiasmé en annonçant qu'il serait désormais possible d'effectuer des recherches de films à la voix en utilisant Siri. Pratiquement, il suffit de maintenir enfoncé un bouton de la télécommande et de dicter ses instructions: «trouve des comédies romantiques», «montre-moi les meilleurs films de science-fiction», etc. On peut même piloter oralement la lecture des films avec des phrases comme «avance de 10 minutes», ou encore «qu'est-ce qu'il a dit?», qui repasse la dernière séquence en ajoutant les sous-titres. Bluffant. Là où ça se gâte, c'est sur les recherches banales. Impossible de trouver des films de Louis de Funès, que Siri s'obstine à orthographier «Louis II Funès». Même chose pour Omar Sy, interprété comme «Omar Six», ou James Bond, qui devient James Bande… Frustrant. En outre, il est impossible de chercher à la voix des applis ou des vidéos sur YouTube.

• JEUX: carton plein pour la Nvidia Shield Android TV

L'offre est encore en construction sur l'Apple TV. On en dénombre un millier, sur les 2624 d'applications recensés, pas tous de qualité (seuls 8 jeux figurent dans le top 50 des téléchargements). Les jeux, que l'on trouvait déjà pour certains sur iPhone, transforment le téléviseur en une sorte d'iPad géant, que l'on peut aussi contrôle par une manette. Hélas, peu de titres sont encore disponibles. Le Roku 3 et le Chromecast 2 se reposent sur des jeux Android. Avec cette dernière, on peut même jouer à plusieurs, chacun avec son téléphone ou une manette compatible en main, par exemple dans un jeu de course. Le Roku 3 est directement livré avec une petite manette, qui dispose d'une reconnaissance de mouvements.
Dans le domaine du jeud, c'est toutefois la Nvidia Shield qui écrase tous ses concurrents. Non seulement il est possible de s'amuser sur grand écran avec des jeux pour Android (à condition qu'ils soient compatibles avec une manette pour remplacer les commandes tactiles), mais on peut aussi se mesurer à des classiques du jeu vidéo à grand spectacle comme Saints Row, The Witcher 3, MotoGP 15, Resident Evil, Lego Batman, etc. La box de Nvidia donne en effet accès à un service spécialisé, GeForce Now, qui permet de pratiquer des jeux en ligne comme s'ils étaient stockés sur la box. Il faut pour cela souscrire à un abonnement à 9,90 euros par mois et… disposer d'une bonne connexion à Internet (au moins 20 Mbps). En plus du catalogue d'une cinquantaine de titres, il est possible d'acheter les nouveautés au prix habituel (de 20 à 60 euros), auquel cas on reçoit le code d'activation qui permet d'y jouer aussi sur un PC.
• BILAN
Le choix est assez simple. À 39 euros, le Chromecast 2 est un choix efficace, que l'on recommandera pour regarder quelques vidéos de temps en temps sur grand écran, à la fois depuis un smartphone Android ou un iPhone. La Nvidia Shield Android TV, si l'on est prêt à y mettre le prix (199 euros), est un choix qui nous a surpris et séduit, avec son offre de jeux pléthorique et sa compatibilité avec un grand nombre de formats vidéos. Le Roku 3 apparaît comme une solution de compromis, pas forcément la meilleure. L'Apple TV, à 179 euros, ergonomique, plaira aux habitués de la marque, mais délivera son potentiel lorsqu'un plus grand nombre d'applications sera adaptées.
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Android TV ou Google TV :



Il apparaît de plus en plus sur la toile des petits boitiers Android à connecter sur la télévision du salon… Par contre, il ne suffit pas de connecter Android sur une TV pour que cela devienne une Google TV !

La Google TV répond à des caractéristiques bien précises. Un des différenciateurs majeurs est le fait de disposer d’une entrée HDMI en plus du traditionnel connecteur à brancher sur la TV. Ce boitier a pour vocation de s’intercaler entre votre source vidéo habituelle (décodeur TV de votre box ADSL, décodeur satellite, TNT, Canalsat…) et votre téléviseur. Ceci donne la possibilité d’avoir votre environnement Android « par-dessus » l’image de votre programme télévisé (les détails ici). A ce jour, seul le boitier de Sony (Sony NSZ-GS7) est officiellement sur le marché et propose ce type d’expérience pour moins de 100 euros…

Mais alors ?

Pourtant, que ce soit sous la forme de dongle ou de boitier, la toile regorge de solutions qui n’attendent qu’à être branchée sur votre TV. Ce sont majoritairement les constructeurs chinois qui se sont lancés dans la brèche, mais également le français Archos avec son Archos TV Connect. Dans l’idée, il s’agit « simplement » de remplacer l’écran de votre smartphone ou de votre tablette par une sortie vidéo. Aucune autre adaptation n’est faite en général au niveau de l’interface. Dans un premier temps, les solutions de type dongle TV, une sorte de clé USB avec un connecteur HDMI qui se branche directement sur la prise de votre téléviseur ont inondé les sites marchands. De qualité assez faible dans les premières versions, l’expérience Android sur votre écran était plutôt décevante. Mais depuis le début de l’année 2013, les solutions deviennent de plus en plus convaincantes, principalement en ce qui concerne des processeurs, GPU et la mémoire vive. L’offre commence réellement à valoir la peine de s’y intéresser.
Pour environ 80 euros, une foule de produit existent avec des caractéristiques très honorables de type (par exemple ici) :
  • Quad core 1,8 GHz Cortex A9 RK3188
  • 8 Go extensible avec carte SD (attention au piège de l’extension mémoire)
  • 2 Go de RAM (super !)
  • Android 4.2, voir 4.3 dans certains cas
Selon les fabricants, certains modèles auront le Bluetooth en plus, un ou deux ports USB, voir un connecteur Ethernet. Cela  fonctionne plutôt bien ! Le temps de boot est correct, et en une minute vous êtes opérationnel !
Et voilà, Android apparait sur la télé ! Le tout est réactif, et la navigation plutôt fluide.

Et maintenant ?

La première chose à faire est de paramétrer votre OS comme vous le feriez avec votre tablette ou votre smartphone. Oui, mais votre télé n’est pas tactile ? Eh bien c’est là le vrai souci. Comment interagir avec votre écran ?
Le plus simple : prenez votre clavier et votre souris USB, et connectez-les sur votre boitier. Selon le cas, vous pourrez avoir besoin selon le cas d’un cable OTG (connecteur micro USB mâle et USB femelle), et d’un petit USB. Vous voilà prêt.
La première utilisation assez naturelle une fois que vous êtes connecté, c’est de regarder des films. La majorité des boitiers ayant accès au Play Store, rien de plus simple. Une fois votre compte paramétré, les vidéos, les clips, les musiques et tout le contenu disponible est accessible. Attention cependant pour les films, il vaut mieux louer les versions HD (un peu plus chères). Autant sur un smartphone, voire sur une tablette 7 pouces visionner les films en SD n’est pas trop choquant, sur un téléviseur Full HD, c’est une autre histoire…
Pour continuer dans le domaine de la vidéo, vous avez certainement un lecteur réseau avec vos séries et film favoris. Pas de soucis. Que ce soit en DNLA ou en partage Samba (Windows), vous trouverez sur le market plusieurs logiciels qui sauront accéder à vos fichiers.
L’un des plus aboutit à mon goût à l’heure actuel est français. Il s’agit de Archos Video Player. Une version gratuite vous permet d’évaluer la majorité de ses fonctionnalités.
Le player se comporte comme un mediacenter, et sait aller chercher les informations de vos fichiers vidéo sur Internet (affiche, résumée, etc..). La navigation est sympathique et fluide,  la prise en main très simple pour les novices. Une fois paramétré, c’est typiquement le type d’application qui peut être laissée entre les mains de tous pour visionner vos contenus vidéo sans votre salon. Un seul regret, il ne permet pas de faire des classements personnalisés (sous répertoires par exemple). Pour disposer de l’ensemble des CODEC, il faudra vous orienter vers la version payante de l’application (environ 5 euros).
Un autre produit similaire dans ses fonctionnalités existe, et va un peu plus loin dans les possibilités de classement, et apporte souplesse et transparence dans la gestion de plusieurs source de fichiers, il s’agit de MediaHouse UPnP/DLNA Brower. Comptez 3 euros, et une version gratuite existe pour vous permettre de l’évaluer en fonction de vos besoins.
À noter que les deux produits permettent de confier à un lecteur vidéo externe la lecture des films. A nouveau, beaucoup de solutions existent sur le Play Store, allant de VLC (oui, comme sur votre PC) au très complet MX Player qui est parmi les meilleurs produits actuels.
Pour les plus courageux, une version de XMBC existe également. Mais la version disponible actuellement (xbmc-12.2-Frodo-armeabi-v7a) n’est pas encore très stable.

Pour aller plus loin

Comme vous l’avez vu, c’est un système 100 % opérationnel qui s’affiche à présent sur votre téléviseur. Vous pourrez le configurez à votre envie pour disposer de vos applications météo favorites, de vos applications de catch-up tv, de YouTube, DailyMotion et pourquoi pas votre Mail et votre agenda Gmail, sans oublier vos jeux favoris et la navigation Internet avec Chrome !
Un truc sympa également est de pouvoir utiliser cet écran pour visualiser sur votre TV le contenu de votre smartphone. À nouveau, plusieurs solutions existent, mais ma préférence va pour la solution Chromecast. Pour ceux qui ne connaissent pas Chromecast, c’est un dongle HDMI made in Google et qui permet d’afficher sur votre téléviseur le contenu de certaines applications de votre smarphone. Je parle bien d’applications, et non pas de tout l’écran !
Je vous rassure, il ne s’agit pas de connecter un second périphérique à votre téléviseur, mais simplement d’installer une application nommée CheapCast, disponible sur le Play Store. Notez au passage que c’est à nouveau une production française !
Une fois installé et lancé sur votre box, ouvrez par exemple YouTube sur votre smartphone, et cliquez sur la petite icône Watch. La vidéo se lance et vous pouvez la contrôler depuis votre smartphone !
Si Android n’inclut pas Airplay (du moins officiellement), des solutions similaire commencent à voir le jour. La technologie Miracast semble avoir le vent en poupe, mais d’autres solutions alternatives semblent prometteuses. A nouveau, le Play Store regorge de diverses solutions plus ou moins abouties, mais nécessitant souvent d’être rooté.

Tu pointes ou tu cliques ?

En conclusion, vous l’aurez compris, après votre téléphone et votre tablette, Android peut dorénavant prétendre envahir votre téléviseur !
Toutefois, un petit bémol subsiste. Comment interagir confortablement avec cet OS prévu à l’origine pour être utilisé avec votre doigt ? Pour cet article, la solution de simplicité a consisté à utiliser un bon vieux duo clavier/souris, mais c’est vrai que dans le salon, ce type d’équipement ne se fond pas réellement dans le décor.
De fait, le vrai challenge d’Android à l’heure actuelle se situe sur ce point : comment restituer la même expérience utilisateur, le même gameplay pour les joueurs que ce que l’OS propose nativement avec le tactile. Que ce soit pour les Google TV, les Android TV et même les différentes consoles qui apparaissent actuellement, le périphérique de pointage idéal reste à trouver !

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